Crouan dit vrai. Je vais acheter son bouquin : fais donc pareil ! C'est pas ruineux : 6 dièses ! (fa # majeur)
On se souvient que sous couvert d’ “Amoris laetitia”, les évêques de la région de Buenos Aires avaient décidé de permettre aux couples “divorcés remariés civilement” d’avoir accès à la communion eucharistique. Ces évêques avaient alors reçu du Pape François une lettre louant leurs directives pastorales présentées comme conformes au très problématique chapitre VIII de l’Exhortation.
Jusqu’ici, on avançait que la lettre envoyée par le pape n’avait qu’un caractère privé.
Or, on apprend qu’à la demande du pape lui-même, cette lettre a été publiée dans les actes officiels du Siège Apostolique (Acta Apostolicae Sedis). Ce qui lui confère un statut officiel.
Pour faire bref, disons que tout le monde a désormais le droit de communier au cours des messes.
Toutefois, il est inutile de se voiler la face : cette décision ne changera rien puisque rares sont les fidèles catholiques qui s’interrogent sur leur aptitude à recevoir la communion. De fait, dans les paroisses, que ce soit aux messes dominicales ou aux messes des grandes fêtes, que ce soit aux messes de mariages ou d’enterrements, tout le monde communie sans se poser de questions. De même au cours des liturgies “festives” des synodes diocésains ou des voyages pontificaux, personne ne se soucie de savoir qui peut ou ne peut pas communier. Et personne ne peut nier que le fait de recevoir l’Hostie dans les mains et en restant debout aggrave les choses.
* * *
Le problème de la liturgie qui rejaillit sur toute l’Église en faisant les dégâts que l’on sait vient en partie de ce qu’il y a :
- ce qu’enseignent les papes (pour autant que leurs enseignements soient clairs, ce qui n’est pas toujours le cas sous l’actuel pontificat),
- ce que font les évêques et les prêtres à la formation liturgique déficiente,
- ce que veulent aujourd’hui les fidèles auxquels “on” a fait perdre tout sens liturgique.
C’est entre ces trois niveau que “ça coince grave”.
Pour mieux comprendre comment on a pu en arriver à la situation actuelle, nous recommandons vivement la lecture de “La grande rupture” (éd. Librim Concept).
Dans cet ouvrage bref et très facile à lire, l’auteur fait découvrir à partir de sa propre expérience ce qui s’est réellement passé dans les diocèses, les paroisses, les séminaires... et qui a conduit à la chute des vocations et de la pratique dominicale.
Un livre à lire et à offrir au plus grand nombre.
Source : www.proliturgia.org
(Dimanche, 3 décembre 2017)
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Album ACTU
Jusqu’ici, on avançait que la lettre envoyée par le pape n’avait qu’un caractère privé.
Or, on apprend qu’à la demande du pape lui-même, cette lettre a été publiée dans les actes officiels du Siège Apostolique (Acta Apostolicae Sedis). Ce qui lui confère un statut officiel.
Pour faire bref, disons que tout le monde a désormais le droit de communier au cours des messes.
Toutefois, il est inutile de se voiler la face : cette décision ne changera rien puisque rares sont les fidèles catholiques qui s’interrogent sur leur aptitude à recevoir la communion. De fait, dans les paroisses, que ce soit aux messes dominicales ou aux messes des grandes fêtes, que ce soit aux messes de mariages ou d’enterrements, tout le monde communie sans se poser de questions. De même au cours des liturgies “festives” des synodes diocésains ou des voyages pontificaux, personne ne se soucie de savoir qui peut ou ne peut pas communier. Et personne ne peut nier que le fait de recevoir l’Hostie dans les mains et en restant debout aggrave les choses.
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Le problème de la liturgie qui rejaillit sur toute l’Église en faisant les dégâts que l’on sait vient en partie de ce qu’il y a :
- ce qu’enseignent les papes (pour autant que leurs enseignements soient clairs, ce qui n’est pas toujours le cas sous l’actuel pontificat),
- ce que font les évêques et les prêtres à la formation liturgique déficiente,
- ce que veulent aujourd’hui les fidèles auxquels “on” a fait perdre tout sens liturgique.
C’est entre ces trois niveau que “ça coince grave”.
Pour mieux comprendre comment on a pu en arriver à la situation actuelle, nous recommandons vivement la lecture de “La grande rupture” (éd. Librim Concept).
Dans cet ouvrage bref et très facile à lire, l’auteur fait découvrir à partir de sa propre expérience ce qui s’est réellement passé dans les diocèses, les paroisses, les séminaires... et qui a conduit à la chute des vocations et de la pratique dominicale.
Un livre à lire et à offrir au plus grand nombre.
Source : www.proliturgia.org
(Dimanche, 3 décembre 2017)
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