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Liberté religieuse conciliaire, une hérésie! DÉCLARATION SUR LA LIBERTÉ RELIGIEUSE "DIGNITATIS HUMANAE" www.vatican.va/…/vat-ii_decl_196… Lettre encyclique de sa sainteté le Pape Pie IX du 8 décembre 1864 …Plus
Liberté religieuse conciliaire, une hérésie!
DÉCLARATION SUR LA LIBERTÉ RELIGIEUSE
"DIGNITATIS HUMANAE"
www.vatican.va/…/vat-ii_decl_196…
Lettre encyclique de sa sainteté le Pape Pie IX du 8 décembre 1864
Quanta cura
lesbonstextes.awardspace.com/menu.htm
www.salve-regina.com/Magistere/PIE_IX_quanta_c… Foi Catholique vs vatican II www.phpbbserver.com/micael/viewtopic.php demonstration complète,point par point. Dieu a dit dans L'Injil: tu dois croire en Moi(Yasou3 al Masi7)et etre Baptisé au Nom du pere,du Fils et du Saint-Esprit pour etre sauvé. si tu ne crois pas,tu es condamné. ou tu te converties à La Vraie Foi,La Foi Catholique,ou tu périras. Amin Ya Rab! Sedevacantisme seul moyen d'etre Catholique. fr.wikipedia.org/wiki/Sedevacantisme
Saminho Catholique
Ceux qui, avec une intention droite, désirent amener des gens étrangers à la religion chrétienne, à la foi juste, doivent s'y efforcer par des paroles de bonté et non pas par des paroles dures, en sorte que l'inimitié ne repousse pas au loin ceux dont l'esprit aurait pu être mis en mouvement par l'indication d'une raison claire. Car tous ceux qui agissent autrement, et qui sous ce couvert veulent …Plus
Ceux qui, avec une intention droite, désirent amener des gens étrangers à la religion chrétienne, à la foi juste, doivent s'y efforcer par des paroles de bonté et non pas par des paroles dures, en sorte que l'inimitié ne repousse pas au loin ceux dont l'esprit aurait pu être mis en mouvement par l'indication d'une raison claire. Car tous ceux qui agissent autrement, et qui sous ce couvert veulent les éloigner de la pratique habituelle de leur rite, il s'avère qu'ils travaillent à leur propre cause plus qu'à celle de Dieu. Des juifs en effet qui habitent Naples se sont plaints auprès de Nous en disant que certains s'efforçaient de façon irraisonnée de les empêcher d'accomplir certaines célébrations de leurs fêtes, en sorte qu'il ne leur soit plus permis d'accomplir les célébrations de leurs fêtes comme il leur était permis depuis longtemps, ainsi qu'à leurs parents, de les observer ou de les accomplir. S'il en est vraiment ainsi, ces gens semblent mettre leurs efforts dans une entreprise vaine. Car quelle utilité y a-t-il à cela dès lors que, même si on le leur interdit au rebours d'un long usage, ils n'y trouvent aucun profit pour la foi et la conversion ? Ou pourquoi établissons-nous des règles pour les juifs quant à la manière dont ils doivent accomplir leurs cérémonies, si nous ne pouvons pas les gagner par là ?
Il faut donc faire en sorte qu'encouragés plutôt par la raison et la douceur, ils veuillent nous suivre et non pas nous fuir, pour que, leur expliquant par les Ecritures ce que nous disons, nous puissions avec l'aide de Dieu les convertir au sein de la mère Eglise. C'est pourquoi, que ta fraternité les enflamme à la conversion par des monitions, autant qu'elle le peut avec l'aide de Dieu, et qu'elle ne permette pas à nouveau qu'ils soient inquiétés à cause de leurs célébrations ; qu'ils aient au contraire une entière liberté d'observer et de célébrer leurs festivités et leurs fêtes, comme ils l'on fait jusqu'ici.

Lettre "Qui Sincera" de Saint Grégoire le Grand !!!
Miles+Christi
« Les religions », cela n’existe pas
Le frère Edouard-Marie Gallez, de la Cté St Jean, revient sur le vote suisse contre les minarets :
"La question à poser est plutôt celle du
concept de liberté «religieuse» ou «des religions» qui a été
employé en deux sens opposés. C’est autour de ce concept que s’est
nouée l’hypocrisie, et à deux niveaux.

[...] Personne n’a jamais été en mesure de le …Plus
« Les religions », cela n’existe pas

Le frère Edouard-Marie Gallez, de la Cté St Jean, revient sur le vote suisse contre les minarets :

"La question à poser est plutôt celle du
concept de liberté «religieuse» ou «des religions» qui a été
employé en deux sens opposés. C’est autour de ce concept que s’est
nouée l’hypocrisie, et à deux niveaux.


[...] Personne n’a jamais été en mesure de le
définir. Pire : on ne se risque même plus à imaginer quels points
seraient communs à tout ce qui est catalogué comme « religion »,
l’islam et l’hindouisme traditionnel par exemple. Pourtant, on continue
à utiliser ce concept que tous les chercheurs savent vide. Ce
premier niveau d’hypocrisie va très loin : si l’on définissait la
«religion» comme système de représentation du monde centré sur une
histoire de Salut qui doit s’accomplir (ce qui vaut à peu près pour le
judéo-christianisme, assurément pour tous les phénomènes
idéologico-religieux apparus ensuite mais pas du tout pour les
croyances et rites antérieurs), il faudrait dire que l’athéisme est une
religion, ou a donné naissance à divers mouvements tout à fait
religieux
, s’appuyant sur des fidèles ayant une «foi» en un ou des
sauveurs, et unis dans des « partis ». Comme par exemple le
positivisme, le communisme, ou d’autres encore. [...]

L’autre niveau de l’hypocrisie est lié à l’utilisation même du concept : il
consiste à établir imaginairement une base commune entre «les
religions» en niant leurs divergences radicales, en particulier entre
le christianisme et l’islam
. C’est ainsi que l’athéisme moderne s’est
toujours justifié (par rejet de l’un et de l’autre), en particulier dans sa forme néolibérale aujourd’hui dominante. Est-ce
là une attitude scientifique ?

Celle-ci consisterait plutôt à essayer
de comprendre chacun des phénomènes dont on parle, selon leurs textes
et leur histoire respectifs. Ce n’est pas pour rien que le phénomène «islamique» a pris le nom de islâm qui signifie soumission [...]L’amalgame
propre au concept de «religions» est le pire aspect de l’hypocrisie.
Il n’existe ni justice ni État de droit sans l’exercice de la
rationalité. Or la raison nous dit que les principes respectivement à
la base du christianisme et de l’islam sont contraires l’un de l’autre,
et donc que le pouvoir civil a le droit et le devoir d’en tenir compte
.
Le souci du bien commun commande de favoriser l’exercice du premier,
tandis qu’une grande réserve s’impose quant au second (que l’État n’a
certes pas à subventionner). Accueillir l’étranger
, c’est lui
permettre d’apporter ce qu’il a de meilleur en le rétribuant en
conséquence, et aussi l’aider à se défaire des conditionnements qui
seraient une menace autant pour lui-même et sa famille que pour la
société qui l’accueille
.

C’est à ce point de vue et d’analyse que la question de la multiplication des minarets dans l’espace public doit être jugée, à l’intérieur d’une gestion politique générale de cet espace (trop souvent vendu à la publicité commerciale, elle aussi discutable). Toute position autre ne relève pas de la raison, mais plutôt de certains a priori affectifs ou idéologiques, et parmi ces derniers, le concept des « religions » n’est pas le moindre. La position des évêques suisses exprimée le 2 décembre reflétait de tels a priori, en plus d’un réflexe de boutiquier : ils voyaient dans le jugement de
la Cour européenne et dans la votation une commune «pression exercée
contre la visibilité des religions», comme si, diable ! les Suisses
allaient s’en prendre tout à coup à leurs clochers. Soyons sérieux.

[...] Mais ceci est sans doute jugé trop compliqué pour les évêques suisses. Y aura-t-il une âme charitable pour leur expliquer, avec des mots
simples, 1/ que «les religions», ça n’existe pas, 2/ que les cultes
religieux pré-chrétiens n’ont rien de commun avec les phénomènes
post-chrétiens (entre-temps, il y a eu le judéochristianisme, qu’ils
sont supposés connaître), et 3/ enfin, que les belles intentions
politiquement bien correctes, que nul ne leur contestera, mènent
rarement au paradis ? Un dernier point : personne ne leur
demande d’assister à une cérémonie de pose de la première pierre d’une mosquée – pardon, c’est dans un pays à l’ouest de la Suisse que cela s’est passé.
"

Michel Janva

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