Lentement mais sûrement : François a commencé à corrompre la Pologne
Le blasphème a eu lieu dans une paroisse évangélique réformée de Varsovie. Les principaux acteurs étaient Michał Jabłoński, le prédicateur de la paroisse, et Halina Radacz, une prédicatrice de la Communauté évangélique de la confession d'Augsbourg.
Świeżyński s'est tenu devant une table recouverte d'un drapeau arc-en-ciel et a "prié". En mai déjà, Świeżyński avait pseudo-béniqué des concubins homosexuels lors d'un événement officiel dans une paroisse protestante de Varsovie, affirmant qu'il n'avait "rien à se reprocher" parce qu'il avait donné la bénédiction blasphématoire selon les normes de la "Fiducia supplicans" de François, bien que ce texte parle, au moins en théorie, de "bénédictions spontanées".
Świeżyński a déclaré à Wprost.pl (propriété de l'oligarque polonais Michał M. Lisiecki) qu'il espérait que la "Fiducia supplicans" de François ouvrirait la voie à des blasphèmes similaires dans l'Église.
"Le fait que cela ne se produise pas pour le moment est incompréhensible pour moi et me fait honte", a déclaré un Świeżyński sans vergogne : "J'interprète cela comme un déni de l'enseignement du Christ et une négation pratique de son attitude à l'égard des gens." C'est un blasphème monstrueux que de dire que le Christ a toléré et encouragé le péché.
Świeżyński est un prétendu philosophe, rédacteur en chef de la revue philosophique "Studia Philosophiae Christianae" et professeur de philosophie chrétienne à la faculté de philosophie chrétienne de l'UKSW. De 2005 à 2009, il a même été pro-recteur du séminaire théologique de Gdansk.
Des personnes comme Świeżyński sont des outils précieux pour le Vatican, car elles aident à corrompre lentement les églises locales qui sont horrifiées par la machine de propagande homosexuelle de François.
Si, au lieu de promouvoir le péché, Świeżyński avait célébré une messe en latin, son évêque l'aurait suspendu.
Traduction de l'IA
