Génocide vendéen: les crimes de la république
Nous sommes bien loin de la version officielle racontée dans les livres d’histoire et par la plupart des journalistes, intellectuels et politiques de …Plus
Génocide vendéen: les crimes de la république
Nous sommes bien loin de la version officielle racontée dans les livres d’histoire et par la plupart des journalistes, intellectuels et politiques de notre époque...
Au moins 180.000 personnes déportées, tuées, assassinées. Des centaines de prêtres, des religieux, mais avant cela, pour la plupart, des paysans, car ce sont les paysans qui, les premiers, se révoltent contre la République naissante. 180.000, c’est le nombre minimum de victimes des guerres dites « de Vendée ». Il y aura aussi plus de 200.000 soldats républicains tués dans les combats.
La République construite dans le sang
Il y a 227 ans. Ce qu’on appelle, à tort, la Révolution française, éclate à Paris. Une manœuvre de quelques centaines de personnes au départ, afin de renverser la Monarchie. Les révolutionnaires parviennent à étendre les incidents au pays tout entier. Incidents qui se transforment peu à peu en guerre civile. Un bain de sang. Des milliers de familles sont victimes de la barbarie qui est en train de se mettre en place. En fait, c’est une idéologie nouvelle que Robespierre, Danton et d’autres sont en train d’imposer, par la force, au peuple de France. Parce que l’Eglise est persécutée (on impose aux prêtres la constitution civile du clergé) – les prêtres refusent de prêter serment. Parce qu’ils s’opposent à la levée en masse de 300.000 hommes que la Convention, le nouveau pouvoir en place à Paris, impose afin de combattre l’Autriche catholique, les Vendéens se révoltent.
Jean Jacques Rousseau et la tyrannie
« Si le peuple pense mal, il faut changer le peuple ». C’est, en une phrase, toute la pensée de Rousseau. Il est indéniable que son « contrat social » comportait en germes le socialisme et la tyrannie qui se préparait dans le pays. Le 1er octobre 1794, la Convention décrète l’extermination « de toute la Vendée ». Il y aura le général républicain Turreau et ses colonnes infernales. Jean Baptiste Carrier et les noyades par millier. Il y aura aussi les massacres des Lucs-sur-Boulogne où 564 personnes, hommes, femmes, enfants seront assassinés par les Bleus des généraux Cordellier et Crouzat. Il y aura enfin le massacre dans la forêt de Vezin, près de Chanteloup-les-Bois où seront tuées près de 2.000 personnes. La Révolution française ne fut par seulement une tentative d ‘« épuration » de la Vendée, mais une épuration d’une partie du peuple de France opposé à la République. Marseille et Lyon, mais aussi la Bretagne étaient entrés en résistance. Ils s’étaient battus pour Dieu et pour le Roi de France. Symbole de leur résistance, un cœur surmonté d’une croix rouge marqué de la devise « Dieu le Roy ».
Un documentaire d’Armel Joubert des Ouches
Nous sommes bien loin de la version officielle racontée dans les livres d’histoire et par la plupart des journalistes, intellectuels et politiques de notre époque...
Au moins 180.000 personnes déportées, tuées, assassinées. Des centaines de prêtres, des religieux, mais avant cela, pour la plupart, des paysans, car ce sont les paysans qui, les premiers, se révoltent contre la République naissante. 180.000, c’est le nombre minimum de victimes des guerres dites « de Vendée ». Il y aura aussi plus de 200.000 soldats républicains tués dans les combats.
La République construite dans le sang
Il y a 227 ans. Ce qu’on appelle, à tort, la Révolution française, éclate à Paris. Une manœuvre de quelques centaines de personnes au départ, afin de renverser la Monarchie. Les révolutionnaires parviennent à étendre les incidents au pays tout entier. Incidents qui se transforment peu à peu en guerre civile. Un bain de sang. Des milliers de familles sont victimes de la barbarie qui est en train de se mettre en place. En fait, c’est une idéologie nouvelle que Robespierre, Danton et d’autres sont en train d’imposer, par la force, au peuple de France. Parce que l’Eglise est persécutée (on impose aux prêtres la constitution civile du clergé) – les prêtres refusent de prêter serment. Parce qu’ils s’opposent à la levée en masse de 300.000 hommes que la Convention, le nouveau pouvoir en place à Paris, impose afin de combattre l’Autriche catholique, les Vendéens se révoltent.
Jean Jacques Rousseau et la tyrannie
« Si le peuple pense mal, il faut changer le peuple ». C’est, en une phrase, toute la pensée de Rousseau. Il est indéniable que son « contrat social » comportait en germes le socialisme et la tyrannie qui se préparait dans le pays. Le 1er octobre 1794, la Convention décrète l’extermination « de toute la Vendée ». Il y aura le général républicain Turreau et ses colonnes infernales. Jean Baptiste Carrier et les noyades par millier. Il y aura aussi les massacres des Lucs-sur-Boulogne où 564 personnes, hommes, femmes, enfants seront assassinés par les Bleus des généraux Cordellier et Crouzat. Il y aura enfin le massacre dans la forêt de Vezin, près de Chanteloup-les-Bois où seront tuées près de 2.000 personnes. La Révolution française ne fut par seulement une tentative d ‘« épuration » de la Vendée, mais une épuration d’une partie du peuple de France opposé à la République. Marseille et Lyon, mais aussi la Bretagne étaient entrés en résistance. Ils s’étaient battus pour Dieu et pour le Roi de France. Symbole de leur résistance, un cœur surmonté d’une croix rouge marqué de la devise « Dieu le Roy ».
Un documentaire d’Armel Joubert des Ouches
Marie-Pierre Jeanine THIERY partage ceci
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Catholique et Français
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Mis à part le refus de Louis XVI de répondre favorablement aux Demandes du Sacré-Coeur de Jésus, les deux principales causes (humaines) du succès fulgurant de la Révolution sont les suivantes :
- l'hémorragie considérable provoquée par l'Émigration ininterrompue depuis juillet 1789 et privant la France des meilleurs éléments susceptibles de s'organiser pour contrer la Révolution. L'Émigration …Plus
Mis à part le refus de Louis XVI de répondre favorablement aux Demandes du Sacré-Coeur de Jésus, les deux principales causes (humaines) du succès fulgurant de la Révolution sont les suivantes :
- l'hémorragie considérable provoquée par l'Émigration ininterrompue depuis juillet 1789 et privant la France des meilleurs éléments susceptibles de s'organiser pour contrer la Révolution. L'Émigration qui a laissé le champ libre aux diaboliques fut une faute majeure.
- l'attitude louvoyante, hésitante, contradictoire de Louis XVI, un jour résistant et le lendemain cédant, qui a totalement désorganisé, désorienté, découragé, désespéré les meilleurs des français. L'affaire des Chevaliers du Poignard et celle de la Constitution Civile du Clergé, le 10 août 1792 ou les Journées d'Octobre 1789 en sont d'excellents et consternants exemples. On oublie trop que pour les français du XVIII° siècle le roi de France était un peu ce qu'est le pape pour un catholique de notre temps, avec les conséquences que l'on voit. Ce fait a perdu la France et c'est peut-être le motif pour lequel le Sacré-Coeur avait voulu prendre la main en 1689...
- l'hémorragie considérable provoquée par l'Émigration ininterrompue depuis juillet 1789 et privant la France des meilleurs éléments susceptibles de s'organiser pour contrer la Révolution. L'Émigration qui a laissé le champ libre aux diaboliques fut une faute majeure.
- l'attitude louvoyante, hésitante, contradictoire de Louis XVI, un jour résistant et le lendemain cédant, qui a totalement désorganisé, désorienté, découragé, désespéré les meilleurs des français. L'affaire des Chevaliers du Poignard et celle de la Constitution Civile du Clergé, le 10 août 1792 ou les Journées d'Octobre 1789 en sont d'excellents et consternants exemples. On oublie trop que pour les français du XVIII° siècle le roi de France était un peu ce qu'est le pape pour un catholique de notre temps, avec les conséquences que l'on voit. Ce fait a perdu la France et c'est peut-être le motif pour lequel le Sacré-Coeur avait voulu prendre la main en 1689...
Lucas Lucatho95 Benoit Gonin
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On dit du Roi Louis XVI qu'il était trop gentil et qu'il était adepte de la philosophie des lumières, et oui il n'a pas consacré le Sacré-Coeur de Jésus-Christ à la France en temps voulu mais il est mort en martyr et la France avec.... les châtiments ont étés immédiat pour le pays jusqu'à ce jour.
On accuse le Roi de tout les maux de la révolution dite française mais il n'en est rien les …Plus
On dit du Roi Louis XVI qu'il était trop gentil et qu'il était adepte de la philosophie des lumières, et oui il n'a pas consacré le Sacré-Coeur de Jésus-Christ à la France en temps voulu mais il est mort en martyr et la France avec.... les châtiments ont étés immédiat pour le pays jusqu'à ce jour.
On accuse le Roi de tout les maux de la révolution dite française mais il n'en est rien les jésuites et la bourgeoisie sont davantage responsables du malheur de la France et particulièrement des vendéens. Et oui les français aimait le Roi car il était légitime contrairement aux papes v2. Et le Roi était lui-même soumis à l'autorité du Pape comme l'intégralité des catholiques Louis XVI n'est pas un Saint cependant je ne suis pas de ceux qui le maudissent
On accuse le Roi de tout les maux de la révolution dite française mais il n'en est rien les jésuites et la bourgeoisie sont davantage responsables du malheur de la France et particulièrement des vendéens. Et oui les français aimait le Roi car il était légitime contrairement aux papes v2. Et le Roi était lui-même soumis à l'autorité du Pape comme l'intégralité des catholiques Louis XVI n'est pas un Saint cependant je ne suis pas de ceux qui le maudissent
Catholique et Français
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On ne demande pas à un roi de France d'être "gentil" mais de faire régner l'Ordre, la Paix et la Justice. Louis XVI, que l'on a appelé "Télémaque XVI" avait été initié aux folies de Fénelon et de son funeste "Télémaque" par son précepteur La Vauguyon. Cela l'avait désaxé au point qu'il avait contracté cette sorte d'orgueil des faibles qui consiste à vouloir se faire aimer à cause de leurs …Plus
On ne demande pas à un roi de France d'être "gentil" mais de faire régner l'Ordre, la Paix et la Justice. Louis XVI, que l'on a appelé "Télémaque XVI" avait été initié aux folies de Fénelon et de son funeste "Télémaque" par son précepteur La Vauguyon. Cela l'avait désaxé au point qu'il avait contracté cette sorte d'orgueil des faibles qui consiste à vouloir se faire aimer à cause de leurs "bontés" et de leurs libéralités. Louis XVI a commis, dès son avènement (rappel des Parlements), faute sur faute, choisissant, à chaque carrefour, la mauvaise solution et la mauvaise sortie. Comme chef d'État, Fils aîné de l'Église, il est, et de très loin, le principal responsable d'une catastrophe tellement prévisible (la qualité essentielle pour un chef est de savoir s'entourer). Cependant, faible, pusillanime et à l'esprit faux pour agir, il est devenu fort, fier, courageux et ferme devant la mort et le martyr; et cela reste certainement son grand honneur, pour l'éternité.
Catholique et Français
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Son deuxième fils, s'il avait vécu, était d'une toute autre trempe, un vrai Louis XIV en herbe; peut-être à cause de ce dont il avait été témoin depuis 1789, tout comme la force de Louis XIV peut en grande partie s'expliquer par les excès de la Fronde qui l'avait profondément traumatisé.
Lucas Lucatho95 Benoit Gonin
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On est d'accord mais l'objectif de cette publication n'est que de rendre hommage aux vendéens génocidés par la République Française ( une organisation terroriste) qui n'a fait que pire