Films pornographiques : La victime de Rupnik fait son coming out en personne
Il s'agit d'une histoire de manipulation vécue comme un "abus dévastateur". Mme Branciani a révélé son identité : en 2022, elle a écrit son histoire sous le pseudonyme d'Anna.
Elle est venue sans maquillage, les cheveux teints, vêtue d'un pull-over tricoté violet et s'exprimant dans une posture droite.
Branciani a rencontré Rupnik, de dix ans son aîné, lorsqu'elle était étudiante à Rome, en tant que "guide spirituel". Il l'a complimentée et a commencé à la toucher. Il a toujours justifié son geste par des raisons religieuses, comme une "contribution à son développement spirituel".
Au milieu des années 1980, Rupnik et Ivanka Hosta fondent la Communauté Loyola. Branciani rejoint le groupe et se rend en Slovénie.
Là, les pulsions sexuelles de Rupnik sont devenues plus agressives et plus fréquentes. Il voulait que d'autres sœurs aient des relations sexuelles avec lui : "Notre relation n'était pas exclusive mais devait être une relation à l'image de la Trinité.
Il voulait que d'autres sœurs aient des relations sexuelles avec lui, exigeant des relations à trois. Il les emmenait également voir des films pornographiques. Finalement, Branciani a informé la supérieure Ivanka Hosta, qui n'a rien fait. Elle a quitté la communauté en 1994.
En 2021, les Jésuites l'ont contactée pour utiliser son témoignage dans l'affaire Rupnik.
Une autre ancienne sœur, Mirjam Kovac, 61 ans, a également raconté lors de la conférence de presse les manipulations, les abus sexuels et spirituels du père Rupnik. Elle pense que le Père Rupnik a eu des relations sexuelles avec environ 20 des 40 sœurs.
Le père Rupnik bénéficie du soutien inconditionnel de François.
Traduction de l'IA
