La petite goutte d'arsenic à Chartres
Le poison n'a pas besoin d'être en grande dose pour faire son effet. L'essentiel pour les libéraux est d'arriver à leur fin. Pour rassurer on leur donnera la Messe de St Pie V, on leur donnera de belles églises; on fera de la pub sur CNews, on dira que Marion était là avec un prince Bourbon et même le droit de réciter des chapelets.
Mais le but c'est d'avaler Vatican II... même à dose infime. Et le citer comme la boussoule incontournable pour notre temps.
Pari réussi ! Le Cardinal Müller a su citer un extrait assez buvable de vatican II, en jetant un petit coup d'encensoir aux "Pères du concile".
extrait du sermon du Cardinal Müller :
Les difficultés physiques surmontées au cours de notre pèlerinage, et les tentations de l’âme et les doutes du cœur vaincus, approfondissent et renforcent l’espérance des croyants qu’ils sont sur le droit chemin du Royaume de Dieu, dans lequel Sa justice, Sa bonté et Son amour fondent le nouvel ordre du monde. Les Pères du Concile Vatican II, se référant à la grande théologie de l’histoire de Saint Augustin dans son ouvrage La Cité de Dieu, décrivent ainsi le chemin de l’Église en pèlerinage vers le Dieu trinitaire :
« L’Église avance dans son pèlerinage à travers les persécutions du monde et les consolations de Dieu, annonçant la croix et la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne. La vertu du Seigneur ressuscité est sa force pour lui permettre de vaincre dans la patience et la charité les afflictions et les difficultés qui lui viennent à la fois du dehors et du dedans, et de révéler fidèlement au milieu du monde le mystère du Seigneur, encore enveloppé d’ombre, jusqu’au jour où, finalement, il éclatera dans la pleine lumière » (Lumen Gentium 8).
Mais le but c'est d'avaler Vatican II... même à dose infime. Et le citer comme la boussoule incontournable pour notre temps.
Pari réussi ! Le Cardinal Müller a su citer un extrait assez buvable de vatican II, en jetant un petit coup d'encensoir aux "Pères du concile".
extrait du sermon du Cardinal Müller :
Les difficultés physiques surmontées au cours de notre pèlerinage, et les tentations de l’âme et les doutes du cœur vaincus, approfondissent et renforcent l’espérance des croyants qu’ils sont sur le droit chemin du Royaume de Dieu, dans lequel Sa justice, Sa bonté et Son amour fondent le nouvel ordre du monde. Les Pères du Concile Vatican II, se référant à la grande théologie de l’histoire de Saint Augustin dans son ouvrage La Cité de Dieu, décrivent ainsi le chemin de l’Église en pèlerinage vers le Dieu trinitaire :
« L’Église avance dans son pèlerinage à travers les persécutions du monde et les consolations de Dieu, annonçant la croix et la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne. La vertu du Seigneur ressuscité est sa force pour lui permettre de vaincre dans la patience et la charité les afflictions et les difficultés qui lui viennent à la fois du dehors et du dedans, et de révéler fidèlement au milieu du monde le mystère du Seigneur, encore enveloppé d’ombre, jusqu’au jour où, finalement, il éclatera dans la pleine lumière » (Lumen Gentium 8).