@La louange de mes lèvres : Ephesiens 5,11 "Ne prenez point part aux oeuvres infructueuses des ténèbres, mais plutôt condamnez les"
L'Eglise est éclipsée, il n'y a plus de pape digne .

Vous voyez François en tant que pape , c'est votre choix .

@Stephane77 2 Je constate que vous n’avez pas répondu à ma question : Où donc alors est votre Pape qui ACTUELLEMENT exerce le magistère VISIBLE et VIVANT de l'Eglise, conformément à la nécessité enseignée par la Foi catholique (Cf les citations plus bas) ?

Les actes de nature politique et diplomatique des Papes relèvent de jugements prudentiels faillibles. Ces domaines exigent souvent une grande habileté.

Comme je vous l’ai dit hier, l’Eglise peut être infiltrée et cernée par quantité d’ennemis intérieurs et extérieurs mais selon les promesses du Seigneur il n’est pas possible que le Siège Apostolique erre dans l’hérésie intrinsèque. Votre position idéologique n’est pas catholique. Elle vous place en dehors de l’Eglise catholique romaine.

@La louange de mes lèvres : l'esprit libéral était bien ancré dans les années 50 , et donc une certaine corrélation avec l'acceptation du concile V2 , et des ennemis de l'Eglise . Exemple avec l'entretien de Paul VI et ses frères du B'nai B'rith, le 2 juin 1971 .... Vatican II et ses appels du pied à Assise en 1986 ... aux religions, au nouvel ordre mondial ... non pas pour évangéliser, mais reconnaître en eux un autre moyen de salut , en dehors de Jésus.

Les dossiers déclassifiés = récent . Le cardinal Siri n'avait pas intérêt à ce que ça se sache , y avez-vous pensé ? .

L'effondrement du mur de Berlin , sans doute que Jean-Paul II y avait contribué ; mais les relents du communisme sont encore à l'action partout dans le monde , jusque dans les actes de la politique républicaine française .

"Celui qui persevera jusqu'à la fin sera sauvé" Jean 8,31.

Êtes-vous heureux de voir prochainement SAINT PAUL VI sur les autels ? . Non mais franchement ! .

@AveMaria44 La pratique religieuse a certes "décroché" depuis le milieu des années 60, soit juste à la fin du Concile, mais elle déclinait progressivement depuis le milieu des années 50 dans la plupart des pays occidentaux. Remarquez que jamais dans l’histoire de l’Eglise on a vu un Concile général impacter immédiatement l’expérience du peuple de Dieu. Les historiens de l’Eglise parlent habituellement d’une durée d’un demi-siècle voire d’un siècle pour que les directives d’un Concile général impactent réellement le peuple catholique. Remarquez également que la réforme liturgique de 1969 n’avait pas encore été promulguée quand ce décrochage manifeste de la pratique religieuse commença...

Les causes de l’effondrement de la pratique religieuse en Occident (car d'autres Eglises sont en bonne santé) sont en effet très lointaines (sécularisation anticléricale des sociétés surtout depuis la Révolution française) mais s’agissant de l’ « apostasie silencieuse » (dixit Jean-Paul II) occidentale contemporaine, ses causes sont plus complexes que ce que veulent bien dire les traditionalistes anticonciliaires que vous êtes. Nul ne peut nier en effet que l’après-guerre et les Trente Glorieuses qui s’en suivirent ont achevé d’approfondir des bouleversements sociaux profonds et INÉDITS : exode rural massif (alors que le catholicisme séculaire était à dominante très rurale), progrès scientifiques prodigieux ( 1- espérance de vie en nette croissance, mortalité infantile en très net déclin : d’où la tentation bien humaine de fuir l’angoisse de la mort et de remettre au lendemain les préoccupations religieuses ; 2- émergence de la société de consommation et des loisirs multiples dont la TV, etc. ), lesquels bouleversements ont eu des conséquences incroyables et rapides sur la mentalité inconsciente des gens qui furent de moins en moins sous l’influence consciente et bénéfique du catholicisme authentique. Sans parler du climat idéologique et politique puissamment délétère des années 60 et 70 qui fut marqué par l’influence antagoniste du marxisme et du libéralisme, idéologies très influentes jusqu’au sein d’une grande partie du clergé ! (alors que toutes deux sont dans leurs principes anticatholiques) durant la Guerre Froide qui opposait le bloc de l’Ouest et le bloc de l’Est. Sans évoquer non plus les conséquences négatives dans l’inconscient collectif occidental de la compromission récente d’une partie certes assez minoritaire mais très visible des catholiques et des protestants dans la collaboration avec les fascismes racistes, laquelle compromission eut fatalement tendance à inciter les catholiques durant l’après-guerre à donner avec zèle des gages de loyauté aux systèmes républicains et démocratiques, au risque de s’attiédir fortement et de conclure des alliances politiques très discutables.

Par conséquent, imputer la responsabilité principale de la crise spirituelle occidentale actuelle au Concile Vatican II et au magistère post-conciliaire des Papes, relève dans le meilleur des cas du parti pris idéologique téméraire et dans tous les cas ça n’est pas une attitude catholique.

Si la majorité des évêques et de tout le clergé avaient été fidèles aux directives conciliaires et postconciliaires, il est très probable que le peuple catholique non seulement aurait gardé majoritairement la foi catholique (même si la foi est un acte libre auquel il est possible de résister en préférant l’amour des créatures à celui du Créateur) mais en plus il aurait continué à évangéliser ardemment le monde entier. L’Eglise d’après-guerre avait besoin d’une « mise à jour » pastorale, liturgique et doctrinale pour faire face aux défis contemporains. Le malheur est que de nombreux pasteurs libéraux ont pourri les richesses du Concile en entraînant hélas à leur suite une partie importante du peuple catholique.

Je suis réservé et perplexe face à certains actes du Pape actuel mais je m’efforce de l’aimer et de prier pour lui afin qu’il soit fidèle en tout aux inspirations de l’Esprit Saint et afin que si nécessaire notre Seigneur le corrige sur quelque point qui n’appartient pas en tant que tel à son magistère ordinaire universel infaillible. Que Dieu vous bénisse

@Stephane77 2 Où donc alors est votre Pape qui ACTUELLEMENT exerce le magistère VISIBLE et VIVANT de l'Eglise ? Le FBI (la CIA etc.) est connu pour ses intox manipulatoires surtout dans le contexte de la Guerre Froide. Les Etats-Unis auraient certes préféré des papes « caniches » ou vassaux durant l’après-guerre, à l’image de l’Union européenne vassalisée, des papes étant en toutes choses bien dociles à leurs intérêts stratégiques et politiques, mais l’Eglise s’est voulue indépendante vis-à-vis d'eux, donc ouverte également à un dialogue aussi habile qu'intransigeant avec les communistes qui manifestement ne fut pas vain au vu de l'effondrement du Mur de Berlin auquel l'Eglise a souterrainement contribué avec la grâce de Dieu, comme d'ailleurs l'ont reconnu depuis de hauts responsables américains.

Les infos de la sphère dite conspirationniste sont souvent très approximatives quand elles ne sont pas mensongères. Pour ma part je pense que si ces menaces étaient réelles il y aurait eu des fuites très évidentes et bruyantes par la suite d'au moins un ou deux cardinaux électeurs « repentis ». Le KGB d'autre part aurait été balourd d'assassiner des membres de la famille du cardinal Siri : cela aurait fini par se voir et à provoquer le scandale !

Le Siège Apostolique n’est pas occupé, ne vous en déplaise. En revanche il est plus que probable que la Curie vaticane, que le collège cardinalice et que les épiscopats soient composés de grands pécheurs et de tièdes qui sont sous l’influence de l’esprit du monde (comme d’ailleurs une partie du haut clergé le fut plus ou moins à toutes les époques) et même en partie de francs-maçon, avec ou sans tablier.

Certains Papes eux-mêmes peuvent également, dans une certaine mesure, s’agissant d’actes qui ne concernent pas leur magistère doctrinal universel, se montrer parfois faibles voire lâches face aux pressions des puissances séculières et autres lobbies (comme également ce fut le cas à toutes les époques). Mais cela ne porte pas atteinte directement au ministère pétrinien lui-même. Un pape validement élu peut même en théorie être un apostat et un hérétique dans son for intérieur mais le Seigneur nous a promis qu’aucun successeur de Saint Pierre authentique ne peut soutenir matériellement des hérésies intrinsèques.

Quant à ce que pense BHL du Concile et d’autres sujets, ça m’est complètement égal, comme n’est complètement égal ce que put en dire tel ou tel modérateur. En effet, « L’acte vraiment conciliaire, comme acte de l’Église, et qui mérite l’assistance de l’Esprit Saint, c’est le texte dans sa pleine formulation objective, approuvé par un acte définitif de l’Assemblée conciliaire et par le Souverain Pontife, quelque opinion particulière qu’aient pu avoir soutenu certains Pères conciliaires à son sujet » (Abbé Julio MEINVIELLE, De Lamennais à Maritain, appendice II : La déclaration conciliaire sur la liberté religieuse et la doctrine traditionnelle) . Bien à vous

Il est clair que celui qui aime le prochain comme lui-même, lui désire le seul Souverain Bien qui est la connaissance et l'amour du Seul vrai Dieu en trois Personnes. Celui qui respecte l'islam hait les musulmans, celui qui respecte le talmudisme hait les juifs.........Celui qui aime Bergoglio hait ses hérésies et ses scandales. Les hommes sont naturellement fils de colère, et non inconditionnellement aimés de Dieu. Ils doivent pour devenir fils adoptifs, faire l'hommage de leur volonté et de leur intelligence au Verbe incarné, à ses commandements, à la Révélation. Dire que Don Sarda n'est pas catholique est une absurdité.
Les fruits du "saint"concile et des "saints" papes :

Réflexions à propos de la parution du livre Comment notre monde a cessé d'être chrétien, Anatomie d'un grand effondrement (Seuil, février 2018), un livre de Guillaume Cuchet.

Ce livre-diagnostic, qui vient à peine de sortir, fera date. L'auteur, professeur d'histoire contemporaine à l'université Paris-Est Créteil, entend préciser à quel moment et pour quelles raisons a commencé, en France, le recul spectaculaire du catholicisme.

Pour lui – et c'est sous cet aspect qu'il intéresse particulièrement Paix Liturgique – le catholicisme d'une population se mesure extérieurement, qu'on le veuille ou non, par sa pratique dominicale régulière, qui manifeste et entretient, avec bien entendu des variantes et des nuances, un attachement à l'Église et à son corpus doctrinal. À défaut de cette pratique, une culture chrétienne peut persister un certain temps (ainsi Emmanuel Todd, dans Qui est Charlie ? Sociologie d'une crise religieuse, Seuil, 2015, a montré que les anciennes provinces françaises catholiques avaient plus fortement manifesté contre l'Islam radical), mais par la force des choses cette culture catholique elle-même va disparaissant.

C'est entre 1965 et 1966, que la pratique dominicale a décroché, c'est-à-dire à la fin du concile Vatican II, alors que la réforme liturgique avait commencé. Guillaume Cuchet combat l'idée reçue qui veut que Mai 68 et l'encyclique Humanæ Vitæ de Paul VI condamnant la contraception, publiée en juillet 68, aient été les déclencheurs de ce décrochement. Ils l'ont accentué, mais il a eu lieu avant, en 1965.

Cet effondrement a été d'autant plus spectaculaire que les enquêtes sociologiques précédentes, jusqu'en 1962, étaient plutôt optimistes. Lancées après la guerre, de manière très systématique, dans les diocèses et les paroisses, par le célèbre chanoine Boulard, sur un projet initial du sociologue Gabriel Le Bras, elles avaient abouti, à partir de 1947, à l'édition successives de cartes (les « cartes Boulard »), qui distinguaient les paroisses chrétiennes (Ouest, Pays Basque, sud, sud-est du Massif Central, cantons du Nord, Alsace), et les « pays de mission », où la pratique tombait à 40% et moins. Elles montraient que la période d'après-guerre a correspondu à une embellie pour le catholicisme français. Ce mieux se plaçait dans une série de flux et de reflux que Gérard Cholvy et Yves-Marie Hilaire ont mis en évidence dans leur Histoire religieuse de la France contemporaine (Privat, 1988) : hautes eaux vers 1760 ; reflux considérable avec la Révolution jusque vers 1830 ; remontée très notable jusqu'à l'installation de la Troisième République ; déclin à l'époque des lois anticléricales, qui cesse vers 1910 ; nouvelle remontée, enfin, qui culminera en 1960. Hauts et bas, cependant, sur une longue courbe constamment descendante depuis la Révolution, montrant une laïcisation progressive de la société. Une embellie donc, après la guerre, où on recueillait les fruits d'un réseau dense d'œuvres catholiques, d'un moindre anticléricalisme, d'une immigration italienne et polonaise pratiquante, d'un investissement considérable du clergé dans les patronages, écoles, œuvres de jeunesse. La transmission catholique était assurée : les jeunes devenant adultes pratiquaient dans la même proportion que leurs parents et même légèrement mieux. Et puis, patatras !

En mars 1975, entre bien d'autres études et sondages, une enquête révélait une chute de 47% de la pratique dans le diocèse de Paris depuis 1954. En 1974, à Lille, on constatait qu'un tiers des pratiquants avait disparu depuis les dernières années. Des analyses plus fines permettant de dater la chute de 1965-1966, plutôt en 1965.

De travaux en travaux, toutes les instances ecclésiastiques devaient convenir, tout en cherchant d'abord à minimiser, qu'un incroyable décrochement s'était produit. Qui plus est, il affectait tout particulièrement les jeunes de familles pratiquantes du baby-boom. Autrement dit, la génération de catholiques qui arrivait à 20 ans en1965, pour la première fois dans l'histoire, n'a pas bénéficié de la transmission de l'héritage catholique. Et bien entendu, ce fait colossal va désormais se démultiplier.

En définitive, d'une pratique dominicale, juste avant le Concile, en moyenne, de 25% des Français (avec 80% des enfants faisant leur communion solennelle, c'est-à-dire pratiquant et étant catéchisés jusqu'à l'âge de 12 ans), on est passé aujourd'hui, si on considère les vrais chiffres, ceux de la pratique tous les dimanches et non pas une fois par mois, à moins de 2% de pratiquants (très exactement : 1,8%, enquête Ipsos pour La Croix, 12 janvier 2017), les femmes pratiquant désormais aussi peu que les hommes. Et cet arasement est général : toutes les provinces, les villes comme les campagnes sont désormais à égalité, à ceci près que la société française s'est considérablement urbanisée et que les assemblée dominicales des villes sont de ce fait numériquement plus importantes que celles des chefs-lieux de cantons où est encore célébrée la messe le dimanche.
Il faut un sacré culot pour venir chanter les louanges du "saint" concile....

@La louange de mes lèvres : 1: j'ai jamais prétendu qu'il était un pape caché ... puisqu'il avait reçu des menaces contre sa famille , et refusa... ce n'est pas une théorie , mais un fait rapporté par un clerc pendant une discussion avec le cardinal Siri , les dossiers déclassifiés du FBI .... .
2 : l'Eglise est occupée depuis le concile V2 , au détriment des enseignements de saint Pie X , par exemple.
"Vatican II c'est une révolution extraordinaire" Bernard Henry Levy . 24/03/2016
Examinez les différences entre le carême avant, et après Vatican II .

@Stephane77 2 Votre théorie siriste anticonciliaire est contraire à la Foi catholique entre autres raisons parce que l’Eglise par volonté divine doit nécessairement être VISIBLE et exercer un magistère VIVANT et perpétuel par le truchement de pontifes, successeurs de Saint Pierre, garants de l’unité catholique et de l'intégrité de la Foi catholique, et d’évêques (aussi peu nombreux soient-ils) successeurs des Apôtres, qui sont unis à eux dans leur ministère pétrinien.

Citations du Magistère :

PIE XII (Encyclique Mystici corporis, 29 juin 1943) :

« Ceux-là se trompent donc dangereusement qui croient pouvoir s’attacher au Christ Tête de l’Église sans adhérer fidèlement à son Vicaire sur la terre. Car en supprimant ce Chef visible et en brisant les liens visibles de l’unité, ils obscurcissent et déforment le Corps mystique du Rédempteur au point qu’il ne puisse plus être reconnu ni trouvé par les hommes en quête du port du salut éternel »

Léon XIII (Encyclique Satis cognitum, 29 juin 1896) :

« Il est donc évident […] que Jésus-Christ a institué dans l’Église un magistère VIVANT ***, authentique et, de plus, PERPETUEL, qu’il a investi de sa propre autorité, revêtu de l’Esprit de vérité, confirmé par des miracles, et il a voulu et très sévèrement ordonné que les enseignements doctrinaux de ce magistère fussent reçus comme les siens propres. »www.clerus.org/…/Monseigneur_Fer…

*** « Un magistère vivant, c’est-à-dire qui s’exerce continuellement dans l’Église par la communication de la doctrine révélée. Ce magistère est vivant, en tant qu’il s’oppose au magistère encore exercé actuellement dans l’Église par des hommes qui ont disparu, mais auxquels leurs ouvrages ont survécu. Les protestants admettent que les Apôtres exercent encore actuellement dans l’Eglise un magistère, mais seulement par l’influence de leurs écrits : ils n’admettent donc qu’un magistère pour ainsi dire posthume » (« Tradition et Magistère », III, 3, 1, in Dictionnaire apologétique de la foi catholique (DAFC) IV, 1922 )

« Magistère […] vivant, c’est-à-dire qui demeure toujours dans des maîtres VIVANTS et s’exprime par leur bouche, et non pas ce Magistère, divin sans doute, mais mort, que les protestants cherchent dans l’Écriture » ( Auguste-Alexis GOUPIL, S.J., La Règle de la Foi )

@AveMaria44 Je pense pour ma part que le propos de Don Sarda est dans le cas d’espèce plutôt pertinent quoique étant assez déconcertant. La charité est en effet un mot qui souvent peut être galvaudé quand elle relève uniquement de mouvements sentimentaux de l’être qui alors sont déconnectés de la zone supérieure de l’être où se trouvent la volonté et l’intelligence qui sont fortement impliqués (sauf presque complètement en cas de handicap mental grave) dans la vie théologale.

Attention toutefois à ne pas diaboliser la zone affective de l’être humain qui est certes blessée par le péché originel, mais qui bien canalisée est une richesse pour la vie personnelle et sociale.

L’hérésie par excellence qu’est le modernisme libéral est composé d’un premier volet qui joue sur l’affectif, sur les sentiments, pour égarer, et d’un second volet qui paradoxalement puise à un intellectualisme subtil.

La charité peut donc, en certaines circonstances déterminées généralement non ordinaires, exiger des actes blessants voire cruels pour le bien et le salut du plus grand nombre. Mais ordinairement, la charité se doit de manifester les fruits de l’Esprit Saint, surtout à l’échelle personnelle, que sont « la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance » (Galates 5)

« Ne soyez point sages à vos propres yeux. Ne rendez à personne le mal pour le mal. Recherchez ce qui est bien devant tous les hommes. S'il est possible, autant que cela dépend de vous, soyez en paix avec tous les hommes. Ne vous vengez point vous-mêmes, bien-aimés, mais laissez agir la colère; car il est écrit : A moi la vengeance, à moi la rétribution, dit le Seigneur. Mais si ton ennemi a faim, donne-lui à manger; s'il a soif, donne-lui à boire; car en agissant ainsi, ce sont des charbons ardents que tu amasseras sur sa tête. Ne te laisse pas vaincre par le mal, mais surmonte le mal par le bien. » (Romains 12)

Et cette phrase de Saint Jean de la Croix ( qu’il faut bien entendu ne pas interpréter dans un sens absolu car les disciples du Christ ne sont pas plus grands que leur Maître et ils seront haïs, quoique différemment et à divers degrés selon les époques, par les méchants qui sont sous l’influence de satan ) : « Où il n'y a pas d'amour, sème l'amour et tu récolteras l'amour. »

Monsieur, si vous pensez que Don Sarda n'est pas catholique il est inutile d'aller plus avant. Il n'y a pas de pire sectaire que le libéral. Ni Lefebvriste, ni traditionaliste, ni sédévacantiste.....mon Dieu est catholique contrairement à celui de François/Bergoglio. L'Esprit-Saint est l'Esprit de Jésus-Christ, il ne peut ni se tromper, ni nous tromper, ni même se contredire. Et il ne se reçoit pas par l'imposition des mains de pasteurs protestants évangéliques, comme cela a été le cas pour le cardinal Bergoglio....
Quelques fruits du "saint" concile :

En Creuse, l'Église cherche à multiplier les fonds.. et les vocations ! Alors qu'elle lance sa nouvelle campagne pour la collecte du denier, afin d'attirer les jeunes à faire des dons, elle tente aussi d'attirer les jeunes prêtres dans le département, car la relève est encore loin d'être assurée.

Père Christian Dequidt, curé de Guéret, avec Mgr Pierre-Antoine Bozo, évêque du diocèse de Limoges, et Hervé Magne, économat du diocèse © Radio France - Pauline Pennanec'h

Guéret, France
Il n'y a plus assez de curés pour officier les messes creusoises ! Alors que le nombre de donateurs pour le denier de l'Église baisse en Limousin (-3%), on manque aussi cruellement de prêtres dans le département de la Creuse.
Ils ne sont plus que dix pour toute la Creuse, dont quatre sont officiellement à la retraite. Ces prêtres se partagent six paroisses (La Souterraine, Guéret, Aubusson/Felletin, Evaux/Chambon, Boussac/Gouzon, Bourganeuf), et certains couvrent jusqu'à 60 communes.
Difficile de trouver des remplaçants alors que certains partiront à la retraite d'ici à cinq ans, et au rythme de deux ordinations tous les deux ans dans le diocèse pour une dizaine de décès, la relève est encore loin d’être assurée.
Dans la paroisse de St Pardoux en Marche, à Guéret, le père Dequidt, 68 ans, ne cache pas qu'il ira jusqu'à ses 75 ans "si la santé me le permet". Il officie sur 51 communes, et ne compte plus les kilomètres au compteur : "On fait beaucoup de voiture ! Heureusement que beaucoup de laïcs sont engagés, ça nous aide beaucoup."
Pour pallier au manque, des curés étrangers viennent sauver les paroisses : "À Aubusson, il y a eu un prêtre vietnamien, et actuellement il y a un prêtre burkinabé", explique Jean-François Varnoux, délégué diocésain à la communication. Mais il nuance : "Ils ne sont pas là pour faire bouche-trou ou faire du remplacement, c'est aussi parce qu'ils ont été appelés à cette mission."
"On essaie de trouver des moyens d'être attirants"
Ce manque de prêtres, "c'est parfois un peu inquiétant" selon Monseigneur Pierre-Antoine Bozo, évêque de Limoges. "Nous avons deux séminaristes aujourd'hui dans le diocèse, et j'espère que nous en aurons autant de nécessaire pour combler le départ des prêtres qui arrêtent à cause de l'âge", explique-t-il. Source www.francebleu.fr/…/en-creuse-l-egl…