Criminalité anti-vie : Le siège de Rome endommagé
Jacopo Coghe, de "Pro Vita & Famiglia", établit un lien entre cet acte de vandalisme et une manifestation d'extrémistes travestis qui s'est déroulée à Rome le samedi 18 mai.
Il explique que ces groupes violents exigent le "respect" mais ne respectent pas les autres, attaquant constamment le bon sens, le droit d'expression et l'existence de ceux qui critiquent leur propagande.
Au cours des trois dernières années, le bureau de "Pro Vita & Famiglia" a subi plus de dix ( !) attaques, coïncidant souvent avec des manifestations de ce type de hooligans de rue. Par exemple, le 25 novembre, le bureau des activistes des droits de l'homme a été attaqué avec des vitres et des volets brisés et un engin incendiaire a été lancé, qui, par chance, n'a pas explosé.
Le maire de Rome, Roberto Gualtieri, membre de l'organisation qui a succédé à l'ancien parti communiste ("Partito Democratico"), n'a jamais exprimé sa solidarité avec les militants des droits de l'homme, ce qui signifie qu'il se trouve dans l'autre camp.
Pour M. Coghe, cela montre que, sous le régime actuel en Italie, il n'y a "pas de liberté d'expression de la pensée" si elle diffère de la propagande du régime.
Traduction de l'IA
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