L'évêque s'excuse "sincèrement" après un "blasphème" [contre Bouddha].
Le père Jean-François Laco de Sainte-Suzanne, une commune de la Réunion, un département français d'outre-mer situé près de Madagascar, a prêché le 19 mai, jour de la Pentecôte, contre les fausses religions.
Le Père Laco est également compositeur et chanteur. "Je ne crois pas en ce gros homme assis, celui qui a un beau ventre, que l'on appelle Bouddha", a-t-il prêché, affirmant que les statues de Bouddha ne devraient pas être utilisées pour la décoration : "Cela n'apporte pas la paix, mais plutôt le désordre.
La vidéo aurait été visionnée 180 000 fois et aurait reçu des centaines de commentaires [bot]. La Réunion compte 885 700 habitants et Laco s'est exprimé dans un français qui ne peut être compris que par les locaux, ce qui signifie que plus de 20 % de la population a vu la vidéo, ce qui est peu probable.
Le prêtre a supprimé la vidéo, mais des copies sont restées disponibles sur l'internet.
À la demande de son évêque, il a exprimé ses regrets en utilisant les formules habituelles telles que "des parties du sermon ont été extraites" et "des mots sortis de leur contexte".
"Si vous regardez la vidéo de l'homélie dans son intégralité, vous penserez : il est dans son église en train de prêcher la Pentecôte, rappelant aux chrétiens d'être fidèles à Dieu", a expliqué le prêtre.
Monseigneur Pascal Chane-Teng, évêque de Saint-Denis-de-La Réunion, a publié le 5 juin un communiqué dans lequel il s'excusait "sincèrement" en affirmant que "la position de l'Eglise catholique et du diocèse est celle du respect des autres, de leur culture et de leurs croyances religieuses [tant qu'il ne s'agit pas du rite romain]".
Si le prêtre avait proféré un véritable blasphème contre le Christ ou la Vierge, le même diocèse et le Vatican auraient ri, auraient parlé d'"art" et auraient inscrit Laco sur la liste des candidats à l'épiscopat.
Traduction de l'IA
Le Père Laco est également compositeur et chanteur. "Je ne crois pas en ce gros homme assis, celui qui a un beau ventre, que l'on appelle Bouddha", a-t-il prêché, affirmant que les statues de Bouddha ne devraient pas être utilisées pour la décoration : "Cela n'apporte pas la paix, mais plutôt le désordre.
La vidéo aurait été visionnée 180 000 fois et aurait reçu des centaines de commentaires [bot]. La Réunion compte 885 700 habitants et Laco s'est exprimé dans un français qui ne peut être compris que par les locaux, ce qui signifie que plus de 20 % de la population a vu la vidéo, ce qui est peu probable.
Le prêtre a supprimé la vidéo, mais des copies sont restées disponibles sur l'internet.
À la demande de son évêque, il a exprimé ses regrets en utilisant les formules habituelles telles que "des parties du sermon ont été extraites" et "des mots sortis de leur contexte".
"Si vous regardez la vidéo de l'homélie dans son intégralité, vous penserez : il est dans son église en train de prêcher la Pentecôte, rappelant aux chrétiens d'être fidèles à Dieu", a expliqué le prêtre.
Monseigneur Pascal Chane-Teng, évêque de Saint-Denis-de-La Réunion, a publié le 5 juin un communiqué dans lequel il s'excusait "sincèrement" en affirmant que "la position de l'Eglise catholique et du diocèse est celle du respect des autres, de leur culture et de leurs croyances religieuses [tant qu'il ne s'agit pas du rite romain]".
Si le prêtre avait proféré un véritable blasphème contre le Christ ou la Vierge, le même diocèse et le Vatican auraient ri, auraient parlé d'"art" et auraient inscrit Laco sur la liste des candidats à l'épiscopat.
Traduction de l'IA