Les évêques français travaillent à la destruction de leurs séminaires
Leur contingent de séminaristes est le plus important de France, grâce aux séminaristes de La Castille, le séminaire diocésain du diocèse de Fréjus-Toulon.
Cependant, ces séminaristes sont entrés sous la direction de Monseigneur Dominique Rey qui, depuis, a été écarté de facto. Depuis que François a imposé un coadjuteur, Mgr Touvet, les entrées au séminaire se sont taries.
Les évêques veulent laver le cerveau des séminaristes en les faisant étudier dans des instituts "catholiques", en l'occurrence le Pôle Théologie et Sciences religieuses, qui appartient à l'Université "catholique" de Lyon (UCLy).
Selon Monseigneur Christian Delarbre, archevêque d'Aix, ce lieu "allie l'enseignement le plus pointu de la théologie catholique à une formation pratique qui répond aux réalités de l'Eglise et de la société". En réalité, il n'est que bas étage, hétérodoxe et théologiquement décadent.
Il se passe quelque chose de similaire à Paris, où Monseigneur Laurent Ulrich s'en prend aux deux créations néo-conservatrices du Cardinal Lustiger, le Séminaire de Paris et l'École Notre-Dame.
Le Séminaire de Paris est réparti dans plusieurs foyers de la capitale. Il a été créé pour éloigner les séminaristes parisiens du séminaire régional décadent d'Issy-les-Moulineaux. Mais aujourd'hui, il est question de fusionner les deux.
Les anciens élèves des deux séminaires, qui sont tous devenus plus catholiques au fil du temps, et du séminaire universitaire des Carmes, qui fait partie de l'Institut "catholique", deviendraient tous des étudiants de l'Institut "catholique" de Paris, qui reste une institution théologiquement décadente.
Tout cela continuera à décourager les vocations pour le sacerdoce diocésain.
Selon PaixLiturgique.fr (26 septembre), les séminaristes qui resteront seront de plus en plus catholiques, avec des soutanes cachées dans leur chambre, lisant des sites catholiques sur Internet et assistant à la messe à Saint-Nicolas-du-Chardonnet (PiusX) ou à Saint-Roch (rite romain) pendant leurs vacances.
Traduction de l'IA