Trump empêche les Nations Unies de devenir le gouvernement mondial unique

SORTIR ET EN FINIR AVEC L ' ONU

Le président américain s'oppose au plan de l'ONU visant à devenir un gouvernement mondial

Le président des États-Unis, Donald Trump, défie les dirigeants mondiaux des Nations unies

Alors que d'autres dirigeants du monde continuent de plaider pour le mondialisme, dirigeant le monde sur la voie d'un gouvernement mondial unique, le président des États-Unis, Donald Trump, reste défiant.

Dans une bataille apparemment isolée, à part des étrangers comme le président russe Vladimir Poutine, Trump semble être le seul dirigeant à occuper une place importante à la table des négociations empêchant les Nations Unies de devenir un gouvernement mondial unique.

Lors de son discours à l'ONU en septembre, Donald Trump a exhorté les autres pays à rejeter le mondialisme et à adopter le patriotisme.

Son discours aux Nations Unies a toutefois été interrompu par les éclats de rire moqueurs d’autres dirigeants du monde.

Dans son audacieux discours, Trump a souligné les réalisations de sa présidence, critiqué les ennemis de l'Amérique, dont l'Iran au premier rang, et s'est élevé contre le mondialisme dans son foyer spirituel, l'Assemblée générale des Nations Unies (AGNU).

"L'Amérique est gouvernée par les Américains", a déclaré Trump.

"Nous rejetons l'idéologie du mondialisme et adhérons à la doctrine du patriotisme". Le discours de Trump avait pour thème principal le patriotisme.

Il a exhorté les États à se concentrer sur leurs propres intérêts nationaux. «Dans le monde entier, les nations responsables doivent se défendre contre les menaces à la souveraineté non seulement de la gouvernance mondiale, mais aussi d'autres formes nouvelles de coercition et de domination." Le président français, Emmanuel Macron, a renforcé son rôle d'anti-Trump. sur la scène mondiale.

Macron a affirmé que le nationalisme entraînerait la propagation de l’anarchie mondiale, «dans laquelle chacun défend ses propres intérêts». Il a déclaré: «Tous contre tous finissent au détriment de tous».

Dans son dernier discours devant les Nations Unies, Obama a déclaré qu '"un pays encerclé de murs ne s'emprisonnerait que par lui-même .

Le discours de Trump aux Nations Unies contrastait avec le dernier discours de l'ancien président Barack Obama en 2016, dans lequel il critiquait ceux qui cherchaient à " "Le monde est trop petit, nous sommes trop emballés pour que nous puissions avoir recours à ces anciennes façons de penser", a déclaré Obama aux dirigeants du monde.

"Aujourd'hui, une nation encerclée de murs ne ferait que s'emprisonner", at-il ajouté.

L’ONU envisage de devenir notre gouvernement mondial d’ici 2030 Selon E. Jeffrey Ludwig, les Nations Unies s’efforcent de devenir le gouvernement mondial d’ici à 2030.

Bien que son document fondateur comporte un fil socialiste, l’ONU a été créée sur la base d’une vision des droits de l’homme présentée dans la «Déclaration universelle des droits de l’homme» (DUDH) qui plaçait des droits à la pointe du progrès de l’organe mondial.

Et les droits sont le pilier de la promotion de la liberté humaine et de la dignité de l'individu. Le document de la DUDH a suivi de nombreux documents étonnants qui présentaient les droits comme le concept central du monde post-féodal: la Déclaration anglaise des droits de 1689, la Déclaration d’Indépendance des États-Unis avec son affirmation importante et énergique de droits naturels inaliénables, la Déclaration des droits des États-Unis promulguée en 1791 et Déclaration française des droits de l'homme et du citoyen (1789).

Le mot «droits» figure dans presque toutes les phrases du document de l'ONU contenant 1869 mots. Le document est littéralement obsédé par les droits, et on doit supposer qu’ils sont également obsédés par les succès de ces droits tels qu’ils se manifestent au Royaume-Uni, aux États-Unis et en France.

Cependant, il existe des écarts par rapport à l’utilisation des droits que nous connaissons tous. Dans l'article 3, au lieu des droits inaliénables de «vie, liberté et poursuite du bonheur» énoncés dans notre Déclaration d'indépendance, l'ONU déclare le droit de chacun à la «vie, à la liberté et à la sécurité de sa personne». apportera le bonheur?

Ou impliquent-ils que le bonheur est une valeur trop éphémère et trop occidentale? Des objectifs de survie plus mondains sont peut-être nécessaires dans la plupart des pays.

L'ONU a été créée lors d'une cérémonie qui s'est déroulée le 26 juin 1945 dans le bâtiment du Monument commémoratif de la guerre aux anciens combattants.

Nous assistons à une reprise d'éléments de notre Déclaration des droits, tels que la condamnation de peines cruelles et inusitées (article 5), la procédure régulière (articles 6,7,8,9, 10, 11, 14, 17), perquisition et saisie illégales (article 12), et liberté de parole et de réunion (articles 19,20).

Mais de nouveaux droits ont été introduits qui, dès 1945, ouvraient la voie à une intervention de l'ONU dans la vie quotidienne des peuples du monde entier.

Tout au long du document, ils revendiquent le droit à la nourriture, au vêtement, aux soins médicaux, aux services sociaux, aux allocations de chômage et d'invalidité, à la garde d'enfants et à l'éducation gratuite, ainsi qu'au droit au "développement complet de la personnalité" (imaginez-vous, I avoir le droit d'être moi-même) et le «droit de participer librement à la vie culturelle de la communauté… et de profiter des arts» (nous avons tous le droit de profiter d'un tableau ou d'un film).

Cependant, ils n'énoncent pas le droit d'apparaître dans le «Tonight Show» ou le «Saturday Night Live». Leur largeur a donc été limitée.

En 2015, soixante-dix ans après leur document original basé sur les droits, les Nations Unies ont fait un pas de géant vers le gouvernement mondial auquel il n'était fait allusion que dans leur premier document d'organisation.

Ils ont publié un document intitulé «Transformer notre monde: le Programme de développement durable à l'horizon 2030».

Ce document contient 91 sections numérotées du programme des Nations Unies pour le gouvernement mondial. La DUDH n’est mentionnée qu’une fois dans l’ensemble du document à l’Article 19.

Contrairement au «document mère» original qui faisait moins de 1900 mots, ce document contient 14 883 mots. Les 91 articles traitent de questions relevant des cinq rubriques suivantes: Personnes, Planète, Prospérité, Paix et Partenariats.

En outre, le document fournit 17 objectifs de développement durable (ODD) visant à améliorer la vie sur la planète. Que signifie le terme «durable»? La définition la plus souvent citée vient de la Commission mondiale sur l'environnement et le développement des Nations Unies: «Le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à satisfaire les leurs. .

”Les mondialistes Koch Brothers, qui sont devenus une blague totale dans les véritables cercles républicains, s’opposent aux frontières fortes et au commerce puissant.

Je n’ai jamais cherché leur soutien parce que je n’ai pas besoin de leur argent ni de leurs mauvaises idées. Ils aiment mes coupes fiscales et réglementaires, mes choix judiciaires et plus encore. Je les ai rendu plus riche

Donald J. Trump (@realDonaldTrump) le 31 juillet 2018 ...

. Leur réseau est fortement surestimé, je les ai battus à chaque tour. Ils veulent protéger leurs entreprises en dehors des États-Unis de l’impôt, je suis pour America First et The American Worker - une marionnette pour personne. Deux bons gars avec de mauvaises idées. Rendre l'Amérique grande encore!

- Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 31 juillet 2018

Les idées et idéaux antérieurs de droits, de liberté, d'égalité et de justice sont englobés dans la satisfaction des besoins et un environnementalisme explicite qui met l'accent sur la prévention de l'épuisement des rares ressources de la planète.

Bien entendu, le décollage est l’axiome marxiste selon lequel la société devrait être organisée autour de l’idée «de chacun selon sa capacité à chacun selon ses besoins».

Ainsi, le marxisme est implicite dans la durabilité mais nuancé par son alliance avec des ajustements apparemment scientifiques. et les objectifs liés à l'environnementalisme.

Un jargon technique est soudé à l'intentionnalité marxiste pour créer un sentiment de pertinence et de progrès moderne. Le document entier intitulé «Transformer notre monde» est jeté dans un flot de conscience de platitudes pieuses pour un avenir utopique. C'est un rêve utopique démesuré.

Cinq des 17 éléments concernent l'environnement. Il y a des objectifs pour les villes, pour les femmes, pour les pauvres et même pour la vie sous l'eau.

Absolument aucune sphère d'activité humaine n'est à l'abri du contrôle de l'ONU. Bien entendu, le mot clé n'est plus «droits», à l'exception de la référence oblique à l'article 19. En fait, cet auteur n'a pas vu le mot «droits» une seule fois dans ce document, même si ce mot figurait dans pratiquement toutes les phrases du document d'origine de l'ONU

Les gens du monde des années 50 et du début des années 60 sont maintenant aux commandes des Nations Unies et ont pris leur décision. La superposition de discours marxistes sur «la satisfaction des besoins» est passée au premier plan.

L'ONU s'est fixée un délai pour faire avancer son plan d'hégémonie planétaire. Cette transformation projetée détaillant (encore sans détail) un nouvel ordre mondial de responsabilité environnementale et une réduction significative de la pauvreté et de la faim ne révèle jamais la dimension pratique des vastes manipulations de personnes par des dirigeants cyniques et des bureaucrates ignorants qui maintiennent leurs positions par le terrorisme et la corruption.

Ils ne discutent jamais d'incompétence et de corruption, de frères jumeaux dans la famille de la vénalité.

Le document dépeint un monde sincère où tous les dirigeants veulent aider l’humanité malgré les preuves quotidiennes de l’égoïsme, de la corruption, des intentions meurtrières, des manipulations diaboliques, des vols, des immoralités personnelles, des haines et une dépravation absolue de nombreux dirigeants gouvernementaux dans tous les pays du monde. dans le monde et parmi les chefs d’entreprise.

L’Agenda pour le développement durable n’est-il pas en soi une de ces manipulations diaboliques? ( Agenda 21 )

L’idéal de durabilité n’est pas lié à une vision du monde chrétienne; au lieu de cela, la liberté individuelle est submergée par un état d'esprit collectiviste déterminé scientifiquement, les décisions finales étant entre les mains des Grands Frères diaboliques et connaissant tout.

La pertinence de l'individu est minimisée

Il est présenté par une ONU qui n'est plus pro-occidentale, un organisme beaucoup plus vaste que celui qui existait en 1945.

L'accepterez-vous ou est-il temps, plus que jamais, de commencer à repenser notre appartenance à cet organisme insoutenable?

neonnettle.com/features/1597-trump-is-s…