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Confinement covidien au Royaume-Uni - sauf pour l'aide au suicide

Pour le ministre britannique de la santé Matt Hancock, se rendre à l'étranger pour un suicide assisté est une raison valable de quitter le Royaume-Uni pendant le confinement.

La loi britannique sur le suicide de 1961 interdit d'aider ou d'encourager les autres à mourir. La question a été soulevée par le député "conservateur" Andrew Mitchell, qui a présenté le cas d'une femme de 45 ans atteinte d'un cancer du sein qui a anticipé son suicide en Suisse de peur que le couvre-feu ne l'empêche.

Les autorités suisses l'ont gracieusement dispensée de la quarantaine du covid-19 avant qu'elle n'entre dans la clinique de mort. Depuis le 5 novembre, les Britanniques ne peuvent plus quitter leur domicile sans une excuse raisonnable.

Image: Matt Hancock, #newsYgkyagltwd

Roger AUBERT
Perte de tout bon sens
Subtils, grossiers et stupides mensonges pour grossir le COVID
Dans le cadre de la commission d’enquête à l’Assemblée Nationale sur la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement que le député LR Jean-Pierre Door a auditionné le mercredi 04 novembre Olivier Véran.
Voici une des questions posées au ministre à cette occasion :
“Que pouvez vous me dire sur la surmortalité …Plus
Perte de tout bon sens
Subtils, grossiers et stupides mensonges pour grossir le COVID
Dans le cadre de la commission d’enquête à l’Assemblée Nationale sur la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement que le député LR Jean-Pierre Door a auditionné le mercredi 04 novembre Olivier Véran.
Voici une des questions posées au ministre à cette occasion :
“Que pouvez vous me dire sur la surmortalité invisible (cancer…) qui est occultée par la Covid-19 ? On a des certificats de décès que j’ai pu constater, des personnes très âgées, qui sont décédées, marquées Covid-19. Or, il n’y a jamais eu de COVID-19 chez ces patients. C’est le médecin qui a marqué ça, on ne sait pas pourquoi. Il y a une surmortalité qui existe dans les certificats médicaux.”
Et voici ce qu’à répondu Olivier Véran :
“En EPHAD, s’il y avait un cas Covid dans l’EPHAD, et donc il y avait une épidémie identifiée dans l’EPHAD, et qu’un décès était suspecté Covid, on l’identifiait et on le reconnaissait comme Covid, on ne faisait pas de PCR post mortem si c’est votre question ?”
“Par contre s’il y avait quelqu’un qui mourrait d’une autre cause, d’un cancer, ou d’une autre pathologie
et qu’il n’y avait pas de suspicion, ou lieu de suspecter un COVID, il n’y avait pas indiqué COVID…”
Le ministre explique donc que :
1. Un cas de Covid dans un EPHAD équivaut à une “épidémie” dans un EPHAD.
2. Les décès attribués au Covid ne l’étaient pas sur la base d’un test mais sur la base d’une suspicion.
3. Il n’y a qu’en l’absence de suspicion qu’un décès n’est pas étiqueté Covid. Et donc dès lors qu’il y a une suspicion de Covid, le décès est étiqueté Covid, même s’il est dû à une autre maladie.
À noter que nous avions déjà soulevé ce problème dès le mois d’avril dans cet article : Décès dus au Covid-19 : le nombre officiel de morts en France est-il surestimé ?
Voici en vidéo la réponse du ministre Véran à la question de Jean-Pierre Door : Lecteur vidéo

D’autre part
Dans un article paru sur le site EconomieMatin.fr, l’éditorialiste Cédric d’Ajaccio s’interroge sur la période post-déconfinement et les règles hygiénistes qui s’imposent partout et en particulier dans le monde de l’entreprise. Extraits.
Là encore, “La perte de tout bon sens du Gouvernement et l’hystérie médiatique au sujet de l’épidémie de COVID 19 ont fait sombrer les entreprises, de réseau en particulier, leur personnel, les syndicats, le secteur public, les collectivités publiques et les services centraux et extérieurs de l’État, les associations et la société française tout entière dans l’hypocondrie (peur, obsession d'être malade) . Et cette hypocondrie a ouvert la voie à une tolérance apparemment illimitée à l’égard de l’abus viral de pouvoir qu’elle a légitimée.[…]”
“Sous couvert d’un lancinant et incontournable « prenez soin de vous », l’adulte est retourné sans protestation sur les bancs de l’école primaire et s’est placé sans discuter sous la férule du Maître ministre de l’intérieur, du Surveillant Général premier ministre et du Directeur président. Le citoyen est redevenu d’un jour à l’autre sujet, et même objet, chose maniable, passivement. Il a respecté à la lettre la consigne du Conseil Scientifique du Président : « pour ne pas mourir, cessons de vivre » […]”
“…tout homme est devenu un danger public, une cause de mort potentielle, soyons en persuadés une fois pour toutes… L’autre cet ennemi (chacun surveillant potentiellement son voisin, s’improvisant dans le rôle de soutien à la police, dénonciateur, citoyen zélé, observateur jusqu’à l’indiscrétion… exécuteur de lois liberticides donc génocidaires pour survivre. UBU est roi, mais avec une multitude de couronnes, de galons, et de titres autoproclamés et subjectifs). Sur cette base d’hypocondrie aiguë innervée dans les esprits de nos concitoyens par un matraquage qui, lui vraiment, n’a pas d’équivalent depuis la fin de la seconde guerre mondiale et qui doit faire rougir de timidité les États totalitaires patentés, un abus de pouvoir structurel s’est installé en France avec une facilité déconcertante […]” “Il est maintenant urgent de reprendre ses esprits, de revenir aux fondamentaux de l’État de droit, à la déclaration des droits de l’homme et du citoyen (art 4 : « la liberté consiste à faire ce qui ne nuit pas à autrui »), de réfléchir collectivement sur les contraintes proportionnées qu’un État démocratique, qui tire sa légitimité du consentement populaire et du bon usage du pouvoir au service de la Nation et du Peuple, peut leur imposer légitimement, y compris dans les cas graves, y compris en état d’urgence sanitaire si il se justifie, y compris en état de guerre, notions à ne pas confondre sauf à marquer de l’irrespect.[…]” Ce qui d’ailleurs n’a jamais été appliqué avec application.
La suite logique est que tout le monde pourra bientôt être enfermé, puni, testé sur simple suspicion de covid ou de non observance de précautions infinies jusque dans la manière de respirer, de parler, de se saluer de se nourrir et de prier. Les gens vont-ils enfin comprendre que les tests sont détestables, sont et seront utilisés pour réensemencer le COVID 21 déjà annoncé, peaufiné, assaisonné d’autres mesures que nous connaissons grâce au député canadien Randy Hillier.
AveMaria44
D'où l'on comprend bien que le confinement n'a rien à voir avec la volonté de sauver des vies