Jean de Roquefort
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Pape Boniface VIII le 18 novembre 1302 : « nous déclarons, disons et définissons qu'il est absolument nécessaire au salut, pour toute créature humaine, d'être soumise au Pontife romain »

Pape Boniface VIII, Unam sanctam ; 18 nov. 1302, ex cathedra : « La foi nous oblige instamment à croire et à tenir une seule sainte Église catholique et en même temps apostolique, et nous la croyons fermement et la confessons simplement, elle hors de laquelle il n'y a pas de salut ni de rémission des péchés… En conséquence nous déclarons, disons et définissons qu'il est absolument nécessaire au salut, pour toute créature humaine, d'être soumise au Pontife romain. »

Ainsi, tous ceux qui critiquent et s'opposent au Saint Père François, mettent gravement en péril leur salut éternel.
jili22
blablabla...
Psaume 62
Contexte de ce dogme vu par un chrétien historien doctorant : didascale.com/bulle-unam-sanc…
Restant saufs le respect, la bienveillance et l’obéissance, le fait pour un catholique de discuter et de critiquer de façon honnête et argumentée et dans un esprit constructif certains actes ( paroles et actions ) du Pape, qui ne concernent pas directement des Actes de son magistère en matière de foi …Plus
Contexte de ce dogme vu par un chrétien historien doctorant : didascale.com/bulle-unam-sanc…

Restant saufs le respect, la bienveillance et l’obéissance, le fait pour un catholique de discuter et de critiquer de façon honnête et argumentée et dans un esprit constructif certains actes ( paroles et actions ) du Pape, qui ne concernent pas directement des Actes de son magistère en matière de foi et de morale, n’expose pas du tout à mettre son salut éternel en danger. Le pape François a même déclaré dans des interventions que la saine et constructive critique sur certaines questions, est selon lui nécessaire. Rappelons par exemple que l'Apotre Paul n'hésita pas à corriger publiquement le comportement de l'Apotre Pierre (Galates II, 11-14). Là encore, il importe de bien comprendre les dogmes de foi. Obéir à et ne pas juger le souverain Pontife, ne revient pas à lui obéir aveuglément, à s'abstenir de toute critique franche et respectueuse quand ses actes sont de toute évidence critiquables et peuvent faire chuter des faibles.
Etienne bis
Le pontife (?) actuel... On est prêt à le respecter comme tel. Sous réserve.
1. Ne pas prendre pour pain béni les foucades et contradictions fréquentes de son magistère (plus peroniste que catholique).
Et plus grave.
2. De savoir si sa désignation a bien eu lieu dans le respect des conditions émises dans "Univers dominici gregis". (J. P. II, février 1996.)
Or, de 2005 à 2013, les coups de canif …Plus
Le pontife (?) actuel... On est prêt à le respecter comme tel. Sous réserve.
1. Ne pas prendre pour pain béni les foucades et contradictions fréquentes de son magistère (plus peroniste que catholique).
Et plus grave.
2. De savoir si sa désignation a bien eu lieu dans le respect des conditions émises dans "Univers dominici gregis". (J. P. II, février 1996.)
Or, de 2005 à 2013, les coups de canif dans le contrat semblent avoir été monnaie courante.
Dès lors, on attend qu'une enquête sérieuse et serrée nous fasse savoir ce qu'il en a été.
jili22
Ta secte a vidé les églises !
Jean de Roquefort
Il s'agit simplement de bien comprendre chers amis ce que signifie "hors de l'Eglise il n'y a pas de salut ni de rémission des péchés" en connaissant l'enseignement doctrinal de la Sainte Église sur le sujet :
* "Hors de l’Église point de salut"
Source : www.vatican.va/archive/FRA0013/__P23.HTM (site internet du Vatican)
§ 846 : Comment faut-il entendre cette affirmation souvent répétée par …Plus
Il s'agit simplement de bien comprendre chers amis ce que signifie "hors de l'Eglise il n'y a pas de salut ni de rémission des péchés" en connaissant l'enseignement doctrinal de la Sainte Église sur le sujet :

* "Hors de l’Église point de salut"

Source : www.vatican.va/archive/FRA0013/__P23.HTM (site internet du Vatican)

§ 846 : Comment faut-il entendre cette affirmation souvent répétée par les Pères de l’Église ? Formulée de façon positive, elle signifie que tout salut vient du Christ-Tête par l’Église qui est son Corps :

Appuyé sur la Sainte Écriture et sur la Tradition, le Concile enseigne que cette Église en marche sur la terre est nécessaire au salut. Seul, en effet, le Christ est médiateur et voie de salut : or, il nous devient présent en son Corps qui est l’Église ; et en nous enseignant expressément la nécessité de la foi et du Baptême, c’est la nécessité de l’Église elle-même, dans laquelle les hommes entrent par la porte du Baptême, qu’il nous a confirmée en même temps. C’est pourquoi ceux qui refuseraient soit d’entrer dans l’Église catholique, soit d’y persévérer, alors qu’ils la sauraient fondée de Dieu par Jésus-Christ comme nécessaire, ceux-là ne pourraient être sauvés (LG 14).

§ 847 : Cette affirmation ne vise pas ceux qui, sans leur faute, ignorent le Christ et son Église :
En effet, ceux qui, sans faute de leur part, ignorent l’Évangile du Christ et son Église, mais cherchent pourtant Dieu d’un cœur sincère et s’efforcent, sous l’influence de sa grâce, d’agir de façon à accomplir sa volonté telle que leur conscience la leur révèle et la leur dicte, ceux-là peuvent arriver au salut éternel (LG 16 ; cf. DS 3866-3872).

§ 848 : "Bien que Dieu puisse par des voies connues de lui seul amener à la foi sans laquelle il est impossible de plaire à Dieu" (He 11,6) des hommes qui, sans faute de leur part, ignorent l’Évangile, l’Église a le devoir en même temps que le droit sacré d’évangéliser " (AG 7) tous les hommes.

Source : qe.catholique.org/…/2478-hors-de-l-…

Que signifie l’expression « Hors de l’Eglise, point de salut » ? Que ceux qui sont en-dehors de l’Eglise n’ont pas d’importance pour Dieu ? Que les croyants d’autres religions ne seront pas sauvés ? Quelques points de repères !

D’abord un peu d’histoire : la formule vient de saint Cyprien, évêque de Carthage au IIIe siècle. Confronté aux persécutions et aux apostasies des chrétiens, il rappelait à ceux qui quittaient l’Eglise qu’ils refusaient ce faisant le salut : « personne ne peut avoir Dieu pour Père s’il n’a pas l’Eglise pour mère ».
Cependant, notre époque pose cette question de façon différente : peut-on être sauvé si l’on n’appartient pas à l’Eglise catholique ? C’est un point crucial dans le dialogue avec le monde contemporain, qu’a voulu le Concile Vatican II. Et c’est aussi un élément de discussions à l’intérieur de l’Eglise elle-même... Pour être précis, nous allons nous référer à l’abrégé du Catéchisme, qui vient d’être publié.

Rappelons tout d’abord que le Salut ne vient que de Dieu. Lui seul est capable de se réconcilier les hommes après le péché originel, qui nous a rendu « ennemis » de Dieu (selon l’expression de Saint Paul : Rom V, 10). Le Christ est celui qui nous réconcilie avec Lui, et Il a institué l’Eglise pour administrer les moyens du Salut : « elle annonce la totalité et l’intégralité de la foi. Elle contient et elle administre la plénitude des moyens du salut » (Abrégé CEC n. 166).

Mais il est vrai que Dieu aime tous les hommes, sans exception, même ceux qui n’appartiennent pas à l’Eglise. Pas un seul humain, en tous temps, en tous lieux, n’est hors du cœur de Dieu. Il "veut que tous les hommes soient sauvés" (1 Tm 2,4), voilà pourquoi "le Christ s’est livré en rançon pour tous" (1 Tm 2,6). Dieu se propose à tous. En chaque être humain l’Esprit Saint travaille, très discrètement le plus souvent (la discrétion, le respect de la liberté de l’autre font partie de l’amour). Dieu passe par les moyens qu’Il trouve en nous et auxquels notre liberté doit collaborer.

C’est là tout le rôle de la conscience, présence de Dieu en l’homme, même non baptisé. En effet, dans le cœur de tout homme est inscrite une loi naturelle : "Fais le bien, évite le mal", "Ne fais pas à autrui, ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse", etc. (cf. tout le chapitre, extrêmement beau, de Gaudium et Spes 16). Certaines personnes ne connaissent pas Dieu, mais vivent selon leur conscience, les vertus naturelles, leur devoir d’état. Ces âmes sont tournées vers Dieu par une grâce venant déjà de lui, appelée " grâce prévenante ", et ont tout à espérer de sa miséricorde : "peuvent parvenir au salut éternel ceux qui, sans faute de leur part, ignorent l’Évangile du Christ et son Église, mais recherchent Dieu sincèrement et, sous l’influence de la grâce, s’efforcent de faire sa volonté" (Abrégé CEC n°171)

Le concile Vatican II a rappelé que les religions peuvent apporter une certaine aide à notre quête de Dieu. Cela ne veut nullement dire que toutes les religions se valent ! L’Eglise est la voie royale. En elle se dit et se vit la plénitude du Salut. "L’Eglise catholique reconnaît que ce qu’il y a de bon et de vrai dans les autres religions vient de Dieu". (Abrégé CEC n°170)

L’Eglise est nécessaire car elle seule, aujourd’hui, dispense les sacrements, "signes efficaces du salut." Sans eux, le peuple des croyants se réduirait à une association parmi d’autres qui rassemblerait ses adhérents le dimanche pour évoquer la mémoire du fondateur. Par les sacrements, Dieu nous donne sa grâce, sans aucun mérite de notre part, mais par les mérites de Jésus-Christ, en vue de la vie éternelle. Les sacrements les plus nécessaires pour notre salut sont le baptême et la réconciliation. Le plus grand de tous est celui de l’Eucharistie, parce qu’il contient non seulement la grâce, mais encore Jésus-Christ, auteur de la Grâce et des sacrements

A nous de témoigner réellement de notre foi, d’annoncer concrètement cette Bonne Nouvelle du salut proposé à tous ! "Allez et enseignez toutes les nations, baptisant au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit" (Mt 28,19). Nous participons ainsi, à notre place, à la mission de l’Eglise. Ne dé-missionnons pas !

Dieu qui veut se manifester à tout homme nous précède dans le cœur de ceux à qui nous transmettons la Bonne Nouvelle.
Jean de Roquefort
Ainsi, tous ceux qui critiquent et s'opposent au Saint Père François, mettent gravement en péril leur salut éternel.