Oui je peux le clamer : tu avais qualifié Maïmonide -l'antichrist raciste- de "grand" !
J’ai cherché et revérifié sur le moteur de recherche de gloria.tv dans la rubrique « commentaires » et il se trouve que je n’ai jamais écrit « le grand Maïmonide » mais « le grand savant juif Maïmonide » que St Thomas affuble donc de l’expression positive « l’aigle de la synagogue ». Maïmonide était en effet …Plus
Oui je peux le clamer : tu avais qualifié Maïmonide -l'antichrist raciste- de "grand" !
J’ai cherché et revérifié sur le moteur de recherche de gloria.tv dans la rubrique « commentaires » et il se trouve que je n’ai jamais écrit « le grand Maïmonide » mais « le grand savant juif Maïmonide » que St Thomas affuble donc de l’expression positive « l’aigle de la synagogue ». Maïmonide était en effet un grand savant même si ses écrits sont en partie gravement erronés et même s’il lui manquait la science essentielle et salutaire qu’est la connaissance aimante du Christ Jésus, Sauveur et Seigneur.
Une xième fois, le calomniateur stupide et totalement décomplexé SC2 a déformé mon propos, de même je n’ai pas traité "apvs" de "commentateur de merde"… jusqu’à preuve du contraire.
SC2 est incapable de mettre en doute véritablement ses pseudo-certitudes et il prétend même mieux connaître intimement la mémoire de son contradicteur que lui, comme s’il était dans sa conscience intime !
L’incapacité à douter véritablement de ses propres pensées personnelles matériellement très faillibles, et le fait d’attribuer à autrui de façon aussi certaine que fantasmatique des pensées et des sentiments que celui-ci n’a pas forcément ( de la haine comme dans le cas de la paranoïa ou de l’amour comme dans le cas de l’érotomanie ), n’est pas signe de bonne santé mentale mais au contraire de déséquilibre. Les démons utilisent parfois les failles mentales, par exemple en matière de calomnie.
Avant que tu ne sois tenté par l'accusation et la calomnie à mon égard, saches bien, ô imbécile, que mon propos a été très exactement celui-ci : "Ben à en lire certains modernistes schismatiques apostats qui voient dans l'islam, le judaïsme ou le bouddhisme des chemins POSSIBLES de Salut, on peut penser que non."
Je ne vois pas ce que l’insulte « imbécile » vient faire là-dedans si ce n’est pour enfumer encore bêtement quelque faille argumentaire. Un, le calomniateur en l’occurrence c’est SC2 qui inverse encore, très à l’aise, les torts. Deux, je n’ai jamais dit ni sous-entendu que ces traditions soient de possibles chemins per se de salut, ni d’ailleurs le Saint Magistère :
(Audience générale du pape St Jean-Paul II expliquant aux fidèles comment la voie du salut passe par le Christ et par l’Église)
« « Hors du Christ et de l’Église, point de salut » - Cet axiome signifie que, pour ceux qui n’ignorent pas que l’Église a été fondée par Dieu en Jésus-Christ comme nécessaire, il est obligatoire d’y entrer et d’y persévérer afin d’obtenir le salut (cf. LG 14). Pour ceux qui, au contraire, n’ont pas reçu l’annonce de l’Évangile, comme je l’ai écrit dans l’encyclique Redemptoris Missio, le salut est accessible par des voies mystérieuses, dans la mesure où la grâce divine leur est donnée en vertu du sacrifice rédempteur du Christ, sans adhésion extérieure à l’Église, mais toujours, pourtant, en relation avec elle (cf. RM 10). Il s’agit d’une “relation mystérieuse” : mystérieuse pour ceux qui la reçoivent, dans la mesure où ils ne connaissent pas l’Église et, même parfois, la rejettent extérieurement ; mystérieuse aussi en elle-même, dans la mesure où elle est liée au mystère salvifique de la grâce, qui comporte une référence essentielle à l’Église fondée par le Sauveur. Pour agir, la grâce salvifique requiert une adhésion, une coopération, un oui au don divin : cette adhésion est, au moins implicitement, orientée vers le Christ et l’Église. On peut donc dire aussi : “sine Ecclesia nulla salus” – “sans l’Église, point de salut” – : l’adhésion à l’Église-Corps mystique du Christ, quoique implicite et justement mystérieuse, constitue une condition essentielle pour le salut. Les religions peuvent exercer une influence positive sur la destinée de ceux qui en font partie et en suivent les directives avec sincérité de cœur. Mais si l’action décisive pour le salut est l’œuvre de l’Esprit Saint, nous devons reconnaître que l’homme reçoit son salut uniquement du Christ, par l’Esprit Saint. […] D’où l’importance du rôle indispensable de l’Église. […] ceux qui ignorent le Christ sans faute de leur part, se trouvent dans une condition d’obscurité et de pénurie spirituelles, ayant souvent aussi des répercussions négatives sur le plan culturel et moral. L’action missionnaire de l’Église peut leur donner les conditions d’un plein développement de la grâce salvifique du Christ, leur proposant l’adhésion pleine et consciente du message de la foi et la participation active à la vie ecclésiale par les sacrements. Telle est la ligne théologique tirée de la tradition chrétienne. Le magistère de l’Église l’a suivie dans la doctrine et dans la pratique comme la voie tracée par le Christ lui-même pour les apôtres et pour les missionnaires de tous les temps » (DI, n° 832)161.
Fin de citation.
Comme quoi, l'interreligieux ...!
Le dialogue interreligieux est une œuvre bonne aux yeux du Saint Magistère qui cependant est conscient des risques de relativisme, de syncrétisme et d’indifférentisme dans sa mise en pratique erronée et dans l’interprétation erronée de ce dialogue.
Ouf ! La bouée de sauvetage de l'acte non magistériel...
Qualifier une réalité pour ce qu’elle est, c’est faire preuve d’honnête réalisme, sans arrière-pensées.