Pas d'ordinations pour Mgr Rey dans le diocèse de Toulon en 2023 non plus
![](https://seedus4268.gloriatv.net/storage1/7odfkqbpuj2b0l2kizffx3liozt7u8wesqfjwck.webp?scale=on&secure=8LJhn-fsrPjPfotZZLk0mQ&expires=1723168566)
Le Ciel continue donc hélas de faire abattre la tempête sur notre Jonas diocésain et sur son clergé qui continue de l'assister dans ses refus de discerner, et dans ses refus d'enseigner la belle et grande Ninive, à temps et à contretemps, soit dans ses manquement à la morale matrimoniale élémentaire soit dans ses manquement à la Foi du Credo sur RCF (iudicare vivos et mortuos). Et notamment, complice de l'équipage du bateau de notre Jonas diocésain, notre pauvre chancellerie, manœuvrant dans la tempête pour l'aider à fuir les responsabilités pour lesquelles l'Eternel l'avait missionné. On se souvient avec terreur de notre Mgr Rey en recherche devant le feu qui s'abattit sur ND Dame de Paris en 2019 qui dans une envolée mystique tentait d'expliquer le châtiment du diocèse de Paris en ces termes". Il y voyait un "avertissement" du Ciel qui a hélas prospéré dans son propre diocèse comme on pouvait le craindre dès décembre 2020 ICI :
Mgr Rey dans le très chic Valeurs Actuelles en 2019 : "A l’heure où la chaire de l’évêque, symbole de son autorité morale et spirituelle, est réduite en cendres et en miettes, évêques et prêtres, saurons-nous, non seulement restaurer cet édifice mais aussi, au cœur de notre pays, porter le signe de notre foi avec courage, fidélité, en retrouvant nos racines chrétiennes, en nous appuyant sur l’Ecriture et la Tradition multiséculaire de l’Eglise ?"
Deus non irridetur !
Dans sa très belle homélie du jeudi de l'Ascension, Mgr Vigano rappelle textuellement et bien à propos à Mgr Rey et à sa chancellerie que "Deus non irridetur" (Gal 6-7).
Extraits :
...Si Notre Seigneur avait voulu son propre triomphe selon la mentalité du monde, il nous aurait créés sans libre arbitre, nous programmant pour faire uniquement sa volonté, sans mérite et sans culpabilité. Il n’aurait pas non plus créé les anges pécheurs, évitant ainsi les armées d’esprits rebelles contre Lui. Il nous aurait tous rendus égaux, nous répartissant équitablement sur la planète, nous équipant du strict nécessaire et contrôlant chacune de nos actions. Bref, il aurait agi comme Klaus Schwab, qui nous aurait réduits en esclavage et aurait anéanti ce qui fait de nous des êtres humains et de notre Créateur un être merveilleusement divin : notre unicité, notre liberté de l’aimer et de rendre par notre misère la magnificence de ses grâces.
...
C’est un temps d’épreuve, qui dure – avec des résultats mitigés – depuis deux mille ans : l’Église continue à rendre le Christ présent sur terre et à l’offrir mystiquement au Père. Mais combien de loups, déguisés non seulement en agneaux, mais aussi en bergers ! Combien de mercenaires corrompus, qui pensent pouvoir escroquer leur maître avant son retour ! Combien de traîtres, qui cherchent à détruire l’Église précisément pour effacer la présence de Dieu et empêcher le salut des âmes !
...
Mais quand le Fils de l’homme viendra, trouvera-t-il la foi au-dessus de la terre ? (Lc 18,8). Si nous regardons autour de nous, nous devrions dire oui, car les adversités que nous traversons permettent à de nombreuses âmes de se convertir et de revenir à Dieu, et cette célébration en est la preuve. Mais si nous regardons le monde, nous sommes horrifiés, à commencer par l’apostasie, la corruption et l’immoralité dans lesquelles se trouve la hiérarchie catholique. Beaucoup de mes frères et de nombreux prêtres pensent qu’il est plus facile de promouvoir une version douce du christianisme – humanitaire, écologiste et mondialiste – parce que son « édition intégrale » est considérée comme impraticable pour la mentalité du monde. Avec une mentalité mercantile, ils pensent pouvoir « rafraîchir le stock » en proposant un nouveau « produit » qui répond aux goûts des clients. Des choses peu exigeantes, aussi génériques que rassurantes pour ceux qui ne veulent rien changer à leur vie : solidarisme, accueil, inclusion, synodalité, résilience, éco-durabilité. Et surtout : pas de référence au péché, donc pas de culpabilité originelle, pas de Rédemption, mais seulement un » marcher ensemble « , vers l’abîme. La Passion et la Mort du Seigneur sont encombrantes, elles divisent, elles ne sont pas inclusives. Elle ne construit pas de ponts, mais érige des murs.
Mais est-ce là la foi que le Seigneur a enseignée aux Apôtres pendant les trois années de son ministère public et, après la Résurrection, jusqu’au moment de l’Ascension ? Est-ce pour cela qu’il a institué l’ordre sacré et tous les sacrements ? Est-ce pour cela qu’il a ordonné d’enseigner toutes les nations ? C’est pour cela que les martyrs sont morts dans d’atroces tourments ? S’entendre dire que la mission divine de l’Église de convertir les peuples est un « solennel non-sens » ? C’est pour cela que les Saints Pères et les Docteurs de l’Église ont consacré leur vie à la prédication de la doctrine ? Écouter des discours délirants et décousus contre ceux qui restent fidèles à la Sainte Tradition, marginalisés comme des indianistes ou des nostalgiques pathologiques ? C’est pour cela que les prêtres catholiques ont été persécutés dans l’Angleterre d’Henri VIII ou dans la France de la Terreur ? De voir interdite cette messe haïe par les hérétiques de tous les temps ?
Les deux anges n’avertissent pas seulement les disciples, mais aussi chacun d’entre nous :: « Ce Jésus, qui a été enlevé d’avec vous au ciel, viendra comme vous l’avez vu aller au ciel » (Ac 1:11). À son retour, il demandera à ses intendants ce qu’ils ont fait des talents inestimables qu’il leur a laissés dans la caisse de la Sainte Église. Rendez compte de votre gestion (Lc 16:2). Je tremble à l’idée du jugement de Dieu, qui a constitué en autorité le pape et les évêques pour qu’ils soient d’autres Christs et qu’ils prêchent l’Évangile à tous les peuples, et qui trouve aujourd’hui l’Église infestée d’un sanhédrin d’hypocrites, d’hérétiques et d’apostats décidés à partager sa robe inconsolable avec les puissants de la terre. Comment le patrimoine du Christ, constitué des sacrements et de la Sainte Messe, a-t-il été utilisé à bon escient ? En copiant la « Cène » aux protestants et en interdisant le rite apostolique ? En multipliant les talents de la prédication et de l’apostolat, les trésors de doctrine des saints théologiens ? En promouvant l’œcuménisme iréniste et en participant sacrilègement au panthéon des « religions abrahamiques » à Abu Dhabi ? En faisant adorer au Vatican l’idole infernale de Pachamama ? En encourageant le vice et en se moquant de la vertu ? En promouvant des prélats indignes et en persécutant les bons prêtres ? Ces bureaucrates corrompus se précipiteront pour déterrer le trésor, pensant pouvoir le restituer impunément, alors qu’il a été gagné avec le Sang de l’Agneau.
Si Notre Seigneur avait voulu son propre triomphe selon la mentalité du monde, il nous aurait créés sans libre arbitre, nous programmant pour faire uniquement sa volonté, sans mérite et sans culpabilité. Il n’aurait pas non plus créé les anges pécheurs, évitant ainsi les armées d’esprits rebelles contre Lui. Il nous aurait tous rendus égaux, nous répartissant équitablement sur la planète, nous équipant du strict nécessaire et contrôlant chacune de nos actions. Bref, il aurait agi comme Klaus Schwab, qui nous aurait réduits en esclavage et aurait anéanti ce qui fait de nous des êtres humains et de notre Créateur un être merveilleusement divin : notre unicité, notre liberté de l’aimer et de rendre par notre misère la magnificence de ses grâces.
...
C’est un temps d’épreuve, qui dure – avec des résultats mitigés – depuis deux mille ans : l’Église continue à rendre le Christ présent sur terre et à l’offrir mystiquement au Père. Mais combien de loups, déguisés non seulement en agneaux, mais aussi en bergers ! Combien de mercenaires corrompus, qui pensent pouvoir escroquer leur maître avant son retour ! Combien de traîtres, qui cherchent à détruire l’Église précisément pour effacer la présence de Dieu et empêcher le salut des âmes !
...
Mais quand le Fils de l’homme viendra, trouvera-t-il la foi au-dessus de la terre ? (Lc 18,8). Si nous regardons autour de nous, nous devrions dire oui, car les adversités que nous traversons permettent à de nombreuses âmes de se convertir et de revenir à Dieu, et cette célébration en est la preuve. Mais si nous regardons le monde, nous sommes horrifiés, à commencer par l’apostasie, la corruption et l’immoralité dans lesquelles se trouve la hiérarchie catholique. Beaucoup de mes frères et de nombreux prêtres pensent qu’il est plus facile de promouvoir une version douce du christianisme – humanitaire, écologiste et mondialiste – parce que son « édition intégrale » est considérée comme impraticable pour la mentalité du monde. Avec une mentalité mercantile, ils pensent pouvoir « rafraîchir le stock » en proposant un nouveau « produit » qui répond aux goûts des clients. Des choses peu exigeantes, aussi génériques que rassurantes pour ceux qui ne veulent rien changer à leur vie : solidarisme, accueil, inclusion, synodalité, résilience, éco-durabilité. Et surtout : pas de référence au péché, donc pas de culpabilité originelle, pas de Rédemption, mais seulement un » marcher ensemble « , vers l’abîme. La Passion et la Mort du Seigneur sont encombrantes, elles divisent, elles ne sont pas inclusives. Elle ne construit pas de ponts, mais érige des murs.
Mais est-ce là la foi que le Seigneur a enseignée aux Apôtres pendant les trois années de son ministère public et, après la Résurrection, jusqu’au moment de l’Ascension ? Est-ce pour cela qu’il a institué l’ordre sacré et tous les sacrements ? Est-ce pour cela qu’il a ordonné d’enseigner toutes les nations ? C’est pour cela que les martyrs sont morts dans d’atroces tourments ? S’entendre dire que la mission divine de l’Église de convertir les peuples est un « solennel non-sens » ? C’est pour cela que les Saints Pères et les Docteurs de l’Église ont consacré leur vie à la prédication de la doctrine ? Écouter des discours délirants et décousus contre ceux qui restent fidèles à la Sainte Tradition, marginalisés comme des indianistes ou des nostalgiques pathologiques ? C’est pour cela que les prêtres catholiques ont été persécutés dans l’Angleterre d’Henri VIII ou dans la France de la Terreur ? De voir interdite cette messe haïe par les hérétiques de tous les temps ?
Les deux anges n’avertissent pas seulement les disciples, mais aussi chacun d’entre nous :...Les deux anges n’avertissent pas seulement les disciples, mais aussi chacun d’entre nous : « Ce Jésus, qui a été enlevé d’avec vous au ciel, viendra comme vous l’avez vu aller au ciel » (Ac 1:11). À son retour, il demandera à ses intendants ce qu’ils ont fait des talents inestimables qu’il leur a laissés dans la caisse de la Sainte Église. Rendez compte de votre gestion (Lc 16:2). Je tremble à l’idée du jugement de Dieu, qui a constitué en autorité le pape et les évêques pour qu’ils soient d’autres Christs et qu’ils prêchent l’Évangile à tous les peuples, et qui trouve aujourd’hui l’Église infestée d’un sanhédrin d’hypocrites, d’hérétiques et d’apostats décidés à partager sa robe inconsolable avec les puissants de la terre. Comment le patrimoine du Christ, constitué des sacrements et de la Sainte Messe, a-t-il été utilisé à bon escient ? En copiant la « Cène » aux protestants et en interdisant le rite apostolique ? En multipliant les talents de la prédication et de l’apostolat, les trésors de doctrine des saints théologiens ? En promouvant l’œcuménisme iréniste et en participant sacrilègement au panthéon des « religions abrahamiques » à Abu Dhabi ? En faisant adorer au Vatican l’idole infernale de Pachamama ? En encourageant le vice et en se moquant de la vertu ? En promouvant des prélats indignes et en persécutant les bons prêtres ? Ces bureaucrates corrompus se précipiteront pour déterrer le trésor, pensant pouvoir le restituer impunément, alors qu’il a été gagné avec le Sang de l’Agneau.
...
Seul, il se laisse voir par les disciples, afin que l’évidence de son Ascension au ciel soit suivie de la foi en sa présence sacramentelle dans la Sainte Eucharistie gardée par l’Église, de l’espérance d’être réuni avec lui dans la gloire céleste et de l’ardente charité de l’aimer et d’aimer son prochain pour l’amour de lui. Tel est l’héritage que l’Église du Christ transmet intact depuis deux mille ans, et que personne ne peut altérer ou dénaturer, en s’imaginant pouvoir s’en tirer à bon compte : Deus non irridetur....
Le texte complet en cliquant ci dessous :
Espagnol : Monseñor Carlo Maria Viganò. Homilía en la festividad de la Ascensión del Señor
Monseñor Carlo Maria Viganò. Homilía en...
Italien
Mons. Viganò. Omelia nella Festa dell’Ascensione del Signore.
Français
Homélie sur l’Ascension de Notre Seigneur
Manifestement le Ciel continue de se rire de l'évêque qui déplore chez ses confrères parisiens les effets dont il chérit la cause dans sa propre curie.
Et ce n'est pas faute d'avoir reçu fin 2020 l'"avertissement" qu'il redoutait tant dans le très chic Valeurs Actuelles :
Mgr Rey fera t-il tomber le feu du Ciel sur nos églises ?