Le Cardinal Joseph Zen s'oppose à la bénédiction de "couples" de même sexe ou non-mariés à l'église. Le Cardinal Joseph Zen Ze-kiun, symbole de l’Église persécutée en Chine, a laissé passer un mois, mais a décidé d'intervenir car "j'ai toujours la responsabilité de défendre la doctrine de l’Église". La Déclaration du dicastère sur les bénédictions (Ficucia supplicans) insiste fortement sur la charité pastorale, mais le Cardinal Zen rappelle le passage biblique qui exhorte les bergers à fortifier les brebis faibles, à soigner les blessés et à rechercher les perdus pour les ramener au bercail. Si le prêtre n'est pas sûr que le "couple" devant lui a l'intention d'adhérer pleinement au mode de vie prescrit par Dieu, ou s'il est sûr qu'il n'admet pas vivre dans le péché, il doit faire preuve d'une "attitude charitable" en leur expliquant ce qu'est la volonté de Dieu. En conclusion de sa note, l'évêque émérite de Hong Kong n'a pas ménagé ses critiques à l'égard de la Déclaration et de son auteur : "La Déclaration insiste à plusieurs reprises sur la nécessité d'éviter de créer la confusion, mais les bénédictions qui sont promues (...) vont en fait inévitablement créer la confusion". Enfin, le cardinal insiste sur la responsabilité du préfet de la Doctrine de la Foi, qui ne pouvait ignorer les difficultés d'accueil dans les "périphéries". Mais le "plus grave" est que la déclaration laisse entendre que "même le comportement sexuel dans les relations homosexuelles a sa part de bon". "Selon la vérité objective, un tel comportement est un péché grave et ne peut conduire à rien de bon", écrit le cardinal. Il ajoute : "Si le préfet du Dicastère pour la doctrine de la foi définit un crime grave comme 'bon', ne commet-il pas une hérésie ? Le préfet ne devrait-il pas démissionner ou être démis de ses fonctions ?"

Le Cardinal Joseph Zen s'oppose à la bénédiction de "couples" de même sexe ou non-mariés à l'église. Le Cardinal Joseph Zen Ze-kiun, symbole de l’Église persécutée en Chine, a laissé passer un mois, mais a décidé d'intervenir car "j'ai toujours la responsabilité de défendre la doctrine de l’Église". La Déclaration du dicastère sur les bénédictions (Ficucia supplicans) insiste fortement sur la charité pastorale, mais le Cardinal Zen rappelle le passage biblique qui exhorte les bergers à fortifier les brebis faibles, à soigner les blessés et à rechercher les perdus pour les ramener au bercail. Si le prêtre n'est pas sûr que le "couple" devant lui a l'intention d'adhérer pleinement au mode de vie prescrit par Dieu, ou s'il est sûr qu'il n'admet pas vivre dans le péché, il doit faire preuve d'une "attitude charitable" en leur expliquant ce qu'est la volonté de Dieu. En conclusion de sa note, l'évêque émérite de Hong Kong n'a pas ménagé ses critiques à l'égard de la Déclaration et de son auteur : "La Déclaration insiste à plusieurs reprises sur la nécessité d'éviter de créer la confusion, mais les bénédictions qui sont promues (...) vont en fait inévitablement créer la confusion". Enfin, le cardinal insiste sur la responsabilité du préfet de la Doctrine de la Foi, qui ne pouvait ignorer les difficultés d'accueil dans les "périphéries". Mais le "plus grave" est que la déclaration laisse entendre que "même le comportement sexuel dans les relations homosexuelles a sa part de bon". "Selon la vérité objective, un tel comportement est un péché grave et ne peut conduire à rien de bon", écrit le cardinal. Il ajoute : "Si le préfet du Dicastère pour la doctrine de la foi définit un crime grave comme 'bon', ne commet-il pas une hérésie ? Le préfet ne devrait-il pas démissionner ou être démis de ses fonctions ?"

Le Cardinal Joseph Zen s'oppose à la bénédiction de "couples" de même sexe ou non-mariés à l'église. Le Cardinal Joseph Zen Ze-kiun, symbole de l’Église persécutée en Chine, a laissé passer un mois, mais a décidé d'intervenir car "j'ai toujours la responsabilité de défendre la doctrine de l’Église". La Déclaration du dicastère sur les bénédictions (Ficucia supplicans) insiste fortement sur la charité pastorale, mais le Cardinal Zen rappelle le passage biblique qui exhorte les bergers à fortifier les brebis faibles, à soigner les blessés et à rechercher les perdus pour les ramener au bercail. Si le prêtre n'est pas sûr que le "couple" devant lui a l'intention d'adhérer pleinement au mode de vie prescrit par Dieu, ou s'il est sûr qu'il n'admet pas vivre dans le péché, il doit faire preuve d'une "attitude charitable" en leur expliquant ce qu'est la volonté de Dieu. En conclusion de sa note, l'évêque émérite de Hong Kong n'a pas ménagé ses critiques à l'égard de la Déclaration et de son auteur : "La Déclaration insiste à plusieurs reprises sur la nécessité d'éviter de créer la confusion, mais les bénédictions qui sont promues (...) vont en fait inévitablement créer la confusion". Enfin, le cardinal insiste sur la responsabilité du préfet de la Doctrine de la Foi, qui ne pouvait ignorer les difficultés d'accueil dans les "périphéries". Mais le "plus grave" est que la déclaration laisse entendre que "même le comportement sexuel dans les relations homosexuelles a sa part de bon". "Selon la vérité objective, un tel comportement est un péché grave et ne peut conduire à rien de bon", écrit le cardinal. Il ajoute : "Si le préfet du Dicastère pour la doctrine de la foi définit un crime grave comme 'bon', ne commet-il pas une hérésie ? Le préfet ne devrait-il pas démissionner ou être démis de ses fonctions ?"