Nous sommes tous infectés par le libéralisme
Le catholicisme libéral admet toutes les hérésies, c’est un péché mortel, grave. Il est le pire ennemi de la religion catholique. C’est une maladie de l’esprit qui refuse la vérité et qui cherche à se mettre en harmonie avec le monde, se réconcilier avec les principes de 1789 « liberté, égalité, fraternité ». Il veut adapter l’Évangile à son époque et fait abstraction de la Révélation de notre Seigneur Jésus Christ. Voici quelques pensées d’un catholique libéral : « si vous avez à faire à des athées, mettez-vous à leur niveau, entrer dans le système, ne parlez jamais de Dieu » ; « si nous voulons convertir des ouvriers devenons des ouvriers ». Un catholique n’ose pas être prosélyte et rase les murs. Vatican II a mis fin à l’élan missionnaire car le missionnaire ne doit pas prêcher les Evangiles mais se contenter de donner à manger aux indigènes.
Le catholique libéral ne veut pas ramer à contre courant de peur de paraître « réac » et rétrograde. Il ressemble à Pilate qui met sur le même plan le coupable et l’innocent. Il s’accommode du laïcisme et de ces lois sociétales sataniques et tyranniques : divorce, euthanasie, mariage pour tous… Un catholique doit refuser toute compromission envers le mal.
Garcia Moreno, président de la République de l’Équateur savait que le mal et l’erreur n’ont aucun droit et déclarait devant ses députés : « Liberté pour tous et pour tout dans mon pays sauf pour le péché et ceux qui le pratiquent. » Il fut assassiné par la franc-maçonnerie alors que Pilate eut droit à tous les honneurs mondains.
Le Concile Vatican II c’est du catholicisme libéral afin de détruire la religion catholique. C’est réussi, on peut constater que nous avons une Église en lambeaux.
Don Sarda y Salvany affirme dans son livre Le Libéralisme est un péché que le pire ennemi de la religion catholique est le catholicisme libéral. Il est la somme de toutes les hérésies. Il est le mal au-dessus du Mal. L’air est empoisonné par cette infection, il faut demander à Dieu la grâce du discernement pour éviter toute contamination.
L’hérésie est permise par Dieu pour nous éprouver, c’est écrit dans le Deutéronome : « Car Yahvé votre Dieu vous éprouve pour savoir si vous aimez Yahvé, votre Dieu, de tout votre cœur et de toute votre âme. »
Le catholique libéral ne veut pas ramer à contre courant de peur de paraître « réac » et rétrograde. Il ressemble à Pilate qui met sur le même plan le coupable et l’innocent. Il s’accommode du laïcisme et de ces lois sociétales sataniques et tyranniques : divorce, euthanasie, mariage pour tous… Un catholique doit refuser toute compromission envers le mal.
Garcia Moreno, président de la République de l’Équateur savait que le mal et l’erreur n’ont aucun droit et déclarait devant ses députés : « Liberté pour tous et pour tout dans mon pays sauf pour le péché et ceux qui le pratiquent. » Il fut assassiné par la franc-maçonnerie alors que Pilate eut droit à tous les honneurs mondains.
Le Concile Vatican II c’est du catholicisme libéral afin de détruire la religion catholique. C’est réussi, on peut constater que nous avons une Église en lambeaux.
Don Sarda y Salvany affirme dans son livre Le Libéralisme est un péché que le pire ennemi de la religion catholique est le catholicisme libéral. Il est la somme de toutes les hérésies. Il est le mal au-dessus du Mal. L’air est empoisonné par cette infection, il faut demander à Dieu la grâce du discernement pour éviter toute contamination.
L’hérésie est permise par Dieu pour nous éprouver, c’est écrit dans le Deutéronome : « Car Yahvé votre Dieu vous éprouve pour savoir si vous aimez Yahvé, votre Dieu, de tout votre cœur et de toute votre âme. »