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2013 : Pourquoi l'affreux cardinal Danneels était-il sur la loggia ?

L'élection "catastrophique" de Bergoglio, il y a dix ans, a marqué le début de "l'une des décennies les plus sombres" de l'histoire de l'Église, écrit Damian Thompson (Unherd.com, 13 mars).

Thompson qualifie Bergoglio de "politicien clérical diviseur et intellectuellement paresseux" qui, avant et après son élection, a renforcé et protégé le clergé pédéraste et ses complices, tels que McCarrick, Zanchetta, Grassi et Rupnik.

Après le conclave de 2013, le cardinal anti-catholique bruxellois Danneels est apparu avec François sur la loggia. Danneels a couvert les abus homosexuels de l'évêque de Bruges, Mgr Vangheluwe, en disant à la victime, lors d'une réunion enregistrée (publiée en 2010), de se taire et de causer moins d'embarras. François a invité le même Danneels au synode sur la famille de 2015.

Le cardinal Pell a expliqué à Thompson pourquoi François avait promu Danneels : "Pour le remercier pour les votes".

Dans un aparté moins convaincant, Thompson cite "le chantage à l'échelle industrielle exercé sur des ecclésiastiques de haut rang amateurs de fêtes homosexuelles et le blanchiment d'argent" comme raison de la démission de Benoît XVI.

Image: © Mazur/catholicnews.org.uk, CC BY-NC-ND, #newsJujxmkvrvi

Etienne bis
Danneels n'était pas "affreux".
Laid, ça se discute. Faux-cul, certainement.
Mais "affreux", non : il était beaucoup trop gras pour servir en Afrique centrale comme mercenaire.