Montfort.
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IDOLÂTRIE et SALETÉ, deux attributs de l'ANTÉCHRIST

Album ACTU
>>> Le CAS d'un PAPE HÉRÉTIQUE : comme FRANÇOIS est HÉRÉTIQUE et APOSTAT, concluez !

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SYNODE PARALLÈLE : RITES TRIBAUX à l’ÉGLISE

Ceux qui suivent le Synode ont été les témoins (consternés ou enthousiastes, selon les cas) des rites païens délirants qui se sont déroulés la semaine dernière à l’ombre de la Coupole, dans le cadre du Synode pour l’Amazonie – dans les jardins du Vatican, puis dans la Basilique Saint Pierre, en présence du Pape. Dernier épisode, une « messe » sacrilège célébrée dans une église à deux pas du Vatican, EN PRÉSENCE D’UN CARDINAL (Czerny)!! Récits sur « la Bussola ».

ILS ONT ÉVACUÉS le SEIGNEUR !
L’AMAZONIE ENTRE dans l’ÉGLISE avec un CULTE PAÏEN

par Andrea Zambrano
12 octobre 2019

Une pachamama en chair et en os portée en triomphe dans l’église

Jésus et la Sainte Vierge quittent la scène. A leur place, une statue d’une femme indigène nue et enceinte adorée abusivement comme Notre Dame des Amazones, une para-liturgie d’Ave Maria et de danses tribales, un martyrologue avec des moilitants marxistes comme Chico Mendes: le pire du syncrétisme païen est mis en scène à quelques mètres de Saint Pierre dans l’église Santa Maria de Transpontina avec l’imprimatur du synode. Le curé de la paroisse se défausse: « J’ai seulement prêté l’église ». Et aujourd’hui, le sommet est atteint avec une messe sacrilège, déjà interdite par le Saint-Siège, qui blasphème le baptême.

Une statue d’une indigène nue, enceinte, abusivement adorée comme Notre Dame des Amazones, un rite syncrétiste fait d’Ave Maria et de danses tribales, un martyrologuee avec des activistes marxistes comme Chico Mendes. Tout cela sous les yeux de Jésus dans le tabernacle de l’église. Le secrétaire du Synode a dit que pendant l’assemblée panamazonique il n’y aurait aucun « rite » païen. Mais le Cardinal Baldisseri n’avait peut-être pas encore vu ce qui se passait sur scène mardi et mercredi derniers non loin de chez lui.

Précisément dans l’église de Santa Maria in Transpontina où s’est déroulé un rite complètement étranger à la foi catholique. A deux pas du Vatican, dans l’église paroissiale de la Via della Conciliazione qui, à l’occasion du Synode, a été littéralement prise en otage par une sorte de « Synode Off ».

Amazzonia Casa Comune: c’est le nom du riche programme de manifestations en marge du Synode où, entre expositions et rencontres, se déroulent les liturgies les plus abstruses – blasphématoires, hérétiques, sacrilèges ? Jugez par vous-même – sous le signe de l’inculturation amazonienne.

Le curé de la paroisse se défausse: « Je ne sais pas, j’ai seulement accordé l’hospitalité. Il y a des responsables du Synode qui ont des relations avec la presse », explique le Père Massimo Brogi. Nous lui demandons un avis sur les rites païens de ces jours: « Eh bien… ils reflètent leur culture… ».

Est-ce sûr qu’il n’y a rien d’autre? C’est ce que la NBQ a essayé de découvrir en suivant les symbologies rituelles et « hagiographiques » d’un christianisme qui n’est plus tel, mais qui a été englouti par ce tribalisme que des siècles d’évangélisation des Amériques avaient effacé.

Et Santa Maria in Traspontina est un peu le cœur de ces initiatives qui ont pour centre elle, la statuette de la femme indigène, nue et enceinte, portée en procession dans l’église Saint-Pierre et « vénérée » dans les jardins du Vatican, sur laquelle beaucoup se sont interrogés. Elle a également fait son apparition mardi lors d’une paraliturgie documentée par Aci Prensa (le portail ACI en langue espagnole, ndt) dans un reportage unique et inquiétant. C’est elle, la nouvelle divinité: un peu Pocahontas en canoë, un peu « Vénus de Chiozza », symbole de fertilité, mais aux traits amazoniens et décidément plus sexy. Une idole, portée en procession cette fois encore et ennoblie par le nom marial de Nossa Senhora de Amazonas.

Dommage qu’en Amazonie, et même dans tout le Brésil, il n’y ait pas de Vierge vénérée sous ce nom.

« C’est une idole inventée, cela n’a évidemment rien à voir avec la Sainte Vierge – explique Julio Loredo de Tradicion Familia y Propiedad (TFP), spécialiste du Brésil et de la culture latino-américaine -. En réalité ce n’est même pas un rite amazonien, puisqu’il y en a des centaines, tous différents et avec des langues incompréhensibles même d’une tribu à l’autre -… Celui sur scène ressemble à un para-rite à mi-chemin entre le folklorique et le païen. C’est démontré, par exemple, par le fait que cette espèce de divinité devrait représenter – disent-ils – la Pachamama, la terre mère. En réalité, le culte de la Pachamama est un culte Quechua, donc des populations indio-andines et non amazoniennes. Ce qui est certain, évidemment, c’est qu’il n’y a absolument aucune iconographie de ce genre, vénéré avec le titre de Notre-Dame de l’Amazonie ».

Bref, il semble que le rite païen n’est rien de plus qu’un « pastiche » folklorique, une sorte de miroir aux alouettes pour gogos aux goût ethniques qui veulent boire le sentiment d’être en pleine forêt tropicale. Un peu comme les gladiateurs qui posent devant le Colisée et qui font tellement ‘Empire romain‘. Cette fois, cependant, l’effet – entre le kitch et le comique – est païen, car celle de Via della Conciliazione est encore une église, avec le tabernacle et le Saint Sacrement présents. Une église qui, en ces jours, continue sa vie normale et doit partager les espaces avec les nouveaux invités du Réseau Ecclésiastique Panamazzonica (REPAM).

Dans le récit d’Aci prensa, on notera comment ces symbologies rituelles sont entrecoupés de prières chrétiennes. Comme l’Ave Maria récité autour de la statuette qui – on peut le parier – sera portée en procession durant le Synode comme « Vierge pèlerine », après avoir déjà occupé l’espace sacré de la basilique Saint-Pierre où elle est même entrée en procession le 5 octobre, portée par deux évêques.

Dans l’église il n’y a pas seulement des rites alternatifs et des « divinités » amazoniennes de cartes postales. Il y a aussi de nouveaux martyrs, comme Chico Mendes. A côté des photos pour la libération de l’Amazonie, il y a aussi des images de femmes indiennes allaitant des renardeaux [ou louvetaux??], signifiant que la Création est un tout, et des images de libérateurs de la cause amazonienne appelés martyrs mais qui n’ont rien à voir avec le christianisme.

Nouveaux rites, nouvelles « Madones » créées ad hoc et sans aucune trace de dévotion, nouveaux martyrs. L’Église à visage amazonien se présente plutôt comme un produit de laboratoire, fruit des directives de l‘Instrumentum laboris, plutôt que comme un résultat inculturé d’une semence chrétienne qui, introduite dans la culture primitive, a conduit à un culte et une culture catholique.

Nous avons déjà parlé de la nature diabolique de ces croyances. Mais le pire reste à venir. Et il arrivera aujourd’hui avec une messe très spéciale, incluse dans le calendrier des événements. C’est la célébration d’une Misa por la Tierra Sin Males, créée en 1979 et déjà condamnée par le Saint-Siège. Elle a été « célébrée » au Brésil dans le cadre de la théologie indienne et aujourd’hui elle sera à nouveau proposée dans l’église de Santa Maria in Transpontina dans une orgie de revendications anticolonialistes et sans rien de catholique. Au contraire, on demande pardon pour le baptême imposé aux Indios comme une marque imprimée sur le corps et on vénère la terre qui a été pillée. Il s’agit donc d’une messe blasphématoire où le baptême est blasphémé et défini comme la « marque du bétail humain », explique José Antonio Ureta.

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IL y AVAIT même un CARDINAL à la MESSE PAÏENNE CONDAMNÉE par JPII
par Nico Spuntoni
14 octobre 2019

A Santa Maria in Transpontina, samedi, en présence du néo-Cardinal Czerny, a eu lieu la dite « Messe pour la Terre sans maux », née dans le sillage de la Théologie de la libération et déjà condamnée par Saint Jean Paul II. Slogans indigénistes, images de femmes allaitant des animaux, statuettes d’idoles placées devant le Saint Sacrement: voici la liturgie païenne de l' »Église au visage amazonien ».

Pin’s de Misereor (ONG, branche caritative de la conférence épiscopale allemande), gilets du REPAM, T-shirts colorés avec des slogans indigènes, sacs en fibre naturelle avec le logo du Synode. Samedi soir 12 octobre: dans l’église de Santa Maria in Transpontina, à deux pas de la Basilique Saint-Pierre, on peut voir défiler tout l’attirail de prédilection des soutiens les plus enthousiastes de l' »Église au visage amazonien ».

Les plus fervents partisans du chemin qui a conduit à l’élaboration de l’Instrumentum Laboris contesté se réunissent dans la paroisse de la Via della Conciliazione pour célébrer la « Messe pour la Terre sans maux ». Il s’agit d’une expérience liturgique conçue par Mgr Pedro Casaldáliga, représentant de la théologie de la libération, et condamnée sous le pontificat de saint Jean Paul II. Donc le produit d’un missionnaire espagnol et non une cérémonie entièrement dérivée du patrimoine culturelle des indigènes. Rendez-vous organisé en concomitance avec le Columbus Day (commémoration de la date d’arrivée de Christophe Colomb dans le Nouveau Monde en 1492, férié aux USA, plutôt utilisé en Amérique latine come « anti-Columbus day » – ndt) et qui s’inscrit dans le cadre des initiatives « Amazonie: maison commune », l’ensemble des manifestations parallèles au Synode qui se tiennent à Rome à l’occasion de la rencontre des évêques.

Il n’y a qu’une dizaine d’indigènes Amazoniens, alors que la majorité de l’assistance est constituée de missionnaires et de volontaires occidentaux. Il y a aussi des visages connus comme le Père Giacomo Costa, secrétaire de la Commission pour l’Information, et le néo Cardinal Michael Czerny avec une croix pectorale faite du bois d’un bateau de migrants.

La cérémonie commence immédiatement après la messe de fin d’après-midi célébrée par le curé de la paroisse. Ainsi, dans l’église du Borgo Pio, d’un côté on peut observer les paroissiens rassemblés en prière, de l’autre les volontaires d’ « Amazonie: maison commune » occupés à installer des statuettes et des coupes en noix de coco. Les premiers sont curieux et un peu perplexes devant les banderoles et les sculptures que les seconds disposent dans une chapelle latérale. A l’intérieur, outre les bannières et sous l’image de Notre Dame de Guadalupe – véritable exemple d’inculturation de la foi en Amérique latine – apparaissent des statuettes d’animaux: il y a des perroquets, il y a – sur l’autel – ce qui peut sembler être un poisson et au sol, sur la toile, un objet rouge et courbe difficile à décoder avec précision mais qui ressemble à un serpent (peut-être un serpent corail)?

Les touristes qui entrent par hasard, convaincus qu’ils visitent l’une des nombreuses églises de Rome, semblent surpris, parfois amusés, pensant peut-être qu’ils ne sont pas au bon endroit. Pendant ce temps, au moment de la consécration, le silence établi dans le bâtiment est perturbé par les chants que des gens, assis sur le parvis en attendant la cérémonie suivante, entonnent fort. Il y a aussi une banderole avec une photo d’une femme indigène à la poitrine nue tenant un bébé dans ses bras et allaitant un louveteau. Après la bénédiction finale du curé de la paroisse, une religieuse en robe blanche s’arrête devant la banderole, quelque peu dubitative avant de s’en aller, tandis que tout autour des volontaires, en grande fermentation, déposent leur matériel dans la nef principale pour la « Messe de la Terre sans maux ». Est-ce la séparation de « deux Églises » difficile à réconcilier? On jugera aux fruits.

Pendant ce temps, dans l’église, le curé de la paroisse laisse la scène aux hôtes étrangers (même si beaucoup d’entre eux sont des Européens avec une longue expérience des missions en Amazonie) qui placent devant l’autel central et le Tabernacle une grande toile avec une représentation d’un habitat naturel. La statuette de la femme autochtone enceinte déjà vue lors de la cérémonie aux jardins du Vatican, lors de l’ouverture du Synode à Saint-Pierre et la semaine dernière ici même à Santa Maria in Transpontina, y est placées. En procession, ensuite, un canot avec des filets arc-en-ciel et des écrits célébrant le Synode en cours. Autour de ces objets, l’assistance s’est placée en demi-cercle et un sermon en portugais commence, contre le système économique, l’exploitation environnementale et la persécution des peuples autochtones, le tout accompagné de chœurs et de sons produits par des instruments traditionnels. Les visages des participants sont souriants et il y a une grande conviction dans ce qui est professé.

Luttes politiques qui empiètent sur la réalité sacrée de la liturgie, au risque de la déformer, comme l’a dénoncé l’ex-conseiller de la Congrégation pour le Culte Divin et les Sacrements, le professeur Michael Kunzler. Des manifestations comme celle-ci, dans lesquelles il n’y a pas de place pour le Christ et trop d’éléments qui semblent rappeler le paganisme, peuvent-ils vraiment contribuer à nourrir la vie spirituelle des fidèles d’Amazonie? Est-ce ainsi qu’on réalise une inculturation valable dans le domaine liturgique? ou plutôt, n’y a-t-il un risque d’encourir – comme le disait Benoît XVI en 2011 en parlant de l’Amérique latine – ces « formes déviées de religiosité populaire qui, loin de promouvoir une participation active dans l’Église, créent plutôt la confusion » ?

D’ailleurs, il ne s’agit pas ici de religiosité populaire, mais de tentatives créatives tombées d’en haut pour assimiler dans les célébrations liturgiques les mythes anciens des Indiens du Brésil, comme la recherche d’une terre sans maux, dans le sillage de la théologie de la libération de la seconde moitié des années soixante. Célébrations pour lesquelles, il faut le souligner, il n’y a même pas besoin de prêtres ordonnés et donc, peut-être, particulièrement adaptées à la requête de créer de nouveaux ministères.

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VATICAN NEWS est FIER de PRÉSENTER le CULTE de PACHAMAMA PRÈS du VATICAN

Un culte d'idole publique en relation avec le synode d'Amazonie a eu lieu devant Santa Maria in Traspontina sur la Via della Conciliazione, la rue principale menant à Saint Pierre.

Une vidéo de cette mascarade a été publiée par le compte espagnol de VaticanNews.va sur Twitter (15 octobre).

Des gens, probablement des prêtres et des religieuses déguisés en laïcs, et une femme déguisée en prêtre y forment un cercle. Au centre, il y a une couverture sur le sol.

Différents objets y sont placés, parmi lesquels le démon andin Pachamama qui est omniprésent au synode, et, une fois de plus l'affiche d'une femme indienne dérangée allaitant un animal. Le groupe se tient les mains, chante et danse autour des idoles.

Le spectacle faisait partie d'événements quotidiens, sponsorisé par les organisations d'entraide des évêques allemands.

Cette sorcellerie a probablement été transférée de l'église à la rue pour accroître sa visibilité.

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Une ÉGLISE de PLUS en PLUS ALIGNÉE sur l’ONU

George Neumayr est un américain, contributeur régulier de The American Spectator. Il est aussi l’auteur d’un livre très critique sur François, intitulé « The Political Pope ». Il était à Rome ces jours-ci pour couvrir le Synode, spectateur sévère d’un « Vatican sous occupation ennemie », otage d’une idéologie amazonienne et écologiste délétère qui n’est pas sans rapport avec la pourriture qui défigure la ville éternelle.

>>> ENQUÊTE de NEUMAYR sur BERGOGLIO : catholique.forumactif.com/t489-enquete-de…

Santa Maria in Traspontina défigurée

Les ÉTRANGES DIEUX du PAPE FRANÇOIS
par George Neumayr
10 octobre 2019

Pour les touristes venant à Rome, l’image de Romulus et Remus tétant une louve est familière.

Mais cette semaine, les visiteurs du Synode pan-amazonien sont tombés sur une nouvelle image: une mère amazonienne allaitant un chiot. L’image est accrochée dans une église proche du Vatican: Santa Maria in Traspontina. Je m’y suis promené l’autre jour et j’ai été frappé par le contraste saisissant entre son magnifique intérieur baroque et la propagande déchaînée sur ses murs et à proximité. Une grande partie de l’église avait été transformée en sanctuaire du sort et du culte de la nature des Amazoniens. Sous l’image de la femme qui allaite un chiot (tout en portant un bébé), une affiche déclare stupidement: « Tout est relié. »

L’affiche capte bien le caractère détestable du coup de pied « écologique » du pape. Quelle régression lugubre a souffert Rome sous son pontificat! Que va-t-il faire ensuite? Transformer le Panthéon en temple païen? Pourquoi pas? Si le panthéisme amazonien est une « expérience religieuse » digne du respect catholique, pourquoi ne pas faire revivre aussi le paganisme antique? Peut-être le prochain synode du pape pourra-t-il réhabiliter Néron.

Dépouillé de toute sa pieuse langue de bois, le Synode pan-amazonien du pape n’est rien de plus qu’une violation flagrante du Premier Commandement. Le pape François place d’étranges idoles devant le Dieu trinitaire – en l’occurrence, des idoles amazoniennes. La semaine dernière, il y a eu un contingent d’activistes indiens – dont certains ont été amenés en avion à Rome par les évêques allemands – qui ont accompli des rituels païens dans les jardins du Vatican. En cet instant, toutes les prédictions de ses prédécesseurs anti-modernistes se sont réalisées: ils disaient tous que si l’Église adoptait le subjectivisme des « Lumières », elle finirait par bénir les fausses religions.

Mais il y a ici plus que le relativisme religieux habituel du pape. Pourquoi a-t-il choisi l’Amazonie comme prétexte pour saper la doctrine et la discipline? Il aurait pu choisir d’autres régions éloignées. Pourquoi celle-là? Un observateur chevronné du Vatican m’a dit que la réponse se trouve chez les évêques allemands, qui financent largement cette farce et la propagande qui l’accompagne.

« Il s’agit de rapprocher le Vatican et les Nations Unies », dit-il. « Les évêques allemands ne se soucient pas des Indiens amazoniens, et ils ne se soucient certainement pas des gens qui ne reçoivent pas les sacrements. Il suffit de regarder l’Allemagne et combien peu de gens y fréquentent les sacrements. Ce qui importe aux évêques allemands, c’est que l’Église soit de plus en plus intégrée dans le travail des Nations Unies ». Le sujet de la souffrance des Amazoniens n’est qu’une excuse, dit-il, « pour que les Nations Unies traitent l’Église comme l’un de ses instruments », avec l’appui total du Vatican.

Avant le début du synode, le pape a parlé du caractère contraignant des déclarations de l’ONU. Ce n’est pas un hasard si son rassemblement ridicule grouille d’observateurs de l’ONU, comme Jeffrey Sachs, dont les activités de consultant consistent notamment à tenter de convaincre les diocèses et les ordres religieux de « se défaire des compagnies pétrolières » et d’autres choses semblables. J’ai vu un certain nombre de ces crétins de l’ONU sauter hors de l’un de ces SUV énergivores à proximité du Vatican. Ils ne semblent pas trop se soucier de leur empreinte carbone. .

Le Vatican est horrible, en ce moment [1] – graffitis, hideuses barrières pour bétail, et une présence paramilitaire, comme si on attendait à tout moment une flambée du genre terrorisme islamique – dont le pape nous assure qu’il n’existe pas. Parfois, j’ai l’impression d’être au milieu d’une farce italienne. L’autre jour, je mangeais à côté d’un prêtre et d’une religieuse africains qui semblaient avoir un rendez-vous. Bien sûr, sa main a glissé sur la sienne.

D’un point de vue architectural et artistique, Rome reste un régal. Mais religieusement, c’est déprimant comme l’enfer. Il suffit de se tenir près d’une des portes du Vatican et de regarder les prêtres ôter leur col [de clergyman] dès qu’ils franchissent le seuil, comme si le sacerdoce n’était rien de plus qu’un travail de 9 à 17 heures. Ou de s’asseoir dans un café et d’écouter leurs pathétiques plaisanteries mondaines.

Le Borgo Pio, non loin d’une des portes du Vatican, est un endroit où traînent beaucoup de « poids lourds » ecclésiastiques. Dimanche dernier, j’ai vu le cardinal Seán O’Malley, le cardinal Joseph Tobin et l’évêque Robert McElroy dîner dans l’un des restaurants de la rue. C’était l’occasion de leur poser des questions sur le synode et sur des sujets connexes. Alors qu’ils rentraient au Vatican, je les ai rattrapés et j’ai essayé de mener une brève interview. Ils m’ont éconduit dédaigneusement (…) O’Malley a qualifié mes questions d' »hostiles ». McElroy, le plus sombre idéologue des trois, s’est tranquillement éloigné. La dernière chose qu’ils voulaient faire à la veille du synode, c’était de parler avec un journaliste critique à son endroit, malgré tout ce qu’ils disent sur le « dialogue ». Le synode est vraiment un doigt d’honneur aux catholiques orthodoxes – une déclaration qu’au plus haut niveau de L’Église, rien de ce qui leur est cher n’existe encore.

Le Vatican est sous occupation ennemie et le restera pendant de nombreuses années encore. Il y a beaucoup de rumeurs parmi les Vaticanistes au sujet d’un « François II », maintenant que la composition du prochain conclave est largement libérale. A la fin de son pontificat, François aura probablement choisi les deux tiers des cardinaux. L’actuel secrétaire d’État, le cardinal Pietro Parolin, est considéré comme le principal clone de François. On m’a dit que le Pape François attend la mort de Benoît pour pouvoir « passer le pontificat à Parolin ».

Parolin n’est qu’une version prudente de François. Il a les mêmes idées étranges, mais les présente avec plus de diplomatie. Ici et là, on entend ronchonner à propos de la prétention du pape, mais en majorité, la gauche catholique l’adore. Le masque du modernisme a été arraché, seulement pour révéler, selon les mots de François, un « visage amazonien », sous lequel se trouve un corps onusien.

[1] A propos de la saleté de Rome en général et du Vatican en particulier, AM Valli a publié récemment sous le titre « Journal vatican » le témoignage d’un prêtre originaire des Marches, venu à Rome avec un couple d’amis (le mari se nomme Claudio, et je pense qu’il s’agit de Claudio Gazzoli dont j’ai traduit la semaine dernière la très belle réflexion sur « La nuit de l’Eglise » ) pour participer à la journée de prières du 5 octobre.

L’article est très long, mais mérite d’être lu en entier, même si, un peu par paresse je n’en traduis ici qu’un bref extrait :


(…) Vers 21 heures, nous nous dirigeons vers la place Saint-Pierre.

En cours de route, sur un tronçon de trottoir de la Via della Conciliazione, deux mouettes bien grasses apparaissent devant nous, marchant sur le sol, nullement effrayées. Nous dévions immédiatement pour éviter de les déranger. « Elles sont ici à cause des ordures de Rome: incroyable », commentons-nous, quelque peu stupéfaits et scandalisés. Je pense au fond de moi: « Peut-être ces mouettes à Saint-Pierre sont-elles aussi le signe d’une autre ordure, spirituelle, qui afflige l’Église en tout lieu et à tous les niveaux; et selon des nouvelles récurrentes, il semble qu’elle abonde même dans les mythiques murs léonins ».

Nous arrivons aux barrières fixes, au début de la place Saint-Pierre, et nous apprécions le spectacle. L’éclairage nocturne des différents éléments architecturaux est tout simplement fabuleux: les deux bras de la colonnade, la façade de la basilique, l’énorme coupole; puis en haut à droite, comme en arrière-plan, les loggias du Secrétariat d’Etat… Mais dans ce scénario merveilleux, toujours en haut à droite, il y a un bâtiment qui reste complètement dans l’ombre, comme s’il ne devait plus être pris en considération par les touristes et les pèlerins: c’est précisément le Palais apostolique, dans lequel, jusqu’à la renonciation de Benoît XVI, logeait le Pape

Eh bien oui : cela fait six ans que ces fenêtres n’illuminent plus la place Saint-Pierre et la ville de Rome de leur lumière! C’est l’image plastique de la situation spirituelle de l’Église actuelle, privée de la présence lumineuse de son Pasteur suprême. Je le signale à mes amis: et Claudio prend immédiatement quelques photos à utiliser dans son blog.

Nous parlons encore, quand mon attention est attirée par une masse sombre et informe, située sur le côté sud de la place. « C’est le monument aux migrants, inauguré par le Pape il y a quelques jours », me dit Miria. Je me dirige de ce côté. Le groupe sculpté, qui jure avec les tons des marbres environnants, est protégé par une barrière provisoire. Un petit groupe de religieuses l’observe de près avec beaucoup d’attention. Il y a aussi des dames étrangères qui me demandent de quoi il s’agit. J’essaie de m’expliquer avec quelques mots en anglais: j’espère qu’elles m’ont compris. Au bout d’un moment, une des sœurs présentes, voyant peut-être que je suis prêtre, s’approche de moi et avec une expression plutôt sceptique et s’exclame: « Quel goût! » Je lui réponds: « No comment« . J’espère qu’elle m’a compris aussi.

Nous nous éloignons ensuite de la place, longeant le bras sud de la colonnade, puis une partie des murs du Vatican. Et durant ce trajet, nous nous rendons compte d’un phénomène incroyable qui se produit chaque nuit aux confins de la Cité du Vatican, ainsi que – je suppose – dans d’autres parties de la ville de Rome: un grand nombre de pauvres qui passent la nuit au pied de la colonnade, ou près des murs du Vatican, ou dans des abris de fortune, à même le sol et protégés par de simples carton.

Le commentaire de quelqu’un qui marche à côté de moi est clair : « Au lieu d’amener plus de gens d’Afrique, pourquoi ne pas aider ces pauvres gens d’une manière plus humaine, en les enlevant de la rue au moins la nuit! » J’essaie de trouver une réponse, mais je n’y parviens pas.

Aldo Maria Valli

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Audio à télécharger : "Le CHAPELET quotidien récité avec vous !"

* Le ROSAIRE : MÉTHODE & EXPLICATION en CANTIQUE par St Louis-Marie Grignion de Montfort (PDF illustré de 12 pages) *

>>> Le Ciel ouvert par les TROIS AVE MARIA du matin et du soir
& La NEUVAINE EFFICACE


anne11
Ne serait-ce pas une mise en scène destinée à nous faire accepter l'islam dans nos lieux de prières?
Cristiano cattolico
An open letter to Archbishop Carlo Maria Viganò
elected as the rightful successor of the Apostle Peter
www.youtube.com/watch
vkpatriarhat.org/en/
AveMaria44
🤮 🤮 🤮
Ana Fritz
Aberration, abomination, paganisme de sorcellerie et idolâtrie, nous revenons à l'époque pour idolâtrer les baals du démon
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