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L'archevêque Gullickson critique le "régime de censure post-conciliaire".

Nous avons été privés de nombreux passages bibliques par "le régime de censure post-conciliaire", écrit l'archevêque Thomas Gullickson (UtAdMereamur.Blogspot.com, 26 mars).

Il voit comme une "zone sombre dans la soi-disant réforme liturgique". Un exemple est le Psaume 136 : 8-9, "Ô fille de Babylone, malheureuse : béni soit celui qui te rendra le paiement que tu nous as fait. Béni soit celui qui prendra et écrasera tes petits contre le rocher".

Avant même l'édition du bréviaire Novus Ordo, le directeur spirituel du séminaire universitaire de Gullickson avait interdit ce passage. Il fulminait et manquait de sortir de la chapelle en piétinant si l'hebdomadaire oubliait par distraction d'annuler le Psaume 136 des complies du vendredi. Peu de temps après, il a abandonné la prêtrise.

Personnellement, Gullickson trouvait ses pitreries "exagérées et stupides" car il s'agit "de la parole de Dieu et elle doit avoir été mise là par la sagesse pour une raison ou une autre".

Image: Thomas Gullickson, Facebook, #newsUyczpqjkkw