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L'archevêque "ravi" de la plus grande mosquée de France

L'archevêque de Reims, Éric de Moulins-Beaufort, en France, s'est dit ravi de la construction de la Grande Mosquée de Reims, la plus grande mosquée de France, lors de son inauguration le 14 mars. …More
L'archevêque de Reims, Éric de Moulins-Beaufort, en France, s'est dit ravi de la construction de la Grande Mosquée de Reims, la plus grande mosquée de France, lors de son inauguration le 14 mars.
L'archevêque a prononcé un discours lors de l'événement. Il a rappelé que son prédécesseur avait soutenu le projet dès le début.
De Moulins-Beaufort a littéralement dit : "Ensemble avec moi, les catholiques de Reims sont ravis de pouvoir glorifier Dieu créateur et miséricordieux en ce lieu."
#newsIqbiyqasdm
apvs
Oui, par son Incarnation rédemptrice, le Christ s’est uni « en quelque sorte » à tout homme (Gaudium et Spes, 22)
NON, C'EST TOTALEMENT FAUX.
au niveau du sanctuaire de sa conscience qui réside dans l’âme spirituelle humaine. Ce faisant Il s’est sans doute uni plus intimement encore à l'homme que par Son acte créateur originel et continué de Vie qui est « lumière pour tout homme » (Cf. Prologue …More
Oui, par son Incarnation rédemptrice, le Christ s’est uni « en quelque sorte » à tout homme (Gaudium et Spes, 22)

NON, C'EST TOTALEMENT FAUX.

au niveau du sanctuaire de sa conscience qui réside dans l’âme spirituelle humaine. Ce faisant Il s’est sans doute uni plus intimement encore à l'homme que par Son acte créateur originel et continué de Vie qui est « lumière pour tout homme » (Cf. Prologue de St Jean www.aelf.org/bible/Jn/1), et ce malgré la chute originelle qui obscurcit fortement en l’âme humaine la connaissance spirituelle de Dieu.

ET POURQUOI C'EST TOTALEMENT FAUX ?
C'EST TRES SIMPLE A COMPRENDRE, L'EVANGILE VIENT A NOTRE AIDE :

Parce que la Vérité est venue sur notre terre afin de nous introduire dans la Vérité toute entière, sans se dissimuler à notre esprit.
Si effectivement, le Christ s'était uni "en quelque sorte" à tout homme ( en sorte de cheval ? de vache ? de cochon ? Soit Il s'est uni, soit Il ne s'est pas uni à tout homme, Dieu n'est pas le Dieu des demi-mesures ! ) , ALORS IL NOUS L'AURAIT CLAIREMENT SIGNIFIE, A NOUS, ET AUX HOMMES A QUI IL NOUS ENVOYAIT ( car oui, il est opportun de le rappeler : nous sommes censés être des envoyés du Christ pour évangéliser le monde ! )

Or, est-ce que le Christ nous dit :


" Allez par le monde entier, et annoncez à tous que Je me suis "en quelque sorte" uni à tous par mon Incarnation ! De sorte que ceux qui se feront baptisés seront sauvés, ET CEUX QUI NE SE FERONT PAS BAPTISES SERONT SAUVES AUSSI, EN VERTU DU FAIT QU'ILS SAVENT QUE JE ME SUIS "EN QUELQUE SORTE" UNI A EUX PAR MON INCARNATION " ( !!! )
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( Aussi vrai qu'être uni à Dieu et à son Christ, c'est l'assurance de la Vie éternelle :
" Qui mange ma Chair et boit mon Sang demeure en Moi, et Moi en lui. "
" Le Père ne veut qu'aucun de ses petits ne se perdent "
" Mes brebis entendent ma voix; je les connais, et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle; et elles ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main. Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tous; et personne ne peut les ravir de la main de mon Père. " )

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Non. Force est de constater que le Christ ne dit pas DU TOUT cela.
MAIS ALORS ???? QUE DIT-IL DONC ???
Du calme. Il suffit d'ouvrir le Livre, de mettre ses lunettes ( pour ceux qui en ont ) et DE LIRE :

" Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné.… " ( Marc 16 )

Il sera CONDAMNE... Est-ce là le signe que Dieu est sévère et intraitable, sans miséricorde, dur avec les hommes ? Mais non. C'EST LE SIGNE INFAILLIBLE QUE, PUISQUE SANS LE BAPTÊME, AUCUN HOMME N'EST UNI AU CHRIST, NI DONC A SON SACRIFICE REDEMPTEUR, NI DONC AU PERE ET A L'ESPRIT SAINT, REFUSER DE CROIRE AU CHRIST ET DE RECEVOIR LE BAPTÊME QUI UNI A LUI, C'EST SE CONDAMNER SOIS-MÊME A LA MORT !

Si le Christ s'est "en quelque sorte" uni à tous les hommes lors de son Incarnation, les ayant donc tous sauvés dès sa naissance immaculée dans le sein de la Vierge, son Sacrifice sur la Croix ETAIT "EN QUELQUE SORTE" INUTILE POUR LE SALUT ! ET QUOI DE PLUS COHERENT, PUISQUE DIEU N'A NUL BESOIN DE SACRIFICE, APRES TOUT...
apvs
Et alors, il s'en suit qu'il faudrait " se promener par le monde entier, et faire la promotion du baptême comme l'une des sources possibles du salut, tout en rappelant qu'il n'est pas obligatoire, puisque "chers frères, vous êtes déjà le Christ, vous êtes déjà incorporés au Christ de part son Incarnation, à l'insu de votre plein gré, automatiquement."
C'EST TOTALEMENT FAUX, ENCORE UNE FOIS. …
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Et alors, il s'en suit qu'il faudrait " se promener par le monde entier, et faire la promotion du baptême comme l'une des sources possibles du salut, tout en rappelant qu'il n'est pas obligatoire, puisque "chers frères, vous êtes déjà le Christ, vous êtes déjà incorporés au Christ de part son Incarnation, à l'insu de votre plein gré, automatiquement."

C'EST TOTALEMENT FAUX, ENCORE UNE FOIS.

ON EST SAUVE PAR L'UNION AU CHRIST, ET PAR LUI AU PERE ET A L'ESPRIT SAINT, NON PAS A L'INSU DE SON PLEIN GRE, MAIS PAR LA FOI LIBRE ET CONSENTIE A TOUTE LA FOI CATHOLIQUE EN NOTRE SEIGNEUR JESUS-CHRIST, FOI QUI SE MANIFESTE PAR LA RECEPTION DU BAPTÊME ET DE TOUS LES AUTRES SACREMENTS CATHOLIQUES.
Spina Christi 2
La louange de mes lèvres
"La vieille histoire du bon Samaritain a été le modèle et la règle de la spiritualité du Concile."
Ben le concile, il aurait d'abord fallu qu'il la comprenne cette "vieille histoire" !
Car le "Bon Samaritain" n'est autre que notre Sauveur, SEUL SAUVEUR, Jésus-Christ, et "l'Auberge" son Eglise.
Il fallait donc que ce concile -torpillé par les progressistes et les sectes …
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La louange de mes lèvres
"La vieille histoire du bon Samaritain a été le modèle et la règle de la spiritualité du Concile."

Ben le concile, il aurait d'abord fallu qu'il la comprenne cette "vieille histoire" !

Car le "Bon Samaritain" n'est autre que notre Sauveur, SEUL SAUVEUR, Jésus-Christ, et "l'Auberge" son Eglise.

Il fallait donc que ce concile -torpillé par les progressistes et les sectes judéo-maçonniques- fasse du Christ le Seul Rédempteur, et de l'Eglise le seul "lieu" sur terre où les "blessés" du péché peuvent être sauvés (= hors de l'Eglise point de salut).

Au lieu de ça, ça a été la désertion des églises, des suicides de prêtres obligés de se parjurer dans leur serment antimoderniste, près de 100.000 autres prêtres qui ont défroqué, des rencontres interreligieuses, des rencontres syncrétistes, des louanges à Allah/Satan dans des églises, des évêques inaugurant des temples de Satan, d'autres déclarant "plus théologiquement acceptable" de convertir les Juifs etc.

A arbre mauvais, fruits pourris !
Catholique et Français
Le Culte de l’Homme, le "nouvel humanisme" (sic !) promu par "saint" Paul VI a beau se parer de citations de l’Évangile (comme la "vieille" (sic !) histoire du Bon Samaritain) et des apparences de la Charité, il n’en est pas moins une idolâtrie, une apostasie, un adultère ou une prostitution. Car c’est tout simplement oublier que le monde est volontairement sous la coupe de satan et que, s’il …More
Le Culte de l’Homme, le "nouvel humanisme" (sic !) promu par "saint" Paul VI a beau se parer de citations de l’Évangile (comme la "vieille" (sic !) histoire du Bon Samaritain) et des apparences de la Charité, il n’en est pas moins une idolâtrie, une apostasie, un adultère ou une prostitution. Car c’est tout simplement oublier que le monde est volontairement sous la coupe de satan et que, s’il est vrai que le Christ est mort sur la Croix pour le Salut de tous les hommes et que toute la création attend sa libération, comme le dit l’Apôtre, il va de soi que cela ne peut pas être dans une révolte, dans le cadre d'une monstrueuse religion de l'Homme qui se fait Dieu (que "saint" Paul VI qualifie à juste titre comme telle) contre son Dieu-Sauveur, en se faisant Dieu soi-même (2Thé), mais en se plaçant sous sa divine Autorité et celle de Église instituée par Lui à la Pentecôte (la première Pentecôte, la seule, la vraie, et non celle que l'on a annoncée au début de Vatican II), Eglise Une, Sainte, Catholique et Apostolique !
apvs
"La vieille histoire" du bon Samaritain ( sic !!! ) 🤒
juste pour dire qu'il s'agirait d'une légende, qui remonterait sans doute à bien avant l'Evangile du Christ 🤦
VS : la Bonne Nouvelle du Bon Samaritain, la Parole Vivante de Dieu, toujours nouvelle, toujours agissante aujourd'hui.More
"La vieille histoire" du bon Samaritain ( sic !!! ) 🤒
juste pour dire qu'il s'agirait d'une légende, qui remonterait sans doute à bien avant l'Evangile du Christ 🤦

VS : la Bonne Nouvelle du Bon Samaritain, la Parole Vivante de Dieu, toujours nouvelle, toujours agissante aujourd'hui.
Spina Christi 2
"Qu’un certain cardinal a estimé, à tort, qu’il fut juste en tant qu'aumônier d’hôpital d’accompagner des musulmans agonisants en récitant avec eux le credo islamique dans le cas où étaient absents des aumôniers musulmans; que l’archevêque de Reims estime juste, encore à tort, de partager haut et fort et sans réserve la joie de musulmans qui inaugurent une grande mosquée à Reims, lieu très …More
"Qu’un certain cardinal a estimé, à tort, qu’il fut juste en tant qu'aumônier d’hôpital d’accompagner des musulmans agonisants en récitant avec eux le credo islamique dans le cas où étaient absents des aumôniers musulmans; que l’archevêque de Reims estime juste, encore à tort, de partager haut et fort et sans réserve la joie de musulmans qui inaugurent une grande mosquée à Reims, lieu très symbolique; que des prêtres estiment juste, sans doute à tort encore, d’inviter des musulmans à chanter des cantiques islamiques dans des cathédrales; et que même un saint pape estima juste (A TORT) d’embrasser un coran dans un certain contexte, et cetera : tous ces actes sont éventuellement significatifs des certaines faiblesses et ambiguïtés du dernier Concile universel de l’Église"

A arbre mauvais, fruits pourris !
juristecatholique
Cet évêque est un traitre .... et sera traité comme tel un jour !
Psaume 62
Extraits du discours de saint Paul VI en clôture du saint concile Vatican II :
« (...) Ce que fut ce Concile, ce qu'il a accompli, ce serait naturellement le sujet de cette méditation que Nous faisons au moment de le terminer, mais elle requerrait trop d'attention et de temps et en ce moment ultime, si émouvant, Nous ne sommes peut-être pas à même de réaliser pareille synthèse avec assez de …More
Extraits du discours de saint Paul VI en clôture du saint concile Vatican II :

« (...) Ce que fut ce Concile, ce qu'il a accompli, ce serait naturellement le sujet de cette méditation que Nous faisons au moment de le terminer, mais elle requerrait trop d'attention et de temps et en ce moment ultime, si émouvant, Nous ne sommes peut-être pas à même de réaliser pareille synthèse avec assez de tranquillité. Nous voulons réserver ces moments précieux à une seule pensée qui tout à la fois nous abaisse dans l'humilité et nous exalte au comble de nos aspirations. Cette pensée, la voici : quelle est la valeur religieuse de notre Concile ? Religieuse, disons-Nous, pour marquer le rapport direct au Dieu vivant, ce rapport qui est la raison d'être de l'Église et de tout ce que l'Église croit, espère et aime, de tout ce qu'elle est, de tout ce qu'elle fait. Pouvons-Nous dire que nous avons rendu gloire à Dieu, que nous avons cherché à le connaître et à l'aimer, que nous avons progressé dans l'effort pour le contempler, dans la préoccupation de le louer et dans l'art de proclamer ce qu'il est aux hommes qui nous regardent comme pasteurs et maîtres dans les voies de Dieu ?

Nous croyons franchement que oui, notamment parce que c'est de cette intention première et profonde que jaillit l'idée de réunir un Concile. Ils résonnent encore dans cette basilique, que Nous pouvons bien appeler l'auteur de ce grand rassemblement.

« La tâche la plus importante du Concile, disait-il, est de garder et de proposer d'une manière plus efficace le dépôt de la foi chrétienne... Il est bien vrai que le Christ a dit : « Cherchez d'abord le royaume de Dieu et sa justice », il nous montre par là où doivent tendre surtout nos forces et nos pensées. ». Au projet a succédé la réalisation.

Pour l'apprécier comme il convient, il faut se rendre compte du moment où elle s'est accomplie. C'est dans un temps que tous reconnaissent comme orienté vers la conquête du royaume terrestre plutôt que vers le Royaume des cieux, un temps où l'oubli de Dieu devient courant et semble, à tort, suggéré par le progrès scientifique, un temps où la personne humaine, qui a pris davantage conscience d'elle-même et de sa liberté, tend essentiellement à s'affirmer dans une autonomie absolue et à s'affranchir de toute loi qui la dépasse. C'est dans un temps où le laïcisme semble découler normalement de la pensée moderne, et représenter la sagesse dernière de l'ordre social temporel, un temps aussi où les expressions de la pensée touchent au comble de l'irrationnel et du désespoir, où l'on peut remarquer enfin, même dans les grandes religions qui se partagent les peuples de la terre, des signes de trouble et de régression comme jamais encore on en avait vus. C'est dans ce temps-là que le Concile s'est tenu, en l'honneur de Dieu, au nom du Christ et sous l'impulsion de l'Esprit-Saint. Cet Esprit « qui pénètre toute chose », qui ne cesse d'animer l'Église « afin de nous faire connaître les dons de Dieu sur nous » (1 Cor., 2, 10-12), c'est lui qui donne à l'Église la vision à la fois profonde et totale de la vie et du monde. Grâce au Concile, la manière de concevoir l'homme et l'univers en référence à Dieu comme à leur centre et à leur fin s'est élevée devant l'humanité, sans craindre l'accusation d'être dépassée et étrangère à l'homme. Cette conception, que le jugement du monde qualifiera d'abord de folie, mais qu'il reconnaîtra ensuite, nous l'espérons, comme vraiment humaine, pleine de sagesse et porteuse de salut, prétend que Dieu existe.

Oui, qu'il est une réalité, un être vivant et personnel, qu'il exerce une providence, qu'il est infiniment bon, et non seulement en lui-même, mais d'une bonté sans mesure à notre égard également, qu'il est notre créateur, notre vérité, notre bonheur, au point que l'effort de fixer en lui notre regard et notre coeur, dans cette attitude que nous appelons contemplation, devient l'acte le plus élevé et le plus plénier de l'esprit, celui qui aujourd'hui encore peut et doit ordonner l'immense pyramide des activités humaines.
On dira que le Concile, plus que des vérités relatives à Dieu, s'est occupé surtout de l'Eglise, de sa nature, de sa structure, de sa vocation oecuménique, de son activité apostolique et missionnaire. Cette société religieuse séculaire qu'est l'Eglise s'est efforcée de réfléchir sur elle-même pour mieux se connaître, pour mieux se définir et pour régler en conséquence ses sentiments et ses préceptes. C'est vrai. Mais cette introspection n'a pas été une fin pour elle-même, elle n'a pas été un acte de simple sagesse humaine, de seule culture terrestre.

L'Église s'est recueillie dans l'intimité de sa conscience spirituelle, non pas pour se complaire dans de savantes analyses de psychologie religieuse ou d'histoire des expériences, ni non plus pour s'appliquer à réaffirmer ses droits et à décrire ses lois.

L'Église s'est recueillie pour retrouver en elle-même la Parole du Christ, vivante et opérante dans l'Esprit-Saint, pour scruter plus à fond le mystère, c'est-à-dire le dessein et la présence de Dieu au-dessus et au-dedans de soi, et pour raviver en soi cette foi, qui est le secret de sa sécurité et de la sagesse, et cet amour qui l'oblige à chanter sans cesse les louanges de Dieu : « Chanter est le propre de celui qui aime », dit saint Augustin (Serm. 336, P. L, 38, 1472). Les documents conciliaires, principalement ceux qui traitent de la Révélation divine, de la liturgie, de l'Église, des prêtres, des religieux, des laïcs, laissent clairement transparaître cette intention religieuse, directe et primordiale, et montrent combien limpide, fraîche et riche est la vie spirituelle que le contact vital avec le Dieu vivant fait jaillir dans le sein de l'Église et, de l'Église, se répandre sur le sol aride de notre terre.

Mais Nous ne pouvons négliger une observation capitale dans l'examen du sens religieux de notre Concile : il s'est très vivement intéressé à l'étude du monde moderne.


Jamais peut-être comme en cette occasion, l'Église n'a éprouvé le besoin de connaître, d'approcher, de comprendre, de pénétrer, de servir, d'évangéliser la société qui l'entoure, de la saisir et pour ainsi dire de la poursuivre dans ses rapides et continuelles transformations.

Cette attitude, provoquée par l'éloignement et les ruptures qui séparèrent l'Église de la civilisation profane au cours des siècles derniers, surtout au XIXe et en notre siècle, et toujours inspirée par la mission de salut qui est essentielle à l'Église, a fortement et constamment fait sentir son influence dans le Concile : au point de faire naître chez certains le soupçon qu'à cause de l'influence de la doctrine du « relativisme » un excès de tolérance et de considération pour le monde extérieur, l'actualité qui passe, les modes en matière de culture, les besoins contingents, la pensée des autres, aient prévalu chez certains membres du Concile et dans certains de ses actes, au détriment de la fidélité due à la tradition et aux finalités de l'orientation religieuse du Concile lui-même. Pour Notre part, Nous n'estimons pas qu'on puisse taxer de pareille déviation ce Concile, en ce qui concerne ses véritables et profondes intentions et ses manifestations authentiques.

Nous voulons plutôt souligner que la règle de notre Concile a été avant tout la charité. Et qui pourrait accuser le Concile de manquer d'esprit religieux et de fidélité à l'Evangile pour avoir choisi cette orientation de base, si l'on se rappelle que c'est le Christ lui-même qui nous a appris à regarder l'amour pour nos frères comme le signe distinctif de ses disciples (cf. Jean, 13, 35), et si on laisse résonner dans son coeur les paroles de l'apôtre :
« La religion pure et sans tache devant Dieu notre Père consiste en ceci : visiter les orphelins et les veuves dans leurs épreuves, se garder de toute souillure du monde ». (Jacques l, 27) ou encore celle-ci : « Qui n'aime pas son frère qu'il voit, comment pourrait-il aimer Dieu qu'il ne voit pas ? » (1 Jean, 4, 20).

L' Église du Concile, il est vrai, ne s'est pas contentée de réfléchir sur sa propre nature et sur les rapports qui l'unissent à Dieu : elle s'est aussi beaucoup occupée de l'homme, de l'homme tel qu'en réalité il se présente à notre époque : l'homme vivant, l'homme tout entier occupé de soi, l'homme qui se fait non seulement le centre de tout ce qui l'intéresse, mais qui ose se prétendre le principe et la raison dernière de toute réalité.
Tout l'homme phénoménal, comme on dit de nos jours, c'est-à-dire avec le revêtement de ses innombrables apparences, s'est comme dressé devant l'Assemblée des Pères conciliaires, des hommes, eux aussi, tous pasteurs et frères, attentifs donc et aimants : l'homme tragique victime de ses propres drames, l'homme qui, hier et aujourd'hui, cherche à se mettre au-dessus des autres, et qui, à cause de cela, est toujours fragile et faux, égoïste et féroce; puis l'homme insatisfait de soi, qui rit et qui pleure.; l'homme versatile, prêt à jouer n'importe quel rôle, et l'homme raide. qui ne croit qu'à la seule réalité scientifique; l'homme tel qu'Il est, qui pense, qui aime, qui travaille, qui attend toujours quelque chose, « l'enfant qui grandit »(Gen., 49, 22), et l'homme qu'on doit considérer avec une certaine vénération à cause de l'innocence de son enfance, le mystère de sa pauvreté et sa douleur pitoyable ; l'homme individualiste et l'homme social ; l'homme, « qui loue le temps passé » et l'homme qui rêve à l'avenir ; l'homme pécheur et l'homme saint ; et ainsi de suite. L'humanisme …
Psaume 62
(suite) ... L'humanisme laïque et profane enfin est apparu dans sa terrible stature et a, en un certain sens, défié le Concile.
La religion du Dieu qui s'est fait homme s'est rencontrée avec la religion (car c'en est une) de l'homme qui se fait Dieu.
Qu'est-il arrivé ? Un choc, une lutte, un anathème ? Cela pouvait arriver ; mais cela n'a pas eu lieu. La vieille histoire du bon Samaritain a …More
(suite) ... L'humanisme laïque et profane enfin est apparu dans sa terrible stature et a, en un certain sens, défié le Concile.

La religion du Dieu qui s'est fait homme s'est rencontrée avec la religion (car c'en est une) de l'homme qui se fait Dieu.

Qu'est-il arrivé ? Un choc, une lutte, un anathème ? Cela pouvait arriver ; mais cela n'a pas eu lieu. La vieille histoire du bon Samaritain a été le modèle et la règle de la spiritualité du Concile. Une sympathie sans bornes pour les hommes l'a envahi tout entier. La découverte et l'étude des besoins humains (et ils sont d'autant plus grands que le fils de la terre se fait plus grand), a absorbé l'attention de notre Synode.

Reconnaissez-lui au moins ce mérite, vous, humanistes modernes, qui renoncez à la transcendance des choses suprêmes, et sachez reconnaître notre nouvel humanisme : nous aussi, nous plus que quiconque, nous avons le culte de l'homme. Et dans l'humanité, qu'a donc considéré cet auguste sénat, qui s'est mis à l'étudier sous la lumière de la divinité ? Il a considéré une fois encore l'éternel double visage de l'homme : sa misère et sa grandeur, son mal profond, indéniable, de soi inguérissable, et ce qu'il garde de bien, toujours marqué de beauté cachée et de souveraineté invincible. Mais il faut reconnaître que ce Concile, dans le jugement qu'il a porté sur l'homme, s'est arrêté bien plus à cet aspect heureux de l'homme qu'à son aspect malheureux. Son attitude a été nettement et volontairement optimiste.

Un courant d'affection et d'admiration a débordé du Concile sur le monde humain moderne. Des erreurs ont été dénoncées. Oui, parce que c'est l'exigence de la charité comme de la vérité mais, à l'adresse des personnes, il n'y eut que rappel, respect et amour.
Au lieu de diagnostics déprimants, des remèdes encourageants ; au lieu de présages funestes, des messages de confiance sont partis du Concile vers le monde contemporain : ses valeurs ont été non seulement respectées, mais honorées ; ses efforts soutenus, ses aspirations purifiées et bénies.

Voyez, par exemple : les langues innombrables parlées par les peuples d'aujourd'hui ont été admises à exprimer liturgiquement la parole des hommes à Dieu et la parole de Dieu aux hommes ; à l'homme comme tel, on a reconnu la vocation fondamentale à une plénitude de droits et à une transcendance de destin ; ses aspirations à l'existence, à la dignité de la personne, à la liberté honnête, à la culture, au renouvellement de l'ordre social, à la justice, à la paix, ont été rendues à leur pureté et encouragées ; et à tous les hommes a été adressée l'invitation pastorale et missionnaire à la lumière évangélique. C'est trop brièvement que Nous parlons maintenant des multiples et très vastes questions concernant le bien-être humain, dont le Concile s'est occupé ; et il n'a pas entendu résoudre tous les problèmes urgents de la vie moderne ; certains d'entre eux ont été réservés à une étude ultérieure que l'Eglise se propose de faire, beaucoup ont été tentés en termes très brefs et généraux, susceptibles par conséquent d'approfondissements ultérieurs et d'applications diverses.

Mais il est bon de noter ici une chose : le magistère de l'Eglise, bien qu'il n'ait pas voulu se prononcer sous forme de sentences dogmatiques extraordinaires, a étendu son enseignement autorisé à une quantité de questions qui engagent aujourd'hui la conscience et l'activité de l'homme ; il en est venu, pour ainsi dire, à dialoguer avec lui; et tout en conservant toujours l'autorité et la force qui lui sont propres, il a pris la voix familière et amie de la charité pastorale, il a désiré se faire écouter et comprendre de tous les hommes; il ne s'est pas seulement adressé à l'intelligence spéculative, mais il a cherché à s'exprimer aussi dans le style de la conversation ordinaire. En faisant appel à l'expérience vécue, en utilisant les ressources du sentiment et du coeur, en donnant à la parole plus d'attrait, de vivacité et de force persuasive, il a parlé à l'homme d'aujourd'hui, tel qu'il est.

Il est encore un autre point que Nous devrions relever : toute cette richesse doctrinale ne vise qu'à une chose : servir l'homme. Il s'agit, bien entendu, de tout homme, quels que soient sa condition, sa misère et ses besoins. L'Église s'est pour ainsi dire proclamée la servante de l'humanité juste au moment où son magistère ecclésiastique et son gouvernement pastoral ont, en raison de la solennité du Concile, revêtu une plus grande splendeur et une plus grande force:l'idée de service a occupé une place centrale dans le Concile. Tout cela, et tout ce que Nous pourrions encore dire sur la valeur humaine du Concile, a-t-il peut-être fait dévier la pensée de l'Eglise en Concile vers les positions anthropocentriques prises par la culture moderne ?

Non, l'Église n'a pas dévié, mais elle s'est tournée vers l'homme. Et celui qui considère avec attention cet intérêt prépondérant porté par le Concile aux valeurs humaines et temporelles ne peut nier d'une part que le motif de cet intérêt se trouve dans le caractère pastoral que le Concile a voulu et dont il a fait en quelque sorte son programme et, d'autre part, il devra reconnaître que cette préoccupation elle-même n'est jamais dissociée des préoccupations religieuses les plus authentiques, qu'il s'agisse de la charité qui seule suscite ces préoccupations (et là où se trouve la charité là se trouve Dieu), ou du lien – constamment affirmé et mis en valeur par le Concile – existant entre les valeurs humaines et temporelles et les valeurs proprement spirituelles, religieuses et éternelles. L'Église se penche sur l'homme et sur la terre, mais c'est vers le royaume de Dieu que son élan la porte.

La mentalité moderne, habituée à juger toutes choses d'après leur valeur, c'est-à-dire leur utilité, voudra bien admettre que la valeur du Concile est grande au moins pour ce motif : tout y a été orienté à l'utilité de l'homme. Qu'on ne déclare donc jamais inutile une religion comme la religion catholique qui, dans sa forme la plus consciente et la plus efficace, comme est celle du Concile, proclame qu'elle est tout entière au service du bien de l'homme. La religion catholique et la vie humaine réaffirment ainsi leur alliance, leur convergence vers une seule réalité humaine : la religion catholique est pour l'humanité ; en un certain sens, elle est la vie de l'humanité. Elle est la vie, par l'explication que notre religion donne de l'homme ; la seule explication, en fin de compte, exacte et sublime. (L'homme laissé à lui-même n'est-il pas un mystère à ses propres yeux ?)

Elle donne cette explication précisément en vertu de sa science de Dieu :
pour connaître l'homme, l'homme vrai, l'homme tout entier, il faut connaître Dieu. Qu'il Nous suffise pour le moment de citer à l'appui de cette affirmation le mot brûlant de sainte Catherine de Sienne : « C'est dans ta nature, ô Dieu éternel, que je connaîtrai ma propre nature. » (Or. 24.) La religion catholique est la vie, parce qu'elle décrit la nature et la destinée de l'homme ; elle donne à celui-ci son véritable sens. Elle est la vie, parce qu'elle constitue la loi suprême de la vie et qu'elle infuse à la vie cette énergie mystérieuse qui la rend vraiment divine.

Mais, vénérables Frères et vous tous, Nos chers fils ici présents, si nous nous rappelons qu'à travers le visage de tout homme - spécialement lorsque les larmes et les souffrances l'ont rendu plus transparent - Nous pouvons et devons reconnaître le visage du Christ (cf. Matt., 25, 40), le Fils de l'homme, et si sur le visage du Christ nous pouvons et devons reconnaître le visage du Père céleste : « Qui me voit, dit Jésus, voit aussi le Père » (Jean, 14, 9), notre humanisme devient christianisme, et notre christianisme se fait théocentrique, si bien que nous pouvons également affirmer : pour connaître Dieu, il faut connaître l'homme.

Mais alors, ce Concile, dont les travaux et les préoccupations ont été consacrés principalement à l'homme, ne serait-il pas destiné à ouvrir une nouvelle fois au monde moderne les voies d'une ascension vers la liberté et le vrai bonheur ? Ne donnerait-il pas, en fin de compte, un enseignement simple, neuf, neuf et solennel pour apprendre à aimer l'homme afin d'aimer Dieu ?

Aimer l'homme, disons-Nous non pas comme un simple moyen, mais comme un premier terme dans la montée vers le terme suprême et transcendant. Et alors, le Concile tout entier se résume finalement dans cette conclusion religieuse: il n'est pas autre chose qu'un appel amical et pressant qui convie l'humanité à retrouver, par la voie de l'amour fraternel, ce Dieu dont on a pu dire : « S'éloigner de lui, c'est périr; se tourner vers lui, c'est ressusciter; demeurer en lui, c'est être inébranlable...; retourner à lui, c'est renaître; habiter en lui, c'est vivre, » (Saint Augustin, Solil. l, 1,3; P. L., 32, 870.) Voilà ce que Nous espérons au terme de ce second Concile oecuménique du Vatican et au début de l'entreprise de renouvellement humain et religieux qu'il s'était proposé d'étudier et de promouvoir; voilà ce que Nous espérons pour nous-mêmes, vénérables Frères et Pères de ce même Concile; voilà ce que nous espérons pour l'humanité tout entière qu'ici nous avons appris à aimer davantage et à mieux servir.

Et tandis que, dans ce but, Nous invoquons encore l'intercession des saints Jean-Baptiste et Joseph, patrons de ce Synode oecuménique, des saints apôtres Pierre et Paul, fondements et colonnes de la Sainte Église, auxquels Nous associons sait Ambroise, l'évêque dont Nous célébrons aujourd'hui la fêle, unissant en lui de quelque façon l'Église d'Orient et celle d'Occident, Nous implorons également et de tout coeur la protection de la Très Sainte Vierge Marie, mère du Christ, et que pour cela Nous appelons aussi Mère de l'Église, et d'une seule voix, d'un seul coeur, nous rendons grâce et gloire au Dieu vivant et véritable, au Dieu unique et souverain, au Père, au Fils et au Saint-Esprit. Amen. »
Steph-Etienne
Recherchez sur internet :Paul VI et le culte de l'homme .
Visionnez la vidéo "Brest of : folie et imposture des pseudos-catholiques" 🤮 . (15 minutes )
Catholique et Français
"...L'Humanisme laïque et profane enfin est apparu dans sa terrible stature et a, en un certain sens, défié le Concile. La Religion du Dieu qui s'est fait homme s'est rencontrée avec la Religion (car c'en est une !) de l'Homme qui se fait Dieu. Qu'est-il arrivé ? Un choc, une lutte, un anathème ? Cela pouvait arriver; mais cela n'a pas eu lieu. La vieille histoire du bon Samaritain a été le …More
"...L'Humanisme laïque et profane enfin est apparu dans sa terrible stature et a, en un certain sens, défié le Concile. La Religion du Dieu qui s'est fait homme s'est rencontrée avec la Religion (car c'en est une !) de l'Homme qui se fait Dieu. Qu'est-il arrivé ? Un choc, une lutte, un anathème ? Cela pouvait arriver; mais cela n'a pas eu lieu. La vieille histoire du bon Samaritain a été le modèle et la règle de la spiritualité du Concile. Une sympathie sans bornes pour les Hommes l'a envahi tout entier. La découverte et l'étude des besoins humains (et ils sont d'autant plus grands que le Fils de la Terre se fait plus grand), a absorbé l'attention de notre Synode. Reconnaissez-lui au moins ce mérite, vous, humanistes modernes, qui renoncez à la transcendance des choses suprêmes, et sachez reconnaître notre nouvel humanisme : Nous aussi, Nous plus que quiconque, nous avons le Culte de l'Homme !..." ("saint" Paul VI, discours de clôture du Concile Vatican II, 7 décembre 1965). C'est pas moi, c'est un "saint" pape à la mode de Vatican II qui le dit : la rencontre du Catholicisme et de la Religion de l'Homme qui se fait Dieu ("Vous serez comme des Dieux !" a dit en Genèse III,5 satan qui se cache habilement derrière l'"Homme") n'a donné lieu, comme "CELA POUVAIT ARRIVER" (sic ! Et pourquoi donc cela "pouvait arriver" mais "n'a pas eu lieu" ??? 😉 ) ni à un "choc", ni à "une lutte", ni surtout à un "anathème" (sic ! Et pourquoi donc, pour quelle raison y-aurait-il eu "choc", "lutte" ou "anathème" ??? 😉 ) mais à une "sympathie sans borne"... pour le "Fils de la Terre" (sic ! Qu'est-ce que c'est que ce langage... bizarre ??? 😉 ) !!! "Saint" Paul VI a-t-il appris ces mots dans la "Chambre de Méditation" où il s'est recueilli avant son discours pour le moins... bizarre à l'ONU ? 😉
Psaume 62
Oui, par son Incarnation rédemptrice, le Christ s’est uni « en quelque sorte » à tout homme (Gaudium et Spes, 22) au niveau du sanctuaire de sa conscience qui réside dans l’âme spirituelle humaine. Ce faisant Il s’est sans doute uni plus intimement encore à l'homme que par Son acte créateur originel et continué de Vie qui est « lumière pour tout homme » (Cf. Prologue de St Jean www.aelf.org …More
Oui, par son Incarnation rédemptrice, le Christ s’est uni « en quelque sorte » à tout homme (Gaudium et Spes, 22) au niveau du sanctuaire de sa conscience qui réside dans l’âme spirituelle humaine. Ce faisant Il s’est sans doute uni plus intimement encore à l'homme que par Son acte créateur originel et continué de Vie qui est « lumière pour tout homme » (Cf. Prologue de St Jean www.aelf.org/bible/Jn/1), et ce malgré la chute originelle qui obscurcit fortement en l’âme humaine la connaissance spirituelle de Dieu. « Et moi, quand j'aurai été élevé de la terre, j'attirerai tous les hommes à moi. » (Jean 12.32). L’Église par sa prédication, ses sacrements et son témoignage de charité attire progressivement en Jésus-Christ tous les hommes de bonne volonté qui parce qu’ils l’ont reçu, soit par foi explicite et en étant baptisés, soit par foi et par désir implicites (de baptême), deviennent en Lui véritablement des « enfants de Dieu », si bien que petit à petit et au final il n'y ait plus qu'"un seul troupeau et un seul Berger" (Jean 10.6).
Psaume 62
S’il est vrai que des erreurs par omission et par ambiguïté quant à la foi des musulmans, erreurs qui cependant ne concernent pas directement la foi et la morale catholique, sont contenues dans certains énoncés du saint concile Vatican II, qui est pastoral et doctrinal, et s’il est vrai que beaucoup de pasteurs de l’Église, jusqu’à des papes, ont commis des actes très discutables voire …More
S’il est vrai que des erreurs par omission et par ambiguïté quant à la foi des musulmans, erreurs qui cependant ne concernent pas directement la foi et la morale catholique, sont contenues dans certains énoncés du saint concile Vatican II, qui est pastoral et doctrinal, et s’il est vrai que beaucoup de pasteurs de l’Église, jusqu’à des papes, ont commis des actes très discutables voire éventuellement blâmables dans le domaine pratique interreligieux, en revanche le concile Vatican II n’est pas en lui-même hérétique. Lire à ce sujet l'analyse édifiante www.islam-et-verite.com/au-sujet-du-dia… de M. l'abbé Pagès, mentionnée plus bas par lui dans un commentaire.

Qu’un certain cardinal a estimé, à tort, qu’il fut juste en tant qu'aumônier d’hôpital d’accompagner des musulmans agonisants en récitant avec eux le credo islamique dans le cas où étaient absents des aumôniers musulmans; que l’archevêque de Reims estime juste, encore à tort, de partager haut et fort et sans réserve la joie de musulmans qui inaugurent une grande mosquée à Reims, lieu très symbolique; que des prêtres estiment juste, sans doute à tort encore, d’inviter des musulmans à chanter des cantiques islamiques dans des cathédrales; et que même un saint pape estima juste d’embrasser un coran dans un certain contexte, et cetera : tous ces actes sont éventuellement significatifs de certaines faiblesses et ambiguïtés du dernier Concile universel de l’Église, pourtant par ailleurs très riche, mais il reste, Dieu merci, qu’il est tout à fait possible à la fois d’adhérer au concile Vatican II et de désapprouver fermement de tels actes pratiques d’ordre interreligieux.
Psaume 62
Dire que la Sainte Église à travers le Concile Vatican II rendit « superflus » la Croix du Christ, la Foi, le Baptême et la Règne social du Christ, et qu’à travers lui Elle fit sien « le culte de l’Homme » des humanistes sans Dieu, revient à tordre complètement Sa Pensée et Sa Foi ! Et exiger d’autre part qu’Elle anathématise ex cathedra dans le futur Son dernier Concile général, participe …More
Dire que la Sainte Église à travers le Concile Vatican II rendit « superflus » la Croix du Christ, la Foi, le Baptême et la Règne social du Christ, et qu’à travers lui Elle fit sien « le culte de l’Homme » des humanistes sans Dieu, revient à tordre complètement Sa Pensée et Sa Foi ! Et exiger d’autre part qu’Elle anathématise ex cathedra dans le futur Son dernier Concile général, participe d’une espèce de bouffonnerie qui s’ignore et qui se prend au sérieux.
avecrux.avemaria
eh mais c'est bon si on arrête d'être des lèche-bottes ! Dieu nous demande de prier pour leurs âmes pas de leur faire la bise à tout bout de champs pour faire joli devant les médias ! 🤬
abbepages
apvs
" Sans limite "... Oui, Dieu est sans limite, mais AMOUR sans limite. Ce pauvre évêque irresponsable a confondu AMOUR et APOSTASIE sans limite.
" Demandez-moi de renier ma foi, d'accord, mille fois d'accord ! : pourvu qu'ainsi, je sois réunis à n'importe quel homme sur la terre comme à un frère, pour n'importe quel culte, pourvu que je n'ai plus à lui dire une Vérité qui le dérange. "
Triste …
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" Sans limite "... Oui, Dieu est sans limite, mais AMOUR sans limite. Ce pauvre évêque irresponsable a confondu AMOUR et APOSTASIE sans limite.
" Demandez-moi de renier ma foi, d'accord, mille fois d'accord ! : pourvu qu'ainsi, je sois réunis à n'importe quel homme sur la terre comme à un frère, pour n'importe quel culte, pourvu que je n'ai plus à lui dire une Vérité qui le dérange. "
Triste parodie de l'Evangile de Notre Seigneur Jésus-Christ :

"Allez par le monde entier, et FAÎTES CROIRE A TOUS LES HOMMES DE TOUTES LES RELIGIONS QU'ILS SONT EN PLEINE COMMUNION AVEC VOUS, QU'ILS CONNAISSENT AUSSI BIEN QUE VOUS LE VRAI DIEU ET QU'ILS PEUVENT LE VENERER AVEC VOUS, SANS AVOIR BESOIN DE SE CONVERTIR, SANS AVOIR A ME CONNAÎTRE, EN CONTINUANT A APOSTASIER LA VRAIE FOI." 🤮
Catholique et Français
"Allez par le monde entier, et FAÎTES CROIRE A TOUS LES HOMMES DE TOUTES LES RELIGIONS QU'ILS SONT EN PLEINE COMMUNION AVEC VOUS, QU'ILS CONNAISSENT AUSSI BIEN QUE VOUS LE VRAI DIEU ET QU'ILS PEUVENT LE VENERER AVEC VOUS, SANS AVOIR BESOIN DE SE CONVERTIR, SANS AVOIR A ME CONNAÎTRE, EN CONTINUANT A APOSTASIER LA VRAIE FOI." (sic !) >>>>> c'est précisément dans "Gaudium et Spes" de Vatican II, ajouté …More
"Allez par le monde entier, et FAÎTES CROIRE A TOUS LES HOMMES DE TOUTES LES RELIGIONS QU'ILS SONT EN PLEINE COMMUNION AVEC VOUS, QU'ILS CONNAISSENT AUSSI BIEN QUE VOUS LE VRAI DIEU ET QU'ILS PEUVENT LE VENERER AVEC VOUS, SANS AVOIR BESOIN DE SE CONVERTIR, SANS AVOIR A ME CONNAÎTRE, EN CONTINUANT A APOSTASIER LA VRAIE FOI." (sic !) >>>>> c'est précisément dans "Gaudium et Spes" de Vatican II, ajouté par "saint" Jean-Paul II, alors simple prélat Wojtyla : "...Par son Incarnation, le Fils de Dieu s'est uni en quelque sorte à tout homme... (22, 2)" Alors, ça suffit les fourberies et les filandreux "en quelque sorte" (Oui-oui ! Non-non !), il faut arrêter de prendre les catholiques pour des imbéciles et des ignares, de nous dire que nous n'avons "pas lu les documents conciliaires", qu'il y a du bon dans le Concile (ce qui est exact !) tout en occultant soigneusement l'arsenic distillé ça et là, que l'"esprit" a parlé, que le Concile est infaillible tout en n'étant pas infaillible et bla, bla, bla... Il faut le crier haut et fort, sans se lasser, et si nous ne le crions pas, les pierres crieront : le Concile Vatican II mène tout droit, sans détour, à l'apostasie, à l'enfer ! Nous attendons, nous exigeons le procès en bonne et dûe forme, avec clarifications, destruction des ambiguïtés assassines et sentences ex cathedra à la clé !!! "Courage, on (ou plutôt le Coeur Immaculé de Marie) les aura !"
Catholique et Français
...suite et fin de mon commentaire : "Car, par son Incarnation, le Fils de Dieu s’est en quelque sorte uni lui-même à tout homme…" C'est ce principe qui fait la transition du christianisme à l’Humanisme universel, le monstrueux accouplement du Culte de Dieu et du Dieu fait homme, au Culte de l’Homme, de l’"Homme qui se fait Dieu" (2Thé). Voilà la plus grande inversion de la Foi qui ait jamais …More
...suite et fin de mon commentaire : "Car, par son Incarnation, le Fils de Dieu s’est en quelque sorte uni lui-même à tout homme…" C'est ce principe qui fait la transition du christianisme à l’Humanisme universel, le monstrueux accouplement du Culte de Dieu et du Dieu fait homme, au Culte de l’Homme, de l’"Homme qui se fait Dieu" (2Thé). Voilà la plus grande inversion de la Foi qui ait jamais été enseignée !!! Notre-Seigneur, par son Incarnation et sa Rédemption, serait le "révélateur" pour l’Homme de sa propre grandeur, de sa valeur, de son mérite, et le convaincrait de sa propre excellence ! Jamais, jamais on n’avait osé faire ainsi de Jésus et de ses Mystères de Grâce la caution et le moteur de l’orgueil humain, comme l'a expliqué l'abbé de Nantes il y a déjà bien longtemps.
Pire encore, si cela est possible, c’est la participation au Mystère de Pâques qui est “en quelque sorte” (sic ! "en quelque sorte" !) étendue au genre humain tout entier : «...Cela ne vaut pas seulement pour ceux qui croient au Christ, mais bien pour tous les hommes de bonne volonté, dans le cœur desquels, invisiblement, agit la Grâce. En effet, puisque le Christ est mort pour tous et que la vocation dernière de l’Homme est réellement unique, à savoir divine, nous devons tenir que l’Esprit-Saint offre à tous, d’une façon que Dieu connaît, la possibilité d’être associé au mystère pascal.» (n° 22, 5). La Croix du Christ, l’Église, la Foi, le baptême, la Chrétienté, en deviennent de fait superflus, accessoires, puisque tout homme, élevé à une dignité sans égale, est déjà entré dans la voie de son Salut ! Et c'est EXACTEMENT, de fait, ce que la quasi-totalité de la hiérarchie de l'Eglise professe et met en pratique depuis 1965, FIDELE à la fois à l'"esprit" et à la lettre du Concile ! Il est donc grotesque, imbécile, pitoyable, consternant, vicieux, de s'indigner ou de s'étonner des effarantes conséquences visibles par tous et partout de nos jours et de fermer systématiquement les yeux sur les causes premières de ces horreurs ! Kyrie Eleison ! Christe Eleison ! Notre-Dame, Pitié !
Olivier L
Ravi de voir fleurir les bâtiments de la secte mahométane ?
AveMaria44
Traître et dhimmi, la plus grande mosquée de France à Reims une insulte à tous nos rois....... 😡 😡 😡 🤮
Etienne bis
Non seulement insulte aux rois, mais aussi dénigrement de tous les Français.
ne nous laissez pas succomber
@Spina Christi 2 autant ce demander si Judas c'est "repenti " ? le Vatican est plein de petit Judas en ses temps , j'attend le grand nettoyage .
Spina Christi 2
Voici en quoi consiste "glorifier Dieu créateur et miséricordieux en ce lieu" :
"Combattez dans le sentier d’Allah ceux qui vous combattent, et ne transgressez pas. Certes, Allah n’aime pas les transgresseurs!
Et tuez-les, où que vous les rencontriez; et chassez-les d’où ils vous ont chassés: l’association
(le Dogme de la Très Sainte Trinité) est plus grave que le meurtre. Mais ne les combattez …More
Voici en quoi consiste "glorifier Dieu créateur et miséricordieux en ce lieu" :
"Combattez dans le sentier d’Allah ceux qui vous combattent, et ne transgressez pas. Certes, Allah n’aime pas les transgresseurs!
Et tuez-les, où que vous les rencontriez; et chassez-les d’où ils vous ont chassés: l’association
(le Dogme de la Très Sainte Trinité) est plus grave que le meurtre. Mais ne les combattez pas près de la Mosquée sacrée avant qu’ils ne vous y aient combattus. S’ils vous y combattent, tuez-les donc. Telle est la rétribution des mécréantswww.islam-fr.com/…/sourate-2-al-ba… S’ils cessent, Allah est, certes, Pardonneur et Miséricordieux.
Et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association
(de christianisme) et que la religion soit entièrement à Allah seul." (coran, sourate 2 : 190 à 193)

En inaugurant ce temple de Satan cet évêque a renié le Christ Jésus et s'est fourvoyé pour aller dans la voie de l'apostasie et de la perdition !

Il a trahi et empoisonné les brebis dont il a la charge de les guider dans la Vérité !

Puisse-t-il se reprendre, se repentir sincèrement et se confesser de son péché mortel !
Catholique et Français
Certes il se conduit en apostat, mais c'est bien Vatican II ("Nostra Aetate", "Dignitatis Humanae" et "Gaudium et Spes") qui lui a ouvert la large porte qui mène à la perdition...
Spina Christi 2
Nous aussi, cher Catholique et Français avons (théoriquement) pour guides ces textes conciliaires, et pourtant ni vous ni moi n'irions inaugurer un temple de Satan ni assister aux louanges de Mahomet dans une église.
Donc : qu'avons nous de plus -ou de moins- que ces évêques ?
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Nous aussi, cher Catholique et Français avons (théoriquement) pour guides ces textes conciliaires, et pourtant ni vous ni moi n'irions inaugurer un temple de Satan ni assister aux louanges de Mahomet dans une église.

Donc : qu'avons nous de plus -ou de moins- que ces évêques ?
avecrux.avemaria
Le souci est que nous cautionnons ces textes ! C'est du pareil au même. Je commence sérieusement à me poser des questions. Je vais finir dans la bande à Gilbert ou des sedevac si ça continue. 🙏