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Le cardinal Müller critique le centrage sur la politique de François

Le premier devoir de l'Église est d'amener les gens à Dieu. Les réponses de l'Eglise aux problèmes sociaux et environnementaux sont "secondaires", a déclaré le cardinal Gerhard Müller à un auditoire à Den Bosch, aux Pays-Bas, le 18 novembre.

Et "Nous ne pouvons pas remplacer l'Église de Jésus-Christ, les sacrements, par une organisation sociale".

Katholiek Nieuwsblad a interprété les propos de Müller comme une critique du "changement de paradigme" du pape François qui déplace l’attention principalement sur des problèmes tels que les migrants, la pauvreté et le climat.

Image: Gerhard Ludwig Müller © Mazur/catholicnews.org.uk, CC BY-SA, #newsVavmggepxe
Psaume 62
Prise de position pertinente et catholique du cardinal Müller. Si l'Eglise doit se faire proche des préoccupations légitimes et nobles de l'humanité à toutes les époques, Elle ne doit jamais perdre de vue que sa perspective est d'abord et par-dessus tout surnaturelle et éternelle.
Etienne bis
@apvs
Merci pour votre approbation.
Etienne bis
Sans disposer du pedigree complet de ce cardinal, ce qu'il dit ici paraît correct, intéressant.
Ce n'est pas en fusillant ce genre de déclaration qu'on contribuera à la renaissance de l'Eglise catholique.
ne nous laissez pas succomber
Qu'es-que c'est ce CARDINAL pour dire de tel ÂNERIES ?C'est vraiment la misère qui est sortie du Concile Vatican II .
GChevalier
En fait, Müller s'auto-critique lui-même !