@nenouslaissezpassuccomber : vous avez raison pour les fausses apparitions comme celles de Medjugorge mais si vous comprenez la vidéo d'Akita publiée sans la traduction en français avec le secret, vous voyez que ce qui a été révélé est exactement ce qui est en train de se réaliser actuellement dans l'église : le schisme.

Ce n'est pas parce qu'il y a Satan qui est entré dans l'église que Dieu abandonne Son église. En aucune manière. Satan ne gagne personne avec Akita que les foules ne connaissent même pas, donc réfléchissez à votre tour. Akita n'est pas Medjugorge. Medjugorge est oecuménique, Akita prédit le retour à une démarcation franche des deux cités. (D'ailleurs, je ferais remarquer au passage que ça pourrait aller très vite vu que Trump transporte avec lui même lors de son séjour à Londres les codes nucléaires qu'il peut donc lancer à tout moment et qui confirme la menace annoncée par Akita)

Satan est au Vatican, le schisme arrive et les bons prêtres vont être persécutés comme il est encore dit à Akita et spécialement quand ils vont garder une dévotion pour la Très Sainte Vierge Marie. Avec le schisme qui est en train de se préparer, les traitres sont en train de se dévoiler au fur et à mesure et au grand jour pour pouvoir oeuvrer et surtout avec la persécution pour laquelle les ennemis du Christ ont fait venir les Musulmans sur nos terres et causé ce faux concile V2 qui vise à l'apostasie : ils vont avoir un énorme intérêt à ne pas être persécuté pour une foi qu'ils n'ont pas. Il est certain que vous, moi, tous les Catholiques sont fichés pour qu'un assaut général soit lancé. Satan n'est pas partout au Vatican, il ne faut pas être paranoïaque pour autant. Dieu veut notre participation à le contrer avec nos prières et Akita n'est pas un prodige (le Malin ne fait pas de miracle mais des prodiges) mais un secours en cette période de ténèbres pour nous repérer et avancer dans cette obscurité au contraire.

Vous devriez pourtant voir avec vos lumières qu'il y a une démarcation de plus en plus forte entre les pro-François et les pseudo-contre, les anti et que c'est tout l'enjeu du schisme annoncé à Akita...

Bulle Cum ex apostolatus officio du 15 février 1559 déclarant nulle et non avenue
la nomination au suprême pontificat d'un prélat coupable d'hérésie - Paul IV

DDonné à Rome, à St. Pierre, en la mille cinq cent cinquante- neuvième
année de l'Incarnation du Seigneur, le 15 des calendes de mars,
en la quatrième année de notre pontificat

La charge apostolique, à Nous confiée par Dieu malgré notre indignité, nous impose le soin général du troupeau du Seigneur. Pour le garder dans la foi et le conduire dans la voie du salut, Nous devons, en Berger attentif, veiller sans cesse et pourvoir soigneusement à écarter de la bergerie du Seigneur ceux qui, à notre époque, livrés aux péchés, confiant en leurs propres lumières, s'insurgent avec une rare perversité contre la règle de la vraie foi et, faussant la compréhension des saintes Ecritures par des arguties subtiles et vaines, méditent de déchirer l'unité de l'Eglise catholique et la tunique sans couture du Seigneur : s'ils dédaignent d'être disciples de la vérité, ils ne doivent pas continuer à enseigner l'erreur.

§ 1. - Devant la situation actuelle si grave et si dangereuse, il ne faut pas que l'on puisse reprocher au Pontife romain de dévier de la foi. Il est sur terre le Vicaire de Dieu et de Notre-Seigneur Jésus-Christ ; il a la plénitude de l'autorité sur les nations et les royaumes, il est le juge universel et n'a a être jugé par personne ici-bas.

D'ailleurs, plus le danger est grand, plus la vigilance doit être entière et attentive, pour que les faux prophètes, ou même d'autres hommes, revêtus d'une juridiction séculière, ne puissent prendre lamentablement dans leurs filets les âmes simples et entraîner avec eux à la perdition et à la ruine de la damnation les peuples innombrables confiés à leur soin et à leur direction, au spirituel comme au temporel ; et aussi pour que jamais Nous ne soyons témoin dans le lieu saint de l'abomination de la désolation annoncée par le prophète Daniel, alors que Nous désirons de tout notre pouvoir avec l'aide de Dieu, selon notre charge pastorale, capturer les renards qui s'ingénient à saccager la vigne du Seigneur et écarter les loups des bergeries, afin de ne pas ressembler à des chiens muets incapables d'aboyer, ni Nous perdre avec les mauvais agriculteurs, ni être comparé à un mercenaire.

§ 2. - Après mûre délibération à ce sujet avec nos vénérables frères les Cardinaux de la sainte Eglise romaine, sur leur conseil et avec leur assentiment unanime, de par notre autorité apostolique, Nous approuvons et renouvelons toutes et chacune des sentences, censures et peines d'excommunication, suspense, interdit et privation et autres qu'ont portées et promulguées, de quelque façon que ce soit, contre les hérétiques et les schismatiques tous les Pontifes romains, nos Prédécesseurs - ou tenus pour tels -, jusque par leurs lettres extravagantes ou les saints Conciles admis par l'Eglise de Dieu, ou les décrets et statuts des Saints Pères ou les saints Canons, Constitutions et Ordonnances apostoliques.

Et Nous voulons qu'elles soient observées à perpétuité et remises en pleine vigueur, si besoin en est, et qu'elles le demeurent. Elles s'appliquent aussi à tous ceux qui, jusqu'ici, auront été pris sur le fait, auront avoué ou auront été convaincus d'avoir dévié de la foi catholique ou d'être tombés en quelque hérésie ou d'avoir encouru le schisme ou de l'avoir suscité ou commis. Elles s'appliquent encore (mais Dieu veuille l'empêcher dans sa clémence et sa bonté envers nous) à ceux qui, à l'avenir, dévieront soit en tombant dans l'hérésie ou en encourant le schisme, soit en les suscitant ou en les commettant, qu'on les prenne sur le fait, qu'ils avouent ou qu'on les en convainque.

Quels que soient leurs état, rang, ordre, condition et dignité, Évêque, Archevêque; Patriarche, Primat ou autre dignitaire ecclésiastique supérieur, Cardinal et Légat perpétuel ou temporaire du Siège Apostolique, où que ce soit, quelle que soit également leur autorité ou dignité dans le monde, Comte, Baron, Marquis, Duc, Roi, Empereur : qui que ce soit parmi eux Nous voulons et décrétons qu'il encoure les sentences, censures et peines susdites.

§ 3. - Et ne considérant pas moins qu'il convient de détourner du mal par la crainte des peines ceux qui ne s'en abstiennent pas par amour de la vertu et que les Évêques, Archevêques, Patriarches, Primats, Cardinaux, Légats, Comtes, Barons, Marquis, Ducs, Rois et Empereurs, chargés d'instruire les autres et leur donner le bon exemple pour les garder dans la foi catholique, pèchent plus gravement en prévariquant (ils se perdent eux-mêmes, mais aussi entraînent avec eux à la perdition et à l'abîme de la mort d'innombrables peuples confiés à leur soin et à leur autorité, ou soumis à eux par ailleurs) ; sur un semblable conseil et assentiment des Cardinaux, en vertu de cette Constitution nôtre valide à perpétuité, par haine d'un si grand crime, le plus grave et pernicieux possible dans l'Eglise de Dieu, dans la plénitude de notre pouvoir apostolique, Nous décidons, statuons, décrétons et définissons que les sentences, censures et peines susdites gardant toute leur force et leur efficacité, avec leurs effets, tous et chacun des Évêques, Archevêques, Patriarches, Primats, Cardinaux, Légats, Comtes, Barons, Marquis, Ducs, Rois et Empereurs qui à ce jour, comme il est déclaré ont dévié et sont tombés dans l'hérésie ou ont encouru le schisme, ont été pris à les susciter ou les commettre, qu'ils soient pris sur le fait, qu'ils avouent ou qu'ils en soient convaincus, vu que leur crime les rend plus inexcusables que les autres, outre les sentences, censures et peines susdites, seront par là-même, sans aucun recours au droit ou au fait, privés de leurs églises cathédrales, métropolitaines, patriarcales, primatiales, de leur dignité cardinalice, de toute charge de Légats, comme aussi de toute voix active et passive, avec ou sans charge, qu'ils soient séculiers ou réguliers de tous Ordres, qu'ils auraient obtenus par concessions et dispensations apostoliques, comme titulaires, commendataires, administrateurs, ou de toute autre manière, en lesquels ou sur lesquels ils jouiraient de quelque droit ; ils seront privés également de tous les fruits, rentes et produits annuels à eux assignés et réservés ; de même, les Comtes, Barons, Marquis, Ducs, Rois et Empereurs en seront privés radicalement, totalement, perpétuellement.

Par ailleurs, tous ces gens seront considérés comme inaptes et impropres à de telles fonctions, comme des relaps et des subversifs, en tout et pour tout, comme s'ils avaient abjuré publiquement une telle hérésie ; jamais, à aucun moment, ils ne pourront être restitués, replacés, réintégrés et réhabilités en leur précédent état, en leurs églises cathédrales, métropolitaines, patriarcales, primatiales, en leur dignité cardinalice, ou quelque autre dignité majeure ou mineure, en leur voix active ou passive, en leur autorité, leurs monastères et bénéfices, leurs comtés, baronnies, marquisats, duchés, royaumes et empires ; bien plus, ils seront abandonnés à la décision du pouvoir séculier pour subir leur juste punition, à moins que, montrant les signes d'un vrai repentir et les fruits d'une pénitence proportionnée, ils ne soient, par bonté et clémence du Saint-Siège lui-même, relégués dans quelque monastère ou autre lieu régulier, pour s'y livrer à une pénitence perpétuelle, nourris du pain de la douleur et abreuvés de l'eau de l'affliction.

Ils seront considérés, traités et réputés comme relaps et subversifs par tous, de quelque état, rang, ordre, condition et prééminence qu'on soit, et de quelque dignité, même épiscopale, archiépiscopale, patriarcale, primatiale ou autre dignité ecclésiastiques même la dignité cardinalice ; ou encore, de quelque autorité séculière et excellence qu'on soit revêtu Comte, Baron, Marquis, Duc, Roi ou Empereur : comme tels, on devra les éviter et les priver de toute consolation humaine.

§ 4. - Ceux qui prétendront avoir un droit de patronage ou de nomination de personnes aptes à gouverner des églises cathédrales, métropolitaines, patriarcales, primatiales, ou des monastères et autres bénéfices ecclésiastiques devenus vacants par ces privations, pour ne pas les exposer aux inconvénients d'une longue vacance après les avoir arrachés à l'esclavage des hérétiques, et afin de les confier à des personnes aptes à diriger fidèlement les peuples dans les voies de la justice, ceux-là devront présenter les dites personnes aux églises, monastères et autres bénéfices dans les limites du temps fixé par le droit canonique ou des contrats particuliers, ou statué en accord avec le Saint-Siège ; de même ils seront tenus de les présenter à Nous-mêmes ou au Pontife romain alors régnant ; sinon, le laps de temps écoulé, la pleine et libre disposition des églises, monastères et bénéfices susdits reviendra de plein droit à Nous et au Pontife romain susdit.

§ 5. - En outre, quiconque prendra sur lui, sciemment et de quelque manière que ce soit, d'accueillir, défendre, favoriser ou croire les coupables arrêtés sur aveux ou preuves d'hérésie, ou encore d'enseigner leurs erreurs, celui-là encourra, du fait même, une sentence d'excommunication. Il deviendra hors la loi : il ne pourra participer ni oralement, ni en acte, ni par écrit, ni par délégation ou procuration, aux fonctions publiques ou privées, Conseils, Synodes, Concile général ou provincial, Conclave des Cardinaux, assemblée des fidèles, élections, témoignage en justice. Il n'y sera point admis.

De plus, il sera inapte à tester, à hériter et personne ne sera contraint de répondre pour lui en aucune affaire. S'il est juge, ses sentences n'auront aucune valeur et nulle cause ne pourra être soumise à son jugement ; s'il est avocat, son patronage ne sera nullement accepté ; s'il est notaire, ses actes n'auront aucune portée, aucune importance.

De plus, les clercs seront privés de toutes et chacune de leurs églises, même cathédrales, métropolitaines, patriarcales et primatiales, de leurs dignités, de leurs monastères, de leurs bénéfices et fonctions ecclésiastiques, même obtenus, comme il est dit, régulièrement. Eux-mêmes, comme les laïcs, bien que revêtus régulièrement des dignités susdites, seront privés, même en possession régulière, ipso facto, de tout royaume, duché, domaine, fief et autres biens temporels ; leurs royaumes, duchés, domaines, fiefs et autres biens de cette sorte seront confisqués et deviendront propriété publique ; de droit, ils appartiendront au premier acquéreur si celui-ci, avec une foi sincère, se trouve uni à la sainte Eglise romaine, sous notre obédience ou celle de nos successeurs, les Pontifes romains canoniquement élus.

§ 6. - Nous ajoutons que si jamais il advient qu'un Évêque, même ayant fonction d'Archevêques, de Patriarche ou de Primat ; qu'un Cardinal de l'Eglise romaine, même Légat, qu'un Souverain Pontife même, avant leur promotion ou leur élévation au Cardinalat ou au Souverain Pontificat, ont dévié de la foi catholique ou sont tombés dans quelque hérésie, la promotion ou l'élévation - même si cette dernière a eu lieu dans l'entente et avec l'assentiment unanime de tous les Cardinaux - est nulle, non avenue, sans valeur et on ne pourra dire qu'elle est devenue valide ou qu'elle devient valide parce que l'intéressé accepte la charge, reçoit la consécration ou ensuite entre en possession ou quasi-possession du gouvernement et de l'administration, ou par l'intronisation du Pontife romain lui-même ou par l'adoration devant lui ou par la prestation d'obéissance à lui rendue par tous ou par quelque laps de temps écoulé pour ces actes : on ne pourra la tenir pour légitime en aucune de ses parties et elle ne confère ni ne peut être censée conférer quelque pouvoir d'administration au spirituel ou au temporel à de tels hommes promus Evêques, Archevêques, Patriarches ou Primats, ou élevés au Cardinalat ou au Souverain Pontificat.

Tous leurs dits, faits et gestes, leur administration et tout ce qui en découle, tout est sans valeur et ne confère aucune autorité, aucun droit à personne. Ces hommes ainsi promus et élevés seront par le fait même, sans qu'il faille quelque déclaration ultérieure, privés de toute dignité, place, honneur, titre, autorité, fonction et pouvoir, même si tous et chacun de ces hommes n'a dévié de la foi, tombant dans le schisme ou l'hérésie, qu'après son élection légitime , soit en le suscitant, soit en l'embrassant.

§.7. - Les sujets tant clercs séculiers et réguliers que laïcs, y compris les Cardinaux qui auraient participé à l'élection du Pontife romain déjà hors de la foi catholique par hérésie ou schisme, ou qui y auraient consenti et qui lui auraient accordé l'obéissance et fait hommage ; le personnel du Palais, les préfets, capitaines et autres officiers de notre Ville-Mère et de tout l'Etat ecclésiastique ; ceux qui se seraient liés et obligés par hommage, serment, engagement envers ces hommes promus et élevés pourront toujours se dégager impunément de l'obéissance et du service envers eux et les éviter comme des magiciens, païens, publicains, hérésiarques ; ces mêmes sujets pourront néanmoins demeurer attachés à la fidélité et à l'obéissance des futurs Évêques, Archevêques, Patriarches, Primats, Cardinaux et du Pontife romain entrant canoniquement en fonction : s'ils veulent continuer à gouverner et à administrer, pour une plus grande confusion de ces hommes ainsi promus et élevés, ils pourront faire appel contre eux au bras séculier et si à cette occasion ils se retirent de la fidélité et de l'obéissance envers ces hommes promus et élevés, ils n'encourront pas, comme ceux qui déchirent la tunique du Seigneur, la vengeance de quelque peine ou censure.

§ 8. Nonobstant les décisions et dispositions apostoliques, ou encore les privilèges, indults et écrits apostoliques qui auraient été donnés à de tels, fût-ce des décrets, des motu proprio ou tout consistoire ou encore tout autre moyen mis en oeuvre: approbations répétées et renouvelées, insertion dans le corps des lois ecclésiastiques, chapitres des conclaves, serment, confirmation apostolique ou toute autre confirmation, eût-elle été corroborée par serment par nous-même!

Toutes les choses accordées à ceux qui ont été mentionnés expressément plus haut, nous les supprimons seulement et spécialement pour ces cas-là , sans que quiconque puisse y opposer quoi que ce soit.

§ 9. Mais pour que le présent écrit arrive à la connaissance de tous les intéressés, nous voulons que l'original -ou une copie signée par la main d'un notaire public et authentifiée par le sceau d'un dignitaire ecclésiastique; nous déterminons que l'on doit y ajouter foi - soit publié et affiché par quelques-uns de nos hérauts - aux portes de la basilique du prince des apôtres - à la chancellerie apostolique, - et aussi au bord du Campo dei Fiori, et qu'une copie y soit laissée affichée. La publication et l'affichage et le fait d'y laisser une copie affichée suffisent et doivent être tenus pour solennels et légaux; il n'y a aucune autre publication à réclamer ou à attendre.

§ 10. En conséquence, il ne sera permis à aucune personne d'enfreindre ce texte de notre approbation, innovation, sanction, statut, dérogation, volonté et décret avec une téméraire audace. Si quelqu'un avait la présomption de le tenter, qu'il sache que cela lui fera encourir l'indignation de Dieu tout-puissant et des bienheureux apôtres Pierre et Paul.

Donné à Rome, à St. Pierre, en la mille cinq cent cinquante- neuvième année de l'Incarnation du Seigneur, le 15 des calendes de mars, en la quatrième année de notre pontificat (15 février 1559).

Moi, PAUL IV, évêque de l'Église catholique

LE SEIGNEUR EST MON AUXILIAIRE.

Ludovic Pape: Innocent lll– Sermon 4 – L’hérésie subjective ou formelle qui se présente dans le cas d’un refus obstiné ou d’un doute concernant ce que l’on sait être d’enseignement officiel du Magistère, est indispensable pour que l’on soit considéré comme hérétique formel. Si c’était le cas d’un pape, il cesserait d’être pape. “Si jamais un pape, en tant que personne privée, tombait dans l’hérésie, il serait tout de suite déchu du pontificat.” – St. Alphonse de Liguori, Œuvres Complètes. 9:232.

“Un pape manifestement hérétique cesse automatiquement d’être Pape et tête de l’Église tout comme il cesse automatiquement d’être chrétien et membre de l’Église, il peut donc subir jugement et peine de la part de l’Église. Tel est l’enseignement de tous les anciens Pères de l’Église qui enseignent que les hérétiques manifestes perdent immédiatement toute juridiction”. St Robert Bellarmin, De Romano Pontifice, II.30.

Bénédiction titi ave Maria

Ludovic, non vous faites erreur à Vatican II en 1965 TOUTE la hiérarchie papes Paul VI compris ont signé l'apostasie et monseigneur Lefebvre aussi ! Donc ensuite toutes les ordinations sont non valide et illicite... Toute la hiérarchie a apostasié.... Il faut savoir qu'un apostat est déchu de toutes ses fonctions ipso-facto du fait de son apostasie et un apostat ne peut être à la tête de l'église....bulle, cum ex apostolatus du Pape Paul VI

Bénédiction titi ave Maria

Ludovic et Thierry 73 L'apparition d'Akita n'est pas reconnue par la sainte église catholique elle n'est donc pas fiable,par contre l'apparition de la Sainte Vierge à la Salette a été reconnue par la sainte église catholique voyez ma vidéo sur ce sujet l'église est éclipsée,il n'y a plus personne digne d'offrir la victime sans tache à l'Éternel comme dit la Sainte Vierge.

voyez ma vidéo numéro 2, 3 et 4 qui traite du sujet avec les documents dans les descriptifs...à Vatican II toute la hiérarchie apostasier il n'y a plus d'église visible et c'est la synagogue de Satan qui a fait l'éclipse de l'Église catholique.

il reste donc de la visibilité de l'église uniquement les simples fidèles qui sont restés fidèles et le dépôt de la foi qui lui ne bouge pas !

il est interdit à un catholiques d'assister à une messe apostate ou de communier des mains dans un apostat sous peine de perdre sa catholicité.

Bénédiction titi ave Maria

@Titiavemaria : ils ont signé leur présence, tout ceci a déjà été expliqué en long et en large et en travers. Je vous remercie pour la Bulle du Pape Paul IV, néanmoins le concile de V2 est juste un mauvais concile et les ordinations des prêtres restent valides.
Le Canoniste Père Hesse a traité cette question de même que l'abbé Matthias Gaudron de votre chapelle qui a écrit le catéchisme de la crise de l'église catholique. Merci d'éviter de dire de telles choses par ailleurs pour ne pas semer davantage de confusion.

Quant à Akita, il se trouve que les apparitions sont reconnues désormais par les évêques et que tout ce qu'il se passe confirme exactement le message d'Akita ou encore celui de Lipa qui vient d'être autorisé depuis 2015. Merci de noter que l'église catholique n'est pas morte avec le concile de V2 et qu'elle continue d'enseigner et d'être visible. Je vous invite à lire ceci si vous lisez l'Anglais également, en plus du catéchisme de Matthias Gaudron de votre chapelle : fatima.org/…/crutial-truths-…

Il faudrait d'ailleurs vous mettre d'accord avec votre chapelle sur la visibilité de l'église parce qu'un autre lien enseigne autre chose : "The one Church of Christ is visible to all and will remain, according to the Will of its Author, exactly the same as He instituted it. (Pius XI, Mortalium Animos, §15)."
fsspx-fsipd.lv/en/doctrine-of-the-church

De dire que toute la hiérarchie a apostasié vous fait anathème... Rétractez donc vos propos rapidement, et ne vous permettez pas une telle déduction à la suite de la lecture de la Bulle de Paul IV que vous partagez bien aimablement avec nous. C'est gravissime.

Non le concile de Vatican II est apostat et ceux qui y adhèrent ou qui l'ont fondé sont des apostats , et bien sûr que non la signature signifie l'adhésion... Regarder le document ce sont les textes qui ont été signés et non un acte de présence.... j'ai été aide sacristain pendant des années chez monseigneur Lefebvre je sais de quoi je parle j'ai eu confirmation c'est d'ailleurs pour cela que j'ai quitté définitivement cette fausse église, la Fraternité sacerdotale s,p X a trahi Dieu exactement comme les modernistes mais d'une manière différente.

La bulle de Paul IV les condamne tous et vous condamne.

Le Catéchisme catho dit....''La visibilité de l'Église c'est le pape les évêques les fidèles et bien sur le Saint dépôt de la foi.....''il reste donc de la visibilité de l'église le saint dépôt de la foi 18 siècle de catholicisme qui ne bouge pas et les fidèles qui sont restés fidèles après Vatican II.

les prêtres que vous citez sont des apostats ils n'ont aucun pouvoir pour légiférer quoi que ce soit...à Vatican II toute la hiérarchie a apostasié,je n'appartiens donc a aucune chapelle apostate, puisque elles sont toutes apostates ,monseigneur Lefebvre aussi à signé l'apostasie,cette grande croix de feu sur Notre-Dame c'est tout le clergé qui brûle en enfer.

je n'ai tiré aucune conclusion perso, moi je n'existe pas je vous ai juste prêchél'infaillibilité pontificale je me retranche derrière l'infaillibilité de Paul 4, auquel j'obéis le pape est infaillible en foi, je vous ai mis la bulle de Paul 4 en intégralité,elle explique très bien les choses c'est infaillible et vous l'a refusé pourquoi ?

L'article 6 est très clair... C'est condamné ipso-facto.

Pour Atika ça n'est pas reconnue car la synagogue de Satan depuis 1965 n'a aucun pouvoir pour reconnaître des apparitions mariales,toutes ces fausses apparitions comme medjugorje par exemple on pour but de vous faire croire que la synagogue de Satan c'est encore l'Église catholique ce qui est faux...je vous renvoie donc vers une véritable apparition reconnue de la sainte église catholique la Sainte Vierge à la Salette....qui condamne tout le clergé et nous dit qu'il n'y a plus personne pour offrir la victime sans tache et que l'église est éclipsée.

comme l'a dit l'apostat Benoît XVI Vatican ll c'est l'anti syllabus, vous appostasié aviec lui 18 siècle de catholicisme,et c'est parce que votre apostasie vous rend aveugle que vous ne comprenez pas ce que je vous dis.

Là où est le pape là et l'église....Paul IV

Bénédiction titi ave Maria

BULLE PAUL IV, INFAILLIBLE EN FOI
§ 6. - Nous ajoutons que si jamais il advient qu'un Évêque, même ayant fonction d'Archevêques, de Patriarche ou de Primat ; qu'un Cardinal de l'Eglise romaine, même Légat, qu'un SOUVERAIN PONTIFE même, avant leur promotion ou leur élévation au Cardinalat OU AU SOUVERAIN PONTIFICAT, ont dévié de la foi catholique ou sont tombés dans quelque hérésie, la promotion ou l'élévation - même si cette dernière a eu lieu dans l'entente et avec l'assentiment unanime de tous les Cardinaux - est nulle, non avenue, sans valeur et on ne pourra dire qu'elle est devenue valide ou qu'elle devient valide parce que l'intéressé accepte la charge, reçoit la consécration ou ensuite entre en possession ou quasi-possession du gouvernement et de l'administration, ou par l'intronisation du Pontife romain lui-même ou par l'adoration devant lui ou par la prestation d'obéissance à lui rendue par tous ou par quelque laps de temps écoulé pour ces actes : on ne pourra la tenir pour légitime en aucune de ses parties et elle ne confère ni ne peut être censée conférer quelque pouvoir d'administration au spirituel ou au temporel à de tels hommes promus Evêques, Archevêques, Patriarches ou Primats, ou élevés au Cardinalat ou au Souverain Pontificat.

@Titiavemaria : je vous cite :

"Oh oui c'est certains! Mais le problème c'est que ce n'est pas à nous de juger car nous pouvons nous tromper ! donc pour ne pas se tromper le plus sûr c'est de ne travailler que sur celles qui ont été reconnues par la sainte église catholique."

Donc, merci de ne pas juger de l'église catholique et de vous croire supérieur au jugement d'un Canoniste et de plusieurs autres théologiens qui ont expliqué la crise en détail. Il y a bien un Pape sur le siège de Vatican et du reste vous ne connaissez même pas l'apparition de la Salette qui parle bien d'un Pape et de son successeur...
Vous étiez sacristain, ce qui est tout à fait honorable, mais vous devriez avoir du respect pour ceux qui se sont exprimés sur le sujet et qui sont plus élevés dans la hiérarchie. Les choses ne sont pas aussi simples que ce que vous en avez conclu par vos propres lumières toutes personnelles. Du reste, ils n'ont pas suivi le Concile de V2 donc votre argument est spécieux.
Enfin, pour que vous soyez crédible, il faudrait commencer par avoir du respect pour les noms de ce dont vous parlez comme Akita et pas Atika. Akita prédit la même chose que Fatima et que la Salette... Ne venez pas semer la confusion s'il vous plaît parce que vous avez lu une bulle et encore une fois vous devez rétracter votre hérésie concernant la visibilité de l'église si vous ne voulez pas être anathème...

Je connais parfaitement la salette regarder j'ai fait une vidéo il y a le PDF dans le descriptif.

bien sûr que ce n'est pas à nous de juger mais lorsque ce n'est pas reconnu on ne peut rien bâtir de solide dessus la Salette c'est du solide,et bien sûr qu'elle parle d'un pape mais regarder la date.

Sinon pour le reste,Il n'y a aucun canoniste dans la synagogue de Satan.

Et pour Fatima il y a un bémol elle a bien été reconnue mais on ne nous a pas dit qui est apparue?

Ludovic, il n'y a aucune hérésies chez moi sur la visibilité de l'église, le pape Paul IV serait-il hérétique?, sur le siège de pierre c'est un franc-maçon loge P2, ça n'est pas le pape de l'Église catholique, c'est le grand caiphe de la synagogue de Satan, qui porte l'ephod juives d'ailleurs, le même qui a crucifié Jésus.

Jésus a promis qu'il y aurait toujours l'église infaillible mais il l'a jamais dit que la hiérarchie entière ne pouvait pas apostasier, comme le confirme la dogmatique infaillible de Paul 4, d'ailleurs dans notre missel romain nous faisons une prière pour le pape pour qu'il ne dévie pas ,ce qui prouve qu'il peut le faire !

je ne me croit supérieur à personne mais la dogmatique Catholique infaillible est seul juge en la matière et elle a déjà jugé.ipso facto.

18 siècles de catholicisme condamne l'apostasie de Vatican 2, ET TOUS CEUX QUI Y ADHÈRENT.

De l'église visible,Il reste donc 18 siècles de Saint dépôt de foi catholique c'est l'église visible regarder ma vidéo, l'église est une personne morale, cela ne bouge pas les portes de l'enfer ne prévalent pas et les fidèles qui sont restés fidèles après Vatican II...et c'est tout, et bien suffisant pour le salut éternel.

c'est donc à vous de vous repentir de votre apostasie....et c'est parce que vous avez apostasié à Vatican 2 avec tous les autres que Dieu permet le châtiment d'aveuglement c'est pourquoi vous refusez de comprendre ce que je vous dis.

la synagogue de Satan a été faite pour emmener toutes les âmes brûler en enfer.
Avertissement de Notre-Dame de Paris Lacroix entière de feu.
Hors de l'église il n'y a point de salut.

Bénédiction titi ave Maria

@Ludovic Denim
Désolé de devoir vous faire atterrir. Sauf à tordre allègrement les faits et sauf à commettre des contresens grossiers, il n’est pas possible d’affirmer que Benoit XVI ait renié l’enseignement de Vatican II. Si Benoit XVI en tant que Pape a certes pointé certaines limites de ce Concile général et s'il a dénoncé le concile idéologiquement déformé alors et par la suite par les médias incultes et propagandistes, néanmoins il n’a en rien rétracté de prétendues hérésies en lien avec ce Concile. Soyez béni

@lalouangedemeslèvres : je vous remercie de votre réponse, néanmoins il a rétracté de nombreuses hérésies en lien avec ce concile notamment quand il a rappelé que les FM étaient toujours excommuniés malgré que le Code de droit canon de 1983 ne le mentionne plus et que certains s'en soient réjouis. C'est un exemple parmi tant d'autres. J'avais vu une liste et il faudrait que je la retrouve ou que quelqu'un la refasse. Il a bien rétracté un certain nombre d'hérésie dès qu'il est devenu Pape.

Que Dieu vous bénisse et fasse que votre entière famille soit protégée et aimée dans le Coeur Douloureux et Immaculé de la Très Sainte Vierge Marie.

Bulle Cum ex apostolatus officio du 15 février 1559 déclarant nulle et non avenue
la nomination au suprême pontificat d'un prélat coupable d'hérésie - Paul IV

DDonné à Rome, à St. Pierre, en la mille cinq cent cinquante- neuvième
année de l'Incarnation du Seigneur, le 15 des calendes de mars,
en la quatrième année de notre pontificat

La charge apostolique, à Nous confiée par Dieu malgré notre indignité, nous impose le soin général du troupeau du Seigneur. Pour le garder dans la foi et le conduire dans la voie du salut, Nous devons, en Berger attentif, veiller sans cesse et pourvoir soigneusement à écarter de la bergerie du Seigneur ceux qui, à notre époque, livrés aux péchés, confiant en leurs propres lumières, s'insurgent avec une rare perversité contre la règle de la vraie foi et, faussant la compréhension des saintes Ecritures par des arguties subtiles et vaines, méditent de déchirer l'unité de l'Eglise catholique et la tunique sans couture du Seigneur : s'ils dédaignent d'être disciples de la vérité, ils ne doivent pas continuer à enseigner l'erreur.

§ 1. - Devant la situation actuelle si grave et si dangereuse, il ne faut pas que l'on puisse reprocher au Pontife romain de dévier de la foi. Il est sur terre le Vicaire de Dieu et de Notre-Seigneur Jésus-Christ ; il a la plénitude de l'autorité sur les nations et les royaumes, il est le juge universel et n'a a être jugé par personne ici-bas.

D'ailleurs, plus le danger est grand, plus la vigilance doit être entière et attentive, pour que les faux prophètes, ou même d'autres hommes, revêtus d'une juridiction séculière, ne puissent prendre lamentablement dans leurs filets les âmes simples et entraîner avec eux à la perdition et à la ruine de la damnation les peuples innombrables confiés à leur soin et à leur direction, au spirituel comme au temporel ; et aussi pour que jamais Nous ne soyons témoin dans le lieu saint de l'abomination de la désolation annoncée par le prophète Daniel, alors que Nous désirons de tout notre pouvoir avec l'aide de Dieu, selon notre charge pastorale, capturer les renards qui s'ingénient à saccager la vigne du Seigneur et écarter les loups des bergeries, afin de ne pas ressembler à des chiens muets incapables d'aboyer, ni Nous perdre avec les mauvais agriculteurs, ni être comparé à un mercenaire.

§ 2. - Après mûre délibération à ce sujet avec nos vénérables frères les Cardinaux de la sainte Eglise romaine, sur leur conseil et avec leur assentiment unanime, de par notre autorité apostolique, Nous approuvons et renouvelons toutes et chacune des sentences, censures et peines d'excommunication, suspense, interdit et privation et autres qu'ont portées et promulguées, de quelque façon que ce soit, contre les hérétiques et les schismatiques tous les Pontifes romains, nos Prédécesseurs - ou tenus pour tels -, jusque par leurs lettres extravagantes ou les saints Conciles admis par l'Eglise de Dieu, ou les décrets et statuts des Saints Pères ou les saints Canons, Constitutions et Ordonnances apostoliques.

Et Nous voulons qu'elles soient observées à perpétuité et remises en pleine vigueur, si besoin en est, et qu'elles le demeurent. Elles s'appliquent aussi à tous ceux qui, jusqu'ici, auront été pris sur le fait, auront avoué ou auront été convaincus d'avoir dévié de la foi catholique ou d'être tombés en quelque hérésie ou d'avoir encouru le schisme ou de l'avoir suscité ou commis. Elles s'appliquent encore (mais Dieu veuille l'empêcher dans sa clémence et sa bonté envers nous) à ceux qui, à l'avenir, dévieront soit en tombant dans l'hérésie ou en encourant le schisme, soit en les suscitant ou en les commettant, qu'on les prenne sur le fait, qu'ils avouent ou qu'on les en convainque.

Quels que soient leurs état, rang, ordre, condition et dignité, Évêque, Archevêque; Patriarche, Primat ou autre dignitaire ecclésiastique supérieur, Cardinal et Légat perpétuel ou temporaire du Siège Apostolique, où que ce soit, quelle que soit également leur autorité ou dignité dans le monde, Comte, Baron, Marquis, Duc, Roi, Empereur : qui que ce soit parmi eux Nous voulons et décrétons qu'il encoure les sentences, censures et peines susdites.

§ 3. - Et ne considérant pas moins qu'il convient de détourner du mal par la crainte des peines ceux qui ne s'en abstiennent pas par amour de la vertu et que les Évêques, Archevêques, Patriarches, Primats, Cardinaux, Légats, Comtes, Barons, Marquis, Ducs, Rois et Empereurs, chargés d'instruire les autres et leur donner le bon exemple pour les garder dans la foi catholique, pèchent plus gravement en prévariquant (ils se perdent eux-mêmes, mais aussi entraînent avec eux à la perdition et à l'abîme de la mort d'innombrables peuples confiés à leur soin et à leur autorité, ou soumis à eux par ailleurs) ; sur un semblable conseil et assentiment des Cardinaux, en vertu de cette Constitution nôtre valide à perpétuité, par haine d'un si grand crime, le plus grave et pernicieux possible dans l'Eglise de Dieu, dans la plénitude de notre pouvoir apostolique, Nous décidons, statuons, décrétons et définissons que les sentences, censures et peines susdites gardant toute leur force et leur efficacité, avec leurs effets, tous et chacun des Évêques, Archevêques, Patriarches, Primats, Cardinaux, Légats, Comtes, Barons, Marquis, Ducs, Rois et Empereurs qui à ce jour, comme il est déclaré ont dévié et sont tombés dans l'hérésie ou ont encouru le schisme, ont été pris à les susciter ou les commettre, qu'ils soient pris sur le fait, qu'ils avouent ou qu'ils en soient convaincus, vu que leur crime les rend plus inexcusables que les autres, outre les sentences, censures et peines susdites, seront par là-même, sans aucun recours au droit ou au fait, privés de leurs églises cathédrales, métropolitaines, patriarcales, primatiales, de leur dignité cardinalice, de toute charge de Légats, comme aussi de toute voix active et passive, avec ou sans charge, qu'ils soient séculiers ou réguliers de tous Ordres, qu'ils auraient obtenus par concessions et dispensations apostoliques, comme titulaires, commendataires, administrateurs, ou de toute autre manière, en lesquels ou sur lesquels ils jouiraient de quelque droit ; ils seront privés également de tous les fruits, rentes et produits annuels à eux assignés et réservés ; de même, les Comtes, Barons, Marquis, Ducs, Rois et Empereurs en seront privés radicalement, totalement, perpétuellement.

Par ailleurs, tous ces gens seront considérés comme inaptes et impropres à de telles fonctions, comme des relaps et des subversifs, en tout et pour tout, comme s'ils avaient abjuré publiquement une telle hérésie ; jamais, à aucun moment, ils ne pourront être restitués, replacés, réintégrés et réhabilités en leur précédent état, en leurs églises cathédrales, métropolitaines, patriarcales, primatiales, en leur dignité cardinalice, ou quelque autre dignité majeure ou mineure, en leur voix active ou passive, en leur autorité, leurs monastères et bénéfices, leurs comtés, baronnies, marquisats, duchés, royaumes et empires ; bien plus, ils seront abandonnés à la décision du pouvoir séculier pour subir leur juste punition, à moins que, montrant les signes d'un vrai repentir et les fruits d'une pénitence proportionnée, ils ne soient, par bonté et clémence du Saint-Siège lui-même, relégués dans quelque monastère ou autre lieu régulier, pour s'y livrer à une pénitence perpétuelle, nourris du pain de la douleur et abreuvés de l'eau de l'affliction.

Ils seront considérés, traités et réputés comme relaps et subversifs par tous, de quelque état, rang, ordre, condition et prééminence qu'on soit, et de quelque dignité, même épiscopale, archiépiscopale, patriarcale, primatiale ou autre dignité ecclésiastiques même la dignité cardinalice ; ou encore, de quelque autorité séculière et excellence qu'on soit revêtu Comte, Baron, Marquis, Duc, Roi ou Empereur : comme tels, on devra les éviter et les priver de toute consolation humaine.

§ 4. - Ceux qui prétendront avoir un droit de patronage ou de nomination de personnes aptes à gouverner des églises cathédrales, métropolitaines, patriarcales, primatiales, ou des monastères et autres bénéfices ecclésiastiques devenus vacants par ces privations, pour ne pas les exposer aux inconvénients d'une longue vacance après les avoir arrachés à l'esclavage des hérétiques, et afin de les confier à des personnes aptes à diriger fidèlement les peuples dans les voies de la justice, ceux-là devront présenter les dites personnes aux églises, monastères et autres bénéfices dans les limites du temps fixé par le droit canonique ou des contrats particuliers, ou statué en accord avec le Saint-Siège ; de même ils seront tenus de les présenter à Nous-mêmes ou au Pontife romain alors régnant ; sinon, le laps de temps écoulé, la pleine et libre disposition des églises, monastères et bénéfices susdits reviendra de plein droit à Nous et au Pontife romain susdit.

§ 5. - En outre, quiconque prendra sur lui, sciemment et de quelque manière que ce soit, d'accueillir, défendre, favoriser ou croire les coupables arrêtés sur aveux ou preuves d'hérésie, ou encore d'enseigner leurs erreurs, celui-là encourra, du fait même, une sentence d'excommunication. Il deviendra hors la loi : il ne pourra participer ni oralement, ni en acte, ni par écrit, ni par délégation ou procuration, aux fonctions publiques ou privées, Conseils, Synodes, Concile général ou provincial, Conclave des Cardinaux, assemblée des fidèles, élections, témoignage en justice. Il n'y sera point admis.

De plus, il sera inapte à tester, à hériter et personne ne sera contraint de répondre pour lui en aucune affaire. S'il est juge, ses sentences n'auront aucune valeur et nulle cause ne pourra être soumise à son jugement ; s'il est avocat, son patronage ne sera nullement accepté ; s'il est notaire, ses actes n'auront aucune portée, aucune importance.

De plus, les clercs seront privés de toutes et chacune de leurs églises, même cathédrales, métropolitaines, patriarcales et primatiales, de leurs dignités, de leurs monastères, de leurs bénéfices et fonctions ecclésiastiques, même obtenus, comme il est dit, régulièrement. Eux-mêmes, comme les laïcs, bien que revêtus régulièrement des dignités susdites, seront privés, même en possession régulière, ipso facto, de tout royaume, duché, domaine, fief et autres biens temporels ; leurs royaumes, duchés, domaines, fiefs et autres biens de cette sorte seront confisqués et deviendront propriété publique ; de droit, ils appartiendront au premier acquéreur si celui-ci, avec une foi sincère, se trouve uni à la sainte Eglise romaine, sous notre obédience ou celle de nos successeurs, les Pontifes romains canoniquement élus.

§ 6. - Nous ajoutons que si jamais il advient qu'un Évêque, même ayant fonction d'Archevêques, de Patriarche ou de Primat ; qu'un Cardinal de l'Eglise romaine, même Légat, qu'un Souverain Pontife même, avant leur promotion ou leur élévation au Cardinalat ou au Souverain Pontificat, ont dévié de la foi catholique ou sont tombés dans quelque hérésie, la promotion ou l'élévation - même si cette dernière a eu lieu dans l'entente et avec l'assentiment unanime de tous les Cardinaux - est nulle, non avenue, sans valeur et on ne pourra dire qu'elle est devenue valide ou qu'elle devient valide parce que l'intéressé accepte la charge, reçoit la consécration ou ensuite entre en possession ou quasi-possession du gouvernement et de l'administration, ou par l'intronisation du Pontife romain lui-même ou par l'adoration devant lui ou par la prestation d'obéissance à lui rendue par tous ou par quelque laps de temps écoulé pour ces actes : on ne pourra la tenir pour légitime en aucune de ses parties et elle ne confère ni ne peut être censée conférer quelque pouvoir d'administration au spirituel ou au temporel à de tels hommes promus Evêques, Archevêques, Patriarches ou Primats, ou élevés au Cardinalat ou au Souverain Pontificat.

Tous leurs dits, faits et gestes, leur administration et tout ce qui en découle, tout est sans valeur et ne confère aucune autorité, aucun droit à personne. Ces hommes ainsi promus et élevés seront par le fait même, sans qu'il faille quelque déclaration ultérieure, privés de toute dignité, place, honneur, titre, autorité, fonction et pouvoir, même si tous et chacun de ces hommes n'a dévié de la foi, tombant dans le schisme ou l'hérésie, qu'après son élection légitime , soit en le suscitant, soit en l'embrassant.

§.7. - Les sujets tant clercs séculiers et réguliers que laïcs, y compris les Cardinaux qui auraient participé à l'élection du Pontife romain déjà hors de la foi catholique par hérésie ou schisme, ou qui y auraient consenti et qui lui auraient accordé l'obéissance et fait hommage ; le personnel du Palais, les préfets, capitaines et autres officiers de notre Ville-Mère et de tout l'Etat ecclésiastique ; ceux qui se seraient liés et obligés par hommage, serment, engagement envers ces hommes promus et élevés pourront toujours se dégager impunément de l'obéissance et du service envers eux et les éviter comme des magiciens, païens, publicains, hérésiarques ; ces mêmes sujets pourront néanmoins demeurer attachés à la fidélité et à l'obéissance des futurs Évêques, Archevêques, Patriarches, Primats, Cardinaux et du Pontife romain entrant canoniquement en fonction : s'ils veulent continuer à gouverner et à administrer, pour une plus grande confusion de ces hommes ainsi promus et élevés, ils pourront faire appel contre eux au bras séculier et si à cette occasion ils se retirent de la fidélité et de l'obéissance envers ces hommes promus et élevés, ils n'encourront pas, comme ceux qui déchirent la tunique du Seigneur, la vengeance de quelque peine ou censure.

§ 8. Nonobstant les décisions et dispositions apostoliques, ou encore les privilèges, indults et écrits apostoliques qui auraient été donnés à de tels, fût-ce des décrets, des motu proprio ou tout consistoire ou encore tout autre moyen mis en oeuvre: approbations répétées et renouvelées, insertion dans le corps des lois ecclésiastiques, chapitres des conclaves, serment, confirmation apostolique ou toute autre confirmation, eût-elle été corroborée par serment par nous-même!

Toutes les choses accordées à ceux qui ont été mentionnés expressément plus haut, nous les supprimons seulement et spécialement pour ces cas-là , sans que quiconque puisse y opposer quoi que ce soit.

§ 9. Mais pour que le présent écrit arrive à la connaissance de tous les intéressés, nous voulons que l'original -ou une copie signée par la main d'un notaire public et authentifiée par le sceau d'un dignitaire ecclésiastique; nous déterminons que l'on doit y ajouter foi - soit publié et affiché par quelques-uns de nos hérauts - aux portes de la basilique du prince des apôtres - à la chancellerie apostolique, - et aussi au bord du Campo dei Fiori, et qu'une copie y soit laissée affichée. La publication et l'affichage et le fait d'y laisser une copie affichée suffisent et doivent être tenus pour solennels et légaux; il n'y a aucune autre publication à réclamer ou à attendre.

§ 10. En conséquence, il ne sera permis à aucune personne d'enfreindre ce texte de notre approbation, innovation, sanction, statut, dérogation, volonté et décret avec une téméraire audace. Si quelqu'un avait la présomption de le tenter, qu'il sache que cela lui fera encourir l'indignation de Dieu tout-puissant et des bienheureux apôtres Pierre et Paul.

Donné à Rome, à St. Pierre, en la mille cinq cent cinquante- neuvième année de l'Incarnation du Seigneur, le 15 des calendes de mars, en la quatrième année de notre pontificat (15 février 1559).

Moi, PAUL IV, évêque de l'Église catholique

Ludovic ....La bulle de Paul IV est Vérité,je prend Dieu à témoin que j'ai dit la Vérité,le Pape est infaillible en Foi ,ex cathedra...etc

Et si tu adhère au concile apostat de Vatican II,alors c'est toi qui est un apostat.
18 siècles de dépôt de la foi infaillible te comdamne.

L'église est aussi une personne morale.

Bénédiction titi ave Maria

Pape: Innocent lll– Sermon 4 – L’hérésie subjective ou formelle qui se présente dans le cas d’un refus obstiné ou d’un doute concernant ce que l’on sait être d’enseignement officiel du Magistère, est indispensable pour que l’on soit considéré comme hérétique formel. Si c’était le cas d’un pape, il cesserait d’être pape. “Si jamais un pape, en tant que personne privée, tombait dans l’hérésie, il serait tout de suite déchu du pontificat.” – St. Alphonse de Liguori, Œuvres Complètes. 9:232.

“Un pape manifestement hérétique cesse automatiquement d’être Pape et tête de l’Église tout comme il cesse automatiquement d’être chrétien et membre de l’Église, il peut donc subir jugement et peine de la part de l’Église. Tel est l’enseignement de tous les anciens Pères de l’Église qui enseignent que les hérétiques manifestes perdent immédiatement toute juridiction”. St Robert Bellarmin, De Romano Pontifice, II.30.

Bénédiction titi ave Maria

@Titiavemaria : il y a les fidèles et aussi de nombreux cardinaux, évêques, prêtres qui ne sont pas apostats et les messes sont encore valides dans de nombreux endroits. Vous faites erreur et la fin du monde n’arrivera que quand il ne pourra plus y avoir de messe bien évidemment valide. Ce n’est pas vous qui avez à dire, surtout les informer les fidèles, en prétendant qu’ils auraient tous apostasies en signant un concile non dogmatique qui plus est... Comme ce concile est justement non-dogmatique, leurs signatures éventuelles comptent pour du beurre !!!

Non une fois de plus tu prêches l'erreur, je t'accorde le bénéfice du doute sur le document de Vatican II ,il est écrit constitution dogmatique,ce que vous dites là c'est le mensonge du concile pastoral mais ce n'est pas vrai !

donc nous avons bien ce que j'ai expliqué sur un autre message la vérité dogmatique catho,dans une seule et même église avec à côté l'apostasie érigé sous forme de dogme...... Ce qui est le comble de l'insulte fait a dieu

Ils ont tous apostasier j'ai déjà donné la preuve je n'y reviens pas ! Tout le monde a signé tous les schémas.....etc

je n'ai jamais dit que c'était la fin du monde bien au contraire !l'église est toujours visible de la manière que j'ai dit donc je n'y reviens pas !......

Ensuite pour la messe vous avez parfaitement raison ! Chez les modernistes ils ont changé la consécration, c'est la messe dite de Luther, il n'y a pas transsubstantiation.
Cette messe est non valide et illicite.

Par contre chez les traditionalistes, ils n'ont rien changé au rituel, c'est une vraie messe par contre elle est aussi illicite pour les mêmes raisons ,mais elle est parfaitement valide.
Jésus est bien dans l'ostie......

MAIS, car il y a un mais il faut savoir qu'il est interdit à un catholiques d'assister à une messe apostate ou de communier des mains d'un prêtre apostat sous peine de perdre sa catholicité, il ne nous est donc pas permis de communier à cette messe.
En fait ils retiennent Jésus en otage pour leur plus grand châtiment !

Bénédiction titi ave Maria

Vous êtes de mauvaise foi @Titiavermaria car non seulement jamais vous ne mettez mon nom pour que je réponde à vos messages de manière à ce que vous ayez le dernier mot ici au niveau public, mais en plus parce qu'il a déjà été prouvé que V2 n'a rien fait de dogmatique et qu'il ne suffit pas d'écrire "constitution dogmatique" pour qu'il y ait un dogme défini. AUCUN DOGME n'a été défini à V2 et les Papes du concile eux-mêmes ont bien dit qu'il s'agissait d'un concile pastoral. Vous êtes comme votre collègue à qui je viens de répondre sur ce même sujet à vouloir tout interpréter comme ça vous arrange et alors que vous n'êtes rien de plus que les autres et n'avez aucune autorité dans l'église. Arrêtez d'essayer d'induire les gens en erreur. Et dans le même genre, vous vous permettez de dire qu'il n'y aurait plus de messe valide depuis V2 au sein de l'église catholique, ce qui est évidemment faux et alors qu'il est douteux que de nombreux prêtres dans le monde ne souhaiteraient pas très certainement en leur for intérieur encore faire une messe comme l'a toujours fait l'église catholique de tout temps, même avec les nouveaux sacrements.

De plus, c'est ignorer qu'on a la preuve que même avec le nouveau rite le miracle de la Transsubstantiation se PRODUIT ENCORE et en dépit de vos affirmations comme lorsque cela s'est passé à Lourdes. Le prêtre est un instrument de Dieu et il commet un péché mortel s'il n'est pas en état de grâce au moment de la confession ou de la communion, mais en RIEN il ne peut empêcher le sacrement d'avoir lieu à partir du moment où il dit les paroles valides. Et encore une fois, même avec les paroles dans le nouveau rite traduit du latin en langue vernaculaire par "pour tous" au lieu de "pour beaucoup", la Transsubstantiation peut avoir lieu car Dieu est Miséricorde.

Enfin, tous les prêtres de l'église catholique ne sont pas des modernistes et ne font pas tous des messes non valides et non licites. C'est impossible et croire donc que Dieu ne protégerait pas Son église, ni que les prêtres qui prient le Rosaire ne seraient pas écarté de l'erreur. Vous-même pour toutes vos critiques envers les prêtres, vous avez intérêt à prier beaucoup pour eux car vous leur faites un procès d'intention sans en excepter aucun, ce qui est une grave offense envers Dieu et envers eux...

Dieu est Miséricorde et Il S'offre encore à Ses fidèles même dans le nouveau rite. Il y a des gens plus avisés que vous qui ont fait des recherches beaucoup plus pointues que les vôtres sur des sites étrangers et vous n'êtes PAS un spécialiste du droit canon pour vous permettre d'enseigner sur ce sujet.