La finale dévoile tout, savoir : l'avènement de l'Antéchrist !
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D’un internaute : « Entre le pape qui n’assume plus les exigences de sa fonction, un haut clergé européen dont certains membres sont pourris jusqu’à la moelle, un clergé de terrain complètement paumé, des fidèles sans repères qui ne comprennent rien à rien, sans compter les tradis qui s’enterrent dans des impasses et les charismatiques qui fabriquent des liturgies à partir de sentiments religieux sans rapports avec la foi chrétienne, notre pauvre Église est décidément dans un bien triste état. Je me demande ce qu’elle sera dans 20 ou 30 ans : réussira-t-on à sauver quelque chose d’ici-là ? Décidément, il ne nous reste plus que l’espérance chrétienne... Qui est mise à rude épreuve depuis un certain temps ! »
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Ce n’est plus un secret pour personne : le pape François inquiète.
Il n’inquiète pas la majorité du clergé béni-oui-oui devant toutes les niaiseries liturgiques et catéchétiques. Non ! Il inquiète des simples fidèles mais aussi de plus en plus d’évêques et de cardinaux qui constatent (enfin !) que François est incapable de donner des réponses claires à des questions précises touchant à la doctrine. L’un des derniers à avoir ainsi fait part de ses inquiétudes est le cardinal Eijk, archevêque d’Utrecht (NL) qui, lors d’un récent entretien avec la presse à déclaré que « l’absence de réponse du pape aux évêques allemands venus l’interroger sur la question de la communion est totalement incompréhensible. »
Beaucoup reconnaissent aujourd’hui que Jorge Bergoglio n’est que le jouet d’un groupe influent de prélats ultra-progressistes, mais qu’il n’a pas du tout les moyens intellectuels de comprendre l’Église et de la diriger. Ici et là, on lit même - sous la plume d’intellectuels qui sont bien loin d’être des “traditionalistes” - que François mène l’Église droit dans un mur.
C’est donc la fin des éclats de rire médiatiques du début du pontificat et le commencement d’une permanente duplicité annonçant une chute inéluctable.
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Le gala qui se tient au “MET” de New-York a pour thème « Les corps célestes : la mode et l’imagination catholique ».
La chanteuse Rihanna est apparue habillée en “femme pape” tandis que Madonna ou Katy Perry (affublée d’ailes d’anges) se sont présentées en tenues religieuses des plus extravagantes.
Le Vatican a, bien entendu, approuvé cette manifestation qui, selon François, permet de porter le catholicisme aux périphéries. Comme on sait, il n'y a guère que des pharisiens qui critiquent ce genre de défilé blasphématoire.
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La Conférence des évêques d’Allemagne s’est adressée au pape François pour lui demander de donner une réponse claire à la question de la réception de la communion eucharistique par une personne de confession protestante mariée à une personne de confession catholique. Ignorant qu’une réponse claire à cette question a déjà été donnée par l’Église, le pape a informé la délégation de la Conférence épiscopale allemande qu’elle doit revoir le projet de propositions pour un guide pastoral sur, entre autres, l'administration de la Communion, et essayer de trouver l'unanimité.
Réaction immédiate du cardinal Eijk , archevêque d’Utrecht (NL) : « Unanimité à propos de quoi ? En supposant que tous les membres de la Conférence des évêques allemands, après en avoir discuté à nouveau, décident unanimement que la Communion peut être administrée aux protestants mariés à un catholique, cela va-t-il être contraire à ce que le Code de Droit canon et le Catéchisme de l’Église Catholique disent à cet égard et devenir ainsi la nouvelle pratique dans l’Église catholique en Allemagne ? La pratique de l’Église catholique, basée sur sa Foi, n’est pas déterminée ni ne change pas statistiquement même quand la majorité d’une Conférence épiscopale vote en faveur d’une nouvelle pratique, même de façon unanime.
Ce que dit le Code de Droit canonique et le Catéchisme de l’Église Catholique aurait dû être la réaction du Saint-Père qui est, en tant que Successeur de Saint Pierre, le principe perpétuel et visible ainsi que le fondement de l’unité des évêques et des fidèles. (Lumen Gentium n° 23 ). Le Saint-Père aurait dû donner à la délégation de la Conférence épiscopale allemande des directives claires, fondées sur la doctrine et la pratique claire de l’Église. Il aurait également dû répondre sur cette même base à la femme luthérienne qui lui avait demandé, le 15 novembre 2015, si elle pouvait recevoir la Communion avec son époux catholique, en lui disant que ce n'était pas acceptable au lieu de lui suggérer qu’elle pouvait recevoir la Communion sur la base de son baptême et si c’était en accord avec sa conscience.
En omettant de créer de la clarté, une grande confusion est créée parmi les fidèles et l'unité de l’Église est en danger. C’est également le cas des cardinaux qui proposent publiquement de bénir les relations homosexuelles, ce qui est diamétralement opposé à la doctrine de l’Église, fondée sur la Sainte Écriture, selon laquelle le mariage, selon l’ordre de la création, n’existe qu’entre un homme et une femme.
Observant que les évêques et, surtout, le Successeur de Pierre qui ne parviennent pas à maintenir et à transmettre fidèlement et dans l’unité le Dépôt de la Foi contenu dans la Tradition Sacrée et la Sainte Écriture, je ne peux m’empêcher de penser à l’article 675 du Catéchisme de l’Église catholique : « Avant l’avènement du Christ, l’Église doit passer par une épreuve finale qui ébranlera la foi de nombreux croyants. La persécution qui accompagne son pèlerinage sur la terre dévoilera le “mystère d’iniquité” sous la forme d’une imposture religieuse apportant aux hommes une solution apparente à leurs problèmes au prix de l’apostasie de la Vérité ».
+ Willem Jacobus Cardinal Eijk
Archevêque d'Utrecht, Pays-Bas
Utrecht, 5 mai 2018 »
Source : www.proliturgia.org/actua.html
(8 & 9 mai 2018)
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