CONTRITION PARFAITE ET COMMUNION SPIRITUELLE DOGMATIQUE CONCILE DE TRENTE (avec nouveau descriptif)

Le concile de Trente Sess 13 du décret sur le très Saint Sacrement de
l’Eucharistie chapitre 8.
“Nos pères ont justement distingué trois manières de recevoir ce saint sacrement.
Ils enseignent que :
- les uns ne le reçoivent que sacramentellement ; ce sont les pécheurs.
- D’autres ne le reçoivent que spirituellement ; ce sont ceux qui, mangeant en désir
le pain céleste qui leur est offert avec cette “Foi” vive “qui opère par la charité” (Gal 5, 6),
en ressentent le fruit et l’utilité.
- D’autres encore le reçoivent à la fois sacramentellement et spirituellement : ce
sont ceux qui s’éprouvent et se préparent de telle sorte que, revêtus de la robe nuptiale, ils
s’approchent de cette table divine” (catéchisme du concile de Trente.)

En ces temps de grand apostasie que nous vivons où il n'y a plus du tout de hiérarchie Catholique visible,nous n'avons plus de prêtre pour nous confesser et nous donner l'absolution dans ce cas là
La Sainte Église Catholique à tout prévu il faut pratiquer la contrition parfaite voici les documents....

1) google.com/ServiceLogin?service=wise&passive=1209600&continue

2) La CONTRITION PARFAITE & la COMMUNION SPIRITUELLE

Nous sommes par-delà même aussi privé du Saint-Sacrement .......
là aussi la sainte Église Catholique à tout prevu ,dans ce cas nous devons pratiquer......
La communion spirituelle...

site-catholique.fr/index.php?post/La-Communion-Spirituelle-Quotidienn

De tels périodes de privations sont déjà arrivées au cours de l'histoire de France notamment pendant les guerres ou à la Révolution française !
Habituellement la communion sacramentelle et la confession sont des actes obligatoires pour chaque catholique mais dans la mesure où il n'est plus possible d'y accéder étant donné que nous en sommes privés ! Dans ce cas unique le simple fidèle n'est pas responsable de ce fait et dans ce cas la sainte Église Catholique nous indique la voie à suivre dans les documents ci-dessus !

La communion spirituelle selon l’abbé Desmaris.
Prêtre exilé en 1803.

Quelquefois la main de Dieu nous éloigne de ses autels.

l’abbé Desmaris sur les bienfaits de
l’Eucharistie quand nous sommes privés de ce sacrement.
“L’Eucharistie, le sacrement d’amour, avait pour nous bien des douceurs et des
avantages quand vous pouviez y participer ; mais maintenant que vous en êtes privés, vos
avantages sont les mêmes ; car qui aurait osé approcher de cette table si Jésus-Christ ne
vous en eut pas fait un précepte et si l’Eglise, qui désire que nous nous fortifiions par ce
pain de vie, ne nous eût invités à le manger par la voix de ses ministres qui nous revêtaient
de la robe nuptiale ? Mais si nous comparons l’obéissance avec laquelle nous en sommes
privés à celle qui nous y conduisait, il sera aisé de juger du mérite.
Abraham obéit en immolant son fils et en ne l’immolant pas : mais son obéissance
fut bien plus grande quand il mit la main à l’épée que quand il remit l’épée dans le
fourreau. Nous obéissons en nous approchant de l’Eucharistie ; mais en nous retirant de
ce sacrifice, nous nous immolons nous-mêmes. Altérés de la soif de la justice, et nous
privant du sang de l’Agneau, qui seul peut l’étancher, nous sacrifions notre propre vie autant qu'il est en nous.
Le sacrifice d’Abraham fut d’un instant ; un ange arrêta le glaive ; le nôtre est journalier
et se renouvelle toutes les fois que nous adorons avec soumission la main de Dieu qui nous
éloigne de ses autels, et ce sacrifice est volontaire.
C’est être avantageusement privé de l’Eucharistie que d’élever l’étendard de la croix
pour la cause de Jésus-Christ et la gloire de son Eglise. Observez, mes enfants, que Jésus
Christ, après avoir donné son corps, ne fit aucune difficulté de mourir pour nous.
Voilà la conduite du chrétien dans ses persécutions : la croix succède à l’Eucharistie. Que
l’amour de l’Eucharistie ne nous éloigne donc pas de la Croix !
C’est montrer et faire un glorieux progrès dans la gloire de l’Evangile que de sortir
du cénacle pour monter au Calvaire. Oui, je ne crains pas de dire, quand l’orage de la
malice des hommes gronde contre la vérité et la justice, il est plus avantageux aux fidèles
de souffrir pour Jésus-Christ que de participer à son corps sacré par la communion !!!”
et communion spirituelle selon Saint Alphonse de Liguori

( abbé Demaris)

Saint Alphonse de Liguori et la communion spirituelle.
Le grand Saint Alphonse de Liguori dit à son tour la même chose dans “L’art d’aimer
Jésus Christ” (édition St Paul, page 142.)

Saint Alphonse de Liguori et la communion spirituelle.
Le grand Saint Alphonse de Liguori dit à son tour la même chose dans “L’art d’aimer
Jésus Christ” (édition St Paul, page 142.) “Pour maintenir l’âme en ferveur, un autre
moyen bien puissant, c’est la communion spirituelle, fréquemment renouvelée. Le concile
de Trente la loue grandement et en recommande la pratique à tous les fidèles.
La communion spirituelle consiste, dit saint Thomas, en un ardent désir de recevoir
Jésus-Christ présent dans le Saint Sacrement. On comprend que les saints aient accoutumé
de le faire plusieurs fois le jour. En voici une formule : “Mon Jésus, je vous crois présent
dans le Saint Sacrement. Je vous aime et je vous désire ; venez dans mon coeur. Je m’unis
à vous, et je vous prie de ne point permettre que j’aie jamais le malheur de me séparer de
vous”. Autre formule plus courte : “Mon Jésus, venez à moi, je vous désire, je m’unis à
vous, restons toujours unis”.
La communion spirituelle peut se réitérer plusieurs fois le jour : Dans l’oraison,
dans la visite au Saint Sacrement, et surtout à la Messe, au moment de la communion du
prêtre.
La Bienheureuse Agathe de la Croix, dominicaine, déclarait : “Si mon confesseur
ne m’avait appris cette manière de communier plusieurs fois le jour, je n’aurai pas eu le
courage de vivre”....

Bénédiction ..

Et sur Youtube youtu.be/80Z6SqqyH8A

Bénédiction

Titi Ave Maria .