AveMaria44
1817

Un scoop

Bugnini, le franc-maçon et les experts calvinistes avaient l'intention de faire ce que fait l’Église et donc les nouveaux rites et la nouvelle messe sont valides, aucune intention vicieuse.
Un acte peut être posé sans intention, c'est l'acte qui compte, l'intention est accessoire, une nouvelle perspective pour la théologie morale.
Mgr Lefebvre et le Père Calmel se sont trompés, cela arrive à tout le monde, l'abbé Rioult remet les choses en place.

« Les années passant, au gré de nos lectures, plusieurs documents magistériels, conclusions théologiques et faits historiques ont conforté notre premier sentiment sur cette question et nous ont apporté les arguments décisifs qui nous manquaient.

Les remarques qui vont suivre n’ont pas pour objet de justifier ou de promouvoir les réformes issues de Vatican II, ni de juger de leur bonté, utilité ou légalité. Elles traiteront uniquement de la validité sacramentelle de la consécration épiscopale.
Puisque nous sommes en théologie, l’argument d’autorité sera premier. On invoque sur le problème qui nous occupe principalement deux enseignements magistériels récents et obligeant en conscience : celui de Pie XII sur la forme essentielle et celui de Léon XIII sur l’intention du ministre. Nous aborderons ces enseignements pour voir comment ils peuvent éclairer notre sujet de manière pertinente. Mais, avant cela, nous donnerons un aperçu historique de la théologie sacramentaire, puis un exposé des problèmes que lui a posés la première grande intervention du magistère sur le sacrement de l’ordre : celle d’Eugène IV.

Nous avons pris le parti de livrer aux fidèles un large développement des doctrines en jeu pour leur donner une matière suffisante à réflexion, ceci afin d’éclairer les âmes sur ces sujets qui troublent si facilement les consciences en ces temps d’épreuves… »

Exigez la baguette de tradition et les rites qui vont avec......
Pierre Augustin
L'ARTICLE EST BIEN EVIDEMMENT SARCASTIQUE, IL DENONCE:
LE NAUFRAGE DE L'ABBE RIOULT
"Ainsi donc, que celui qui croit être debout prenne garde de tomber!" (1 Cor 10, 12)