La Tarte aux châtaignes de Monique Encore dans les années 50, il y avait des soeurs en Italie qui donnait des cours de cuisine aux futures mariées. Aujourd'hui, les femmes ne savent généralement plus …Plus
La Tarte aux châtaignes de Monique
Encore dans les années 50, il y avait des soeurs en Italie qui donnait des cours de cuisine aux futures mariées. Aujourd'hui, les femmes ne savent généralement plus cuisiner suite à l'éducation révolutionnaire des républiques et si vous demandez à l'une d'elle si elle sait cuisiner, elle va vous répondre d'une façon normalement automatique que ce serait misogyne, que la place de la femme n'est pas en cuisine etc bien que la majorité des boulangers il y a quelques siècles étaient des boulangères, qu'il y a quantité de restaurants qui sont tenus par des hommes dans la vie civile, etc.
Vraiment, la révolution de 1789 a bien divisé les gens en les opposant les uns aux autres. Chacun ne cherche plus à être un bon parti, une personne qui sait faire des choses mais seulement à exploiter son voisin pour y trouver ce qu'il ne veut pas faire ou l'objet de ses fantasmes...
Plus ça va, et plus on peut constater une abîme entre l'éducation catholique au cours des siècles (certes, qui ne permettait pas à tous d'apprendre à lire) et celle de la révolution (qui apprend à lire à tous pour mieux les empoisonner et en faire des êtres pervers)...
Encore dans les années 50, il y avait des soeurs en Italie qui donnait des cours de cuisine aux futures mariées. Aujourd'hui, les femmes ne savent généralement plus cuisiner suite à l'éducation révolutionnaire des républiques et si vous demandez à l'une d'elle si elle sait cuisiner, elle va vous répondre d'une façon normalement automatique que ce serait misogyne, que la place de la femme n'est pas en cuisine etc bien que la majorité des boulangers il y a quelques siècles étaient des boulangères, qu'il y a quantité de restaurants qui sont tenus par des hommes dans la vie civile, etc.
Vraiment, la révolution de 1789 a bien divisé les gens en les opposant les uns aux autres. Chacun ne cherche plus à être un bon parti, une personne qui sait faire des choses mais seulement à exploiter son voisin pour y trouver ce qu'il ne veut pas faire ou l'objet de ses fantasmes...
Plus ça va, et plus on peut constater une abîme entre l'éducation catholique au cours des siècles (certes, qui ne permettait pas à tous d'apprendre à lire) et celle de la révolution (qui apprend à lire à tous pour mieux les empoisonner et en faire des êtres pervers)...