Officiel : Le synode allemand adopte une résolution pour les femmes prêtres [invalides]
82% des évêques et 92% des délégués du synode allemand triés sur le volet ont voté le 9 septembre en faveur d'une résolution contre "l'exclusion des femmes du ministère sacramentel" (182 pour, 16 contre, 7 abstentions).
Seuls 10 évêques ont voté contre (45 évêques pour, 5 abstentions). Des taux d'approbation d'environ 90 % sont typiques des régimes totalitaires. Des "passages dangereux" (évêque d'Aix-la-Chapelle, M. Dieser) du document, qui auraient pu compromettre le vote final, ont été modifiés au cours de la journée.
Cette astuce était nécessaire pour éviter un autre rejet embarrassant, comme cela s'est produit la veille avec une résolution sur la sexualité.
Les évêques ont inséré un passage demandant à François de modifier l'Ordinatio sacerdotalis de Jean-Paul II de 1994, qui stipule que les femmes ne peuvent pas valablement recevoir l'ordination - comme si de telles choses pouvaient être "changées".
La résolution suggère qu'"à l'avenir, le genre ne devrait plus décider de l'attribution des ministères" - ce qui est une déformation des faits : c'est le Christ qui décide.
"Ce n'est pas la participation des femmes à tous [sic !] les ministères de l'Église qui doit être justifiée, mais l'exclusion des femmes du ministère sacramentel", martèle l'Église anciennement catholique d'Allemagne.
#newsEaonwrylmy
Seuls 10 évêques ont voté contre (45 évêques pour, 5 abstentions). Des taux d'approbation d'environ 90 % sont typiques des régimes totalitaires. Des "passages dangereux" (évêque d'Aix-la-Chapelle, M. Dieser) du document, qui auraient pu compromettre le vote final, ont été modifiés au cours de la journée.
Cette astuce était nécessaire pour éviter un autre rejet embarrassant, comme cela s'est produit la veille avec une résolution sur la sexualité.
Les évêques ont inséré un passage demandant à François de modifier l'Ordinatio sacerdotalis de Jean-Paul II de 1994, qui stipule que les femmes ne peuvent pas valablement recevoir l'ordination - comme si de telles choses pouvaient être "changées".
La résolution suggère qu'"à l'avenir, le genre ne devrait plus décider de l'attribution des ministères" - ce qui est une déformation des faits : c'est le Christ qui décide.
"Ce n'est pas la participation des femmes à tous [sic !] les ministères de l'Église qui doit être justifiée, mais l'exclusion des femmes du ministère sacramentel", martèle l'Église anciennement catholique d'Allemagne.
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