Sisyphe
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Peillon avoue qu'il veut tuer le catholicisme

« Il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse, puis l’histoire secrète, où sont les véritables causes des événements » Honoré de Balzac
Dans son « Essai sur les Mœurs », Voltaire a défini sans ambiguïté sa vision d'un pays bien comme il faut : c'est celui où « le petit nombre fait travailler le grand nombre, est nourri par lui, et le gouverne». Il importe donc à l'État d'avoir à …Plus
« Il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse, puis l’histoire secrète, où sont les véritables causes des événements » Honoré de Balzac
Dans son « Essai sur les Mœurs », Voltaire a défini sans ambiguïté sa vision d'un pays bien comme il faut : c'est celui où « le petit nombre fait travailler le grand nombre, est nourri par lui, et le gouverne». Il importe donc à l'État d'avoir à sa disposition une masse docile de « gueux ignorants », autrement dit de prolétaires analphabètes « n'ayant que leurs bras pour vivre et constituant cette vile multitude » dont Thiers, ce voltairien, parlera en 1850 à son tour, « prévue par la nature pour assurer l'aisance de l'élite ». Auteur de « Représentants », dans l'Encyclopédie, Diderot précisera lui sans détours que les possédants seuls sont qualifiés pour un rôle national.
Je vous présente « Les Lumières » !
L’idée d’en finir avec la religion catholique n’est pas nouvelle…
Voltaire veut en finir avec le christianisme et ne s'en cache pas. « Là où douze faquins ont réussi (les apôtres, ces marins-pêcheurs, ces méprisables, ces gens de la tourbe) pourquoi six hommes de mérite (unissant leurs efforts) ne réussiraient-ils pas ? » La bande à Jésus a su lancer le christianisme ; d'Alembert, Diderot, d'Holbach, Grimm, Helvétius et lui-même, Voltaire, s'ils savent s'y prendre, sont tout à fait capables de détruire cette fable.
Réelle est l'influence des « Lumières » sur la Révolution et l'irréligion affirmée, offensive, militante, à la fin du XVIIIe siècle…
Le bien commun est remplacé par le profit… C’est la naissance de la République… : la société fondée sur le bien commun est remplacée par une société fondée sur le profit « pour tous »… ( le plus fort l'emporte ! ). La Révolution française et par suite la République est donc l’arrivée au pouvoir de ces traîtres à la Nation.

( Réfs : M. Henri GUILLEMIN )