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L'Antéchrist pédophile ? Parfaitement ! Une affaire étouffée d'où il évite l'Argentine

François dans l’œil du cyclone... en France
Après les révélations sur les évêques français ayant couvert des cas de pédophilie, Mediapart a également enquêté sur le cardinal Bergoglio. Et "découvert" ce qui avait été révélé dans la presse anglo-saxonne dès le lendemain de l'élection!

("Benoît-et-moi" _ 22/3/2017)

Quatre ans après l'accession de l'archevêque de Buenos Aires au Trône de Pierre, le site d'investigation spécialisé dans la "dénonciation" des personnalités politiques à déboulonner (ce qui laisse supposer que le Pape entre désormais dans cette catégorie, sans doute déçoit-il ses soutiens des médias, ne réformant pas assez vite à leur goût, cf. Et si le pape François était un imposteur?) publie des informations gênantes pour le Pape.

Selon le Parisien d'hier:


« Cette fois, c'est le pape François qui est directement concerné. La vague de publications de Mediapart et de Cash investigation sur des affaires de pédophilie dans l’Église se poursuit ce mardi. D'après le site d'investigation, le souverain pontife aurait tenté, alors qu'il était en poste à Buenos Aires, d'influencer le travail de la justice pour faire innocenter un prêtre condamné pour pédophilie.

Selon Mediapart et Cash investigation, Jorge Mario Bergoglio, archevêque de Buenos Aires et président de la Conférence épiscopale argentine au moment des faits, aurait participé à une tentative de lobbying. Le but de cette opération visait à défendre le père Grassi, célèbre en Argentine, des accusations de pédophilie portées à son encontre.

Dès 1991, des premiers griefs d'agressions sexuelles sur mineurs sont portés sur le religieux, mais c'est en 2002, avec la diffusion de l'émission Telenoche Investiga, que le père Grassi est directement mis en cause et que la justice lance une enquête. Cette émission révélait le témoignage de Gabriel, un garçon âgé de 15 ans au moment des abus. Il y racontait comment il était contraint d'avoir des relations sexuelles avec le prêtre. En 2009, le père Grassi a été condamné à 15 ans de prison pour l'agression de mineurs de la fondation « Les enfants heureux » qu'il avait créée.

D'après les informations de Mediapart, la Conférence épiscopale d'Argentine a commandé en 2010, au moment où Jorge Mario Bergoglio en était donc le président, une contre-enquête visant à disculper le prêtre. Ce document de 2 600 pages cherchait à montrer que les victimes avaient menti et interroge leur orientation sexuelle. Cette « Étude sur le cas Grassi » a ainsi été envoyée aux juges à la veille de l'examen du dossier en appel et rééditée en 2010, 2011 et 2013. D'après un magistrat cité par Mediapart, ce texte est « partial dans certains cas » voire « clairement en faveur du père Grassi ».

Autre élément pointé par le site d'investigation : le pape François a rencontré le président de la Cour suprême de Buenos Aires, la veille du dernier réexamen du dossier Grassi, en septembre 2013. »

Mediapart a mis du temps pour découvrir l'eau chaude!! John Allen se faisait l'écho de cette affaire dès avril 2013 (benoit-et-moi.fr/…/une-enquete-de-…), et j'avais moi-même consacré un dossier à l'attitude de Bergoglio face aux histoires de pédophilie en Argentine: benoit-et-moi.fr/…/pedophilie-dans….
On pourra objecter: mieux vaut tard que jamais!
Sauf que si Mediapart s'en prend au pape, ce n'est pas pour de bonnes raisons. Et il n'y a sans doute pas lieu de se réjouir de la révélation inexplicablement tardive de cette prétendue "vérité".


Source : benoit-et-moi.fr/…/franois-dans-lo…
[reproduction partielle]

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Pédophilie dans l’Église: le pape François mis en cause en Argentine

par David Namias de BFMTV (21/03/2017)

Selon Mediapart et "Cash Investigation" celui qui était alors archevêque de Buenos Aires a tenté d'influencer la justice pour faire innocenter un prêtre finalement condamné en 2009.

Mediapart et l'émission "Cash Investigation" de France 2 continuent de distiller leurs révélations sur des affaires de pédophilie au sein de l'Eglise, en France et à l'étranger. Le pape François est l'objet de l'une d'elles. Alors qu'il était archevêque de Buenos Aires, il aurait tenté d'influencer la justice de son pays pour défendre la cause du "père Grassi, finalement condamné en 2009 à 15 ans de prison pour l'agression de deux enfants".

Jorge Mario Bergoglio (le nom civil du pape) était président de la Conférence épiscopale d'Argentine au moments des faits. En 2010, c'est sous son haut patronage que pour ouvrir un contre-feu face aux accusations touchant ce prêtre, des "Etudes sur le cas Grassi" sont commandées. Le document de 2.600 pages visait à démontrer que les deux plaignants mineurs avaient menti et allait "jusqu'à interroger l'orientation sexuelle des victimes". Une contre-enquête manifestement orientée selon un des destinataires du document, le juge Carlos Mahiques interrogé par Mediapart.

Si l'existence de ces travaux demandés par l'actuel pape à un éminent juriste était connue, "ce que l'on sait moins, c'est que loin d'être un simple document en interne, 'Etudes sur le cas Grassi', fut un outil de lobbying qui a été envoyé aux juges en charge du dossier à la veille de son examen en appel", détaille l'article de Mediapart. Pire, l'ouvrage avait été "édité à trois reprises, en 2010, 2011 et 2013". Soit les dates correspondant aux "différents appels du prêtre" mis en examen par la justice argentine. L'église argentine a embauché une vingtaine d'avocats, dont des ténors du barreau pour défendre Julio Grassi.

Grassi finalement condamné

Les premières accusations portées contre le père Grassi remontent à 1991 explique de son côté "Cash Investigation" (diffusée ce mardi soir). Mais c'est en 2002 que l'affaire prendra de l'ampleur après la diffusion d'une séquence dans l'émission d'investigation "Telenoche Investiga".
Le jeune Gabriel abusé à 15 ans y livrait son témoignage et faisait état de relations sexuelles contraintes avec le prêtre. A "Cash Investigation", la victime qui "vit recluse dans la banlieue de Buenos Aires" confie avoir "reçu des menaces" et vu "sa porte fracturée", tandis que des "affaires personnelles et documents" lui ont été volés. Pour sa sécurité, il a bénéficié du programme de protection des témoins avant la tenue du procès.
Ironie du sort, Julio César Grassi a finalement été condamné pour des agressions d'enfants perpétrées dans le cadre de la fondation qu'il avait créée en 1993 et intitulée "les enfants heureux" ("Felices Los Niños", en espagnol).

Dernier argument à charge contre le pape, le souverain pontife fraîchement élu avait invité à Rome le président de la Cour suprême de Buenos Aires en septembre 2013. Soit encore une fois, à la veille du "réexamen du cas Grassi". Cash Investigation relève qu'à la "page 64 d'un livre d'entretiens avec le pape", François interrogé sur les affaires de pédophilie au sein de l’Église répond: "Cela n'est jamais arrivé dans mon diocèse"..

Extrait de #cashinvestigation ce soir à 20.55 sur @France2tv
"@EliseLucet à la rencontre du Pape"
«Un documentaire de @martinboudot twitter.com/…/844129466393776…
— CASH INVESTIGATION (@cashinvestigati) 21 mars 2017

Source : www.bfmtv.com/police-justice/pedophilie-dans…

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L’affaire Grassi embarrasse l’Église argentine

Le cardinal Bergoglio est accusé de complaisance dans le cas d’un prêtre argentin lourdement condamné pour pédophilie.

par Éric Domergue (à Buenos Aires) et Nicolas Senèze (à Rome) , La Croix, le 26/03/2017

(Le Père Julio Cesar Grassi en 2002. / HO/AFP)

L’affaire Julio Cesar Grassi a éclaté en 2002, quand deux jeunes hommes ont accusé d’abus ce prêtre argentin alors qu’ils étaient mineurs et vivaient sous sa tutelle dans la fondation qu’il dirigeait et qui accueillait plusieurs milliers d’enfants démunis dans la banlieue ouest de Buenos Aires.

Malgré ses protestations d’innocence, le P. Grassi a été condamné en 2009 à 15 ans de prison. Ses multiples recours ont tous été rejetés et, mardi dernier, la Cour suprême a définitivement validé sa condamnation. Il est incarcéré depuis septembre 2013.

Un pouvoir indestructible

« Grassi a donné à des milliers de jeunes l’occasion d’étudier, d’avoir un toit, de quoi manger, et, face aux abus, ses victimes – alors âgées de 15 ans – sentaient une énorme impuissance, sans savoir à qui s’adresser, submergées par la honte et la crainte, explique Miriam Lewin, la journaliste à l’origine de cette affaire. Son pouvoir semblait indestructible. » Le prêtre était en effet un personnage très exposé passant régulièrement à la télévision pour récolter des fonds pour sa fondation créée en 1993.

« Justice a été faite en condamnant un homme puissant et dangereux qui a bénéficié de l’aide des meilleurs avocats du pays », se félicite Juan Pablo Gallego, un des avocats des victimes, pour qui la décision finale de la cour « apporte un soulagement définitif aux victimes ».

Témoignages de victimes

Dans cette affaire, l’attitude du pape a été critiquée, autant quand il était à Buenos Aires qu’après son élection. François a reçu au Vatican plusieurs juges concernés, ce qui a été vu comme des pressions sur leur travail, même s’ils ont toujours affirmé que le cas Grassi n’a jamais été évoqué avec le pape. Ils se sont d’ailleurs tous prononcés en faveur de la condamnation du prêtre.

Les juges ont par ailleurs reçu trois volumes d’un dossier de 2 600 pages tendant à innocenter le P. Grassi. Presque exclusivement juridique, cette contre-enquête a été commandée par la Conférence épiscopale argentine, alors présidée par le cardinal Bergoglio, même si les évêques semblaient divisés sur son opportunité. Elle bat en brèche notamment les témoignages des victimes mais fait l’impasse sur certains points, comme la personnalité trouble du prêtre. Elle aurait ensuite été utilisée par les avocats du P. Grassi dans le cadre de la procédure argentine où c’est à l’accusé de faire la preuve de son innocence.

La mesure des souffrances

« Grassi n’a jamais été protégé par Bergoglio ni par la hiérarchie de l’Église », affirme, catégorique, le Frère Juan Ignacio Fuentes, mariste et spécialiste des questions d’abus sexuels pour l’enseignement catholique argentin pour qui « le P. Grassi a surtout été soutenu par certains secteurs de l’Église qui se sentaient attaqués ». Les déclarations successives du cardinal Bergoglio révèlent d’ailleurs un soutien de plus en plus mesuré au prêtre.

L’archevêque de Buenos Aires, de 1998 à 2013, a aussi été mis en cause pour ne pas avoir répondu aux demandes des victimes qui avaient souhaité le rencontrer en 2003, après qu’elles ont été menacées de mort. C’est plus tard, quand il sera confronté aux questions de traite d’êtres humains, qu’il prendra la mesure de leurs souffrances.

Un tabou

Dans le cadre d’un séminaire organisé jeudi 23 mars à Rome par la Commission pontificale pour la protection des mineurs, le Frère Fuentes décrivait plus largement l’état d’esprit des ecclésiastiques argentins au sortir des années de dictature pendant lesquelles les affaires de mœurs avaient d’ailleurs été utilisées par les militaires pour décrédibiliser des prêtres contestataires. « En Argentine, la question des abus sexuels, dans l’Église comme dans la société, n’est véritablement traitée que depuis 8 ou 10 ans, reconnaît-il. Culturellement, cela reste un tabou. Il ne faut pas oublier que les adultes ont grandi sous 30 ou 40 années de dictature : une véritable formation au silence ! Même si les choses ont évolué depuis 10 ans, il n’y a pas de culture de la transparence. »

« Beaucoup de mal à l’Église catholique »

Salésien, puis prêtre du diocèse de Monron, dans la banlieue de Buenos Aires, le P. Grassi n’a jamais dépendu directement du cardinal Bergoglio. Selon l’évêque de Monron, qui l’a longtemps défendu, le prêtre a été relevé de toute fonction pastorale dès le début de la procédure judiciaire contre lui et est interdit de tout exercice public du culte. Une enquête canonique a par ailleurs été lancée et le dossier serait, depuis décembre, à la Congrégation pour la doctrine de la foi qui doit désormais se prononcer sur son renvoi de l’état clérical.

« Grassi ne peut pas continuer à exercer en tant que prêtre, il a fait beaucoup de mal à l’Église catholique, insiste Me Juan Pablo Gallego. Il s’agit d’un message fort que le pape devrait donner à la société. »

Source : www.la-croix.com/…/Laffaire-Grassi…

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Argentine: La Cour Suprême confirme la peine de 15 ans de prison pour le Père Grassi
par Jacques Berset, cath.ch, 22.03.2017

Père Julio César Grassi, condamné à 15 ans de prison pour abus sexuels sur mineurs (Photo; cdn.tn.com.ar)

L’évêque du diocèse de Moron, dans la banlieue de Buenos Aires, a déclaré le 21 mars 2017 que le Père Julio César Grassi était interdit d’exercer ses fonctions sacerdotales en public depuis le début de son procès.

La Cour Suprême argentine avait confirmé le même jour la peine de 15 ans de prison infligé au prêtre pour des abus sexuels sur des mineurs.

Mgr Luis Eichhorn, qui a publié le 21 mars sur le site internet du diocèse de Moron un bref communiqué concernant la situation judiciaire de ce prêtre, souligne qu’il fait face à une enquête au Vatican. Sa situation dépend d’une décision du pape François, relève l’évêque de Moron.

Condamnation désormais définitive

Le Père Julio César Grassi, qui bénéficiait d’un large soutien au sein de certains milieux ecclésiaux, avait été condamné à 15 ans de prison en 2009 pour avoir abusé de mineurs alors qu’il dirigeait la fondation “Felices los Niños” (Heureux les enfants).

La condamnation est désormais définitive, ayant déjà été confirmée par la Chambre de cassation et la Cour suprême de la province de Buenos Aires. Le Père Grassi était resté en liberté jusqu’en septembre 2013, et a ensuite perdu le bénéfice de la liberté surveillée.

Une émission “totalement à charge contre l’Église”

L’enquête de “Cash investigation” intitulée “Pédophilie dans l’Église: le poids du silence”, diffusée le 21 mars 2017 sur France 2, affirmait que l’ancien archevêque de Buenos-Aires, Jorge Maria Bergoglio, aurait soutenu une contre-enquête dans l’affaire Grassi, même s’il n’était pas directement en charge de ce prêtre.

Porte-parole adjoint et directeur de la communication de la Conférence des évêques de France, Vincent Neymon a expliqué pour sa part, le 21 mars 2017, le refus des évêques français de participer au débat après l’émission de “Cash Investigation”, étant donné qu’il s’agissait d’une émission “totalement à charge contre l’Église”. (cath.ch/com/be)

Source : www.cath.ch/…/argentine-cour-…

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VIDEO. «Cash Investigation»: Élise Lucet interpelle le pape François sur la pédophilie et impressionne les twittos

TWITTER Dans le cadre d’une enquête sur les scandales de pédophilie au sein de l’Église catholique, la journaliste de France 2 s’est rendue à Rome pour s’adresser directement au Pape et ça a marché…

par Marie de Fournas, le 22/03/17 (20 minutes)

Quand le pape François se fait interpeller par la journaliste Élise Lucet — Capture France 2

Thug Life
. Mardi soir, l’émission Cash Investigation dévoilait une enquête menée depuis un an sur la gestion par l’Église catholique de prêtres mis en cause dans des affaires de pédophilie. Alors qu’une enquête de Mediapart vient de diffuser la liste de 32 prêtres accusés de pédophilie qui auraient été couverts par des évêques, France 2 s’est intéressée de très près au pape François. Selon l’émission, il aurait, lorsqu’il était archevêque de Buenos Aires, « tenté de faire innocenter un prêtre jugé pour pédophilie ». Pourtant réputé pour sa tolérance zéro vis-à-vis de ces agissements, le Saint-Père aurait transmis à la justice en 2010, une contre-enquête à décharge avant le procès en appel de l’accusé, le père Julio César Grassi.

>> A lire aussi : Pédophilie dans l’Eglise: Les quatre révélations de l’émission «Cash investigation»

« Pas du tout », répond le pape

Sans réponse de la part du Vatican sur le sujet, Élise Lucet s’est rendue à Rome pour tenter d’obtenir directement une réponse du pape. Les images sont surréalistes. Alors que le chef de l’Église s’avance sur la place Saint-Pierre, la journaliste lui lance : « Votre Sainteté, dans le cas Grassi, avez-vous tenté d’influencer la justice argentine ? ». Et là… Miracle ! Le pape François se retourne vers elle, fronce le nez et hoche la tête pour qu’elle répète sa question. Élise Lucet s’exécute. Surpris, le pontife répond par la négative. « Pourquoi avoir commandité une contre-enquête alors ? », lui rétorque-t-elle sans se démonter. « Pas du tout », lui répond alors le pape, balayant l’accusation d’un geste de la main, avant de s’en aller.

« L’interview » de la journaliste en mode bad ass, a fait TRES forte impression sur les réseaux.

Source : www.20minutes.fr/high-tech/2035307-2017032…

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Album ACTU
natale07
Les « 7 conseils sur le comportement à adopter à l'église » du Saint Padre Pio de Pietrelcina :
« Entre dans l'église en silence et avec un grand respect, en te montrant et te considérant indigne de comparaître devant la Majesté du Seigneur. Dès que tu aperçois le Maître Autel, agenouille-toi avec dévotion ».
« Trouve ta place et offre au Sacrement de Jésus le tribut de ta prière et de ton …
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Les « 7 conseils sur le comportement à adopter à l'église » du Saint Padre Pio de Pietrelcina :

« Entre dans l'église en silence et avec un grand respect, en te montrant et te considérant indigne de comparaître devant la Majesté du Seigneur. Dès que tu aperçois le Maître Autel, agenouille-toi avec dévotion ».

« Trouve ta place et offre au Sacrement de Jésus le tribut de ta prière et de ton adoration ».

« En participant à la Sainte Messe et aux offices, lève-toi, agenouille-toi et assieds-toi toujours avec une grande gravité et accomplis tout acte religieux avec la plus grande dévotion ».

« Sois modeste dans ton regard, ne tourne pas la tête à droite et à gauche pour regarder qui entre ou sort ; ne ris pas, par respect pour ce Lieu saint et par égard pour celui est près de toi ».

« Applique-toi à ne prononcer aucun mot et à ne parler à quiconque, à moins que la charité ou une stricte nécessité ne l'exigent ».

« Si tu pries avec les autres, prononce distinctement les mots de ta prière, marque bien les pauses et ne te dépêche jamais ».

« Comporte-toi, enfin, de façon à ce que toute l'assistance en reste édifiée et soit, grâce à toi, poussée à glorifier et à aimer le Père Céleste ».

livres-mystiques.com/…/padrepio.html
natale07
@monachev
Padre Pio et le Novus Ordo Missae!
Il était un modèle de respect et de soumission envers ses supérieurs religieux et ecclésiastiques, spécialement quand il était persécuté. Malgré cela, il ne put rester silencieux devant les déviations qui étaient funestes à l’Église. Avant même la fin du Concile, en février 1965, quelqu’un lui annonça qu’il allait bientôt devoir célébrer la …More
@monachev
Padre Pio et le Novus Ordo Missae!

Il était un modèle de respect et de soumission envers ses supérieurs religieux et ecclésiastiques, spécialement quand il était persécuté. Malgré cela, il ne put rester silencieux devant les déviations qui étaient funestes à l’Église. Avant même la fin du Concile, en février 1965, quelqu’un lui annonça qu’il allait bientôt devoir célébrer la Messe selon le nouveau rite, ad experimentum, en langue vernaculaire, rite qui avait été composé par une commission liturgique conciliaire en vue de répondre aux aspirations de l’homme moderne. Padre Pio écrivit immédiatement au pape Paul VI, avant même d’avoir vu le texte, pour lui demander d’être dispensé de cette expérience liturgique et de pouvoir continuer à célébrer la Messe de saint Pie V. Quand le cardinal Bacci vint le visiter pour lui apporter l’autorisation demandée, Padre Pio laissa échapper une plainte en présence du messager du pape : « Par pitié, mettez fin, vite, au Concile. »
Cette même année, au milieu de l’euphorie conciliaire qui promettait un nouveau printemps de l’église, il confia à l’un de ses fils spirituels : « En ce temps de ténèbres, prions. Faisons pénitence pour les élus »; et surtout pour celui qui doit être leur pasteur ici-bas : pendant toute sa vie, il s’immola pour le pape régnant, dont le photographie était l’une des rares images qui décoraient sa cellule.
Spina Christi 2
monachev il y a 6 minutes
"Tout le monde peut voir la vidéo de la dernière messe de Padre Pio, très émouvante. Or il célèbre face au peuple, en latin certes, mais face aux fidèles."
Si vous voulez prendre Padre Pio en exemple, considérez que toute sa vie il a célébré la Sainte Messe -de façon toute aussi très émouvante- selon le rite Saint Pie V !
Lequel rite par ailleurs a été agréé et …
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monachev il y a 6 minutes
"Tout le monde peut voir la vidéo de la dernière messe de Padre Pio, très émouvante. Or il célèbre face au peuple, en latin certes, mais face aux fidèles."

Si vous voulez prendre Padre Pio en exemple, considérez que toute sa vie il a célébré la Sainte Messe -de façon toute aussi très émouvante- selon le rite Saint Pie V !
Lequel rite par ailleurs a été agréé et confirmé par Benoit XVI.

Pourquoi, vous modernistes, vous acharnez-vous à vouloir détruire ou anathématiser ce rite ?
monachev
Tout le monde peut voir la vidéo de la dernière messe de Padre Pio, très émouvante. Or il célèbre face au peuple, en latin certes, mais face aux fidèles. Aucune conclusion ne peut en être tirée sur le fond, mais il y a ce fait constatable par tous. Padre Pio ce jour-là célébrait la sainte messe face au peuple
Ne nous laissez pas sucomber
@Jean de Roquefort Super Menteur à sévis ;Padré Pio qui refusa de dire la messe face aux fidèles et qui ce tien a l'Eglise du Concile de trente jusqu'à la fin de sa vie ,vous allez payez cher vos insinuations malhonnêtes ,tout cela pour vous prouvez votre soi-disant "vérité" ???????
Sylvanus
@dvdenise Merci de votre commentaire éclairant et équilibré, qui tranche avec les nouvelles affirmations délirantes de Gilbert, qui ose insulter le pape de pédophilie (sans le début d'un commencement de preuve).
dvdenise
La mesure des souffrances
« Grassi n’a jamais été protégé par Bergoglio ni par la hiérarchie de l’Église », affirme, catégorique, le Frère Juan Ignacio Fuentes, mariste et spécialiste des questions d’abus sexuels pour l’enseignement catholique argentin pour qui « le P. Grassi a surtout été soutenu par certains secteurs de l’Église qui se sentaient attaqués ». Les déclarations successives …More
La mesure des souffrances

« Grassi n’a jamais été protégé par Bergoglio ni par la hiérarchie de l’Église », affirme, catégorique, le Frère Juan Ignacio Fuentes, mariste et spécialiste des questions d’abus sexuels pour l’enseignement catholique argentin pour qui « le P. Grassi a surtout été soutenu par certains secteurs de l’Église qui se sentaient attaqués ». Les déclarations successives du cardinal Bergoglio révèlent d’ailleurs un soutien de plus en plus mesuré au prêtre.

Un tabou

Dans le cadre d’un séminaire organisé jeudi 23 mars à Rome par la Commission pontificale pour la protection des mineurs, le Frère Fuentes décrivait plus largement l’état d’esprit des ecclésiastiques argentins au sortir des années de dictature pendant lesquelles les affaires de mœurs avaient d’ailleurs été utilisées par les militaires pour décrédibiliser des prêtres contestataires. « En Argentine, la question des abus sexuels, dans l’Église comme dans la société, n’est véritablement traitée que depuis 8 ou 10 ans, reconnaît-il. Culturellement, cela reste un tabou. Il ne faut pas oublier que les adultes ont grandi sous 30 ou 40 années de dictature: une véritable formation au silence! Même si les choses ont évolué depuis 10 ans, il n’y a pas de culture de la transparence. »

« Beaucoup de mal à l’Eglise catholique »


Salésien, puis prêtre du diocèse de Monron, dans la banlieue de Buenos Aires, le P. Grassi n’a jamais dépendu directement du cardinal Bergoglio. Selon l’évêque de Monron, qui l’a longtemps défendu, le prêtre a été relevé de toute fonction pastorale dès le début de la procédure judiciaire contre lui et est interdit de tout exercice public du culte. Une enquête canonique a par ailleurs été lancée et le dossier serait, depuis décembre, à la Congrégation pour la doctrine de la foi qui doit désormais se prononcer sur son renvoi de l’état clérical.

« Grassi ne peut pas continuer à exercer en tant que prêtre, il a fait beaucoup de mal à l’Église catholique, insiste Me Juan Pablo Gallego. Il s’agit d’un message fort que le pape devrait donner à la société. »
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