François Ier (1937)
Honorin ( Fernandel ) est régisseur du théâtre Cascaroni qui affiche le spectacle François Ier à son programme.
Chargé de remplacer un comédien défaillant, mais mort de trac, il s'endort chez son ami Cagliostro (qui l'a hypnotisé pour lui enlever son trac), mage des foires, et se réveille en 1520, à la cour du roi de France François Ier, son Petit Larousse à la main.
Ce merveilleux atout littéraire lui permet de prédire l'avenir au grand désarroi de certains intrigants de la cour. Les questions que le roi et ses courtisans lui posent sont parfois saugrenues : ainsi il doit donner les ingrédients entrant dans la recette de la mortadelle, spécialité à laquelle les Français ont pris goût lors des Guerres d'Italie, et que les cuisiniers français sont incapables de préparer.
Ce livre capable de prévoir le destin (il donne la date de la mort des personnages en vue de l'époque) lui vaut une accusation de sorcellerie montée par une cabale de courtisans jaloux.
Le ton du film est franchement burlesque.
« François 1er échappe au temps, aux courants cinématographiques. Sur le plan comique, je n'ai sans doute pas fait mieux »
(Christian-Jaques, le réalisateur).
Chargé de remplacer un comédien défaillant, mais mort de trac, il s'endort chez son ami Cagliostro (qui l'a hypnotisé pour lui enlever son trac), mage des foires, et se réveille en 1520, à la cour du roi de France François Ier, son Petit Larousse à la main.
Le ton du film est franchement burlesque.
« François 1er échappe au temps, aux courants cinématographiques. Sur le plan comique, je n'ai sans doute pas fait mieux » (Christian-Jaques, le réalisateur).
Et le réalisateur a invité du monde :
- Le duc de Montmorency,
- La duchesse de Montmorency,
- Le connétable de Bourbon,
- Le chevalier Bayard,
- François Ier, bien sur,
- Henri VIII d'Angleterre, of course,
- Cagliostro l'hypnotiseur, ennuyeux à s'endormir évidement,
- Monsieur de La Palice ( « et dire qu’un quart d’heure avant sa mort » ... il ne savait toujours pas qu’on le reverrais dans un film ),
- Un bourreau aussi, c’est indispensable dans un film sur cette époque,
- Un fantôme bien entendu, dans un château, allons !!,
- Et l’incontournable moine inquisiteur et sa bande de psychopathes pour le cliché (déjà ! Note : 1937 ! ).