Cardinal Béa

Le cardinal Rampolla allait chaque samedi dans une arrière-loge près de l’abbaye d’Einsiedeln, et tous les quinze jours à la loge de Zurich pour y recevoir les instructions du Pouvoir Occulte : désarmer les catholiques de France par leur ralliement à la république maçonnique ; et fonder une arrière-loge à l’intérieur de l’Église, capable de fournir les hauts dignitaires du Saint-Siège, comme les cardinaux Ferrata, Gasparri, Ceretti, Bea, etc.

Cette loge de Zurich faisait partie de l’O.T.O., l’Ordo Templi orientis dont le cardinal Rampolla était en effet membre. Il était arrivé aux plus hauts grades des cultes lucifériens puisqu’il appartenait aux VIIIème et IXème grades de l’O. T. O., seuls grades autorisés à approcher le grand maître général national ainsi que le chef suprême de l’Ordre, appelé ‘brother superior’ (frère supérieur) ou O.H.O. (Outer head of the order). Il n’est pas sans intérêt de savoir que l’Ordo Templi orientis fut fondé par Aleister Crowley, considéré comme le plus grand sataniste des temps modernes. (…) Monseigneur Jouin, fondateur et directeur de la Revue internationale des Sociétés Secrètes (R.I.S.S.), ayant eu en mains les preuves de l’affiliation du cardinal Rampolla, chargea son rédacteur en chef, le marquis de la Franquerie, d’aller les montrer aux cardinaux et évêques de France.

C’est ainsi que le Pouvoir Occulte savait pouvoir compter sur des hommes comme les cardinaux Rampolla, Ferrata, Gasparri, Ceretti, Béa, Liénart, etc…

Jean XXIII confia au cardinal Bea, mis à la tête du Secrétariat pour l’union des chrétiens (cf. Sodalitium n° 38) les relations avec la puissante maçonnerie juive ; la déclaration conciliaire Nostra Ætate (28 octobre 1965) sera le fruit (initial) de cette collaboration. Dès lors le B’naï B’rith est régulièrement reçu au Vatican (y compris par Benoît XVI-Ratzinger)

Cardinal Béa et MV : le père Migliorini confia la retranscription des manuscrits au Père Corrado Berti, professeur de théologie dogmatique, qui les confia à son tour au R.P. Béa, de fâcheuse mémoire. Selon le père Pacwa, rapportant les propos du CEDIVAL (Canadian Central Distributors for Valtorta), le R.P. Béa, alors recteur de l’Institut Pontifical Biblique, aurait déclaré après lecture : « J’ai lu plusieurs des livres écrits par Maria Valtorta…Sur le plan de l’exégèse, je n’ai trouvé aucune erreur dans les parties que j’ai examinées ».
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Le Cardinal Béa fer de lance de Valtorta, via Jean 23 et consorts.

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Liénart qui ordonna prêtre celui qui devint Mgr Lefebvre....

Oui, mais cela ne signifie pas que MGR soit de son camp.

mais questionne, oui, sûrement, sur la validité du sacrement...