La confession : 06 Deo gratias, Leçon 06: La confession Nous avons toujours des fautes à confesser, qu'elles soient récentes ou anciennes. Le temps affecte peut être les souvenirs, mais n'efface en …Plus
La confession : 06
Deo gratias, Leçon 06: La confession
Nous avons toujours des fautes à confesser, qu'elles soient récentes ou anciennes. Le temps affecte peut être les souvenirs, mais n'efface en rien le péché.
La confession se prépare à l'avance, avec recueillement et sérieux, il faut aller chercher dans ses souvenirs les actions dont on est le moins fier, et remettre en question les actions présentes pour identifier celles qui auront fait naître d'une manière ou d'une autre le mal, le péché, la tristesse chez nous et éventuellement chez l'autre. Faire pécher son prochain c'est pécher soi-même.
Souvenez-vous des aspects du péché: en pensée, en parole, par actions et par omission.
Le péché de l'esprit, tout ce qui résulte de notre esprit et qui n'est pas conforme à la volonté de Dieu.
Le péché en parole, dont on est pas toujours conscient car terriblement banalisé.
L'action mauvaise, et enfin l'omission: l'oubli de faire le bien.
Au début de la confession lorsque nous disons "Pardonnez-moi mon Père car j'ai péché" nous ne nous adressons pas seulement au prêtre mais aussi et surtout au Père éternel, car c'est Lui seul qui efface la faute. Toutefois, il ne faut pas tomber dans le piège de se confesser seul, sans prêtre, en prétendant que Dieu entend la confession. C'est une tromperie, le sacrement doit passer par le prêtre.
A la fin de la confession, demandez pardon pour les péchés oubliés, puis faire l'acte de contrition.
Cet acte de contrition nous révèle des points essentiels: "Je prends la ferme résolution avec le secours de ta sainte grâce, de ne plus t'offenser et de faire pénitence"
-une ferme résolution de ne plus blesser le Seigneur,
-implorer le secours de la grâce de Dieu, car notre volonté seule est bien trop faible face au péché
-faire pénitence pour compléter la confession.
Pour la confession des enfants, la pénitence se réduit souvent à une simple prière de quelques minutes (demandée par le prêtre), ce qui parait assez léger. Pour qui veut aller plus loin (de manière volontaire), les moyens ne manquent pas: le jeûne (le pain et l'eau), se priver du superflu (télé, passe temps, distractions, alcool, café...), prier de manière particulière, faire des neuvaines, le chemin de croix etc. Mais surtout en se détournant de ce qui conduit au péché. On ne peut pas sortir de la confession et se remettre à péché comme avant. Ce sacrement n'est pas une formalité.
Merci followwhatsgood
Deo gratias, Leçon 06: La confession
Nous avons toujours des fautes à confesser, qu'elles soient récentes ou anciennes. Le temps affecte peut être les souvenirs, mais n'efface en rien le péché.
La confession se prépare à l'avance, avec recueillement et sérieux, il faut aller chercher dans ses souvenirs les actions dont on est le moins fier, et remettre en question les actions présentes pour identifier celles qui auront fait naître d'une manière ou d'une autre le mal, le péché, la tristesse chez nous et éventuellement chez l'autre. Faire pécher son prochain c'est pécher soi-même.
Souvenez-vous des aspects du péché: en pensée, en parole, par actions et par omission.
Le péché de l'esprit, tout ce qui résulte de notre esprit et qui n'est pas conforme à la volonté de Dieu.
Le péché en parole, dont on est pas toujours conscient car terriblement banalisé.
L'action mauvaise, et enfin l'omission: l'oubli de faire le bien.
Au début de la confession lorsque nous disons "Pardonnez-moi mon Père car j'ai péché" nous ne nous adressons pas seulement au prêtre mais aussi et surtout au Père éternel, car c'est Lui seul qui efface la faute. Toutefois, il ne faut pas tomber dans le piège de se confesser seul, sans prêtre, en prétendant que Dieu entend la confession. C'est une tromperie, le sacrement doit passer par le prêtre.
A la fin de la confession, demandez pardon pour les péchés oubliés, puis faire l'acte de contrition.
Cet acte de contrition nous révèle des points essentiels: "Je prends la ferme résolution avec le secours de ta sainte grâce, de ne plus t'offenser et de faire pénitence"
-une ferme résolution de ne plus blesser le Seigneur,
-implorer le secours de la grâce de Dieu, car notre volonté seule est bien trop faible face au péché
-faire pénitence pour compléter la confession.
Pour la confession des enfants, la pénitence se réduit souvent à une simple prière de quelques minutes (demandée par le prêtre), ce qui parait assez léger. Pour qui veut aller plus loin (de manière volontaire), les moyens ne manquent pas: le jeûne (le pain et l'eau), se priver du superflu (télé, passe temps, distractions, alcool, café...), prier de manière particulière, faire des neuvaines, le chemin de croix etc. Mais surtout en se détournant de ce qui conduit au péché. On ne peut pas sortir de la confession et se remettre à péché comme avant. Ce sacrement n'est pas une formalité.
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Deo gratias,la confession est plus forte que l'exorcisme,parce que c'est un sacrement, alors que l'exorcisme est un sacramental
Notre Seigneur Jésus ne faisait pas la guerre aux "infidèles", au contraire: des pécheurs il faisait sa moisson, pardonnant même à ses bourreaux.
NOUS SOMMES JUGES QUI DISCERNONS LA VERITE ET LE MAL.TANT QU'IL VIT,NOUS DEVONS OEUVRER POUR SON SALUT.DE CE FAIT,NOUS NE …Plus
Deo gratias,la confession est plus forte que l'exorcisme,parce que c'est un sacrement, alors que l'exorcisme est un sacramental
Notre Seigneur Jésus ne faisait pas la guerre aux "infidèles", au contraire: des pécheurs il faisait sa moisson, pardonnant même à ses bourreaux.
NOUS SOMMES JUGES QUI DISCERNONS LA VERITE ET LE MAL.TANT QU'IL VIT,NOUS DEVONS OEUVRER POUR SON SALUT.DE CE FAIT,NOUS NE POUVONS PAS TRAITER LE FRERE DANS L'ERREUR COMME UN CONDAMNE
Si nous nous montrons hautains, intolérants et impatients face à un frère dans l'erreur, quel bien peut-il en résulter? Faisons nous alors honneur à la miséricorde que Dieu nous porte?
Nous ne sommes pas Dieu pour décider du salut ou de la damnation de nos frères
Merci followwhatsgood
Notre Seigneur Jésus ne faisait pas la guerre aux "infidèles", au contraire: des pécheurs il faisait sa moisson, pardonnant même à ses bourreaux.
NOUS SOMMES JUGES QUI DISCERNONS LA VERITE ET LE MAL.TANT QU'IL VIT,NOUS DEVONS OEUVRER POUR SON SALUT.DE CE FAIT,NOUS NE POUVONS PAS TRAITER LE FRERE DANS L'ERREUR COMME UN CONDAMNE
Si nous nous montrons hautains, intolérants et impatients face à un frère dans l'erreur, quel bien peut-il en résulter? Faisons nous alors honneur à la miséricorde que Dieu nous porte?
Nous ne sommes pas Dieu pour décider du salut ou de la damnation de nos frères
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Deo gratias, Leçon 06: La confession
Nous avons toujours des fautes à confesser, qu'elles soient récentes ou anciennes. Le temps affecte peut être les souvenirs, mais n'efface en rien le péché.
La confession se prépare à l'avance, avec recueillement et sérieux, il faut aller chercher dans ses souvenirs les actions dont on est le moins fier, et remettre en question les actions présentes pour …Plus
Deo gratias, Leçon 06: La confession
Nous avons toujours des fautes à confesser, qu'elles soient récentes ou anciennes. Le temps affecte peut être les souvenirs, mais n'efface en rien le péché.
La confession se prépare à l'avance, avec recueillement et sérieux, il faut aller chercher dans ses souvenirs les actions dont on est le moins fier, et remettre en question les actions présentes pour identifier celles qui auront fait naître d'une manière ou d'une autre le mal, le péché, la tristesse chez nous et éventuellement chez l'autre. Faire pécher son prochain c'est pécher soi-même.
Souvenez-vous des aspects du péché: en pensée, en parole, par actions et par omission.
Le péché de l'esprit, tout ce qui résulte de notre esprit et qui n'est pas conforme à la volonté de Dieu.
Le péché en parole, dont on est pas toujours conscient car terriblement banalisé.
L'action mauvaise, et enfin l'omission: l'oubli de faire le bien.
Au début de la confession lorsque nous disons "Pardonnez-moi mon Père car j'ai péché" nous ne nous adressons pas seulement au prêtre mais aussi et surtout au Père éternel, car c'est Lui seul qui efface la faute. Toutefois, il ne faut pas tomber dans le piège de se confesser seul, sans prêtre, en prétendant que Dieu entend la confession. C'est une tromperie, le sacrement doit passer par le prêtre.
A la fin de la confession, demandez pardon pour les péchés oubliés, puis faire l'acte de contrition.
Cet acte de contrition nous révèle des points essentiels: "Je prends la ferme résolution avec le secours de ta sainte grâce, de ne plus t'offenser et de faire pénitence"
-une ferme résolution de ne plus blesser le Seigneur,
-implorer le secours de la grâce de Dieu, car notre volonté seule est bien trop faible face au péché
-faire pénitence pour compléter la confession.
Pour la confession des enfants, la pénitence se réduit souvent à une simple prière de quelques minutes (demandée par le prêtre), ce qui parait assez léger. Pour qui veut aller plus loin (de manière volontaire), les moyens ne manquent pas: le jeûne (le pain et l'eau), se priver du superflu (télé, passe temps, distractions, alcool, café...), prier de manière particulière, faire des neuvaines, le chemin de croix etc. Mais surtout en se détournant de ce qui conduit au péché. On ne peut pas sortir de la confession et se remettre à péché comme avant. Ce sacrement n'est pas une formalité.
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Nous avons toujours des fautes à confesser, qu'elles soient récentes ou anciennes. Le temps affecte peut être les souvenirs, mais n'efface en rien le péché.
La confession se prépare à l'avance, avec recueillement et sérieux, il faut aller chercher dans ses souvenirs les actions dont on est le moins fier, et remettre en question les actions présentes pour identifier celles qui auront fait naître d'une manière ou d'une autre le mal, le péché, la tristesse chez nous et éventuellement chez l'autre. Faire pécher son prochain c'est pécher soi-même.
Souvenez-vous des aspects du péché: en pensée, en parole, par actions et par omission.
Le péché de l'esprit, tout ce qui résulte de notre esprit et qui n'est pas conforme à la volonté de Dieu.
Le péché en parole, dont on est pas toujours conscient car terriblement banalisé.
L'action mauvaise, et enfin l'omission: l'oubli de faire le bien.
Au début de la confession lorsque nous disons "Pardonnez-moi mon Père car j'ai péché" nous ne nous adressons pas seulement au prêtre mais aussi et surtout au Père éternel, car c'est Lui seul qui efface la faute. Toutefois, il ne faut pas tomber dans le piège de se confesser seul, sans prêtre, en prétendant que Dieu entend la confession. C'est une tromperie, le sacrement doit passer par le prêtre.
A la fin de la confession, demandez pardon pour les péchés oubliés, puis faire l'acte de contrition.
Cet acte de contrition nous révèle des points essentiels: "Je prends la ferme résolution avec le secours de ta sainte grâce, de ne plus t'offenser et de faire pénitence"
-une ferme résolution de ne plus blesser le Seigneur,
-implorer le secours de la grâce de Dieu, car notre volonté seule est bien trop faible face au péché
-faire pénitence pour compléter la confession.
Pour la confession des enfants, la pénitence se réduit souvent à une simple prière de quelques minutes (demandée par le prêtre), ce qui parait assez léger. Pour qui veut aller plus loin (de manière volontaire), les moyens ne manquent pas: le jeûne (le pain et l'eau), se priver du superflu (télé, passe temps, distractions, alcool, café...), prier de manière particulière, faire des neuvaines, le chemin de croix etc. Mais surtout en se détournant de ce qui conduit au péché. On ne peut pas sortir de la confession et se remettre à péché comme avant. Ce sacrement n'est pas une formalité.
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