Ravasi, Lucifer t'attend pour te cuire : grouille-toi un peu !

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Le Vatican prête des ornements sacrés pour un défilé qui sacrifie à la mode et non pas à Dieu – du Fellini après l’heure

par Clémentine Jallais, RéinformationTV, 1 mai 2018

(Voir plus de ces tenues sacrilèges, ici : www.lifesitenews.com/news/vatican-lends-s… )

A quelques jours du lancement de l’exposition « Corps célestes : la mode et l’imagination catholique » au Metropolitan Museum of Art (MET), on en sait un peu plus sur les codes qui présideront à l’événement. Alors que ce partenariat paraît plus qu’improbable, le cardinal Gianfranco Ravasi, qui préside le Conseil Pontifical pour la Culture du Vatican depuis 2007, a défendu l’idée et la décision du prêt de plus de cinquante chefs-d’œuvre de la collection du Vatican, dont certains en provenance directe de la chapelle Sixtine. Objets sacrés pour une exposition laïque, potentiellement sacrilège… on connaît le monde profondément progressiste de la mode.

On pense aussitôt au défilé de mode violemment provocant imaginé par Frederico Fellini dans son Roma Fellini. Il prend forme, en quelque sorte, aujourd’hui, avec la participation bienveillante du Vatican…
« Un pèlerinage de mode religieux » : la haute couture s’arroge le sacré

Ce sont plus de 150 pièces qui ont pour mission, au MET, d’« examiner l’engagement continu de la mode avec les pratiques dévotionnelles », comme a déclaré le conservateur en chef du musée. A côté des créations de haute couture, devaient donc figurer des « originaux », les symboles, creusets de l’inspiration artistique : des ornements liturgiques réels, des pièces essentiellement religieuses.

Le Vatican a comblé ces attentes en prêtant un certain nombre de ses biens propres… des pièces historiques, datant du milieu du XVIIIe siècle au début du XXIe siècle. La plus ancienne est un manteau porté par Benoît XIV, et la plus récente, une paire de chaussures rouges portées par Jean Paul II. Quelques-unes n’avaient encore jamais été vues en dehors du Vatican, comme cet ensemble de douze vêtements commandés par l’impératrice d’Autriche pour Pie IX, au milieu du XIXe siècle. Ou encore cette tiare papale aux 18.000 diamants, offerte au même pape par la reine Isabelle II d’Espagne.

Merveilleux témoignages que ces gages de foi des grands de ce monde, qui honoraient le Christ en saluant son représentant sur terre…

Seulement les nouveaux grands de ce monde, dont font partie les maîtres de la haute couture, ne cultivent guère la même attitude et prennent plutôt prétexte de la Foi pour sacraliser leur art propre – en dépit de Dieu et souvent même contre Lui.
Singer le clergé – pour un autre maître ?

Et leurs pièces sont emblématiques, du simple rappel biblique à la provocation caractérisée – il faut toute la gamme du rapport au sacré pour prétendre à la neutralité artistique et en défendre le principe ! Le jardin d’Eden se retrouve brodé sur une robe de chez Valentino. Des icônes byzantines s’étalent sur des tuniques Dolce & Gabbana. Et des robes de madones exposent une magnificence certaine…

Mais l’intention de provocation sinon de sacrilège est bien présente. Les créateurs glissent des corps féminins dans des tenues de soirées inspirées des vêtements cléricaux portés par les prêtres et les évêques, tel ce manteau de cardinal réinterprété en version soir chez Balenciaga, cette robe de bure à l’image des moines, ou encore cette robe féminine « papale » de John Galliano à qui ne manque pas même la tiare !

La croix, symbole ultime, s’étale largement, de la simple figuration jusqu’à la transgression évidente comme sur cette veste signée Christian Lacroix et intitulée insolemment « Gold-Gotha ». Sur cet autre habit singé de religieuse, la croix du chapelet qui pend à son côté est même tronquée… le satanisme n’est pas loin.
Cinquante-cinq ans plus tard, un défilé à la Fellini ne choque plus le Vatican

Avec tout ça, le cardinal Gianfranco Ravasi a formellement nié que la participation du Vatican à l’événement soit « impropre », comme l’a rapporté le site d’information des évêques allemands Katholisch.de le 10 avril. Selon lui, il peut, il doit y avoir un dialogue entre l’Église et le monde de la mode qui participe à la beauté en tant que telle, car l’Église aussi porte cette magnificence esthétique.

Mais il y a une différence notoire : ces riches vêtements liturgiques, ces somptueux objets d’art sont liés à la célébration d’un rite, sont le signe d’une transcendance distincte de l’homme. Bien que la haute-couture montre aussi « une fonction symbolique qui dépasse le simple but de s’habiller », cette fonction est sur-centrée sur l’homme. Et certaines pièces de l’exposition montrent même qu’elle peut endosser un rôle sacrilège…

Alors dire, en cette circonstance, que l’Église doit accéder à cette zone de la mode, comme à toute autre « partie du monde où existe le mal », comme l’a déclaré le cardinal Ravasi à l’édition italienne du magazine Vogue, est au mieux d’un aveuglement sans nom…

Ce triste événement rappelle furieusement la folle scène du défilé ecclésiastique du film de Frederico Fellini, Fellini Roma : sur le podium d’un palais romain, prêtres et religieuses défilent, affublées de tenues extravagantes, devant un parterre de dignitaires du clergé… avant l’arrivée, en clou du spectacle, d’un Saint Père en tenue papale de gala devant lequel s’agitent de grandes plumes d’autruches oranges… Scandaleuse irrévérence du très anti-catholique Fellini !

Le cardinal Ravasi, lui, accepte, la singerie mécréante, voire sacrilège et même la signe : le dialogue avant tout, peu importe les moyens…

Source : reinformation.tv/vatican-defile-…

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Le cardinal Ravasi présente « Corps célestes » : le Vatican et “Vogue” organisent une exposition sur la liturgie et la « mode » au Metropolitan Museum de New York

par Jeanne Smits, RéinformationTV, 28 février 2018

Le cardinal Gianfranco Ravasi, du Conseil pontifical pour la culture, et la styliste Donatella Versace ont participé lundi au Palazzo Colonna à la présentation officielle des principales pièces prêtées par le Vatican pour une exposition qui se déroulera de mai à décembre au Costume Institute du Metropolitan Museum of Art de New York sur le thème des liens entre la mode et les vêtements et objets liturgiques catholiques. La rédactrice en chef de la revue “Vogue”, Anna Wintour était également présente : le magazine féminin connu pour sa promotion de la révolution sexuelle est partenaire de l’opération. L’exposition aura pour titre : « Corps célestes : la mode et l’imagination catholique. »

Chasubles, croix de procession du XIe siècle, ornements utilisés lors des liturgies pontificales, la mitre précieuse de Léon XIII et la tiare offerte à Pie IX par Isabelle II d’Espagne sont au nombre des objets qui traverseront l’Atlantique, quittant le Vatican pour la première fois pour nombre d’entre eux. Au total, quarante pièces d’une valeur inestimable seront prêtées par la sacristie de la Chapelle Sixtine, datant du milieu du XVIIIe siècle au XXIe siècle. D’autres objets, trop fragiles pour faire le voyage de New York, ont été photographiés pour être tout de même présentés dans le cadre de l’exposition.
Le cardinal Ravasi a travaillé avec “Vogue” sur l’exposition au Metropolitan Museum de New York

Elles voisineront avec des créations profanes ou non de Versace, Jean-Charles de Castelbajac, Christian Lacroix, Thierry Mugler, Jean-Paul Gaultuer, Schiaparelli, Dolce et Gabana, sans compter la robe de mariée de 1967 de la collection Balenciaga.

Le conservateur du centre du Costume du Met de New York, Andrew Bolton, qui vit habituellement à New York avec son partenaire Thom Browne, styliste, était évidemment présent lors de la présentation aux côtés du cardinal Ravasi. Bolton a expliqué : « Le vêtement est central dans toute discussion à propos de la religion : il affirme l’allégeance religieuse et par extension, il affirme les différences religieuses. »

L’exposition veut évoquer le concept de pèlerinage religieux et en faire vivre l’expérience, a-t-il ajouté, notant que si certains objets de modes présentés « peuvent sembler très éloignés de la sainteté de l’Eglise catholique, il ne faut pas les prendre à la légère dans la mesure où ils incarnent les traditions narratives du catholicisme ».

Le cardinal Ravasi, de son côté, a affirmé au cours de son discours que le fait de se vêtir est à la fois une nécessité matérielle est un acte profondément symbolique « qui fait même partie de l’histoire biblique d’Adam et Eve » : « Dieu lui-même s’inquiétait de la vêture de ses créatures. »

Le rapport avec la haute couture et surtout ce qu’elle est devenue peut paraître moins évident.
« Corps célestes » fait le lien entre l’ornement liturgique et la mode grâce a “Vogue” (le lobby LGBT n’est pas loin)

Le magazine et le site Teen Vogue – version pour ados de Vogue – ont publié entre le 1er janvier et le 24 février 2017 au moins 63 articles faisant la promotion de l’avortement (sans préjudice de ce qui a paru avant ou après !). En juillet de l’année dernière, on y trouvait un article expliquant aux jeunes les bonnes techniques du sexe anal. Un mois plus tard, Teen Vogue mettait le vibromasseur et le préservatif sur la liste des « indispensables de la rentrée ». Le site propose aussi un « appli biblique » spéciale pour chrétiens LGBT.

Vogue et Teen Vogue appartiennent au groupe de presse Condé Nast qui a lancé en octobre dernier une publication destinée aux LGBTQ, Them. Anna Wintour, présente à la réception au Palazzo Colonna (on la voit ici à côté du cardinal Gianfranco Ravasi sur la photo officielle – avec Andrew Bolton bien sûr), n’est pas seulement la rédactrice-en-chef de Vogue. En tant que directrice artistique de Condé-Nast, Anna Wintour a justifié la ligne éditoriale de “Them” en ces termes : « Au cours de l’année qui vient de s’achever, nous avons réimaginé l’allure d’un titre afin de mieux donner l’image de la culture d’aujourd’hui et de la manière dont les publics interagissent avec les contenus. Cela ne veut pas dire qu’une publication centrée sur les LGBTQ soit une chose que nous ayons inventée, ou quelque chose de neuf. C’est l’endroit où nous devons être. Et c’est pour moi, super important, exactement de la façon dont le monde des médias l’entend… Nous voulons faire partie de ce qui pousse la culture à avancer. »

Source : reinformation.tv/corps-celestes-…

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Album ACTU
dmargot
Ne nous laissez pas sucomber
Qu'attendre des Anglicans amoureux du protestantisme ,pour sa propre jouissance et Dieu aux orties .
le mage vainqueur
Montfort.
Pour obtenir les grâces de Dieu, la confiance est nécessaire ;
Tous mes potes sont des des mecs bien, rigole Antéchrist.
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GChevalier
Et les voilà tous attachés
Aux jupes de l'Antéchrist
Pour le satanique défilé
Maçonnique et donc antichrist !
Nous ne sommes qu'au commencement !
C'est pourquoi il dit : Va de l'avant !
Et ils y vont allègrement :
Au milieu d'eux danse Satan.