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Le père Murray au sujet de l'affaire François/Rupnik

L'excommunication du père Rupnik pour avoir absous un complice sexuel en confession n'a pu être levée que par François ou son délégué, a dit le père Gerald Murray à Raymond Arroyo (EWTN.com, 23 février).

Il a expliqué que l'excommunication a été levée plus tard dans le mois "après qu'il se soit repenti."

Murray : "Je doute qu'il y ait un quelconque repentir, car les jésuites viennent également de révéler que le père Rupnik ne coopérerait pasavec cette enquête."

15 femmes ont porté des allégations crédibles contre Rupnik : "Nous parlons d'un prêtre qui a utilisé son autorité sacerdotale pendant des décennies pour infliger un grave préjudice à des personnes innocentes qui étaient dans la vie religieuse", a déclaré Murray.

"Pouvons-nous traiter cela comme une simple question d'histoire ? Non. Il s'agit d'une menace réelle et la punition doit être donnée."

Comme l'a fait remarquer Arroyo : "La bonne nouvelle est que Rupnik ne disait pas la messe en latin, l'honneur est sauf."

#newsJfcgrtedqg


27:16
L'effroi
La bonne nouvelle c'est que Rupnik n'a commis le péché de chair qu'avec des femmes adultes. Deo gratias ! Aucun homme ni aucun enfant n'a été abusé ! C'est si peu banal que ça méritait d'être souligné.
Etienne bis
Dans ce cas particulier aussi, le caudillo Bergoglio est mouillé jusqu'aux yeux.
Exactement comme lors de ses pressions en faveur d'injections pseudo-vaccinales. Elles se révèlent de plus en plus clairement une vaste escroquerie à laquelle le caudillo Bergoglio s'est associé avec force et insistances.
Quant à ses pressions hostiles à la messe de nos pères et que nous aimerions conserver, il n'en …Plus
Dans ce cas particulier aussi, le caudillo Bergoglio est mouillé jusqu'aux yeux.
Exactement comme lors de ses pressions en faveur d'injections pseudo-vaccinales. Elles se révèlent de plus en plus clairement une vaste escroquerie à laquelle le caudillo Bergoglio s'est associé avec force et insistances.
Quant à ses pressions hostiles à la messe de nos pères et que nous aimerions conserver, il n'en privera que les larbins les plus serviles.
L'effroi
On en viendrait presque à se réjouir: "Dieu merci, il n'a abusé que des femmes adultes, pas d'enfants, pas d'adolescents ou d'hommes adultes" !