Faut-il critiquer le nouveau gouvernement?

L'acte de critiquer signifie en soi qu'il y aurait eu la possibilité de faire mieux. En ce sens une critique ne peut jamais être complètement négative. Critiquer, c'est dans une certaine mesure reconnaître "l'autre". C'est pourquoi ce nouveau gouvernement ne mérite pas qu'on le critique. Ses membres (pas seulement les tricheurs et escrocs notoires, mais aussi tous les autres) n'existent pas. Ils ne sont que des métastases qui se meuvent malgré elles et qui sont issues de cette tumeur cancéreuse commencée avec le protestantisme.


Cette primo infection satanique qui au cours du temps change de nom (révolution F, anticléricalisme du XIX siècle, Mai 68, plus tard le politiquement correct et ses lois d'infamie contre nature, sans oublier maintenant le wokisme) mais dont l'essence est toujours la même. Et cette essence, c'est la haine de Dieu, la haine de la vérité, la haine de son Verbe éternel, Jésus-Christ, Messie d'Israel, Fils de Dieu, seul sauveur universel et Dieu lui-même , dans le mystère de la Sainte Trinité.

Au fond, critiquer ces bouffons, équivaudrait à parler avec le diable.
La seule chose à faire, c'est tuer la gueuse, c'est tout.
Vive le Roy!
Jean-Pierre Aussant

Photo: échatillon de la racaille au pouvoir (faux diplôme pour Rachida Dati, tricherie pour Moretti et "outing" homosexuel pour attal. Je rappelle qu'un bon homosexuel est un homosexuel honteux.)