(MariaValtorta, «l'Évangile tel qu'il m'a été révélé» tome 3)

"Bienheureux serai-je si j'ai un esprit pacifique".
La paix est une des caractéristiques de Dieu. Dieu n'est que dans la paix. Car la paix est amour alors que la guerre est haine.

Satan, c'est la Haine. Dieu, c'est la Paix.

Personne ne peut se dire fils de Dieu et Dieu ne peut reconnaître pour son fils un homme qui a un esprit irascible et toujours prêt à déchaîner des tempêtes.

Il purifie l'air des miasmes des aigreurs, il calme les flots furieux des procès par cette huile suave qu'est l'esprit de paix qui émane des fils de Dieu.
Faites que Dieu et les hommes puissent vous appeler ainsi.
(Correspondance avec Matthieu 5,9)

Notre Pape François porte la "Croix" avec le Christ, il ne la cache pas.
Voir photo ci-dessous.

Bienheureux les artisans de paix...

"Les béatitudes sont un don de Dieu.
Mais ce don de Dieu implique en même temps une réponse de notre part, un certain engagement. Certes, nous ne pouvons les vivre sans l'Esprit Saint.
Mais Jésus nous l'a affirmé : "Quand l'Esprit Saint vous sera donné, vous réaliserez des œuvres encore plus grandes que moi." Vouloir être disciple de Jésus, vouloir être son serviteur, c'est dire comme Marie à l'Annonciation : "Qu'il me soit fait selon ta parole", qu'il me soit fait selon les béatitudes."

"C'est par le Rosaire, c'est-à-dire à l'école de Jésus et de Marie, que l'Esprit Saint nous fait entrer dans l'esprit des béatitudes. Pour être vécues dans toute leur profondeur, leur universalité, leur unité, les béatitudes doivent trouver leur source et aussi leur achèvement intérieurs dans les mystères joyeux et douloureux que Jésus a vécus avec Marie. Les huit béatitudes sont autant de voies spirituelles, de chemins de foi et d'espérance. Mais la source en est unique : c'est "le cœur unique de Jésus et de Marie", selon l'expression de saint Jean Eudes. Car Jésus et Marie ont vécu les béatitudes en toute perfection dans l'unité de deux cœurs humains identifiés par l'Esprit Saint."

Pour toutes les mamans et pour notre Maman Marie

père François. Que l'Esprit-Saint nous ouvre les oreilles et les yeux du coeur et de l'esprit.

Trois petits brins de muguet pour vous saint Père.

Le pouvoir des mots et des "maux."

Voilà à quoi ces échanges et réflexions qui n'ont rien de très courtois et respectueux envers son prochain, pas même chrétiens, m'ont fait penser :

"Il comprend rien.
Dis lui toi Toby parce que moi j'y arrive plus!"

Excusez-moi pour cette publicité qui ne convertira personne.

@ SimonANDRE
Je n'ai pas du tout le même regard que vous porter sur notre très Sainte Mère l'Eglise.
Catholique=universelle.

Elle est une Mère, pleine d'amour, qui tend ses bras (en Croix) en accueillant tous ses enfants.
Ne faites pas de notre Mère, l'Eglise, une image froide, morte, ou tournée vers le passé, comme la femme de Loth.

"Il s'est fait pauvre pour nous enrichir par Sa pauvreté" (2cor8,9)

Au sujet de la prière de louange, je vous laisse méditer ces paroles de notre "petit" Pape François.

« La louange de Dieu est totalement gratuite ». Elle est aussi « un acte de justice, parce qu’Il est grand ! Il est Dieu ! », et elle « pousse à la joie de la fête : la fête de famille ». Celui qui loue le fait « de tout [son] cœur », et comme David « avec son corps ».

Lorsque David rentre dans le palais, sa femme Mikal le « méprise » pour cette danse : « Je me demande combien de fois nous méprisons dans notre cœur des personnes bonnes, de braves gens qui louent le Seigneur comme ça leur vient, aussi spontanément, parce qu’ils ne sont pas cultivés, ils n’empruntent pas des comportements formels ? »

Si « la Bible dit que Mikal est restée stérile toute sa vie à cause de cela », cela signifie « que la joie, la prière de louange rend féconds. Cet homme ou cette femme qui loue le Seigneur, qui se réjouit de ce qu’il dit en priant le Gloria, le Sanctus à la messe, est un homme fécond, une femme féconde ».

En revanche « ceux qui se renferment dans le formalisme d’une prière froide, mesurée, finissent peut-être comme Mikal, dans un formalisme stérile ».

Laissez notre Dieu-Esprit-Saint prendre l'initiative et qui promet :"Je danserai pour toi avec des cris de joie" "Le Seigneur danse en toi avec des cris de joie" selon un psaume.

"Vous serez bien surprise quand vous vous rendrez compte de ce qu'est l'"Eglise" dans laquelle vous êtes..."
Ouvrons notre coeur et laissons à notre Dieu l'initiative de nous surprendre.

"Si tu savais le Don de Dieu"

Bon et saint Dimanche de Carême.

Merci Françoise, pour ce regard, celui du Coeur de notre Mère l'Eglise, posé sur les divorcés-remariés.
Merci à notre Seigneur en notre Mère l'Eglise qui ne repousse pas l'"autre" comme le ferait des esprits sectaires, mais qui l'accueille, en une attitude humble.

Merci d'avoir souligné ce qui reste un péché d'adultère, sans l'atténuer, sans l'encourager, mais sans enfoncer ou juger le pécheur, tout en rappelant l'attitude du pharisien et du publicain qui lui, repart justifié, tout en nous proposant votre très belle méditation sur le regard et parole de Jésus à la Samaritaine: "Si tu savais le don de Dieu".

"annuler un mariage ce n'est pas annuler une naissance"
La communion spirituelle, en E(é)glise, en ce geste d'adoration, (en Esprit et en Vérité) peut porter beaucoup de fruits, pour la reconstruction de l'enfant.
A ce sujet, j'ai entendu ou lu un témoignage d'une maman "divorcée et remariée" qui accompagnait ses deux enfants (issus d'un d'un premier et d'un deuxième mariage) vers les Sacrements de l'Eglise, et dont l'un est devenu prêtre.

J'ai goûté cette vidéo du début jusqu'à la fin et je conseille votre livre qui ne peut que réconcilier tous les divorcés-remariés avec le Christ, au sein de notre Mère l'Eglise.

Pour ceux qui ne voient l'Eglise, aujourd'hui, comme une contrefaçon, c'est bien regrettable pour vous d'avoir "divorcé" en vous coupant ainsi de notre Mère.

Soumission ne veut pas dire "écrasement" ou "aliénation".
C'est la reconnaissance mutuelle, le respect mutuel: l'une dans son autorité de chef de famille ("autorité" qui ne veut pas dire supériorité), l'autre dans son rôle de "reine" du foyer.
Il n'y a pas d'égalité, mais complémentarité.
St Paul s’adresse aux obligations des époux qui sont tout aussi astreignantes que celles de leurs épouses :
" Maris, aimez vos femmes comme le Christ a aimé l'Église et s'est livré pour elle ; il a voulu ainsi la rendre sainte en la purifiant avec l'eau qui lave et cela par la Parole ; il a voulu se la présenter à lui-même splendide, sans tache ni ride, ni aucun défaut ; il a voulu son Église sainte et irréprochable. C'est ainsi que le mari doit aimer sa femme, comme son propre corps " (Ep 5,25-28).

"Voilà où réside la nouveauté de l’Évangile : les maris doivent se livrer pour leurs femmes comme le Christ s'est livré pour l'Église. S’il ne conteste pas, à première vue, une situation culturelle où une position d'autorité était reconnue à l'homme, l'auteur de la lettre montre ainsi comment la primauté de l'homme devient en Jésus-Christ une primauté d'amour. À l’opposé des abus auxquels leur situation de chef conduisaient les maris, l'amour à l'exemple du Christ devient donc le fondement de l'exigence pour les maris de se donner totalement à leurs femmes.

En affirmant que la relation entre l’homme et sa femme ne peut plus être déterminée par des réflexes de supériorité mais par une attitude faite de dépossession et d’abandon ; en invitant aussi les femmes à respecter réellement leurs maris, l’auteur de cette lettre élevait également le mariage au rang de sacrement de l’Amour du Christ pour l’Église. Au même moment, il annonçait que la nature réelle de l’union conjugale nous est révélée par l’acte d’offrande du Christ qui, en se livrant pour l’humanité, a manifesté la profondeur et la grandeur de l’Amour de Dieu.

Plus que quiconque, l’auteur de la lettre savait pourtant que, dans cet ordre nouveau instauré par le Christ, chaque membre du couple aurait à vaincre sa tentation propre. Pour la femme, invitée à respecter son époux, il s’agirait de ne pas simuler une fausse soumission et de ne pas se jouer de son mari en le dominant en réalité ! Quant au mari, atteint dans ses prérogatives masculines, il lui faudrait apprendre à se méfier de ses réflexes de domination. Une telle transformation des rapports humains réclamait la conversion et de l’un et de l’autre. Elle impliquait une reconnaissance mutuelle, aucun des deux au sein du couple ne cherchant à aliéner l’autre ou à le confisquer.

© Pierre Debergé, SBEV / Éd. du Cerf, Cahier Évangile n° 126 (décembre 2003), "Paul, le pasteur" (p.44)"

Aujourd'hui très peu de couples sont préparés au sacrement du mariage.
Si, bien des maris ont perdus leur repères, leur vocation de chef de famille, nous le devons, peut-être, à cet effet inverse de ces femmes (maman et épouses) qui ont été blessées par le passé et qui, sous prétexte d'égalité (par réactions) ont fini par faire subir une sorte de castration chez l'homme.
Ce n'est que mon point de vue qui, je l'avoue, reste très complexe.