L'Opus Dei : non seulement mouillé mais aussi déshonoré
- Gurpegui décrit le comportement de l'Opus Dei comme étant "aussi grotesque que prévisible", malgré le fait que le Vatican "leur confisque leurs terres".
- L'Opus Dei prétend que ce n'est que de l'eau bénite qui leur tombe dessus : "Même si elle sent quelque chose. Dans l'article "Questions et réponses", l'Opus Dei répond "avec sa voix classique, monotone et complaisante" à des questions que personne n'a posées. Par exemple : "Est-il vrai qu'on nous a lancé un ultimatum ?".
- Gurpegui parodie la réponse de l'Opus Dei : Non, bien sûr que non. Nous avons seulement présenté les nouveaux statuts après deux ans parce que nous aimons le processus synodal et participatif".
- L'Opus Dei continue de nier qu'il y ait eu des pressions ou que le pape François ait voulu réduire son influence.
- En avril, l'Opus Dei a convoqué un congrès ordinaire, mais en raison de la mort de François, il s'est transformé en mini-congrès dont le but était d'approuver des décisions prises par d'autres.
- Le pape Léon a convoqué l'Opus Dei le premier jour de son mandat et lui a rappelé qu'il lui devait les nouveaux statuts.
- On peut imaginer la scène, écrit Gurpegui : "Le pape hochant gravement la tête en regardant les documents et le prélat essayant d'exprimer son enthousiasme pour quelque chose que tout le monde sait être le dernier chapitre d'une capitulation soigneusement déguisée.
- L'un des points forts de l'article "questions-réponses" est la tentative d'expliquer que "le cadre juridique n'affecte pas la vie des fidèles".
- Gurpegui : "On vous change de maison, on vous licencie, on vous assigne un tuteur légal et on vous dit que ce n'est pas grave parce que vous êtes toujours vous. Et si vous n'êtes pas convaincu, c'est que vous n'avez pas bien compris le charisme".
- L'article souligne que les changements ne seront pas rendus publics tant qu'ils n'auront pas été approuvés par le pape. M. Gurpegui conclut : "Nous ne saurons pas ce qui a été négocié, concédé ou réformé jusqu'à ce qu'il n'y ait plus rien à discuter".
- Transparence à la carte. Ou plutôt à la romana - pendant ce temps, l'Opus répète son refrain favori d'obéissance, de fidélité et d'unité, comme si cela suffisait à arrêter le mouvement tectonique sous leurs pieds".
- Mais n'ayons pas peur, disent-ils, le 'charisme' restera intact. Peut-être qu'un jour ils continueront à exister en tant qu'association privée de fidèles avec leur charisme 'intact'".
- Quiconque veut défendre l'intégrité de l'Opus Dei n'a que deux options : soit reconnaître qu'il est en train d'être démantelé pas à pas depuis Rome, soit continuer à jouer le jeu stupide du "tout va bien"".
- Gurpegui : "Nous, sans les défendre - parce qu'ils sont aussi responsables des récents événements dans l'Église - nous ne nous ferons au moins pas les meneurs de leur auto-illusion institutionnelle.
Traduction de l'IA