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Positions de Mgr Williamson et Vigano sur le "vaccin"

Sermon de S.E Mgr Williamson à propos de la possibilité de prendre le vaccin (13/12/2020)
J’ai parlé la semaine dernière à propos de la question des vaccins, et j’ai dit qu’il me paraissait qu’il pouvait y avoir éventuellement, dans des circonstances exceptionnelles, une exception à la règle disant que les catholiques ne doivent rien avoir à voir avec des vaccins incluant des tissus ou des lignes de cellules venant d’un avortement, provenant originellement d’un avortement.
Comme j’ai dit, il me paraissait qu’il pouvait y avoir une exception, mais depuis la semaine dernière il y a eu une publication datant d’aujourd’hui, fête de Notre Dame de Guadalupe. C’est une publication venant d’un cardinal et quatre évêques en sens contraire, disant qu’il ne peut pas y avoir d’exception. Et je pense qu’ils ont raison. J’ai changé ma position et je pense qu’ils ont raison. Laissez-moi vous lire ou résumer pour vous leur position. Il y a cinq signatures de Latvia, Azerbaïdjan, Pologne et États-Unis. Un cardinal et quatre évêques, et je pense qu’ils ont raison. Laissez-moi vous lire le résumé de ce qu’ils ont dit et ensuite aller dans un ou deux des paragraphes. Ils commencent en disant :

Ces lignes de cellules provenant d’avortements existent et beaucoup d’hommes d’Église disent qu’il peut y avoir une exception, c’est-à-dire, que dans des circonstances exceptionnelles, on peut se résoudre à prendre ces vaccins provenant originellement d’avortement. Mais ils disent, qu’il ne peut pas y avoir une telle exception. Faire une exception contredit ce que Jean-Paul II appelait « la détermination maximale à défendre la vie » et ils disent qu’elle s’applique dans ce cas [la détermination maximale à défendre la vie] et que par conséquent, il ne peut pas y avoir d’exceptions. Le lien entre le vaccin 20, 30, 40 ans après l’avortement original peut être éloigné, mais le crime est trop grand. L’avortement est un crime trop grave faisant que n’importe quel lien justifie qu’on ne puisse pas utiliser n’importe quel vaccin de la sorte.

Dans leur document de ce jour, un de leurs arguments est les circonstances d’aujourd’hui et je pense qu’ils ont raison. Dans les circonstances d’aujourd’hui, d’une industrie de l’avortement dans le monde entier, le moindre lien de l’action des catholiques avec les vaccins et le moindre lien des vaccins avec l’avortement débilite la position de l’Église. Dans ce monde de mensonges, de mort et du diable, les catholiques doivent prendre une position forte et ils ne devraient pas faire quelque chose qui est même de façon éloignée connectée avec l’avortement. N’importe quel vaccin de ce type viole l’ordre de Dieu.
Donc le crime numéro un est l’avortement, le crime numéro deux est le marketing des fruits de l’avortement. Ils disent que la santé humaine n’est pas une religion, et qu’elle est en train de devenir une religion de substitution d’aujourd’hui. La quasi-adoration du corps humain n’est pas une loi, ce n’est pas une religion, c’est une fausse religion. Par conséquent, la santé des individus ne rend pas moins grave la criminalité de l’avortement et on ne doit pas se résoudre à prendre des vaccins connectés avec un avortement. Ils [les catholiques] ne doivent absolument pas et c’est une règle qui n’admet aucune exception. Une technologie complètement basée sur le meurtre commence dans le désespoir et finit dans la désespérance. Je pense que c’est vraiment très exact. L’ensemble de cette technologie inhumaine, commence aujourd’hui dans le désespoir et finit dans la désespérance.

Il y a une terrible inhumanité au fond ou anti-humanité liée à cela, et les catholiques sont pour la vie, et ils ne sont pas pour n’importe quelle vie et pas non plus la vie à n’importe quel prix, mais pour la vie parce qu’elle vient de Dieu, que c’est un cadeau de Dieu et qu’elle doit se tourner vers Dieu. L’avortement est la mauvaise façon, absolument mauvaise, de conserver la vie.

Dans ces temps pré-apocalyptiques, l’obéissance à la loi de Dieu doit passer avant la simple santé humaine. Il y a Dieu d’un côté et l’homme de l’autre. Bien sûr, la santé a un grand prix, mais elle n’est pas d’un plus grand prix que l’obéissance à la loi de Dieu.
Ils citent l’argument que j’étais plus ou moins en train de donner la semaine dernière, disant que la coopération dans le mal est matérielle et éloignée. C’est un argument classique. Dans certains cas, le principe est valide si la coopération n’est pas formelle, si je coopère avec l’acte des malfaisants, mais pas leurs intentions, la coopération est seulement matérielle. Et si la coopération matérielle est très éloignée, on peut faire l’acte qui coopère avec le mal. Le principe est bon mais les cinq hommes d’Église disent qu’il ne s’applique pas dans ce cas. Donc, il ne peut pas justifier la moindre coopération avec le crime monstrueux qu’est l’avortement. Le crime d’avortement est trop monstrueux pour le principe de coopération matérielle et éloignée pour être appliqué et de nouveau, je dois admettre que je pense qu’ils ont raison. Le sensus fidei des personnes catholiques est aussi clairement contre et nous ne pouvons pas collaborer avec ce mal de notre temps.

Et les cinq hommes d’Église se réfèrent souvent au contexte dans lequel nous nous trouvons aujourd’hui, que nous sommes dans des temps pré-apocalyptiques, dans lesquels l’Église a le dos au mur, pour ainsi dire, et elle doit sortir avec des héros et de l’héroïsme. Ce n’est pas exactement de cette façon qu’ils le disent, mais c’est essentiellement leur argument. Nous avons besoin de martyrs, et comment mettent-ils cela ? C’est dans leur conclusion ; plus que jamais, nous avons besoin de l’esprit des confesseurs et martyrs qui ont évité la plus petite suspicion de collaboration avec le mal de leur temps. La Parole de Dieu dit : « Soyez simples comme des enfants, sans reproches, au milieu d’une génération perverse et dépravée, dans laquelle vous devez briller comme des lumières dans le monde », la lumière dans les ténèbres.
Et ils datent cette déclaration d’aujourd’hui, la mémoire de la Bienheureuse Vierge Marie [Notre Dame de Guadalupe] dont la fête est aujourd’hui. Cardinal Janis Pujats, cardinal émérite de Riga. Tomasz Peta, Archevêque d’Astana. Jan Pawel Lenga, Archevêque émérite de Karaganda. Joseph Strickland, évêque de Tyler. Athanasius Schneider, évêque auxiliaire d’Astana.
Laissez-moi vous lire la déclaration complète. Nous en avons lu une petite partie, mais ça sera plus facile pour vous de suivre.

Ces dernières semaines, des agences de presse et diverses sources d’information ont rapporté qu’en réponse à l’urgence Covid-19, certains pays ont produit des vaccins en utilisant des lignées cellulaires de fœtus humains avortés. Dans d’autres pays, de tels vaccins sont prévus.

Un chœur croissant d’hommes d’église (conférences épiscopales, évêques et prêtres) a déclaré que, dans le cas où aucun vaccin alternatif utilisant des substances éthiquement licites n’est disponible, il serait moralement permis aux catholiques de recevoir des vaccins fabriqués à partir de lignées cellulaires de bébés avortés. Les tenants de cette position invoquent deux documents du Saint-Siège : le premier, de l’Académie pontificale pour la vie, est intitulé Réflexions morales sur les vaccins préparés à partir de cellules issues de fœtus humains avortés et a été publié le 9 juin 2005 ; le second, une Instruction de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, est intitulée Dignitas Personae, sur certaines questions de bioéthique et a été publié le 8 septembre 2008. Ces deux documents autorisent l’utilisation de tels vaccins dans des cas exceptionnels et pour une durée limitée, sur la base de ce que la théologie morale appelle une coopération matérielle à distance, passive avec le mal. Les documents susmentionnés affirment que les catholiques qui utilisent de tels vaccins en même temps ont « le devoir de faire connaître leur désaccord et de demander à leur système de santé de mettre à disposition d’autres types de vaccins ».

Dans le cas des vaccins fabriqués à partir de lignées cellulaires de fœtus humains avortés, nous voyons une contradiction claire entre la doctrine catholique pour rejeter catégoriquement, et sans l’ombre d’un doute, l’avortement dans tous les cas comme un grave mal moral qui crie vengeance au ciel (cf. Catéchisme de l’Église catholique n. 2268, n. 2270), et la pratique de considérer les vaccins dérivés de lignées cellulaires fœtales avortées comme moralement acceptables dans des cas exceptionnels de « besoin urgent » – sur la base d’une coopération matérielle à distance, passive. Affirmer que de tels vaccins peuvent être moralement licites s’il n’y a pas d’alternative est en soi contradictoire et ne peut être acceptable pour les catholiques.

Il convient de rappeler les paroles suivantes du Pape Jean-Paul II concernant la dignité de la vie humaine à naître : « L’inviolabilité de la personne qui est le reflet de l’inviolabilité absolue de Dieu, trouve son expression première et fondamentale dans l’inviolabilité de la vie humaine. Surtout, le tollé commun, qui est justement lancé au nom des droits de l’homme – par exemple, le droit à la santé, au domicile, au travail, à la famille, à la culture – est faux et illusoire si le droit à la vie, le droit le plus fondamental et la condition de tous les autres droits personnels, n’est pas défendu avec une détermination maximale » ( Christi fideles Laici , 38). L’utilisation de vaccins fabriqués à partir des cellules d’enfants à naître assassinés contredit une « détermination maximale » de défendre la vie à naître.

Le principe théologique de la coopération matérielle est certainement valable et peut être appliquée à toute une série de cas (par exemple dans le paiement des impôts, l’utilisation de produits fabriqués à partir de travaux forcés, etc.). Cependant, ce principe peut difficilement s’appliquer au cas des vaccins fabriqués à partir de lignées cellulaires fœtales, car ceux qui reçoivent sciemment et volontairement de tels vaccins entrent dans une sorte de concaténation, quoique très lointaine, avec le processus de l’industrie de l’avortement. Le crime d’avortement est si monstrueux que toute sorte de concaténation avec ce crime, même très lointain, est immorale et ne peut en aucun cas être acceptée par un catholique une fois qu’il en a pleinement pris conscience. Celui qui utilise ces vaccins doit se rendre compte que son corps bénéficie des «fruits» (bien que des étapes éliminées par une série de processus chimiques) de l’un des plus grands crimes de l’humanité.

Tout lien avec le processus de l’avortement, même le plus éloigné et implicite, jettera une ombre sur le devoir de l’Église de témoigner sans faille de la vérité que l’avortement doit être totalement rejeté. Les fins ne peuvent justifier les moyens. Nous vivons l’un des pires génocides connus de l’homme. Des millions et des millions de bébés à travers le monde ont été massacrés dans le ventre de leur mère, et jour après jour, ce génocide caché se poursuit grâce à l’industrie de l’avortement, à la recherche biomédicale et à la technologie fœtale, et à une poussée des gouvernements et des organismes internationaux pour promouvoir ces vaccins comme l’un de leurs objectifs. Ce n’est pas le moment pour les catholiques de céder; le faire serait tout à fait irresponsable. L’acceptation de ces vaccins par les catholiques, au motif qu’ils n’impliquent qu’une « coopération distante, passive et matérielle » avec le mal,

Qu’est-ce qu’un vaccin dérivé de lignées cellulaires fœtales peut être d’autre qu’une violation de l’Ordre de la Création donné par Dieu ? Car il est fondé sur une violation grave de cet ordre par le meurtre d’un enfant à naître. Si cet enfant n’avait pas été privé du droit à la vie, si ses cellules (qui ont été cultivées à plusieurs reprises dans le laboratoire) n’avaient pas été mises à disposition pour la production d’un vaccin, elles ne pourraient pas être commercialisées. Nous avons donc ici une double violation du saint Ordre de Dieu : d’une part, à travers l’avortement lui-même, et d’autre part, à travers l’odieuse affaire de trafic et de commercialisation des restes d’enfants avortés. Pourtant, ce double mépris de l’Ordre divin de la Création ne peut jamais être justifié, pas même pour des raisons de préservation de la santé d’une personne ou d’une société grâce à de tels vaccins.

En examinant les questions éthiques entourant les vaccins, nous devons nous demander : comment et pourquoi tout cela est-il devenu possible? N’y avait-il vraiment pas d’alternative? Pourquoi la technologie basée sur le meurtre est-elle apparue en médecine, dont le but est plutôt d’apporter la vie et la santé ? La recherche biomédicale qui exploite les enfants à naître innocents et utilise leur corps comme « matière première » à des fins de vaccins semble plus proche du cannibalisme que de la médecine. Nous devons également considérer que, pour certains dans l’industrie biomédicale, les lignées cellulaires des enfants à naître sont un « produit », l’avorteur et le fabricant du vaccin sont le « fournisseur » et les receveurs du vaccin sont des « consommateurs ». La technologie basée sur le meurtre est enracinée dans le désespoir et aboutit au désespoir. Nous devons résister au mythe selon lequel « il n’y a pas d’alternative ». Au contraire, nous devons procéder avec l’espoir et la conviction que des alternatives existent et que l’ingéniosité humaine, avec l’aide de Dieu, peut les découvrir. C’est le seul moyen de passer des ténèbres à la lumière et de la mort à la vie.

Le Seigneur a dit qu’à la fin des temps, même les élus seront séduits (cf. Mc 13, 22). Aujourd’hui, toute l’Église et tous les fidèles catholiques doivent chercher d’urgence à se renforcer dans la doctrine et la pratique de la foi. Face au mal de l’avortement, les catholiques doivent plus que jamais « s’abstenir de toute apparence de mal » (1 Thess. 5:22). La santé corporelle n’est pas une valeur absolue. L’obéissance à la loi de Dieu et le salut éternel des âmes doivent avoir la primauté. Les vaccins dérivés des cellules d’enfants à naître cruellement assassinés sont clairement de caractère apocalyptique et peuvent éventuellement annoncer la marque de la bête (voir Apoc. 13:16).

Certains ecclésiastiques de nos jours rassurent les fidèles en affirmant que recevoir un vaccin Covid-19 dérivé des lignées cellulaires d’un enfant avorté est moralement licite si une alternative n’est pas disponible. Ils justifient leur affirmation sur la base d’une « coopération matérielle et distante » avec le mal. De telles affirmations sont extrêmement anti-pastorales et contre-productives, surtout si l’on considère le caractère de plus en plus apocalyptique de l’industrie de l’avortement et la nature inhumaine de certaines recherches biomédicales et de la technologie embryonnaire. Aujourd’hui plus que jamais, les catholiques ne peuvent catégoriquement pas encourager et promouvoir le péché de l’avortement, même le moins du monde, en acceptant ces vaccins. Par conséquent, en tant que successeurs des apôtres et des bergers responsables du salut éternel des âmes, nous considérons qu’il est impossible de garder le silence et de maintenir une attitude ambiguë quant à notre devoir de résister avec « un maximum de détermination » (pape Jean-Paul II) contre le « crime indicible » de l’avortement. (Vatican II, Gaudium et Spes , 51).

Cette déclaration a été rédigée sur les conseils et avis de médecins et de scientifiques de divers pays. Une contribution substantielle est également venue des laïcs : des grands-mères, grands-pères, pères et mères de famille, et des jeunes. Toutes les personnes consultées – indépendamment de l’âge, de la nationalité et de la profession – ont rejeté à l’unanimité et presque instinctivement l’idée d’un vaccin dérivé de lignées cellulaires d’enfants avortés. En outre, ils ont estimé que la justification offerte pour l’utilisation de ces vaccins (c’est-à-dire la « coopération matérielle à distance ») était faible et inappropriée. C’est réconfortant et, en même temps, très révélateur : leur réponse unanime est une nouvelle démonstration de la force de la raison et du sensus fidei.

Plus que jamais, nous avons besoin de l’esprit des confesseurs et des martyrs qui ont évité le moindre soupçon de collaboration avec le mal de leur temps. La Parole de Dieu dit : « Soyez simples comme des enfants de Dieu sans reproche au milieu d’une génération dépravée et perverse, dans laquelle vous devez briller comme des lumières dans le monde » (Phil. 2, 15).

12 décembre 2020, Mémorial de la Bienheureuse Vierge Marie de Guadalupe

Cardinal Janis Pujats, archevêque métropolitain émérite de Riga

+ Tomash Peta, archevêque métropolitain de l’archidiocèse de Sainte Marie à Astana

+ Jan Pawel Lenga, archevêque / évêque émérite de Karaganda

+ Joseph E . Strickland, évêque de Tyler (USA)

+ Athanasius Schneider, évêque auxiliaire de l’archidiocèse de Sainte Marie à Astana »


Je pense que c’est une position conforme à la vraie doctrine de l’Église et spécialement dans le contexte actuel. Ces principes sont vrais n’importe quand, mais ils sont mis en évidence par les conditions actuelles du monde. Aujourd’hui n’est pas le moment de se compromettre et de compromettre les positions catholiques à la face des ténèbres. Aujourd’hui, la lumière catholique doit briller dans les ténèbres. Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit.

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Lettre de S.E Mgr Vigano du 23/10/2021 au préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi et aux évêques des États-Unis

Éminences,
Excellences,

''J'adresse à vous, Mgr Gómez, en tant que Président de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis, et à vous, Cardinaux Ladaria et Müller, pour votre compétence, quelques considérations sérieuses liées aux soi-disant vaccins contre le Covid-19.

Je pense que certains aspects de la question permettent désormais une évaluation plus complète de ce que sont ces médicaments et de leurs effets; cette évaluation doit conduire à une position collégiale, conforme au Magistère de l'Église et non influencée par des informations biaisées ou par des informations erronées diffusées par les producteurs de ces drogues ou par les médias.

1. Au sujet de la Note de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi

La Note sur la moralité de l'utilisation de certains vaccins anti-Covid-19 a été publiée l'année dernière en l'absence de données complètes à la fois sur la nature du sérum génique et de ses composants. Je vous signale que le sujet de la Note se limite aux «aspects moraux de l'utilisation des vaccins contre le Covid-19 qui ont été développés à partir de lignées cellulaires dérivées de tissus obtenus à partir de deux fœtus qui n'ont pas été spontanément avortés», et la note indique que «nous n'avons pas l'intention de juger de l'innocuité et de l'efficacité de ces vaccins, bien que pertinents et nécessaires sur le plan éthique, car cette évaluation relève de la responsabilité des chercheurs biomédicaux et des agences pharmaceutiques.» Innocuité et efficacité ne sont donc pas l'objet de la Note qui, en se prononçant sur la «moralité d'usage», n'exprime donc même pas son avis sur la «moralité de production» de ces drogues.

2. Sécurité et efficacité des vaccins

L'innocuité et l'efficacité des vaccins individuels sont déterminées après une période d'expérimentation qui dure normalement plusieurs années. Dans ce cas, les autorités sanitaires ont décidé de mener des expérimentations sur l'ensemble de la population mondiale, comme une exception à la pratique habituelle de la communauté scientifique, aux normes internationales et aux lois des nations individuelles. Cela signifie que l'ensemble de la population se trouve dans la condition d'être susceptible de subir les effets indésirables du vaccin, à ses risques et périls, alors que normalement l'expérimentation se fait sur la base du volontariat et sur un nombre limité de sujets, rémunérés pour le subir.

Je pense qu'il est clair qu'il s'agit d'un médicament expérimental qui n'a pas été approuvé, mais dont l'administration n'est autorisée que par les organismes en charge; tout comme je pense qu'il est évident qu'il existe des traitements médicaux sans effets secondaires indésirables, même s'ils ont été systématiquement boycottés par les Institutions de Santé – OMS, CDC, EMA – et par les médias grand public. Même si l'Église doit exprimer une évaluation morale des différents traitements disponibles - dont certains sont effectués avec des médicaments produits avec des lignées cellulaires issues d'un fœtus avorté, comme les vaccins - il faut réitérer qu'il existe des traitements efficaces qui guérissent les patients et qui leur permette de développer des défenses immunitaires naturelles permanentes, ce que les vaccins ne font pas. De plus, ces traitements ne provoquent pas d'effets secondaires graves, puisque les médicaments utilisés sont homologués depuis des décennies.

D'autres traitements récemment développés sont absolument efficaces, peu coûteux et ne présentent aucun danger pour ceux qui les reçoivent: c'est le cas du traitement au plasma, étudié et employé avec grand succès par le médecin italien Giuseppe De Donno.

Le traitement par plasma hyper-immun a été fortement déconseillé et boycotté par les laboratoires pharmaceutiques et les médecins financés par eux, car il ne coûte rien et rend inutile la thérapie analogue, qui est fabriquée dans des laboratoires avec des cellules monoclonales à des coûts exorbitants.

Les normes internationales précisent qu'un médicament expérimental ne peut être autorisé à la distribution qu'en l'absence d'un traitement alternatif efficace: c'est pourquoi les agences du médicament aux USA et en Europe ont interdit l'utilisation de l'hydroxychloroquine, de l'ivermectine, du plasma hyper-immun et d'autres thérapies à efficacité prouvée. Inutile de rappeler que toutes ces agences, ainsi que l'OMS, sont financées presque entièrement par les sociétés pharmaceutiques et par les fondations qui leur sont liées, et qu'il existe un conflit d'intérêts très grave au plus haut niveau, dont les médias sont coupablement silencieux. En exprimant une évaluation morale des vaccins, l'Église ne peut manquer de prendre en considération ces éléments, car ils provoquent une manipulation de l'information scientifique, qui est la base sur laquelle les jugements concernant leur licéité morale par l'Autorité ecclésiastique ont été formulés.

3. Les médicaments expérimentaux ne sont pas des vaccins au sens propre

La Congrégation pour la Doctrine de la Foi, sans exprimer son opinion sur l'efficacité et la sécurité des soi-disant vaccins, les définit néanmoins comme des «vaccins», tenant pour acquis qu'ils confèrent en réalité une immunité et protègent les personnes de la contagion active et passive. Cet élément est désavoué par les déclarations venant de toutes les autorités sanitaires mondiales et de l'OMS, selon lesquelles les personnes vaccinées peuvent s'infecter et infecter les autres plus gravement que celles qui ne sont pas vaccinées, et elles constatent que leurs défenses immunitaires sont drastiquement réduite voire complètement détruite.

Une étude récente confirme que le sérum génique peut provoquer des formes d'immunodéficience acquise chez ceux qui le reçoivent. Par conséquent, les médicaments appelés «vaccins» ne relèvent pas de la définition officielle d'un vaccin auquel la note de la CDF fait vraisemblablement référence. En effet, un «vaccin» est défini comme une préparation médicamenteuse visant à induire la production d'anticorps protecteurs par l'organisme, conférant une résistance spécifique contre une maladie infectieuse spécifique (virale, bactérienne, protozoaire). Cette définition a été récemment modifiée par l'OMS, car sinon elle n'aurait pas pu inclure les médicaments (appelés ''vaccins'') anti-Covid, qui n'induisent pas la production d'anticorps protecteurs et ne confèrent pas de résistance spécifique contre la maladie infectieuse SarsCoV-2.

De plus, alors que les sérums d'ARNm sont dangereux en raison des implications qu'ils ont au niveau génétique, le sérum AstraZeneca peut être encore plus nocif, comme le montrent des études récentes.

4. Proportionnalité entre les risques et les bénéfices des vaccins

Se limitant à une évaluation portant uniquement sur la moralité de l'usage des vaccins, la Congrégation pour la Doctrine de la Foi ne prend pas en compte la proportionnalité entre les bénéfices présumés du sérum génique et le côté des effets indésirables à court et à long terme.

Dans le monde, le nombre de décès et de pathologies graves suite à la vaccination augmente de façon exponentielle: en seulement neuf mois, ces vaccins ont causé plus de décès que tous les vaccins au cours des trente dernières années. Non seulement cela: dans de nombreux pays – comme Israël par exemple – le nombre de décès après vaccination est désormais supérieur au nombre de décès dus au Covid.

Ayant établi que les médicaments vendus comme vaccins n'apportent aucun bénéfice significatif - et au contraire peuvent provoquer un pourcentage très élevé de décès ou de pathologies graves, même chez des sujets pour lesquels le Covid ne représente pas une menace - je ne pense pas que nous pouvons conclure qu'il y a une proportionnalité entre les dommages potentiels et les avantages potentiels.

Cela signifie donc qu'il existe une grave obligation morale de refuser l'inoculation comme cause possible et immédiate de dommages permanents ou de décès. En l'absence de bénéfices, il n'y a donc pas lieu de s'exposer aux risques de son administration, mais au contraire il y a devoir de la refuser catégoriquement.

5. Nouvelles données sur la présence de lignées cellulaires issues de fœtus avortées

Des révélations de dirigeants de Pfizer ont récemment été publiées montrant que les sérums géniques d'ARNm contiennent du matériel fœtal avorté non seulement pour la production du vaccin original, mais aussi pour sa réplication et sa production à grande échelle, et rien ne suggère que d'autres sociétés pharmaceutiques seraient une exception. Mgr Joseph Strickland s'est également exprimé à cet égard, invitant les fidèles à ''dire non. Je ne vais pas le faire juste parce que vous rendez ceci obligatoire; en cela, qui sait quelle prochaine folie va arriver.'' Cela rend l'utilisation de ces médicaments absolument immorale, tout comme il est immoral et inacceptable d'utiliser des médicaments qui utilisent des enfants orphelins à des fins d'expérimentation.

6. Effets secondaires sur les femmes enceintes et les enfants allaités

Un autre aspect à considérer est le danger concret d'effets secondaires graves sur les mères enceintes et encore plus graves sur les nouveau-nés: aux États-Unis, il y a eu 675 fausses-couches chez les mères vaccinées; et au Royaume-Uni, 521 nourrissons allaités sont morts. Rappelons que pour les vaccins dits contre le Covid, une vigilance active n'a pas été mise en place, mais seulement une vigilance passive, qui oblige les patients à déclarer eux-mêmes les cas indésirables; cela signifie que les données sur les effets indésirables doivent être multipliées au moins par dix.

7. Composants des vaccins

Je tiens à vous signaler que les composants des sérums géniques sont encore dissimulés comme secrets commerciaux, même s'il existe déjà de multiples études qui ont analysé le contenu des vaccins; il n'est donc pas encore possible d'évaluer complètement les autres éléments critiques et leurs impacts à long terme, car l'expérimentation sur la population mondiale ne prendra fin qu'en 2023/2025, et on ne sait pas quels sont les effets de la technologie nouvellement adoptée au niveau génétique. La présence de graphène dans les doses administrées, rapportée par de nombreux laboratoires qui ont analysé son contenu, suggère que l'utilisation forcée de soi-disant vaccins – ainsi que le boycott systématique des traitements existants à l'efficacité prouvée – sert à rechercher les contacts de tous les êtres humains vaccinés dans le monde, qui seront ou sont déjà connectés à l'Internet des objets au moyen d'une liaison quantique de fréquences micro-ondes pulsées de 2,4 GHz ou plus à partir de tours de téléphonie cellulaire et satellites. Pour preuve que cette information n'est pas le fruit des fantasmes de quelques théoriciens du complot, sachez que l'Union européenne a choisi deux projets dédiés à l'innovation technologique comme lauréats d'un concours: «The Human Brain» et «Graphene». Ces deux projets recevront chacun un milliard d'euros de financement au cours des dix prochaines années.

Conclusion

J'espère que Son Excellence, Mgr Gomez, prendra sérieusement en considération mes observations - que j'ai pris soin de vérifier minutieusement auprès de médecins catholiques hautement qualifiés - avec vos frères de la Conférence épiscopale américaine réunis en Assemblée plénière du 15 au 18 novembre 2021 à Baltimore, afin que la position officielle de l'Église catholique aux États-Unis sur les soi-disant vaccins soit révisée et mise à jour. De même, je demande à Son Eminence, le Cardinal Ladaria, de procéder dans les plus brefs délais à la révision de la Note de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi sur la moralité de certains vaccins anti-Covid-19.

Je me rends compte qu'il peut être extrêmement impopulaire de prendre position contre les prétendus vaccins, mais en tant que Pasteurs du troupeau du Seigneur, nous avons le devoir de dénoncer le crime horrible qui est en train d'être commis, dont le but est de créer des milliards de malades chroniques et d'exterminer des millions et des millions de personnes, sur la base de l'idéologie infernale de la «Grande Réinitialisation» (Great Reset) formulée par le président du Forum économique mondial, Klaus Schwab, et approuvée par des institutions et des organisations du monde entier.

Le silence de tant de cardinaux et d'évêques, ainsi que la promotion inconcevable de la campagne de vaccination par le Saint-Siège, représentent une forme de complicité sans précédent qui ne peut plus durer. Il faut dénoncer ce scandale, ce crime contre l'humanité, cette action satanique contre Dieu.

Chaque jour qui passe, des milliers de personnes meurent ou sont affectées dans leur santé par l'illusion que les soi-disant vaccins garantissent une solution à l'urgence pandémique. L'Église catholique a le devoir devant Dieu et toute l'humanité de dénoncer ce crime terrible et horrible avec la plus grande fermeté, en donnant des directives claires et en prenant position contre ceux qui, au nom d'une pseudo-science au service des intérêts des compagnies pharmaceutiques et de l'élite mondialiste, n'ont que des intentions de mort. Comment Joe Biden, qui se définit lui aussi comme «catholique», pourrait imposer la vaccination à 28 millions d'enfants âgés de 5 à 11 ans? Cela est absolument inconcevable, ne serait-ce que pour le fait qu'il n'y a pratiquement aucun risque qu'ils développent la maladie du SARS-CoV-2. Le Saint-Siège et les Conférences épiscopales ont le devoir d'exprimer une ferme condamnation à cet égard, ainsi qu'en ce qui concerne les effets secondaires très graves qui peuvent en résulter pour les enfants inoculés avec le sérum génique expérimental.

Il est également impératif qu'il y ait une intervention de la Conférence épiscopale américaine visant à promouvoir l'exemption religieuse et à révoquer immédiatement les interdictions imposées à cet égard par de nombreux Ordinaires à leurs prêtres. De même, toutes les exigences de vaccination pour les séminaristes et les candidats des communautés religieuses doivent être révoquées. Au lieu de cela, des directives claires devraient être données sur les dangers liés à l'administration du vaccin et ses graves implications morales.

Je suis certain que vous voudrez considérer la gravité particulière de ce sujet, l'urgence d'une intervention éclairée et fidèle à l'enseignement de l'Évangile, ainsi que le salus animarum que les Pasteurs de l'Église doivent promouvoir et défendre.''

In Christo Rege,

Mgr Carlo Maria Viganò, Archevêque

Sermon de l’abbé François Chazal du 20/06/2021

Nous nous sommes aperçu que nous sommes tous d’accord, entre les prêtres de la Résistance, que personne ne doit prendre ce vaccin empoisonné pour trois raisons. Il y a trois raisons principales.

La raison la plus importante, la raison pour laquelle nous nous opposons au vaccin est à cause du communisme. C’est la raison numéro un. Nous n’acceptons pas que les personnes autour de la terre soient jetées dans un état de surveillance et d’esclavage par l’excuse de la médecine. Ce n’est pas le devoir de l’état que de contrôler la santé de chaque citoyen individuellement. Ce n’est pas de la faculté de l’état de restreindre les mouvements des citoyens innocents. Vous ne pouvez pas bloquer l’accès à un avion, à un bateau, à un centre commercial, à un rassemblement public, à quoi que ce soit sur ces bases. Ce n’est pas possible. Et donc la raison principale pour laquelle nous nous opposons au vaccin est que vous n’êtes pas des animaux pour être étiqueter, vous êtes exempts de devoir montrer votre identité quand vous faites des choses ordinaires comme voyager, acheter, vendre. Et nous refusons le changement de la notion de monnaie et de propriété privée. Ces choses vont éventuellement suivre. Et c’est la raison principale pour laquelle nous nous opposons au vaccin. C’est parce que nous nous opposons au communisme. Le communisme est une doctrine qui a été condamnée par le Pape Pie XI, elle a été condamnée par l’Église. Cela a été prophétisée par le message de Fatima quand William Thomas Walsh a été voir Soeur Lucie en 1948. Il lui dit : « Le communisme s’est répandu en Russie et d’en d’autres pays, mais ça ne va pas se répandre dans le monde entier. » Et Soeur Lucie, la vraie, celle qu’on a connue jusqu’en 1958, la vraie Soeur Lucie, répondit à Thomas Walsh : « Non, Monsieur, pas du tout, le communisme va se répandre dans le monde entier ». Et donc ce que vous avez maintenant est un état communiste. Et vous n’allez pas autour de chez vous sans permission de l’État. Ce n’est pas autorisé. Et il y a une quantité innombrable de restrictions comme celle-ci qui sont la marque d’un régime communiste. Et vous devez garder bien ça en tête. C’est la raison numéro un pour laquelle nous nous opposons au vaccin. Nous ne pouvons pas accepter le communisme. Dans le passé, nous faisions partie du monde libre. Marcos malgré tous ces défauts a gardé ce pays [les Philippines] éloigné du communisme. Mais maintenant vous êtes dedans. Cette planète est une planète-prison. C’est une prison gigantesque. On ne peut pas accepter cela.

La deuxième raison pour s’opposer au vaccin est sur une base médicale de prudence. Vous ne devez pas mettre en danger votre santé sans raisons graves. Et ce vaccin a deux effets, le premier à court terme et un autre à long terme. L’effet à court terme, on le voit partout, le vaccin a tué des milliers et des millions de personnes âgées. Les personnes âgées ne survivent pas très bien à l’injection. Et dans beaucoup de maisons de retraite, la moitié des pensionnaires est morte. Et donc c’est un poison pour les personnes âgées spécialement. Ça les infecte et dans de nombreux cas, ils meurent en quelques jours. Maintenant pour les jeunes, c’est beaucoup moins mortel. Donc on ne voit pas des gens plus jeunes mourir. Mais il y a beaucoup de cas de thromboses et d’autres maladies bizarres parmi les plus jeunes. Et cela est l’effet immédiat de l’injection. Mais la probabilité est beaucoup plus faible. C’est un fait. C’est ce qui arrive. Mais néanmoins, il y a des effets à long terme, qu’on ne connaît pas encore. Et il y a beaucoup de scientifiques, comme le professeur Montagnier, qui nous mettent en garde qu’ils sont en train d’implanter une protéine Spike ou une toxine qui dérègle complètement votre système immunitaire pour toujours. C’est un problème. Nous ne savons pas ce que sont les effets à long terme encore. Donc que va-t-il se passer quand ils vont relâcher un autre virus ? On ne sait pas encore ce qu’il va se passer. Parce que les injections, les principales sont de l’ADN modifié, bloquent votre système immunitaire contre seulement un seul virus, ce qui est très dangereux. Et donc votre système immunitaire ne peut pas se confronter avec de nouveaux variants. C’est de cela que nous alertent beaucoup de professeurs et de scientifiques, pas les politiquement corrects, mais ceux qui sont corrects. Et on voit aussi beaucoup de cas de stérilité et de fausses-couches chez les femmes. Et j’ai des cas de personnes que je connais qui ont enduré des fausses-couches immédiatement après l’injection. Parce qu’une des choses que le vaccin fait, et admis par l’ancien chef de Pfizer, est de bloquer la formation du placenta dans le ventre de la mère. Et cela a l’air de s’ajuster avec le but de Bill Gates et des autres qui est de réduire la population. D’une certaine façon, c’est une campagne forcée de stérilisation. Et donc les effets à long terme du vaccin est spécialement mauvais pour les femmes. C’est aussi une opération implicite d’euthanasie contre les personnes âgées. Et il y a encore d’autres effets à long terme qu’on ne connaît pas encore parce que cela affecte votre code génétique d’une façon permanente. Et donc pour cette deuxième raison qui est une raison médicale prudentielle, on ne peut pas autoriser les personnes catholiques à prendre ce vaccin.

Et la troisième, qui est la dernière raison, est le lien du vaccin avec l’industrie de l’avortement. Tous ces vaccins ont utilisé dans le processus des tissus avortés. Même si il y a de la distance, nous ne nions pas qu’il y a une certaine distance, mais l’acte lui-même reste mauvais dans sa source. Et donc, nous concluons qu’on ne peut pas tirer avantage du péché de notre voisin. On ne peut pas tirer du bon du mal. Donc ce n’est pas possible. Il y a toujours un lien avec l’industrie de l’avortement. Je comparerais cela qui est d’une certaine façon, une empreinte démoniaque qui est dans ce liquide même si c’est d’une façon éloignée dans sa source. Et cela valide et justifie les crimes d’avortement, qui sont des crimes qui crient vengeance au Ciel encore à ce jour. Donc c’est d’une certaine façon une justification implicite [de l’avortement]. Et donc même si éventuellement des évêques Novus Ordo ont interdit le vaccin sur ces bases, et même les évêques américains qui sont si libéraux, même eux, libéraux comme ils sont, ont interdit le vaccin ou l’ont condamné.

Et donc ce sont les trois raisons principales. Nous ne pouvons pas en bonne conscience, en tant que prêtres, vous conduire dans cette voie. L’état de communisme dans lequel nous nous trouvons actuellement est la conséquence de nos péchés.

Ce sont les conséquences du fait que les demandes de Notre Dame n’ont pas été accomplies. Parce que les Papes ont refusé d’écouter, en particulier Jean XXIII, quand Notre Dame a demandé la Consécration de la Russie, à la place, il a eu un accord avec la Russie communiste, il a signé un accord dans lequel est stipulé que Vatican II ne va pas parler du communisme. Vatican II se targue d’avoir parlé des problèmes du monde moderne, mais il y avait un accord avec le patriarche métropolitain hérétique de Moscou et avec les Cardinaux Tisserand et Liénart, si je ne me trompe pas. Ils ont signé un accord et en effet Vatican II n’a pas condamné le plus grand mal des temps modernes qui est le communisme. Et c’est la situation dans laquelle nous sommes maintenant.

C’est une situation très mauvaise pour l’Église, cela complique notre apostolat en tant que prêtres et cela complique votre vie en tant que citoyens libres. Et donc nous ne pouvons pas dire oui, on ne peut pas compromettre avec cela. Même si la majorité des gens va suivre comme des moutons. C’est une catastrophe, mais on ne peut pas en bonne conscience aller avec la masse et en ne disant rien. Parce que c’est dernièrement ce qui tue la race humaine, ce refus de la vérité. Ce que vous entendez entre vous, vous devez le dire sur les toits, dit Notre Seigneur. Et cette vérité est très nécessaire. Et les gens de nos jours, et de bons amis autour de nous, ne réalisent même pas combien ils sont devenus des esclaves. La dernière fois, je parlais des cages électroniques, qui est un esclavage, qui est une capture de l’esprit humain. Et maintenant, à un niveau public il y a un esclavage généralisé de la race humaine qui va avec les autres formes d’esclavage. Esclavage que l’Église Catholique n’a jamais et n’acceptera jamais. Ayez donc une idée claire de ce que vous devez faire, quand ils vont essayer de l’imposer à vous. Le degré d’imposition varie d’un lieu à l’autre. Je pensais que Poutine était bon et qu’il n’obligerait pas ces citoyens, mais il a renversé son discours cette semaine et a dit le contraire. Poutine n’est pas assez clair sur le sujet. Seulement, dans quelques endroits, ils ont du bon sens, mais pas dans votre pays, car c’est un mensonge massif. Et un mensonge aussi grave est criminel, car le Covid a un remède simple qui est le Plaquénil avec de l’Azithromycine ou de l’ivermectine. Cela ne tue pas beaucoup de personnes dans un premier temps et c’est un remède simple.
Donc pourquoi ramènent-ils ces vaccins ? Il y a beaucoup de raisons. Il y a la raison du communisme, de l’agenda politique, du transhumanisme, du changement de la nature humaine, plein de raisons sont là. Et toutes ces raisons sont inacceptables. Ce n’est pas possible pour nous d’accepter ces raisons, et ce sont des raisons graves. On ne peut pas laisser à nos enfants un futur communiste. Parce que quand vous donnez le petit doigt, ils prennent le bras puis le reste. Nous ne pouvons pas ne rien faire, nous ne pouvons pas rester et ne rien faire et donner à nos enfants un futur qui est un cauchemar.

Mais heureusement, Soeur Lucie a aussi dit à William Thomas Walsh, qu’une fois le communisme sur toute la terre, il sera là, mais pas pour un long moment. Parce qu’il n’y a pas moyen qu’on puisse survivre. Dieu est bon, Dieu permet au mal d’arriver pour un plus grand bien. Dieu ne permet pas au mal de triompher indéfiniment. Ce triomphe du mal qu’on voit, cette invasion du mal qu’on voit partout prend place, mais pas pour toujours. Et c’est aussi ce que notre foi nous apporte. Il y a des combats contre Dieu, il y a des révoltes contre la nature humaine, ils sont en train de déformer l’ordre de la société, ils sont en train de déformer toutes les vies privées des hommes sur terre, parce qu’ils haïssent Dieu. Ils haïssent la belle nature que Dieu a créée et ils veulent empêcher les gens d’aimer Dieu de façon surnaturelle. Dans leur combat contre Dieu, on sait qu’ils vont perdre. Le temps exact ne nous est pas connu, mais au moins notre bon Dieu nous a garanti, et nous avons une garantie solide venant de différentes sources que cela va se produire seulement pour un temps court et le triomphe du Coeur Immaculé de Marie est impossible à arrêter. Cela arrivera à la fin d’un bon Pape, parce que quand les petits enfants disaient : « Avez-vous vu le Pape était en train de prier sur une table, la tête dans ses mains, il y avait une foule en colère dehors contre lui ? » Jacinthe leur a dit : « Chut, taisez-vous, cela fait partie du secret. Ne le dites pas. » Et peut être, c’est la raison pour laquelle notre bon Dieu a donné le secret a des petits enfants, pour que des petits morceaux s’échappent, comme ces garanties que nous aurons aussi un bon Pape de nouveau à la tête de l’Église. Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit.
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