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Les réponses de Tucho soulèvent encore plus de dubia

L'homosexualiste Tucho Fernández, responsable de la CDF de François, a répondu le 8 novembre à six dubia sur les sacrements pour les personnes souffrant de confusion sexuelle.

Le texte de trois pages a été signé par François.

Le 14 juillet, l'évêque brésilien de Santo Amaro, Giuseppe Negri, avait demandé si une "personne transgenre" ou des enfants adoptés/parrainés par des couples homosexuels pouvaient être baptisés et si des homosexuels actifs pouvaient être parrains ou marraines.

Tucho a répondu que les personnes "transgenres" peuvent être baptisées si cela ne provoque pas de scandale public ou de désorientation parmi les fidèles [ce qui est toujours le cas].

Il estime également que tout enfant peut être baptisé si le prêtre officiant a "l'espoir fondé" que l'enfant amené au baptême sera élevé dans la foi catholique.

Tucho n'a pas abordé la question de savoir si les deux partenaires homosexuels devraient être enregistrés en tant que "parents".

Selon lui, les adultes "transgenres" peuvent être parrains ou marraines tant que cela ne provoque pas de scandale ou de désorientation (un homme peut-il devenir "marraine" ?). Les homosexuels qui vivent leur vice en public ou en état de concubinage ne devraient pas être parrains.

Mais, "dans tous les cas, la prudence pastorale exige que chaque situation soit considérée avec sagesse". En d'autres mots : tout est permis tant que ce n'est pas catholique.

Image: Tucho Fernández,, © Mazur/cbcew.org.uk , CC BY-NC-ND, #newsArtdtajfjz

Sainte Blandine
Saint Jean Chrysostome :
la passion homosexuelle est diabolique

Le Père de l’Eglise qui condamna le plus fréquemment le péché contre nature fut saint Jean Chrysostome (IVe siècle), Patriarche de Constantinople et Docteur de l’Eglise, dont nous rapportons quelques passages d’une homélie commentant l’Epître de saint Paul aux Romains :
« Les passions sont toutes déshonorantes car l’âme est plus …Plus
Saint Jean Chrysostome :
la passion homosexuelle est diabolique

Le Père de l’Eglise qui condamna le plus fréquemment le péché contre nature fut saint Jean Chrysostome (IVe siècle), Patriarche de Constantinople et Docteur de l’Eglise, dont nous rapportons quelques passages d’une homélie commentant l’Epître de saint Paul aux Romains :
« Les passions sont toutes déshonorantes car l’âme est plus abîmée et dégradée par les péchés que le corps par les maladies ; mais la pire entre toutes les passions est la convoitise entre hommes. ( ... ) Les péchés contre nature sont plus difficiles et moins rémunératifs si bien que l’on ne peut même pas affirmer qu’ils procurent le plaisir car le vrai plaisir est seulement celui qui s’accorde avec la nature. Mais quand Dieu a abandonné quelqu’un, tout est inverti ! Donc, non seulement leurs passions sont sataniques, mais leurs vies sont diaboliques. ( ... ) Donc je te dis, ceux-là sont pires que les meurtriers, et qu’il serait mieux mourir que vivre ainsi déshonoré. Le meurtrier sépare seulement l’âme du corps, tandis que ceux-là détruisent l’âme à l’intérieur du corps. Tu pourrais nommer n’importe quel péché, tu n’en nommeras jamais un pareil à celui-ci et, si ceux qui l’endurent pouvaient se rendre compte vraiment de ce qu’il leur est en train d’arriver, ils préféreraient mourir mille fois plutôt que de s’y soumettre. Il n’y a rien, absolument rien de si insensé et nocif que cette perversité » (Sain Jean Chrysostome, Homilia IV, Epistula Pauli ad Romanos ; cf. Patrologia Graeca, vol. 47, coll. 360-362).