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Qui est Margziam, cet enfant dont Maria Valtorta parle dans son oeuvre ? Éléments historiques

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L'œuvre de Maria Valtorta
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Traduction automatique de cette fiche : - - - Margziam (Martial) Jabé, le jeune disciple prodige. Présentation générale Son nom Où en parle-t-on dans l'œuvre ? En savoir plus Présentation générale Haut de page De son vrai nom Jabé, il est le petit-fils d’un paysan de Doras, un maître cruel. Ses parents (Jean et Marie) et ses frères sont morts dans un éboulement de terrain (3.59). Son grand-père le recueille et le cache dans les bois, puis le confie à Jésus (3.52). L'apôtre Pierre obtient d'en faire son fils adoptif. Jabé reçoit de la Vierge Marie un nouveau nom : Margziam, le nom de Marie dit dans "l'ancienne langue" [1] (3.60). Margziam a douze ans et l'apparence chétive. Il alterne les séjours chez Porphyrée, sa mère adoptive et les voyages apostoliques à la suite de son père adoptif. Il y montre des …Plus
France Vappereau
Belle mise à jour!👍😃
apvs
C'était une étape nécessaire pour répondre à @ladoctrine. Espérons qu'il en prendra connaissance ! 😊
Franckie33
Ce qui est extraordinaire, dans tout cela, c'est que cela confirme assez indirectement les traditions ancestrales, rapportant que l'Aquitaine et Bordeaux ont été évangélisées par Saint Martial, Sainte Véronique et Saint Amadour, car ailleurs, Maria Valtorta démontre par A + B que Véronique a vraiment existé et sous un autre nom. Chose que confirme également la Bienheureuse Anne-Catherine Emmerich. …Plus
Ce qui est extraordinaire, dans tout cela, c'est que cela confirme assez indirectement les traditions ancestrales, rapportant que l'Aquitaine et Bordeaux ont été évangélisées par Saint Martial, Sainte Véronique et Saint Amadour, car ailleurs, Maria Valtorta démontre par A + B que Véronique a vraiment existé et sous un autre nom. Chose que confirme également la Bienheureuse Anne-Catherine Emmerich.

Nous avons, à Bordeaux, en la Basilique Saint Seurin, dans la crypte, un sarcophage qui a abrité ses ossements jusqu'au XVIIIe siècle, ces ossements furent rapportés de Soulac au moment des invasions normandes, pour être protégés des profanations et de la destruction, au XVIIIe siècle donc, ils furent remontés de la crypte à l'église "haute". Ils s'y trouvent toujours, et actuellement sont dans la chapelle de Saint Fort, près de ceux de Sainte Bénédicte et de Saint Fort.

Les origines du Christianisme dans la cité Bordelaise est un sujet que j'ai beaucoup étudié et pendant très longtemps d'ailleurs...

le premier évêque de Bordeaux, Saint Gilbert, appelé aussi Saint Fort, était l'époux de Bénédicte, convertie par Véronique et Amadour, elle convertit son mari, prêtre païen, qui fut baptisé par Saint Martial, et ordonné évêque de l'antique Burdigala par celui-ci. Martial fit construire l'antique cathédrale Saint Etienne (au nord de l'actuelle Basilique Saint Seurin), puis construisit la première église dédiée à l'apôtre Saint André au lendemain de la mort de celui-ci, qui est devenue l'actuelle Primatiale Saint André de Bordeaux.

Ces antiques traditions ont été démolies par le dénicheur de saints, le jansénite Jean de Launoy, qui a fait beaucoup de dégats en la matière et qui a été excommunié justement en raison de cela. Mais l'archéologie a donné, en partie raison aux traditions, car les fouilles de la nécropole de Saint Seurin, au début du XXe siècle, ont prouvé que ce site remontait à l'époque paléochrétienne... nous avons une stèle funéraire, qui en provient, et qui se trouve au Musée d'Aquitaine, c'est la stèle d'une jeune fille, Priscille, chrétienne, et datant de la fin du 1er / début du 2e siècle...

En tout cas, Saint Fort, pour un Saint qui n'a pas existé, exauce beaucoup mes prières... et idem pour Sainte Véronique et Sainte Bénédicte...

J'ai publié sur mon profil, un livre ancien, le seul existant sur Saint Fort, qui rapporte toutes ces traditions, je vous invite à le lire, il est vraiment passionnant:

1 - Saint Fort, premier évêque de Bordeaux et Martyr.

Concernant Sainte Véronique et son apostolat en Aquitaine, j'ai republié les deux ouvrages du très érudit Dom Aurélien :

Sainte Véronique, apôtre de l’Aquitaine : Son tombeau et son culte à S…
Le Baptista Salvatoris
apvs
Merci cher @Franckie33, pour ce magnifique partage ! J'ai quant à moi eu dernièrement l'occasion d'aller me recueillir devant les reliques de sainte Marthe à Tarascon, en Provence : le sarcophage qui contient ses restes se trouve dans une crypte datant du... 1er siècle de l'aire chrétienne ! Je peux vous garantir que cela fait quelque-chose de s'y trouver. La France ne sait plus à quel point …Plus
Merci cher @Franckie33, pour ce magnifique partage ! J'ai quant à moi eu dernièrement l'occasion d'aller me recueillir devant les reliques de sainte Marthe à Tarascon, en Provence : le sarcophage qui contient ses restes se trouve dans une crypte datant du... 1er siècle de l'aire chrétienne ! Je peux vous garantir que cela fait quelque-chose de s'y trouver. La France ne sait plus à quel point elle a été privilégiée par le Bon Dieu...
Franckie33
Oui, tout à fait... Ce n'est pas pour rien si l'on dit que la France est la fille aînée de l'Eglise...!!!! Si à l'occasion vous passez par Bordeaux, faites-moi signe, et je vous ferais bien volontiers la visite de la Basilique Saint Seurin, gardienne des tombeaux de Véronique, Gilbert et Bénédicte...!!!!
apvs
Merci, c'est très chic de votre part ! 😇 🙏 Bonne montée vers Noël, cher ami en Christ +