Ma réponse aux grincheux pathologiques qui critiquent tous mes articles.
Étant ni moderniste ni sedevacantiste (refusant de me laisser enfermer dans des schémas « culturalistes » qui au fond n’ont de catholique que le nom), je n’ai bien entendu pas que des amis. Eh oui, je suis, tout simplement un disciple du Christ dans le cadre de la Sainte Église Catholique. Qui plus est, j'ai été le premier en France à avoir, dans un essai, dénoncé l'opération corona et parlé de ses vraies objectifs civilisationnels (en relation avec ma théorie du complot inconscient). Certains, peut-être, ne me le pardonnent pas. Cela explique sans doute que certaines personnes qui ne peuvent se reconnaître en moi, ne supportent pas que je sois publié de plus en plus souvent par diverses revues de résistance de renom (souvent de sensibilité chrétienne). Ces gens (que j’identifie comme «grincheux réflexifs», et qui ont tendance à tirer sur tout ce qui bouge- souvent d’ailleurs par jalousie réflexive et inconsciente) ne pouvant me critiquer sur le contenu de mes articles, essayent de trouver la «petite bête». Ainsi, à la moindre étourderie de ma part (qui est souvent d’ailleurs une simple faute de frappe), ils me sautent dessus dans les commentaires pour me le faire lourdement remarquer et surtout pour essayer de me discréditer (oubliant ainsi, qu’ils se couvrent, ce faisant, eux-mêmes de ridicule-car les lecteurs ne sont pas stupides…).
Certes, vivant en Allemagne et écrivant dans la langue de Goethe depuis de nombreuses années (au moins autant qu’en français), je pourrais, après tout, suggérer à ces bonnes âmes de faire preuve d’un tant soit peu d’indulgence face à mes (somme toute plutôt rares) étourderies. Mais non, je préfère plutôt leur réserver une phrase qui semble avoir été écrite pour eux:
«Quand on lui montre la lune, l’imbécile regarde le doigt» (Confucius).
Jean-Pierre Aussant, auteur du "complot inconscient" et de "l'instrumentalisation du corona"
Image: Confucius