@ne nous laissez pas succomber
C’est vous qui arrangez les quilles à votre convenance ! et qui mentez ! Vous gardez, de fait, « mon chemin », oui, le vôtre, mais qui n’est pas vraiment celui du CREDO. Parce que voyez-vous, l’Église dans ses éléments VISIBLES (hiérarchie fondée sur le pape) et invisibles, ne peut pas s’INTERROMPRE, et ce jusqu’à la fin des siècles. Le mot est dans l’encyclique de Léon XIII SATIS COGNITUM. Et Pie IX dit que c’est « blasphématoire » de penser que toute la hiérarchie puisse sombrer en bloc (pape et évêques résidentiels) ou que celle-ci disparaisse… ce que vous dites être arrivé depuis fin 1958 par on ne sait quel mystère… Une telle supposition consiste à NIER l’indéfectibilité de l’Église dont le socle et le fondement est la hiérarchie. Toutes les sectes protestantes disent aussi suivre l’Évangile et être en direct avec le fondateur de l’Église : le Christ ! Donc, vous, vous suivez VOTRE Credo, qui n’est plus catholique manifestement… même si vous protestez du contraire par le biais de bidouillages qui ne tiennent pas la route théologiquement parlant… Si FRANCOIS n’est pas le vrai pape, alors, il faut chercher où est le VRAI qui donc « souffre beaucoup »… puisqu’il est dogmatiquement impossible que l’Église catholique véritable se retrouve dépourvue de toute vraie et authentique hiérarchie…

@ne nous laissez pas succomber : De l'avis unanime des catholiques, "la crise affreuse" dans l'Église a commencé avec les années du concile et surtout après 1969... PIE XII était donc mort depuis plusieurs années déjà. Il n'a visiblement pas "beaucoup souffert" sinon du poids de la charge de Pape, mais ça c'est normal.... Par ailleurs, on nous dit qu'il est mort empoisonné, alors que le message de La Salette précise : "Plusieurs attenteront à sa vie sans pouvoir nuire à ses jours". Le secret de 1851 écrit : "on voudra le mettre à mort, mais on ne lui pourra rien, le Vicaire de Dieu triomphera"..!?. Si la sainte Vierge fait de durs reproches (justifiés) au clergé, redis à Garabandal, elle ne vise que "les cardinaux, les évêques, les prêtres"... mais "le saint-Père", lui, est toujours à part de cette liste, précisant qu'il "souffrira beaucoup"... Par ailleurs, je vous redis que dogmatiquement parlant, il est impossible (impie et "blasphématoire" dit Pie IX) de penser que toute l'Église hiérarchique enseignante ait pu faire défaut, en bloc, comme vous le supposez après 1958. Donc, oui, : « mentir ne vous gène pas pourvu que cela passe , vous agissez comme les communistes ou les National Socialistes , vous en serez redevable ne faite pas mentir MARIE pour votre "gloire "»....

Oui, en effet ! LA SALETTE Nous l'explique très bien : "Le saint Père aura beaucoup à souffrir parce que pour un temps l'Église aura une crise affreuse"... Or, vous, vous nous dites l'inverse : depuis la "crise affreuse", il "n'y a plus de Pierre qui tienne depuis fin 1958" !!! (comme si l'Église catholique pouvait continuer d'exister sans aucune hiérarchie valide et légitime !!!)... L'Église est donc interrompue, "partie en vacance"... Pie IX, dans Etsi Multa (1876) nous dit que supposer une telle chose est impie et blasphématoire... CQFD

Et la fidélité du Christ aux promesses faites à Pierre, le Pape ? Vous y croyez encore ?? Il est toujours paradoxal de se croire catholique ultra et de ne plus croire finalement que l'Église catholique ait besoin d'une hiérarchie légitime pour continuer d'exister... L'Église militante, c'est l'Église visible sur terre, pas au Ciel... Qui a créé la papauté ? Qui a fait des promesses pour qu'elle soit protégée jusqu'à la fin des siècles ?? "Le saint Père aura beaucoup à souffrir parce que pour un temps l'Église aura une crise affreuse" (La Salette). Il est où ce SAINT PÈRE M. GChevalier ???

Ah bon !? Parce qu'on peut, selon vous, dissocier l'un des trois éléments et rester catholique ??? La foi catholique, bâtie sur l'Évangile, nous enseigne que l'Église a PIERRE pour fondement et que le Christ le protège. Donc, les trois sont indissociables. L'Église n'a plus du tout de hiérarchie légitime véritable ? Alors, l'Église est morte, interrompue dans un élément essentiel, et les promesses du Christ dans l'Évangile, vaines (blasphème).... C'est quoi exactement votre position GChevalier ??

L’Église à toujours laissé librement s’exprimer l’opinion du plus grand nombre des élus, même parmi le genre humain considéré dans son ensemble. Sans parler de la théologie du P. Genér, nous en trouvons un exemple remarquable dans les oeuvres du F. Joseph de Saint-Benoît. Le Vén. P. Joseph de Saint-Benoît, religieux convers de l’abbaye de Montserrat, simple tailleur de pierres, mourait le 17 novembre 1723. Favorisé de révélations ou d’illuminations célestes, touchant précisément à la question du nombre des élus, il en a résumé les idées principales en quelques écrits dont les titres sont bien significatifs : Opusculos para alivio espiritual de algunas personas que parecen pusilanimidades, y temores desordenados a cerca de su salvacion ; Declaration de algunas sentencias del Testamento nuevo, que parecen tener algo de riqor, y asperezo. Or, il y enseigne que « le nombre des hommes sauvés est très grand, incalculable ; il dépasse celui des réprouvés, grâce à la puissance, à la sagesse et à la bienveillance infinie du Christ, qui, sans doute, n’a pas en vain souffert et répandu son sang, n’est pas en vain ressuscité, et n’a pas vainement brisé l’insolente domination de Satan sur l’espèce humaine. » Opusc., arg. 3 et 4. Quatorze théologiens furent chargés d’examiner ses écrits : au premier rang figure le nom du P. Ignace Garrotte, qualificateur de la Suprême Inquisition ; les ouvrages furent soumis également à de nombreux docteurs en théologie de Barcelone, Valence, Vich, Manrèse. Aucun théologien ne réprouva l’opinion du serviteur de Dieu ; beaucoup l’approuvèrent, entre autres les censeurs bénédictins, Lardito el Barnuevo, Dominique Lossada, O.M., François de Miranda, S.J.. L’Église ne les inquiéta pas.
Bien plus, quelques années auparavant, le 30 juillet 1708, la Sacré-Congrégation de l’Index condamnait un ouvrage à tendances opposées : La science du salut, renfermée dans ces deux paroles : il y a peu d’élus, ou traité dogmatique sur le nombre des élus, publié en 1701 à Rouen par l’abbé Olivier Debors-Desdoires, sous le pseudonyme d’Amelincourt. Et encore ce dernier consacrait une cinquantaine de pages à réfuter « ceux qui resserrent excessivement le nombre des élus. »

Source : Dictionnaire de Théologie catholique, Letouzey & Ané.

L’Église a toujours laissé librement s’exprimer l’opinion du plus grand nombre des élus, même parmi le genre humain considéré dans son ensemble. Sans parler de la théologie du P. Genér, nous en trouvons un exemple remarquable dans les oeuvres du F. Joseph de Saint-Benoît. Le Vén. P. Joseph de Saint-Benoît, religieux convers de l’abbaye de Montserrat, simple tailleur de pierres, mourait le 17 novembre 1723. Favorisé de révélations ou d’illuminations célestes, touchant précisément à la question du nombre des élus, il en a résumé les idées principales en quelques écrits dont les titres sont bien significatifs : Opusculos para alivio espiritual de algunas personas que parecen pusilanimidades, y temores desordenados a cerca de su salvacion ; Declaration de algunas sentencias del Testamento nuevo, que parecen tener algo de riqor, y asperezo. Or, il y enseigne que « le nombre des hommes sauvés est très grand, incalculable ; il dépasse celui des réprouvés, grâce à la puissance, à la sagesse et à la bienveillance infinie du Christ, qui, sans doute, n’a pas en vain souffert et répandu son sang, n’est pas en vain ressuscité, et n’a pas vainement brisé l’insolente domination de Satan sur l’espèce humaine. » Opusc., arg. 3 et 4. Quatorze théologiens furent chargés d’examiner ses écrits : au premier rang figure le nom du P. Ignace Garrotte, qualificateur de la Suprême Inquisition ; les ouvrages furent soumis également à de nombreux docteurs en théologie de Barcelone, Valence, Vich, Manrèse. Aucun théologien ne réprouva l’opinion du serviteur de Dieu ; beaucoup l’approuvèrent, entre autres les censeurs bénédictins, Lardito el Barnuevo, Dominique Lossada, O.M., François de Miranda, S.J.. L’Église ne les inquiéta pas.
Bien plus, quelques années auparavant, le 30 juillet 1708, la Sacré-Congrégation de l’Index condamnait un ouvrage à tendances opposées : La science du salut, renfermée dans ces deux paroles : il y a peu d’élus, ou traité dogmatique sur le nombre des élus, publié en 1701 à Rouen par l’abbé Olivier Debors-Desdoires, sous le pseudonyme d’Amelincourt. Et encore ce dernier consacrait une cinquantaine de pages à réfuter « ceux qui resserrent excessivement le nombre des élus. »

Source : Dictionnaire de Théologie Catholique, Letouzey et Ané.

Ce Missel n'est malheureusement pas complet ! Il n'y a pas les vêpres, pas les complies, même pas le Salut du Saint-Sacrement (On ne trouve même pas l'ADOROTE DEVOTE / O SALUTARIS HOSTIA), et aucune notice pour expliquer la liturgie de chaque dimanche... Pour un Missel de cette importance, c'est très surprenant et décevant...
Le plus complet à ce jour reste le "Missel rituel et vespéral" de l'abbé Guilhaim et H. Sutyn (éd.DFT) pas plus encombrant (2300 pages), mais qui possède deux fois plus de psaumes (85 contre 40 chez clovis) et deux fois plus d'hymnes et motets...

HUCHET F il y a 5 secondes
Pour compenser le nombrilisme de la présentation, je voudrais quand même préciser que ce Missel présenté comme le seul et unique existant (!), est incomplet : il n'y a aucune notice pour les dimanches, pas de Vêpres, pas de Complies, pas de Salut du Saint-Sacrement, et de ce fait, beaucoup de psaumes manquent et plus de 30 à 40 hymnes et motets, comme Adoro te devote / O Salutaris hostia / O Filii et Filiae (Pâques). Super le Missel ! Plus encombrant, aussi cher et moins complet !!!
L'abbé dit : "Pourquoi le faisons-nous ? Il n'en existe pas véritablement"... "Depuis la disparition du stock des Missels Feder, Dom Lefebvre, il n'y a plus de Missels, et c'était un manque..." "Nous n'avons plus de Missels"...
BRAVO POUR LA DÉSINFORMATION ! Sur le marché catholique, il existe depuis des années au moins deux Missels complets selon le rite traditionnel : "Le Missel Quotidien complet" du P.O'Connor et surtout le "Missel rituel et vespéral" de l'abbé Guilhaim et H. Sutyn bien plus complet que celui ici présenté ! (2370 pages, imprimatur 1957, liturgie 1962, rééd. 2011).