Qualifier le suaire de Turin de "faux médiéval européen" est une falsification

Le lin utilisé pour la fabrication du linceul de Turin a été cultivé dans le Levant occidental, qui couvre les territoires actuels de la Terre sainte, du Liban, des parties occidentales de la Jordanie et de la Syrie.

C'est ce que révèlent de nouvelles analyses isotopiques commandées par l'archéologue américain William Meacham et réalisées au laboratoire des isotopes stables de l'université de Hong Kong.

Meacham est membre du conseil d'administration de la Shroud of Turin Education and Research Association (STERA). Il a obtenu l'autorisation de tester cinq des sept fils en possession du groupe.

Les tests ont confirmé que le pollen présent sur le linge indiquait une présence méditerranéenne orientale.

En outre, la couronne d'épines visible sur le linceul a la forme d'un casque et non d'un cercle romain, caractéristique de l'Asie Mineure et du Levant. L'utilisation de pièces de monnaie sur les yeux dans l'image du linceul correspond à un exemple documenté d'une sépulture du deuxième siècle en Judée.

Traduction de l'IA