Le pape François : "Il s'agit d'une question très, très sérieuse
En 1980, Parodi a sauvé la vie du père Jorge Mario Bergoglio en l'opérant d'une gangrène de la vésicule biliaire et d'une péritonite : "Je l'ai opéré alors qu'il était mourant".
M. Parodi est "très inquiet" de l'infection multibactérienne à l'origine de la pneumonie, "de type hospitalier, avec un taux de mortalité très élevé, persistante et résistante aux antibiotiques".
"Il s'agit d'une affaire très, très sérieuse", affirme M. Parodi, qui s'inquiète également d'autres facteurs aggravants, tels que l'immunodépression actuelle du pape ou les cultures positives. Une combinaison de signes qui l'amène à dire que le pape "doit être en septicémie".
Pour l'instant, François est capable de respirer seul, sans l'aide d'une ventilation mécanique.
Selon M. Parodi, "Bergoglio est un homme fort", mais "il est en surpoids, ne fait pas d'exercice et mange à sa faim".
Il souffre à présent d'une infection bactérienne contractée à l'hôpital, dont le taux de mortalité est très élevé. Si elle est multi-bactérienne, bronchique et persistante, l'infection est très grave. Le pape a une toux persistante et doit déjà être en "septicémie".
Traduction de l'IA