Linceul de Turin : la preuve ultime.
Par Tristan Casabianca.
Plongez au cœur de l’un des plus grands mystères de l’histoire chrétienne : le Linceul de Turin, ce tissu qui aurait enveloppé le corps du Christ après sa crucifixion.
Dans cette conférence captivante, Tristan Casabianca explore les découvertes scientifiques, les analyses historiques et les questionnements spirituels autour de ce relicaire unique, qui continue de défier les chercheurs et de toucher les croyants du monde entier. Qu’est-ce que le Linceul de Turin ?
Est-il une simple icône médiévale ou bien la trace réelle de la Résurrection ?
Comment la science et la foi peuvent-elles dialoguer face à un tel mystère ?
À travers un exposé rigoureux et passionné, Tristan vous invite à découvrir : Les dernières recherches sur le tissu et son image énigmatique.
Les grandes controverses autour de sa datation et de son authenticité.
Ce que le Linceul révèle sur le visage du Christ… et sur notre propre foi.
Cette rencontre entre science, histoire et spiritualité vous conduira à réfléchir sur la question essentielle :
Et si le Linceul était bien le témoin silencieux du plus grand miracle de tous les temps ?
— Conférence donnée par Tristan
Dans le cadre du Festival “1000 Raisons de Croire”
#LinceuldeTurin #Foi #Science #Miracle #Résurrection #1000RaisonsDeCroire
Depuis plus de 130 ans, depuis Paul Vignon et Paul Delage jusqu'aux sciences modernes les plus pointues, les savants, hélas parfois rejoints par des farceurs ou des gens avides de renommée, ont examiné le Saint-Suaire sur toutes ses coutures, si l'on peut parler ainsi pour un tissu sans couture. Pas un seul d'entre eux n'a été capable de détecter la moindre preuve d'une facture humaine, au point que l'Image est dite "acheiropoïétique". Pour de multiples raisons, y compris historiques et iconographiques, il est impossible qu'un ou des êtres humains aient pu fabriquer cette Image, a fortiori au XIV° siècle. Cela est vrai maintenant et sera encore vrai dans des siècles. Il ne reste donc que deux attitudes possibles devant le Saint Suaire de Turin : soudoyer les personnes qui travaillent sur Lui, comme on a payé il y a 2000 ans (Matthieu XXVIII, 12-15) les soldats gardiens du Tombeau pour qu'ils racontent que ses disciples étaient venus dérober le Corps pendant leur sommeil, et leur faire dire que le Suaire a été fabriqué entre 1260 et 1390. La deuxième attitude est de voir, de regarder (on ne peut pas toucher) et de tomber à genoux en criant "Mon Seigneur et mon Dieu !" J'ai reçu la Grâce insigne de pouvoir faire ces gestes devant le Saint Suaire de Turin trois fois dans ma vie. Alleluia !
Il me plait de croire, en suivant l'abbé de Nantes, que le Matin de Pâques Notre Seigneur a soigneusement plié son Suaire avant de sortir du Tombeau* en se disant : "Je fais cela, Je leur laisse mon Suaire pour les Derniers Temps, lorsqu'ils ne voudront plus croire, comme ce pauvre Thomas, que Je suis vraiment mort et ressuscité ! Ils pourront voir, contempler, croire et adorer ! C'est l'une de mes dernières Miséricordes." Nous, 2000 ans après, si notre Foi chancelle, comme saint Thomas, nous pouvons dire en adorant** le Saint Suaire, comme vous le dites si bien : "Quelle grâce inouïe !" pour notre temps. Sachons la recevoir avec une gratitude éternelle !
* "il vit les bandes (les bandes ou bandelettes, "othonia" en grec, qui liaient le Saint Suaire autour du Corps de Jésus) qui étaient à terre (les bandelettes sont sans importance, "à terre"), et le Linge (le Saint Suaire) qu'on avait mis sur la tête de Jésus (le Saint Suaire passe effectivement, s'enroule, au dessus de la Tête de Jésus pour couvrir aussi l'arrière de son Corps), non pas avec les bandes, mais plié dans un lieu à part. Alors l'autre disciple, qui était arrivé le premier au Sépulcre, entra aussi; et il vit (il vit le Saint Suaire soigneusement plié par Notre Seigneur, probablement de la manière dont Il pliait sa couverture après ses nuits de repos sur les routes de Galilée), et il crut (c'est ce signe précis, prosaïque et bien concret qu'il reconnaissait, qui le fit croire, comme si le Seigneur avait passé la nuit dans le Sépulcre, comme autrefois sur les routes)." (Jean XX, 6-8)
** C'est un pape du XVI° siècle (Sixte Quint ?) qui a dit que le Saint Suaire doit être adoré "en considération du Sang du Seigneur dont Il est teint".
À propos du Mémoire de Pierre d'Arci, ceux qui sont intéressés par le Suaire de Turin pourront se reporter à ce que j'ai publié il y a trois ans ici >>> Pour Henry de Lesquen, le Saint Suaire est un … . Sinon, il est proprement effarant que certaines personnes (de bonne foi, je ne parle pas des autres...) en soient encore à douter de l'authenticité du Saint Suaire de Turin.