Roger AUBERT
Roger AUBERT

Réformes au Vatican Image: © gloria.tv, CC BY-ND, #newsZyngiobrjw

Militant pro-avortement, pro gay, bi-sexuel, athée, anti-clérical, leader du Parti Radical, Marco Pannella reçoit un cadeau du pape François !
La HONTE ! L'homme de Rome, qui dirige la chrétienté, est tombé bien bas. Malheureusement, il y en a beaucoup qui ne veulent pas voir l'effondrement de notre religion par le travail de sape du représentant de Jésus-Christ sur la terre.
Francesca de …Plus
Militant pro-avortement, pro gay, bi-sexuel, athée, anti-clérical, leader du Parti Radical, Marco Pannella reçoit un cadeau du pape François !

La HONTE ! L'homme de Rome, qui dirige la chrétienté, est tombé bien bas. Malheureusement, il y en a beaucoup qui ne veulent pas voir l'effondrement de notre religion par le travail de sape du représentant de Jésus-Christ sur la terre.

Francesca de Villasmundo le 4 mai 2016
Marco Pannella, Figure historique de la gauche radicale italienne, de tous les combats pour promouvoir la culture de mort, Marco Pannella a fêté ses 86 ans le 2 mai dernier.
Pendant plus d’un demi-siècle de batailles politiques et médiatiques, pour l'obtention du divorce, de l'avortement, de la libération des drogues douces, il a œuvré à la construction de la société permissive dans laquelle l'Europe se vautre lâchement. Journaliste et politique, député plusieurs fois au parlement italien, de son vrai nom Giacinto Pannellan il fut le fondateur du Parti libéral des Démocrates et des Libéraux, la branche extrême-gauche du parti Libéral Italien. Dans les années 60, correspondant à Paris du quotidien Giorno, prenant fait et cause, durant la guerre d'Algérie, pour la décolonisation de cette terre française, il se lie avec le Comité national de Libération algérien. En 2010, au cours d’une interview il révèle son homosexualité bien que vivant depuis 40 ans avec la même femme : « Je suis lié depuis 40 ans à Mirella Parrachini, mais j'ai eu trois, quatre hommes que j'ai beaucoup aimés. Il n'y a jamais eu de jalousie avec elle. Nous pouvions avoir, et nous avions, aussi d'autres histoires. »
Cela ne surprendra donc personne que ces dernières années, Pannella ait été un fervent militant pour la reconnaissance « des droits » de l'univers arc-en-ciel.
Marco Pannella, c'est vraiment la figure politique et journalistique de la décadence actuelle. Sur les journaux italiens, on dit qu'il aurait aimé recevoir, pour ses 86 ans, un de ces fameux et si médiatiques coups de téléphone du pape François. Car comme bien des libertaires, d'athées, d'anti-cléricaux, de laïcs, il est fasciné par ce pape qui leur témoigne tellement d'attention. En 2014, François ne lui avait-il pas d'ailleurs téléphoné, et tous les journaux l'avaient rapporté, pour lui demander de cesser sa grève de la faim initiée pour protester contre les conditions inhumaines dans les prisons italiennes ! Selon les indiscrétions de Pannella, le pontife lui aurait dit à cette occasion : « Mais soyez courageux. Eh ! Moi-aussi je vous aiderai contre cette injustice. J'en parlerai de ce problème, j'en parlerai des prisonniers. »
Pour ses 86 ans, c'était le Marco Day en Italie. Tout le joli monde politique bien-pensant, Salvini et quelques autres mal-pensants s'en sont abstenus, et la fine-fleur de la jet-set journalistique n'ont pas manqué d'envoyer de gentils vœux d'anniversaire à ce vieux lion de la politique qui se définit lui-même sur son profil Twitter « radical, socialiste, libéral, fédéraliste-européen, anti-clérical, anti-prohibitionniste, anti-militariste, non-violent. » En revanche, de coup de téléphone de la part de François, cette fois-ci, il n'en a pas reçu, le sieur Pannella. Mais le pape ne l'a pas oublié pour autant et lui a adressé un cadeau : une copie de son livre, Le nom de Dieu est miséricorde, et une médaille avec la Vierge et l'Enfant-Jésus. Ce que Pannella s'est empressé de faire savoir !
Vraiment, qu'il a d'aimables attentions, si médiatisées, le détenteur du siège pétrinien pour tous ces ardents militants de la diabolique culture de mort ! Du journaliste athée Scalfari, à l'avorteuse Emma Bonino qu'il considère parmi les grandes personnalités italiennes, en passant par le prêtre Michele de Paolis, figure emblématique de la lutte en faveur de l'homosexualité à qui il baise la main, et au radical d'extrême-gauche Pannella, François entretient avec eux des relations étroites et cordiales, mais, et c'est ce qui rend ces rapports scandaleux, absolument pas dans le but de les convertir c'est lui qui le dit ni de les faire se repentir ! Bien au contraire, il les encense pour le bien qu'ils ont fait, qu'ils font, selon lui, à l'humanité. De quoi pleurer !
Étonnamment, nous ne lui connaissons pas de telles amabilités publiques envers les défenseurs, célèbres ou non, politiquement incorrects toujours, de la vie, de l'identité des peuples, de la civilisation, de la morale, de la doctrine et de la culture chrétiennes. Il aime à les fustiger les pharisiens de la morale renfermés sur eux-mêmes, il les dénonce les « soi-disant traditionalistes » qui veulent « s'enfermer [eux-mêmes] dans les paroles écrites et non se laisser surprendre par Dieu, par le Dieu des surprises », les prêtres trop rigides « je m'en éloigne ( ) ils mordent » a-t-il dit un jour, et les constructeurs de murs à la Donald Trump, qui ne sont « pas chrétiens » selon ce pape qui aime pourtant à fréquenter les bouffeurs de curés bien dans le vent.
Son cœur balance à gauche toute. Et il le fait savoir au monde entier ! Du coup les non-catholiques progressistes, fer de lance de la culture nihiliste qui enserre dans ses griffes sataniques la pauvre humanité souffrante, l'aiment à la folie.
Et les catholiques lucides voient celui qui devrait les défendre et guider l'humanité en-dehors des voies perverses et tortueuses tracées par ce monde gauchiste pourri et diabolique, pactiser avec eux donc , pactiser avec leur chef, le prince de ce monde ! Francesca de Villasmundo

Ces ennemis de l’Église Pannella gauchiste homosexuel, Sclafari journaliste athée, Emma Bobino avorteuse, Michele de Paolis prêtre homosexuel et les chefs de toutes les religions païennes sont les meilleurs amis du Pape François, bien mieux considérés que tous ceux qui sont fidèles à la tradition, comme les prêtres en soutane !
Roger AUBERT

Du travail de qualité ! Image: © gloria.tv, CC BY-ND, #newsUiweuybydl

L’Église et les musulmans :
Deux lettres ouvertes de l’abbé Guy Pagès au pape François
Première lettre

1 septembre 2013
L’abbé
Guy Pagès, prêtre de l’archidiocèse de Paris, a publié sur son blogue Islam et Vérité, vendredi dernier, une longue et tonique Lettre ouverte au pape François, dont il nous a autorisé la reproduction. Nous l’en remercions

Très Saint-Père,
Loué soit Notre Seigneur …Plus
L’Église et les musulmans :
Deux lettres ouvertes de l’abbé Guy Pagès au pape François

Première lettre

1 septembre 2013

L’abbé
Guy Pagès, prêtre de l’archidiocèse de Paris, a publié sur son blogue Islam et Vérité, vendredi dernier, une longue et tonique Lettre ouverte au pape François, dont il nous a autorisé la reproduction. Nous l’en remercions

Très Saint-Père,

Loué soit Notre Seigneur Jésus-Christ qui vous a confié la mission de conduire son Église !
Permettez-moi au nom de nombreuses personnes choquées par votre lettre aux musulmans à l’occasion de l’Id al-Fitr [1], et en vertu du canon 212 § 3 (« Selon le savoir, la compétence et le prestige dont ils jouissent, ils ont le droit et même parfois le devoir de donner aux Pasteurs sacrés leur opinion sur ce qui touche le bien de l’Église et de la faire connaître aux autres fidèles, restant sauves l’intégrité de la foi et des mœurs et la révérence due aux pasteurs, et en tenant compte de l’utilité commune et de la dignité des personnes. » [Can. 212 § 3]), de vous faire part des réflexions de cette Lettre ouverte.
En saluant avec « un grand plaisir » les musulmans à l’occasion du ramadan considéré comme un temps consacré « au jeûne, à la prière et à l’aumône », vous semblez ignorer que le jeûne du ramadan est tel que « le chariot moyen d’une famille qui fait le ramadan augmente de 30 % »[3], que l’aumône musulmane est à destination des seuls musulmans nécessiteux, et que la prière musulmane consiste à notamment rejeter cinq fois par jour la Foi en la Trinité et en Jésus-Christ, à demander la faveur de ne pas suivre le chemin des égarés que sont les chrétiens… De plus, durant le ramadan, la délinquance augmente de façon vertigineuse.[4] Y a-t-il réellement en ces pratiques quelque motif d’éloge possible ?
Votre lettre affirme que nous devons avoir de l’estime pour les musulmans et « spécialement envers leurs chefs religieux », mais vous ne dites pas à quel titre. Puisque vous vous adressez à eux en tant que musulmans, il s’en suit que cette estime s’adresse aussi à l’islam. Or, qu’est-ce que l’islam pour un chrétien, sinon, puisqu’« il nie le Père et le Fils » (1 Jn 2.22), un des Antichrist les plus puissants qui soient, en nombre et en violence (Ap 20.7-10) ? Comment peut-on estimer à la fois le Christ et ce qui s’oppose à Lui ?
Votre message note ensuite que « les dimensions de la famille et de la société sont particulièrement importantes pour les musulmans en cette période » de ramadan, mais ce qu’il ne dit pas, c’est que le ramadan sert de formidable moyen de conditionnement social, d’oppression, de flicage des insoumis au totalitarisme islamique, bref de négation totale du respect que vous évoquez… Ainsi l’article 222 du Code pénal marocain stipule que : « Celui qui, notoirement connu pour son appartenance à la religion musulmane, rompt ostensiblement le jeûne dans un lieu public pendant le temps du Ramadan, sans motif admis par cette religion, est puni de l’emprisonnement d’un à six mois et à une amende ». Et il ne s’agit que du Maroc…
Quels « parallèles » réussissez-vous à trouver entre « les dimensions de la famille et de la société musulmane » et « la foi et la pratique chrétiennes », puisque le statut de la famille musulmane inclut la polygamie (Coran 4.3 ; 33.49-52,59), la répudiation (Coran 2.230), l’infériorité ontologique et juridique de la femme (Coran 4.38 ; 2.282 ; 4.11), le devoir pour son mari de la battre à son gré (Coran 4.34), etc. ? Quel parallèle peut-il y avoir entre la société musulmane bâtie à la gloire de l’Unique, et qui de ce fait ne peut tolérer l’altérité ni la liberté, ni non plus en conséquence distinguer les domaines religieux et spirituel ? « Entre nous et vous, c’est l’inimitié et la haine à jamais jusqu’à ce que vous croyez en Allah, seul ! » (Coran 60.4), et la société chrétienne qui, parce que bâtie à la gloire du Dieu Un et Trine, valorise le respect des légitimes différences ? A moins qu’il faille entendre par « parallèle » non ce qui se ressemble et donc s’assemble, mais ce qui au contraire ne se rejoint jamais ? Auquel cas, l’équivoque sert-elle la clarté de votre propos ?
Vous proposez à vos interlocuteurs de réfléchir à « la promotion du respect mutuel à travers l’éducation », en laissant croire qu’ils partagent avec vous des mêmes valeurs d’humanité, de « respect mutuel ». Mais tel n’est pas le cas. Pour un musulman, il n’y a pas de nature humaine à laquelle se référer, ni de bien connaissable par la raison : l’homme et son bien ne sont que ce que le Coran en dit. Or le Coran apprend aux musulmans que notamment les chrétiens, parce qu’ils sont chrétiens, « ne sont qu’impureté » (Coran 9.28), les « pires de la création » (Coran 98.6), « plus vils que des bêtes » (Coran 8.22 ; cf. 8.55) [« au même titre que l’excrément, l’urine, le chien, le vin. » précise l’ayatollah Khomény, in Principes politiques, philosophique, sociaux et religieux, Éditions Libres Hallier, Paris, 1979]… Parce que l’islam est la vraie religion (Coran 2.208 ; 3.19,85), qui doit dominer sur toutes les autres, jusqu’à les éradiquer complètement (Coran 2.193), ceux qui ne sont pas musulmans ne peuvent qu’être des pervers et des maudits (Coran 3.10,82,110 ; 4.48,56,76,91 ; 7.144 ; 9.17,34 ; 11.14 ; 13.15,33 ; 14.30 ; 16.28-9 ; 18.103-6 ; 21.98 ; 22.19-22,55 ; 25.21 ; 33.64 ; 40.63 ; 48.13) que les Musulmans doivent combattre sans cesse (Coran 61.4,10-2 ; 8.40 ; 2.193), par la ruse (Coran 3.54 ; 4.142 ; 8.30 ; 86.16), la terreur (Coran 3.151 ; 8.12,60 ; 33.26 ; 59.2), et toutes sortes de châtiments (Coran 5.33 ; 8.65 ; 9.9,29,123 ; 25.77) comme la décapitation (Coran 8.12 ; 47.4) ou la crucifixion (Coran 5.33) en vue de les éliminer (Coran 2.193 ; 8.39 ; 9.5,111,123 ; 47.4) et anéantir définitivement (Coran 2.191 ; 4.89,91 ; 6.45; 9.5,30,36,73 ; 33.60-2 ; 66.9). « Ô vous qui croyez ! Combattez à mort les incroyants qui sont près de vous et qu’ils trouvent en vous la rudesse… » (Coran 9.124) ; « Puisse Allah les maudire ! » (Coran 9.30 ; cf. 3.151 ; 4.48)… Très Saint Père, peut-on oublier, lorsque l’on s’adresse à des musulmans, qu’ils ne sauraient s’aventurer hors du Coran ?
Vos appels « à respecter dans chaque personne, […] tout d’abord sa vie, son intégrité physique, sa dignité avec les droits qui en découlent, sa réputation, son patrimoine, son identité ethnique et culturelle, ses idées et ses choix politiques. » ne sauraient infléchir les dispositions données par Allah, qui sont immuables, et dont je viens d’énumérer certains d’entre elles. Mais s’il faut respecter d’autrui « ses idées et ses choix politiques », comment s’opposer alors à la lapidation, à l’amputation et à toutes sortes d’autres pratiques abominables commandées par la charia ? Votre beau discours ne peut pas émouvoir les musulmans : ils n’ont pas de leçon à recevoir de nous qui ne sommes « qu’impureté » (Coran 9.28). Et si cependant ils vous en félicitent, comme l’ont fait ceux d’Italie, c’est parce que la politique du Saint-Siège sert grandement leurs intérêts en faisant passer leur religion pour respectable aux yeux du monde, faisant croire qu’elle les conduit à considérer les valeurs universelles que vous préconisez… Ils vous féliciteront tant qu’ils seront, comme en Italie, en situation minoritaire. Mais lorsqu’ils ne le seront plus, arrivera ce qui arrive partout où ils sont majoritaires : tout groupe non-musulman doit disparaître (Coran 9.14 ; 47.4 ; 61.4 ; etc.) ou payer la jyzaia pour racheter son droit de survivre (Coran 9.29). Vous ne pouvez ignorer cela, mais comment pouvez-vous, en le cachant alors aux yeux du monde, favoriser l’expansion de l’islam auprès des innocents ou naïfs ainsi abusés ? Peut-être regardez-vous les compliments qui vous ont été adressés comme un gage de fécondité de votre attitude ? Vous ignoreriez alors le principe de la takyia, commandant d’embrasser la main que le musulman ne peut couper (Coran 3.28 ; 16.106). Mais que valent au fond de tels échanges de politesse ? Saint Paul ne disait-il pas : « Si je cherchais à plaire aux hommes, je ne serai plus le serviteur du Christ. » (Ga 1.10) ? Jésus a annoncé comme maudits ceux qui sont l’objet de la louange de tous (Lc 6.26). Mais si même vos ennemis naturels vous louent, qui ne vous louera pas ? La mission de l’Église est-elle d’enseigner les bonnes manières de vivre en société ? Saint Jean-Baptiste serait-il mort s’il s’était contenté de souhaiter une belle fête à Hérode ? Peut-être dira-t-on qu’il n’y a pas de comparaison possible avec Hérode, parce qu’Hérode vivait dans le péché et que c’était du devoir d’un prophète de dénoncer le péché ? Mais si tout chrétien est devenu prophète le jour de son baptême, et si le péché est de ne pas croire en Jésus, Fils de Dieu Sauveur (Jn 16.9), ce dont se fait précisément gloire l’Islam, comment un chrétien pourrait-il ne pas dénoncer le péché qu’est l’islam et appeler à la conversion « à temps et à contretemps » (2 Tm 4.2) ? Puisque la raison d’être de l’Islam est de remplacer le christianisme qui aurait perverti la révélation du pur monothéisme par la foi en la Sainte Trinité, en sorte que Jésus ne serait pas Dieu, qu’Il ne serait ni mort, ni ressuscité, qu’il n’y aurait pas de Rédemption, et que Son œuvre est ainsi réduite à néant, comment ne pas dénoncer l’Islam comme l’Imposteur annoncé (Mt 24.4,11,24) et le prédateur par excellence de l’Église ? Au lieu de chasser le loup, la diplomatie vaticane donne l’impression de préférer le nourrir de ses flatteries, et de ne pas voir qu’il n’attend que d’être suffisamment engraissé pour faire ce qu’il fait partout où il est devenu suffisamment fort et vigoureux. Faut-il rappeler le martyre que vivent les chrétiens en Égypte, au Pakistan et partout où l’Islam est au pouvoir ? Comment le Saint-Siège pourra-t-il porter la responsabilité de cautionner l’islam en le présentant comme un agneau, alors qu’il est un loup qui se déguise en agneau ? A Akita, la Vierge Marie nous a prévenus : « Le Démon s’introduira dans l’Église car elle sera pleine de ceux qui acceptent les compromis. »…
Très saint Père, comment votre lettre peut-elle affirmer que : « notamment entre chrétiens et musulmans, ce que nous sommes appelés à respecter c’est la religion de l’autre, ses enseignements, ses symboles et ses valeurs. » ? Comment peut-on respecter l’islam, qui blasphème continuellement la Sainte Trinité et Notre Seigneur Jésus-Christ, accuse l’Église d’avoir falsifié l’Evangile et cherche à la supplanter (Ap 12.4) ? Est-ce que saint Irénée, qui a écrit « Contre les hérésies », saint Jean Damascène, qui a écrit « Des hérésies » où il relève « maintes absurdités si risibles rapportés dans le Coran », saint Thomas d’Aquin, avec sa « Somme contre les Gentils », et tous les Saints qui se sont employés à critiquer les fausses religions, n’étaient donc pas chrétiens pour que vous condamniez aujourd’hui rétrospectivement leur action, comme aussi celle des quelques rares apologètes contemporains ? Du champ de coopération de la raison et de la foi, si encouragée par Benoît XVI, devrait être exclu le fait religieux ? Si l’on suit l’appel formulé par votre lettre, Saint-Père, il faut alors demander avec l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI) [6] [et ici] la condamnation partout dans le monde de toute critique de l’Islam, et ainsi coopérer avec l’OCI à répandre l’islam, qui enseigne, je le répète, que le christianisme étant corrompu, l’islam vient le remplacer… Pourquoi vouloir avec l’OCI museler l’apologétique chrétienne ?
Aussi vrai que l’on ne sème pas dans des ronces (Mt 13.2-9) mais que l’on commence par les arracher avant que de pouvoir semer, il en est ainsi que l’on ne peut annoncer la Bonne Nouvelle de son salut à une âme musulmane tant elle est vaccinée, immunisée, dès sa prime enfance contre la Foi chrétienne (Coran 5.72 ; 9.113 ; 98.6…), remplie de préjugés, de calomnies et de toutes sortes de faussetés au sujet du Christianisme. Il faut donc nécessairement commencer par critiquer l’Islam, « ses enseignements, ses symboles et ses valeurs », pour détruire en elle les contrevérités qui la rendent ennemie du christianisme. Saint Paul ne demande pas d’utiliser seulement « les armes défensives de la justice » mais aussi « les armes offensives » (2 Co 6.7). Où sont ces dernières dans la vie de l’Église d’aujourd’hui ?
Oh, certes, s’associer à la joie de braves gens ignorants la Volonté de Dieu et leur souhaiter un bon ramadan ne semble pas être une mauvaise chose en soi, tout comme le pensait saint Pierre de la légitimation qu’il donnait des usages juifs… sous la peur, déjà, des proto-musulmans, qu’étaient les judéo-nazaréens ! Mais saint Paul l’en a corrigé devant tout le monde en lui montrant qu’il y avait plus important à faire que de chercher à plaire à des faux-frères (Ga 2.4,11-14 ; 2 Co 11.26 ; Coran 2.193 ; 60.4 ; etc.). Si saint Paul a raison, comment dire qu’il ne faut pas critiquer « la religion de l’autre, ses enseignements, ses symboles et ses valeurs » ?
En ne voulant pas critiquer l’Islam, votre lettre justifie notamment les évêques qui vont poser la première pierre des mosquées, ce qu’ils font eux-aussi par courtoisie, par souci de plaire à tout le monde et favoriser la paix civile. Lorsque demain leurs fidèles seront devenus musulmans, ceux-ci pourront dire que c’est leur évêque qui, au lieu de les en garder, leur aura montré le chemin de la mosquée… Et ils pourront dire aussi la même chose au sujet du Saint-Siège, puisqu’il leur aura appris à ne pas penser la vérité au sujet de l’islam, mais à l’honorer comme étant bon et respectable en soi…
Votre lettre justifie vos vœux de bonne fête de ramadan en affirmant qu’« Il est clair que, quand nous montrons du respect pour la religion de l’autre ou lorsque nous lui offrons nos vœux à l’occasion d’une fête religieuse, nous cherchons simplement à partager sa joie sans qu’il s’agisse pour autant de faire référence au contenu de ses convictions religieuses. » Comment se réjouir d’une joie qui glorifie l’islam ? L’attitude que vous préconisez, Très Saint-Père, s’accorde-t-elle avec le commandement de Jésus : « Que votre langage soit ‘Oui ? oui’, ‘Non ? non’ : ce qu’on dit de plus vient du mauvais. » (Mt 5.37) ? Et même si l’on pourrait croire ne pas pécher en souhaitant un bon ramadan en raison de la restriction mentale niant le lien entre ramadan et islam (une négation qui montre bien que ce comportement pose tout de même problème), cela s’accorde-t-il avec la charité pastorale qui veut qu’un pasteur se soucie de la façon dont son geste est compris par ses interlocuteurs ? En effet, que peuvent penser les musulmans nous entendant leur souhaiter un bon ramadan, sinon que soit nous sommes des idiots, incompréhensiblement obtus, à coup sûr maudits par Allah, pour ne pas devenir nous-mêmes musulmans, puisque nous reconnaitrions ce faisant que leur religion est non seulement bonne (puisque capable de leur donner la joie que nous leur souhaitons), mais certainement supérieure au christianisme (puisque postérieure à celui-ci), soit que nous sommes des hypocrites n’osant pas leur dire en face ce que nous pensons de leur religion, ce qui équivaut à reconnaître que nous avons peur d’eux et qu’ils sont donc déjà devenus nos maîtres ? Peuvent-ils avoir une autre interprétation s’ils raisonnent en musulmans ?
Nombre de musulmans m’ont déjà fait part de leur joie que vous honoriez leur religion. Comment pourront-ils jamais se convertir si l’Église les encourage à pratiquer l’islam ? Comment le Saint-Siège pense-t-il leur annoncer la fausseté de l’islam et le devoir où ils sont de le quitter pour se sauver en recevant le saint baptême ? Ne favorise-t-il pas le relativisme religieux pour lequel peu importe ce qui différencie les religions, ce qui compterait étant seulement ce qu’il y a de bon en l’homme et qui le sauverait indépendamment de sa religion ?
Les premiers chrétiens ont refusé de participer aux cérémonies civiles de l’Empire romain consistant à faire brûler un peu d’encens devant une statue de l’Empereur, rite pourtant apparemment tout à fait louable puisque censé favoriser la coexistence et l’unité des populations si diverses et des religions si nombreuses de l’immense Empire romain. Les premiers chrétiens, pour qui la prédication de l’unicité de la seigneurie de Jésus était plus importante que toute réalité de ce monde, fut-ce celle de l’estime de leur concitoyens, ont préféré signer de leur sang l’originalité de leur message. Et si nous aimons notre prochain, quel qu’il soit, musulman compris, en tant qu’il est un membre de l’espèce humaine comme nous, voulu et aimé de toute éternité par Dieu, racheté par le Sang de l’Agneau sans tâche, Jésus nous a enseigné à renier tout lien humain s’opposant à Son amour (Mt 12.46-50 ; 23.31 ; Lc 9.59-62 ; 14.26 ; Jn 10.34 ; 15.25). Au nom de quelle fraternité dès lors pourrait-on appeler les musulmans « nos frères » (Cf. votre allocution du 29.03.2013) ? Y aurait-il une fraternité qui transcenderait toutes les appartenances humaines, y compris celle de la communion au Christ, rejetée par l’islam, et qui finalement seule importerait ? La volonté de Dieu, qui est que nous croyons au Christ (Jn 6.29), fait que « nous ne connaissons plus personne selon la chair » (2 Co 5.16).
Peut-être la diplomatie vaticane pense-t-elle qu’en taisant ce qu’est l’Islam elle va épargner la vie des malheureux chrétiens en pays musulmans ? Non, l’Islam continuera à les persécuter (Jn 16.2), et ce d’autant plus qu’il verra que rien ne s’oppose à lui, et parce que telle est sa raison d’être (Coran 9.30). Ces chrétiens, comme tous les chrétiens, n’attendent-ils pas plutôt que vous leur rappeliez que tel est le lot ici-bas de tout disciple du Christ que d’être persécuté à cause de Son Nom (Mt 16.24 ; Mc 13.13 ; Jn 15.20) et que c’est une grâce insigne dont il faut savoir se réjouir ? Jésus nous a commandé de ne rien craindre des tourments de la persécution (Lc 12.4), et aux Frères persécutés à cause de notre Foi de se réjouir de la Huitième Béatitude (Mt 5.11-12). Cette joie, n’est-elle pas le meilleur témoignage à donner ? Quel meilleur service pourrions-nous rendre aux fervents musulmans ne craignant pas de mourir tant ils sont sûrs d’aller jouir des Houris qu’Allah leur promet pour prix de leur crimes, que de leur montrer des chrétiens heureux de donner leur vie, eux, par pur amour de Dieu et du salut de leur prochain ? Votre lettre évoque le témoignage de saint François, mais elle ne dit pas que saint François envoya des Frères évangéliser les musulmans du Maroc, sachant qu’ils y seraient très probablement martyrisés, ce qui fut effectivement le cas, et qu’il entreprit d’évangéliser lui-même le Sultan Al Malik Al Kamil.[7] La charité dénonce le mensonge et appelle à la conversion.
Très Saint Père, nous avons du mal à retrouver dans votre Message aux musulmans l’écho de la charité de Saint Paul commandant : « Ne formez pas d’attelage disparate avec des infidèles. Quel rapport en effet entre la justice et l’impiété ? Quelle union entre la lumière et les ténèbres ? Quelle entente entre le Christ et Béliar ? Quelle association entre le fidèle et l’infidèle ? » (2 Co 6.14-15), ou celle du doux saint Jean de ne pas accueillir chez nous quiconque rejette la Foi catholique, de ne pas même le saluer sous peine de participer à « ses œuvres mauvaises » (2 Jn 7-11)… En saluant les musulmans à l’occasion du ramadan, ne participe-t-on pas à leurs œuvres mauvaises ? Qui haït aujourd’hui jusqu’à leur tunique (Jude 23) ? La doctrine des Apôtres n’est-elle plus d’actualité ?
Oui, le concile Vatican II appelle les chrétiens à oublier le passé, mais cela ne peut vouloir dire autre chose qu’oublier les éventuels ressentiments dus aux violences et injustices subies tout au long des siècles par les chrétiens, et pour ce qui nous intéresse, infligés par les musulmans. Car autrement, oublier le passé, ne serait-ce pas se condamner à revivre les mêmes malheurs que jadis ? Sans mémoire, peut-il même y avoir identité ? Sans mémoire, pourrions-nous avoir un avenir ?
Très Saint Père, avez-vous lu la Lettre ouverte de M. Christiano Magdi Allam [8], ex musulman baptisé par Benoît XVI en 2006, par laquelle il annonce quitter l’Église en raison de la compromission de celle-ci avec l’islamisation de l’Occident ? Cette lettre est un terrible coup de tonnerre dans le ciel blafard des lâchetés et tiédeurs ecclésiales, et devrait constituer pour nous un formidable avertissement !
Très Saint Père, c’est parce que la diplomatie n’est pas couverte par le charisme de l’infaillibilité, et que votre Message aux musulmans à l’occasion de la fin du Ramadan n’est pas un acte magistériel, que je prends la liberté de le critiquer respectueusement et ouvertement (can 212 §3). Sans doute avez-vous considéré qu’avant de parler “théologie” avec les musulmans, il convenait de disposer d’abord leurs cœurs par un enseignement sur le devoir, pourtant élémentaire, de respecter autrui. Je tenais à vous dire qu’il nous semble qu’un tel enseignement devrait se faire en dehors de toute référence à l’islam, afin d’éviter toute ambigüité à son sujet. Pourquoi pas à l’occasion du Premier de l’An, ou de Noël ? Ce n’est certainement pas sans raison que Benoît XVI avait dissous le Conseil Pontifical pour le dialogue interreligieux et en avait transféré les prérogatives au Conseil Pontifical pour la Culture… Cela étant dit, je renouvelle l’engagement de ma fidélité à la Chaire de saint Pierre, dans la foi en son infaillible magistère, ayant le désir de voir tous les catholiques ébranlés dans leur foi par votre Message aux musulmans à l’occasion de la fin du Ramadan, faire de même.
Abbé Guy Pagès

Seconde lettre ouverte à Sa Sainteté le Pape François au sujet
de l'Islam dans Evangelii Gaudium,

abbé Guy Pagès - 17 décembre 2013

Très Saint Père,

C’est avec une peine redoublée, et avec tout le respect filial que je vous dois, au nom de nombreuses personnes choquées par vos propos relatifs à l’islam, et en vertu du canon 212 § 3[1], que je vous adresse cette nouvelle Lettre, puisque non seulement je n’ai reçu aucune réponse à celle que je vous ai adressée concernant votre Message aux musulmans pour la fin du ramadan, d’abord envoyée en privé ‒ et à trois reprises ‒ et ensuite publiquement, mais encore parce que dans votre exhortation apostolique Evangelii Gaudium vous venez d’écrire que : « le véritable Islam et une adéquate interprétation du Coran s’opposent à toute violence. » (n°253). Une telle affirmation, certainement motivée par votre paternelle sollicitude pour nos frères persécutés en pays d’islam, apparaît cependant comme une terrifiante contrevérité. En effet :
- «Allah seul connaît l'interprétation du Coran. » (Coran 3.7)...
- Les versets réputés "tolérants" de l'immuable Coran ont tous été abrogés par "le verset du sabre" (Coran 9.5,29) ;
- Si « le véritable Islam et une adéquate interprétation du Coran s’opposent à toute violence. », alors Mahomet n’a pas incarné la véritable interprétation de l’islam, et sa conduite ne peut pas être normative pour les musulmans (Coran 33.21) ;
- A la différence du Christ ayant confié Son autorité à Pierre dont vous êtes le légitime successeur, il n’y a pas en Islam de magistère qui puisse vous donner, à vous ou à quiconque, avec une autorité infaillible, la définition de ce qu’est ou n’est pas « le véritable Islam et une adéquate interprétation du Coran », d’où les incessantes guerres intestines du monde musulman au nom d’une interprétation toujours plus « authentique » ;
- Il suffit d’ouvrir un Coran, même dans une des traductions édulcorées à l’usage des lecteurs occidentaux, pour voir que sur les 6235 versets du Coran, plus de la moitié vouent à l'exécration tous ceux qui ne sont pas musulmans, et expriment la funeste intention de les tuer ou de les soumettre ;
- L’histoire et l’actualité démentent à l’envi, malheureusement, votre affirmation ;
- Quelle autre religion que l’islam Jésus pouvait-Il avoir en vue lorsqu’Il annonçait : « Vient un temps où ceux qui vous tueront penseront rendre un culte à Dieu. » (Jn 16.2) ? Quelle autre religion en effet que l’islam promeut, comme un devoir religieux, le jihad contre les chrétiens ? « Tuez les associateurs [les chrétiens] où que vous les trouviez. Prenez-les, assiégez-les et restez aux aguets contre eux. » (Coran 9.4,5) ;
- Tout chrétien sait, du seul fait qu’il est chrétien, que celui qui cherche son salut dans l’islam se damne : « Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé, celui qui refusera de croire sera con-damné. » (Mc 16.16) ; « Si nous-mêmes, si un ange venu du Ciel vous annonçait un Évangile différent de celui que nous vous avons prêché, qu'il soit maudit !Nous l'avons déjà dit, et aujourd'hui je le répète : si quelqu'un vous annonce un Évangile différent de celui que vous avez reçu, qu'il soit maudit ! » (Ga 1.8-9 ; Mt 24.4,11,24 ; 1 Jn 2.22-24 ; 4.2-4)… Or, si l’islam damne, n’est-ce pas qu’il est mauvais, et si « aucun arbre mauvais ne donne de bons fruits » (Mt 7.18), comment l’islam pourrait-il porter les bons fruits de paix que vous lui attribuez ?
Très Saint-Père, il est frappant de constater que votre propos répond exactement à la demande formulée, au début du mois de juin 2013, par M. Mahmoud Abdel Gawad, le conseiller diplomatique de M. Ahmed Al-Tayeb, grand imam de la mosquée d'Al-Azhar, ayant déclaré attendre de vous « une intervention où [vous diriez] que l'Islam est une religion pacifique, que les musulmans ne cherchent ni la guerre ni la violence », comme condition au rétablissement des relations diplomatiques entre le Saint-Siège et cette institution représentative de l’islam sunnite qu’est l’Université d’Al-Azar… Et pourquoi M. Ahmed Al-Tayeb voulait-il une telle déclaration ? Pour que vous expiiez la « faute » de votre prédécesseur Benoît XVI ayant osé illustrer en 2006 à l’université de Ratisbonne cette vérité élémentaire que la violence est incompatible avec la vraie religion, contraire à la vraie nature de Dieu, par cette question de l’empereur Manuel II Paléologue à un savant musulman : « Montrez-moi ce que Mahomet a apporté de nouveau. Vous ne trouverez que ces choses mauvaises et inhumaines, comme le droit de défendre par l’épée la foi qu’il prêchait. » (Les réactions de violence du monde musulman n'ont d'ailleurs pas manqué de confirmer aussitôt la vérité enseignée par le Pape...). Benoît XVI avait ensuite aggravé son cas en 2009 en appelant à protéger les minorités chrétiennes après un énième et terrible attentat à la bombe contre une église à Alexandrie, ce qui avait constitué aux yeux du destinataire de votre lettre, « une interférence occidentale indue ». Ainsi, en répondant au désir du grand imam ― et l’islam veut dire « soumission » ―, souffrant de « réparer » la « faute » de votre vénéré prédécesseur, non seulement vos propos sont interprétés comme une condamnation de son témoignage rendu à la vérité, mais vous n’obtiendrez pas la mansuétude que vous escomptez pour les chrétiens vivant en pays devenus musulmans, car, comme l’exprimait un autre de vos prédécesseurs, le Pape Pie II, dans sa Lettre au Sultan turc MehmetII : « La concorde ne sera donc que dans les mots ; sur le fond, c'est la guerre. »[2]. Qui peut venir en effet après le Christ, sinon l’Antichrist ?
Très Saint-Père, vous nous demandez d’« accueillir avec affection les immigrés de l’Islam qui arrivent dans nos pays » (n°253), mais ignorez-vous donc que le but de l’islam est de se substituer au christianisme et d’instaurer partout la charia ? C’est Allah qui le dit : «Combattez-les jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de subversion[3] et que la religion appartienne uniquement à Allah » (Coran 2.193). Ses disciples, aujourd’hui, ne disent pas autre chose, tel M. Alija Izetbegovic, chef d'État de Bosnie-Herzégovine de 1990 à 2000, qui, dans sa « Déclaration islamique » a le mérite de la clarté : « Il ne peut y avoir ni paix ni coexistence entre la religion islamique et des institutions politiques et sociales non-islamiques. […] La renaissance islamique ne peut commencer sans une révolution religieuse, mais elle ne peut se poursuivre et être menée à bien sans révolution politique. Notre première tâche doit être de gagner non le pouvoir mais les hommes. […] Le soutien qu'un peuple musulman apporte effectivement à un régime en place est directement proportionnel au caractère islamique de ce dernier. […] Nous devons être des prêcheurs et ensuite des soldats. […] Le mouvement islamique doit prendre le pouvoir dès qu'il est en situation morale et numérique suffisante pour lui permettre de renverser le gouvernement non-islamique. »… Voulez-vous vraiment que s’accomplisse la prophétie du président algérien, M. Houari Boumediene qui, en avril 1974, déclarait à la tribune de l'ONU : « Un jour, des millions d'hommes quitteront l'hémisphère sud pour aller dans l'hémisphère nord. Et ils n'iront pas là-bas en tant qu'amis. Parce qu'ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire. »[4] ? Certes, il n’est pas question de se fermer à l’accueil des miséreux, pour autant que nous puissions leur porter secours, mais il est exclu de les naturaliser, selon le conseil même de feu le Commandeur des Croyants, le roi Hassan II, roi du Maroc : « N’essayez pas de faire des Français avec des musulmans, vous n’y arriverez pas. Vous ne ferez que de mauvais Français et de mauvais Musulmans. ».[5] Jugement qui corrobore l’enseignement des Apôtres : « Si quelqu'un vient à vous sans apporter cette doctrine [l’Évangile, que l’islam se fait une gloire de rejeter], ne le recevez pas chez vous et abstenez-vous de le saluer. » (2 Jn 1.10) ; « Ne formez pas d'attelage disparate avec des infidèles. Quel rapport en effet entre la justice et l'impiété ? Quelle union entre la lumière et les ténèbres ? » (2 Co 6.14) ?… Aussi nous appartient-il de ne pas transiger avec l’islam. Nos Pères ne se sont pas battus pendant des siècles pour repousser ce malheur qu’est l’islam et pouvoir développer hors d’atteinte de sa mortifère influence l’admirable civilisation chrétienne dont le monde entier profite de nos jours, pour que nous ouvrions aujourd’hui nos portes à l’islam ! Ou alors l’islam aurait-il changé entre temps ? Non, il ne le peut pas, car « les coutumes d'Allah ne changent pas » (Coran 33.62 ; 35.43 ; 48.23).
Je suis pareillement surpris et terriblement gêné pour nos frères chrétiens que, dans votre exhortation apostolique, vous demandiez à ce qu’ils soient « accueillis et respectés dans les pays de tradition islamique », comme s’ils n’étaient justement pas chez eux ! N’est-ce pas infiniment triste de tenir pour un fait acquis la conquête musulmane de ces pays autrefois chrétiens, et de compter pour rien la tradition chrétienne qui y survit aujourd’hui encore sous le joug toujours renaissant et insupportable de la dhimmitude ? Et si les « épisodes de fondamentalisme violent qui nous inquiètent » sont effectivement à déplorer, il ne faut pas chercher longtemps pour en trouver la source : « Faites-leur la guerre jusqu'à ce qu'ils payent le tribut de leurs propres mains et qu'ils soient soumis et humiliés » (Coran 9.29). Aussi, ce n’est pas « l’affection envers les vrais croyants de l’Islam »qui « doit nous porter à éviter d’odieuses généralisations », mais l’amour envers nos ennemis (Mt 5.44).
Quant au fait que les musulmans « professent avoir la foi d’Abraham, adorent avec nous le Dieu unique, miséricordieux, futur juge des hommes au dernier jour. » (n°252), il faut bien préciser qu’il ne s’agit pas de la même adoration, aussi vrai que nul ne va au Père que par Jésus (Jn 14.6), et que les musulmans ne prenant pas pour chemin Jésus, leur adoration ne va pas non plus au Père… Nous adorons ce que nous connaissons, eux adorent ce qu’ils ne connaissent pas (Jn 4.22), et c’est pourquoi, acceptant d’adorer celui qu’ils ne connaissent pas, ils adorent celui qui se cache dans les ténèbres, le Père du mensonge (Jn 8.44), le Prince de ce monde, assez orgueilleux et fou pour se présenter à eux comme l’unique et vrai Dieu (Mt 4.8-9).
Si Evangelii Gaudium s’adressait aux musulmans pour leur dire que« Les écrits sacrés de l’Islam gardent une partie des enseignements chrétiens ; Jésus Christ et Marie [y étant] objet de profonde vénération » (n°252), nous pourrions comprendre que vous entendez vous servir d’une apparente similitude entre nos traditions respectives comme d’une base commune possible à un dialogue souhaité. Mais du fait que vous vous adressez à des chrétiens, un tel rapprochement laisse entendre qu’il y aurait effectivement quelque chose de chrétien dans la « révélation » coranique… alors qu’il n’en est, bien évidemment, rien du tout ! Les personnages de « Issa » et de « Maryam » ne s’identifient absolument pas avec ceux de Jésus et de Marie, comme en témoignent les anachronismes et incohérences coraniques, mais servent de miroirs aux alouettes, d’attrape-nigauds, pour légitimer l’islam aux yeux des chrétiens[6], et les conduire ainsi à apostasier leur foi, celle-ci étant pour l’islam le seul péché à jamais impardonnable (Coran 4.48), qui réduit les chrétiens à n’être qu’impureté (Coran 9.28) en sorte qu’en les éliminant l’islam rend gloire à Allah (Coran 9.30).
Vous trouvez « admirable de voir que des jeunes et des anciens, des hommes et des femmes de l’Islam sont capables de consacrer du temps chaque jour à la prière, et de participer fidèlement à leurs rites religieux. En même temps, beaucoup d’entre eux ont la profonde conviction que leur vie, dans sa totalité, vient de Dieu et est pour lui. Ils reconnaissent aussi la nécessité de répondre à Dieu par un engagement éthique et d’agir avec miséricorde envers les plus pauvres. » (n°252), mais, outre que les pauvres dont vous parlez doivent nécessairement être musulmans, ces éléments positifs de piété et de religiosité relèvent du seul désir naturel de bien que Dieu a mis dans le cœur de tout homme et que l’islam exploite pour masquer sa fin essentielle qui est d’éloigner les âmes du salut donné seulement en et par Jésus (Jn 14.6). Si donc les pratiques de l’islam peuvent servir de support à la religiosité humaine, il faut aussi considérer qu’elles enferment l’individu dans une pensée farouchement antichristique, qui le damne (Mc 16.16). Comme l’enseignait saint Paul : « Ne prends pas, ne goûte pas, ne touche pas’, tout cela pour des choses vouées à périr par leur usage même ! Voilà bien des prescriptions et doctrines humaines ! Ces sortes de règles peuvent faire figure de sagesse par leur affectation de religiosité et d’humilité qui ne ménage pas le corps, en fait elles n’ont aucune valeur contre l’insolence de la chair. » (Col 2.21-23).
Très Saint-Père, en acceptant de jouer le rôle de faire valoir (Ga 1.4)[7] que l’islam attend de vous et de tous, pensez-vous vraiment aider les musulmans à prendre conscience qu’ils sont en train de se damner, ou bien pensez-vous qu’il soit indifférent pour leur salut d’être musulman ? En louant l’islam, ne craignez-vous pas de conforter les musulmans à rester musulmans et donc à se damner, mais encore, avez-vous pensé que vous détruisiez ainsi les défenses de ceux qui refusent de perdre leur salut éternel par l’accueil de l’islam (2 Co 6.14-18) et leur mise en esclavage par la charia ? En effet, si l’islam est pacifique, portant de bons fruits, il n’est donc pas un faux-prophète (Mt 7.18), et s’il n’est pas un faux-prophète il est un vrai prophète, et donc ce qu’il dit au sujet du christianisme est vrai : Jésus n’est pas mort et ressuscité, croire à la Trinité est une abomination, et il n’y a de salut que dans l’islam… Peut-on à la fois amasser avec le Christ et louer celui qui dissipe Son héritage (Mt 12.30) ?
« Méfiez-vous des faux prophètes, qui viennent à vous déguisés en brebis, mais au-dedans sont des loups rapaces. » (Mt 7.15). Que peut-il arriver au troupeau dont le berger traite avec le loup comme avec un de ses agneaux ? Il semble qu’en cette affaire il vous revienne de marcher derrière le troupeau, et non pas devant, comme vous en évoquez la possibilité dans cette même exhortation apostolique (n°31), et de laisser les brebis trouver seules leur chemin… tant il est vrai que les vraies brebis du Seigneur ne suivent pas la voix d’un étranger, mais le fuient au contraire (Jn 10.5)…
Au moment de conclure, considérant votre désir d’offrir à l’Église de profondes réformes, permettez à l’humble prêtre que je suis, étudiant depuis plusieurs années l’islam, de vous suggérer de renouveler de fond en comble l’équipe de vos conseillers en matière d’islamologie et de dialogue christiano-musulman.
Très Saint-Père, renouvelant l’engagement de ma fidélité à la Chaire de saint Pierre, dans la foi en son infaillible magistère, laquelle n’est pas engagée en dehors de ce qui concerne la Foi catholique et la vie morale, ayant le désir de voir tous les catholiques ébranlés dans leur foi par votre enseignement au sujet de l’islam, faire de même, je prie Notre Dame des Victoires de vous obtenir la force dont saint Paul a fait preuve face aux faux-frères désireux de réduire les chrétiens en servitude. Il refusa de reconnaître la bonté de leur doctrine « fût-ce un moment, fût-ce par déférence, afin de sauvegarder pour vous la vérité de l’Évangile » (Ga 2.4-5).

Abbé Guy Pagès [8]
Source : Islam et vérité

Notes
[1] « Selon le savoir, la compétence et le prestige dont ils jouissent, ils ont le droit et même parfois le devoir de donner aux Pasteurs sacrés leur opinion sur ce qui touche le bien de l'Église et de la faire connaître aux autres fidèles, restant sauves l'intégrité de la foi et des mœurs et la révérence due aux pasteurs, et en tenant compte de l'utilité commune et de la dignité des personnes. » (Can. 212 § 3).
[2] Enea Silvio Piccolomini, Lettre à Mahomet II, Payot & Rivages, 2002, p.48. « Entre nous et vous, c’est l’inimitié et la haine à jamais, jusqu’à ce que vous croyez en Allah, seul. » (Coran 60.4)
[3] La « subversion », en langage musulman, désigne tout ce qui n’est pas musulman.
[4] Nous pourrions citer encore tant d’autres déclarations du même genre, telle celle-ci de Mouammar Kadhafi, Président de la Lybie : « Sans épée, sans fusil, sans conquêtes, les 50 millions de musulmans en Europe la transformeront bientôt en continent musulman ! »(Le Figaro, 19/12/2006)
[5] Entretien télévisé avec Anne Sinclair le 16 mai 1993.
[6] Et aussi des musulmans.
[7] Pour le psychiatre P.-C. Racamier, le pervers narcissique se caractérise « par la capacité à se mettre à l'abri des conflits internes […] en se faisant valoir au détriment d'un objet manipulé comme un ustensile ou un faire-valoir » (Cortège conceptuel, Apsygée, 1993, p.52). Et de fait l’islam manipule le christianisme pour en faire si bien « un faire valoir » que Jésus serait le prophète de Mahomet (Coran 61.6) ! Cette haine du christianisme vient encore de s’exprimer par la demande de la Libye que l’Église Catholique quitte son territoire …
[8] Note de la rédaction de LPL : Guy Pagès, né en 1958, est un prêtre catholique, blogueur et podcaster français. Ordonné prêtre en 1994, il est rattaché au diocèse de Paris. Lors de ses premières années, il est missionnaire en République islamique de Djibouti lui permettant de se spécialiser dans l'islam. De retour en France et manquant de ministère, l'abbé Pagès est chargé par ses supérieurs d'une mission d'évangélisation par internet. Il partage alors sur les plateformes multimédias YouTube, Dailymotion et GloriaTV, des chroniques vidéos traitant de l'actualité, de l'islam, des grands thèmes de la doctrine de l'Église ainsi que des catéchèses. Il crée également le blog Islam & Vérité, blog catholique et très critique envers l'islam. Nous mettons en garde nos lecteurs sur le fait que l'abbé Guy Pagès est attaché au concile Vatican II et que donc il en accepte et en défend la théologie hétérodoxe, notamment sur les points du dialogue inter-religieux et de la liberté religieuse.
Roger AUBERT

François et ses frères. Image: © gloria.tv, CC BY-ND, #newsMxlwqlvxpu

L’ÉGLISE EST ECLIPSEE
Louis-Hubert REMY
"Gaude Maria Virgo, cunctas hæreses sola interemisti"
Soyez dans la joie, Vierge Marie : à vous seule vous avez détruit toutes les hérésies.

Trait de la Messe Salve, sancta parens
La Très Sainte Vierge Marie, Reine de France, ne descend pas du ciel pour rien. Chez elle, chez nous, à la Salette, en trois mots sobres, Elle nous a tout enseigné. Qui est …Plus
L’ÉGLISE EST ECLIPSEE

Louis-Hubert REMY

"Gaude Maria Virgo, cunctas hæreses sola interemisti"
Soyez dans la joie, Vierge Marie : à vous seule vous avez détruit toutes les hérésies.

Trait de la Messe Salve, sancta parens

La Très Sainte Vierge Marie, Reine de France, ne descend pas du ciel pour rien. Chez elle, chez nous, à la Salette, en trois mots sobres, Elle nous a tout enseigné. Qui est meilleur théologien que la Reine du ciel, Mère de Notre-Seigneur Jésus-Christ, Mère de l’Église ? Qui sera assez fou pour oser ne pas L’écouter, oser La reprendre, oser La contredire ?
La Très Sainte Vierge Marie aurait pu dire : "l’Église sera ÉBRANLÉE, détruite, supprimée, perdue, démolie, enterrée, effacée, ruinée, exterminée". Elle ne l’a pas dit.
Elle aurait pu dire : "l’Église sera abattue, anéantie, abolie, abaissée, profanée, humiliée,
abandonnée". Elle ne l’a pas dit.
Elle aurait pu dire : "l’Église sera changée, modifiée, transformée, réformée, rafraîchie, renouvelée, rénovée". Elle ne l’a pas dit.
Elle aurait pu dire : "l’Église sera obscurcie, enténébrée, pulvérisée, éteinte, rasée, livrée,
renversée, accablée". Elle ne l’a pas dit.
Elle aurait pu dire : "l’Église sera cachée, dissimulée, écrasée, étouffée, démantelée, séduite, trompée". Elle ne l’a pas dit.
Elle aurait pu dire : "l’Église sera infiltrée, investie, assiégée, encerclée, circonvenue, altérée, corrompue". Elle ne l’a pas dit.
Elle aurait pu dire : "l’Église disparaîtra, vacillera, titubera, chancellera". Elle ne l’a pas dit.
Elle aurait pu dire : "l’Église sera OCCUPÉE". Elle ne l’a pas dit.
Chacun de ces mots, et la liste est loin d’être exhaustive, a un sens très précis et correspond à une réalité différente. La très Sainte Vierge Marie n’a choisi aucun de ces mots.
La très Sainte Vierge Marie a dit : "L’ÉGLISE SERA ÉCLIPSÉE".
Elle n’a dit que cela.
Aucune autre expression ne résume mieux la situation.
Aucune autre expression n’explique mieux la crise.
Aucune autre expression ne donne mieux la solution.
Apprenons donc à bien lire pour bien comprendre, et méditons avec attention son enseignement.
Une éclipse est : "la disparition partielle ou totale d’un astre, par l’interposition d’un AUTRE" (Larousse),
ou "l’occultation momentanée d’un astre dont la lumière est interceptée par l’interposition d’un AUTRE
ASTRE"(Quillet).
Ces deux définitions nous parlent de DEUX ASTRES, de lumière, d’interposition, de disparition, d’occultation
momentanée, partielle ou totale.
L’exemple le plus connu d’éclipse est celui du soleil par la lune. Le soleil est occulté et la lumière du soleil disparaît momentanément, partiellement ou totalement par l’interposition de la lune. On ne voit que la lune, astre mort.
L’éclipse arrive d’une façon soudaine et elle est surprenante, étonnante, effrayante pour celui qui ne sait pas. Mais une éclipse ne dure pas longtemps.
L’homme qui assiste à une éclipse ne fait que la subir. Il ne peut rien faire. Il la contemple et attend, sans rien changer, qu’elle se termine. Le retour de la lumière est quand même une libération. Nous en avons eu un bel exemple le 11 août 1999.
Reprenons chaque terme et essayons de comprendre ce que la très Sainte Vierge Marie veut nous faire comprendre :
a) Il y a deux astres (astre : corps céleste). L’un est éclipsé. L’autre éclipse. Ce sont deux astres, deux corps célestes différents. La très Sainte Vierge Marie nous dit que l’astre qui est éclipsé est la Sainte Église. La Sainte Église est la société de tous les chrétiens unis par la profession d’une même Foi :
- la doctrine du Christ,
- l’observation de Sa Loi,
- l’usage de Ses Sacrements,
- et la soumission aux pasteurs légitimes qui sont le pape et les évêques de sa communion.
Les quatre notes de la Sainte Église sont l’Unité, l’Apostolicité, la Sainteté, la Catholicité. Elle est composée de l’église Militante, Souffrante et Triomphante.
Donc l’astre qui éclipse n’est pas la Sainte Église. C’est autre chose, c’est un autre corps céleste. Comme il est un autre astre, il ne peut émaner de la Sainte Église qui est UNE. La secte conciliaire n’est pas une, n’est pas sainte, n’est plus apostolique1, n’est pas catholique.
En plus cet astre vient d’ailleurs.
Se posent alors deux questions : d’où vient-il ? qui est-il ?
La réponse est évidente pour ceux qui ont la Foi : "Qui n’est pas avec Moi est contre Moi". Il ne peut venir que de l’Adversaire.
b) C’est la lumière de la Sainte Église qui disparaît, qui est occultée. On est dans les ténèbres. Ce n’est pas la Sainte Église qui disparaît, qui est occultée : elle n’est que cachée et réapparaîtra. Le mot "occulté" est intéressant parce qu’il oblige à penser à "sciences occultes", à "occultisme", qui est la science des choses occultes, réservée à des initiés. Et comme il n’y a que deux étendards et deux camps, celui de Notre-Seigneur et celui de l’Adversaire, comment ne pas comprendre que l’autre astre est celui de l’Adversaire, maître des sciences occultes?
c) Cette disparition, partielle actuellement, deviendra sûrement totale. Nous serons donc alors dans les ténèbres les plus profondes. On ne verra que l’autre astre, qui prendra toute la place et voudra se faire passer pour la Sainte Église. L’apogée devrait arriver quand on tentera de remplacer le décalogue de Dieu par le décalogue de Satan. Et si l’éclipse est totale, il ne restera plus rien apparemment de la Sainte Église : la Tradition sera ou martyrisée ou obligée de se cacher. Il ne nous restera que le chapelet, comme plusieurs voyants l’on prophétisé.
d) Comme lors d’une éclipse de soleil, on ne bouge pas et on attend la fin de l’éclipse. Car dans la seconde qui suit l’apogée, la Lumière revient. Ce que certains ont vu, disant : "quand tout sera perdu, tout sera sauvé".
e) Cette disparition est momentanée. Elle ne dure pas. On est sûr que la lumière de la Sainte Église reviendra… à la fin de l’éclipse, évidemment. L’éclipse ne peut pas rester fixe : "les Puissances de l’Enfer ne prévaudront2 point contre Elle".
f) Un autre aspect d’une éclipse est qu’elle se fait en silence, à tel point que pour définir le départ discret, silencieux de quelqu’un, on dit qu’il s’éclipse.
Lors de Sa Passion, Notre-Seigneur, face à Caïphe, le pouvoir spirituel, "gardait le silence" et ne répondit qu’à une seule question, celle qui concernait le pouvoir spirituel : "Es-Tu le Christ, le Fils de Dieu ?" Face à Pilate, le pouvoir temporel, Il se taisait, et ne répondit qu’à une seule question, celle qui concernait le pouvoir temporel : "Es-Tu le Roi des Juifs ?". Devant Hérode, l’esprit du monde (les mots monde et démon ont les mêmes lettres). Il se taisait. Grande leçon que Notre-Seigneur nous enseigne. Le démon étouffe la voix de l’église, il persécute ceux qui prêchent l’Église, prouvant ainsi qu’il est le
maître de la secte conciliaire. Face aux démons qui font grand bruit et qui par le mensonge prennent la place de l’Église de Notre-Seigneur, se mettant devant et ayant l’insolence de dire : "c’est moi l’Église Catholique", notre rôle est pour beaucoup de nous taire.
g) Éclipser, c’est "empêcher complètement de paraître, pour un moment, des qualités en général brillantes1". L’objet qui est éclipsé ne change en rien, et donc la Sainte Église n’est en aucun cas modifiée. Elle est faite pour briller, car elle est lumineuse, et même plus : lumière2. Elle est le soleil qui ne paraît plus, qu’on ne voit plus. Sa lumière ne perce plus… pour un moment ! Lors d’une éclipse, seuls ceux qui sont dans le cône d’ombre sont complètement conscients de cette éclipse. Il en va de même pour les ténèbres spirituels : seuls ceux qui ont la vraie foi et qui sont persécutés peuvent comprendre l’éclipse de l’Église. Les autres ne voient rien et ne comprennent rien.
h) On dit souvent que notre époque correspond au moment de la Passion de Notre-Seigneur, et que l’Église vit cette Passion. Il semble plutôt que l’Église et les Papes ont vécu la Passion de Notre-Seigneur depuis la Révolution française, et que depuis le premier jour du Concile Vatican II nous vivons les apparences de la mort. Notre époque est bien plutôt l’heure des ténèbres, l’heure de la puissance de Satan, l’heure qui précède
la Résurrection triomphale du Règne du Sacré-cœur. La secte conciliaire est l’église des ténèbres, une église de mort, l’église de Satan.
i) L’éclipse a commencé au début du Concile Vatican II. Citons l’importante confidence de Jean Guitton (l’ami de Paul VI) à sa secrétaire Mlle Michèle Reboul : "L’ÉGLISE CATHOLIQUE EST MORTE DES LE PREMIER JOUR DU CONCILE VATICAN II.
ELLE A FAIT PLACE A L’ÉGLISE OECUMENIQUE. ELLE NE DEVRAIT PLUS S’APPELER CATHOLIQUE MAIS OECUMENIQUE". Jean Guitton dit avec raison que dès le premier jour du Concile, une autre église apparaît, une autre église qui n’est plus l’Église Catholique et qu’il appelle avec juste raison l’église œcuménique. Mais il se trompe en disant que l’Église Catholique est morte. Elle est simplement éclipsée. Au moment de mourir, le Cardinal Liénart aura une expression similaire: "Humainement, l’Église est perdue". Humainement oui. Mais l’Église est divine, et Elle ne peut être perdue.
j) Pour éclipser l’astre gigantesque qu’est la Sainte Église, et pour l’éclipser sur tout la surface de la terre, il a fallu un astre encore plus grand. C’est pourquoi à la secte conciliaire on a dû rajouter tous les ennemis de l’Église, astre hideux, difforme, laid, dont on découvrira toute la monstruosité quand l’éclipse sera complète.

POURQUOI CETTE ECLIPSE ?
Notre-Seigneur était venu au monde pour rétablir le royaume de Son Père, et pour y détruire celui du prince des ténèbres. Mais, "D’après l’enseignement des apôtres, dit la voix des siècles, un jour viendra où Satan, plein de rage contre Jésus-Christ et les chrétiens, regagnera le terrain qu’il a perdu, affermira son règne et l’étendra au loin. Alors il se jettera sur Rome, parce qu’elle est sa rivale et le séjour des Pontifes. Il s’en rendra maître, chassera le Vicaire de Jésus-Christ, persécutera les vrais fidèles et égorgera les religieux et les prêtres". Cornelius a Lapide, Suarez, saint Robert Bellarmin. Cité par Mgr Gaume3, La Situation, p. 28, 1860.
"Or, voici que cet antique ennemi, "homicide dès le principe" (Jean, VIII, 44), s’est dressé avec véhémence, "déguisé en ange de lumière" (II Cor. XI, 14), ayant pour escorte la horde des esprits pervers, c’est en tout sens qu’il parcourt la terre, et partout s’y insère : en vue d’y abolir le Nom de Dieu et de Son Christ, en vue de dérober, de faire périr et de perdre dans la damnation sans fin, les âmes que devait couronner la gloire éternelle. Le dragon maléfique transfuse dans les hommes mentalement dépravés et corrompus par le cœur, un flot d’abjection : le virus de sa malice, l’esprit de mensonge, d’impiété et de blasphème, le souffle mortel du vice, de la luxure et de l’iniquité universalisée.
On comprend pourquoi Mgr Gaume est honni et haï par l’ennemi. Jamais cité, persécuté (son Abrégé du catéchisme a été édité à 900 000 exemplaires : on n’en trouve jamais), il a écrit 83 ouvrages impossibles à trouver. Il est mort en odeur de sainteté. Heureusement 40 sont réédités, à demander à ACRF.
"L’Église, épouse de l’Agneau Immaculé, la voici saturée d’amertume et abreuvée de poison, par des ennemis très rusés ; ils ont porté leurs mains impies sur tout ce qu’elle désire de plus sacré. Là où fut institué le siège du bienheureux Pierre, et la chaire de la Vérité, là ils ont posé le trône de leur abomination dans l’impiété ; en sorte que le pasteur étant frappé, le troupeau puisse être dispersé. O saint Michel, chef invincible, rendez-vous donc présent au peuple de Dieu qui est aux prises avec l’esprit d’iniquité, donnez-lui la victoire et faites le triompher". Exorcisme de Léon XIII contre Satan et les anges apostats, 1884. Toute cette secte conciliaire est donc mensonge. Sa véritable origine et sa véritable nature sont le mensonge :
- dans un premier temps, se cacher et se faire passer pour l’Église de Notre-Seigneur Jésus-Christ ;
- puis remplacer la véritable Église, se substituer à elle ;
- enfin cacher, persécuter, détruire la Sainte Église.
C’est ce qu’elle a fait depuis 40 ans. SOUS LE FAUX PRÉTEXTE DE CHANGEMENTS, ELLE A TOUT DÉTRUIT. Elle a détruit la vérité, la théologie, les dogmes, les sacrements, la liturgie, la discipline, les élites, les combattants, les missions, l’enseignement, les volontés, etc., tout ce qui est nécessaire pour la vie éternelle. Elle n’enseigne plus la même Foi. Elle détruit la vraie Foi. Elle remplace la seule vraie fin, qui est l’amour de Dieu, par l’amour de l’homme. Elle blasphème contre le premier commandement, respectant toutes les autres religions, dont le père est le diable. Elle ne combat plus les ennemis du nom de chrétien ; pire, elle les dit ses amis. Elle n’est plus Une, elle n’est plus Sainte, elle n’est plus Catholique, elle n’est plus Apostolique. Ce qui était bien devient mal, ce qui était mal devient bien ; le vrai devient faux ; le faux devient vrai. Il n’y a plus de péché, sauf de rester catholique. "À la religion de Dieu qui s’est fait homme, s’est substituée la religion de l’homme qui se fait Dieu". Elle ne prêche plus le Solus Sanctus, le Solus Dominus, le Solus Altissimus. Elle passe son temps à attaquer la vérité connue, un des six péchés contre le Saint-Esprit1, péchés difficilement rémissibles.
Elle ne combat qu’un seul groupe, ceux qui veulent rester fidèles à l’Église de toujours. Elle combat l’Église Sainte de toujours en lui reprochant de multiples fautes. Elle veut conquérir le monde entier, elle utilise tous les artifices et toutes les suggestions pour cela. Elle essaiera de faire disparaître tous les vrais chrétiens. C’est l’église de l’antéchrist. Les conséquences de cet enseignement sont très graves. Il y a deux églises. Deux églises opposées, adverses, ennemies. On ne peut vivre que dans l’une, que de l’une. Et quand on croit et fait ce qui a toujours été cru et fait, on doit TOUT rejeter de l’autre.
D’ailleurs l’autre fait de même, elle rejette tout ce qui n’est pas elle. On ne peut, sous peine d’apostasie, accepter telle ou telle partie de l’autre, aussi minime soit-elle. On ne peut pas ne lui reprocher qu’une ou deux erreurs, ou la liberté religieuse, ou l’œcuménisme, ou l’autorité, ou les sacrements, ou… On doit TOUT lui reprocher, TOUT refuser. Refuser son "enseignement", son "catéchisme", ses "dogmes", ses "rituels", ses "sacrements", sa "hiérarchie", ses "papes", etc. etc. On observe chaque jour que les fidèles et les prêtres conciliaires n’ont plus la Foi Catholique. Ils perdent même les notions catholiques de vrai, de faux, de bien, de mal. C’est certainement dû au fait que, fidèles et prêtres conciliaires ne se confessent jamais ou presque (et alors, quelle confession ?). Il est évident que : LA SECTE CONCILIAIRE N’EST PAS CATHOLIQUE. LA SECTE CONCILIAIRE N’EST PAS L’ENLISE CATHOLIQUE. Pour nous, REFUSONS TOUTE ETIQUETTE AUTRE QUE CATHOLIQUE.
Rappelons les cinq autres : la présomption, le désespoir, l’envie de la grâce des autres, l’obstination et l’impénitence finale. Opposés aux effets de la grâce du Saint Esprit, ils sont remis plus difficilement que les autres, parce qu’ils excluent les dispositions de l’âme par lesquelles … la vengeance divine ; c’est l’homicide, la sodomie, l’oppression des pauvres, la soustraction injuste du salaire des ouvriers.

Ne soyons ni traditionalistes, ni intégristes, ni lefebvristes, ni sedevacantistes. Refusons toutes ces appellations, pratiques pour définir les groupes, mais qui nous mutilent et ne correspondent pas à la vérité. Comme disait Dom Guéranger : "SOYONS CATHOLIQUES ET RIEN AUTRE CHOSE QUE CATHOLIQUES". Ce doit être notre seul drapeau que nous devons déployer haut, ce doit être notre seul cri que nous devons publier avec force, ce doit être le seul nom dont nous devons être fiers. Si demain Dieu demande à quelques-uns de témoigner jusqu’au martyre, ils auront comme leurs aînés le seul souci de la gloire de Dieu et réagiront avec panache. En général les premiers martyrs sont des clercs, des religieux, des religieuses, et cela pour deux raisons:
- la première, pour satisfaire aux péchés : la Justice de Dieu exige des âmes pures, consacrées, à l’exemple de Notre-Seigneur ;
- la seconde, pour être un exemple et donner courage aux autres chrétiens qui auront mérité la grâce du martyre. Il ne faut pas être imprudent, car dans le passé pour un qui tenait devant le martyre, dix apostasiaient. Déjà, sans persécution, combien aujourd’hui ont apostasié par peur !
Il faut savoir enfin que le seul moyen de tenir est de s’abandonner avec calme et confiance dans les bras de Notre-Seigneur Jésus-Christ. Supporter le martyre est toujours impossible, toujours miraculeux. La seule chose qui nous est demandée est d’abandonner humblement notre volonté dans Sa Sainte Volonté. Avec Lui on peut tout, sans Lui on ne peut rien faire. Alors n’oublions pas que nous ne sommes pas encore dans l’Église Souffrante ou Triomphante. Nous sommes dans l’Église Militante, et par le sacrement de la Confirmation nous sommes les soldats de Jésus-Christ. Ne soyons pas des soldats de temps de paix, ne soyons pas des soldats de parade ou de salon, ne soyons pas des soldats de l’action humanitaire, ne soyons pas des écrasés, des meurtris, des pleurnichards, des femmelettes ; soyons des soldats vaillants, heureux de combattre pour un si grand Roi, pour une si grande cause : Sa gloire et notre salut éternel. Il ne nous est pas demandé de gagner. Nous n’avons que le devoir de combattre.
Soyons déjà des chrétiens dignes de nos aînés, dignes des plus grands combats.
"Faites à tous ceux qui portent le nom de chrétiens, la grâce de rejeter ce qui est contraire à ce nom, et de suivre ce qui lui est conforme". (Collecte du IIIè dimanche après Pâques).
La très Sainte Vierge Marie a vraiment tout dit et tout prophétisé avec cet aphorisme : l’Église est éclipsée. Car si l’on continue de réfléchir sur ce qu’est une éclipse, on ne peut pas mieux l’expliciter qu’avec l’éclipse du soleil par la lune. Et alors ! Quand il y a éclipse, il y a disparition partielle puis totale de la véritable source lumineuse. Le second astre (la lune), parait lumineux, mais d’une lumière pâle, qui n’a pas sa source en lui6même, et qui n’est que le reflet de la lumière du soleil. De même, la secte conciliaire a un peu de lumière, une pâle lumière, qui n’a pas sa source en elle, mais en ce qui lui reste de l’Église Catholique.
Au début, la hiérarchie conciliaire était composée d’une hiérarchie formée dans l’Église Catholique1. Ce fut la pleine lune, la lune de miel de la secte conciliaire. Les meneurs de cette hiérarchie profitèrent que nous étions dans la lune , que nous étions comme la lune , pour nous enseigner de vieilles lunes et même nous montrer la lune en plein midi .
À la religion et au culte Catholiques ont succédé l’église "cathodique". Car cette secte conciliaire n’a des fidèles et du succès qu’en présence de la télévision, que par le truchement du petit écran qui "normalise" tout : de la "messe" télévisée aux comportements individuel et social, en passant par la pensée unique politique et religieuse. C’est l’église-spectacle. Il n’en reste, comme le tube cathodique, qu’un grand vide . La seconde génération n’a plus rien de catholique. Elle est complètement œcuménique et charismatique. Actuellement 2% de pratiquants et dans certains diocèses moins de 1%. Elle est comme le tube cathodique : vide.
Au fil des années et des réformes, la lune rousse apparut, et la nouvelle Pentecôte annoncée sentit le roussi. Depuis longtemps, il ne reste plus rien des jeunes plantes, et même, elles sentent le cadavre.
On comprit plus ou moins vite que cette religion conciliaire n’avait qu’un but : vouloir prendre la lune avec les dents et nous demander la lune : on voulut nous faire prendre la lune pour le soleil. Petit à petit, la lumière du soleil s’estompa. À force de décroître, le croissant de la lune est aujourd’hui un tout petit croissant, car croî(tre) sans... et croi(re) sans... sans Croix amène toute fausse religion à être une religion de mort, surtout quand on a voulu supplanter la Religion de la Vie en la combattant à mort. Viendra très bientôt le jour où la lune conciliaire ne donnera plus de lumière . Apparaîtra alors sa vraie nature : un astre mort. Ne voit-on pas de plus en plus que cette religion conciliaire est une religion de mort, comme la lune est un astre mort ? Au "Je suis la Voie, la Vérité et la Vie" s’est substitué le : "je suis le dédale, l’erreur et la mort". Le soleil est éclipsé, et si nous vivons sans lumière apparente, nous vivons aussi sans chaleur. Pour les plus vaillants, nous luttons dans la tempête et dans le froid, et nous sommes tièdes car la Vraie Religion est éclipsée.
Quant aux conciliaires ils sont gelés, et même pour certains congelés. Peut-être reprendront-ils vie au retour du soleil, mais leur foi est tellement glacée, glaciale que leur seul contact refroidit. Certains ont voulu croire qu’ils pouvaient rester catholiques en allant sur la lune. Mais il leur fallut s’habiller de combinaisons tellement hasardeuses et compliquées, qu’on les vit tomber très vite et, découvrant s’être trompés de fusées, essayer de revenir ; mais, telles les vierges folles, ou ils manquaient de carburant, ou ils en eurent un, trop volatil, d’où en pratique un retour toujours impossible. Mais qu’avaient-ils besoin d’aller sur la lune ?
Ils n’avaient même pas compris que ce qui leur restait de catholique était hérité de l’Église Catholique, et que tout ce qui venait de la secte conciliaire n’avait jamais rien de catholique et ne leur apportait rien, au contraire. Ils n’avaient pas compris que l’on ne reste catholique que si l’on croit intégralement et fait complètement ce qui a toujours été cru et fait par les catholiques. On ne peut pas être catholique dans l’abstrait, tout en l’étant un peu moins, ou pas du tout dans le concret.
Pour rien au monde ne rallions, car, "le soleil s’étant levé, la plante, frappée de ses feux et n’ayant pas de racine, sécha". Math, XIII, 6.
Préférons marcher au soleil, et disons aux conciliaires : "ôte-toi de mon soleil". Si nous savons qu’il n’y a rien de nouveau sous le soleil, nous préférons vivre en plein soleil. "Paraîtra dans le ciel un grand signe : une femme revêtue du soleil, la lune sous ses pieds". Apoc., XII, 2. Et "à la fin son cœur Immaculé triomphera" : le soleil qu’est Notre-Seigneur Jésus-Christ reviendra, régnant malgré Ses ennemis, et Elle écrasera sous ses pieds cette lune qu’est la secte conciliaire. On doit rejeter tout ce qui vient de cette contre-église. Et cela absolument. Obéissons aux ordres de Notre-Seigneur : "Que Votre oui, soit oui, Que votre non soit non", "Qui n’est pas avec Moi est contre Moi". On ne peut accepter ces "papes" ("antéchrists" comme les appelait Mgr Lefebvre), ces "évêques" (le sont-ils ? après les simulacres de sacres), ces "prêtres" qui ne le sont certainement pas. On a pris l’habitude de se poser la question : "Un pape peut-il être hérétique ?" La vraie question n’est-elle pas: "Un hérétique peut-il être Pape ?" Comment un hérétique (excommunié) pourrait-il être le vicaire, le représentant de Notre-Seigneur, le chef de Son Église ?
Ce n’est pas la messe de toujours qui pose problème, c’est la nouvelle. Ce n’est pas la foi de toujours qui pose problème, ce sont toutes les nouveautés.
"Comment un pape vrai successeur de Pierre, assuré de l’assistance de l’Esprit-Saint, peut-il présider à la destruction de l’Église, la plus profonde et la plus étendue de son histoire, en l’espace de si peu de temps, ce qu’aucun hérésiarque n’a jamais réussi à faire ?" Mgr Lefebvre, Le Figaro, mercredi 4 août 1976.
Qu’il n’y ait rien de commun, aucune lien1 avec cette église. En être, c’est abandonner la véritable religion de N-S J-C., c’est apostasier. L’éclipse n’est pas encore totale, mais ce sera pour très bientôt. Ce qui veut dire que toute apparence de l’ancienne Église doit disparaître. C’est-à-dire que la lutte n’est pas terminée et que les derniers combats prochains seront terribles. Après les démons menteurs viendront les démons tueurs. Nous arrivons à l’heure des ténèbres, et des ténèbres les plus violentes, jusqu’aux trois jours annoncés. Notre-Seigneur attend de nous que nous restions fidèles, sans peur, épurant notre Foi et notre volonté, veillant et priant. Tout cela a été permis en châtiment de nos péchés, de notre tiédeur, par juste justice de Dieu. Convertissons-nous, sinon nous périrons tous.
Une éclipse ne dure pas. Elle n’est qu’éphémère. L’astre qui cache la lumière est condamné à disparaître. Après l’heure finale des ténèbres, reviendra la pleine lumière, lumière qui sera d’autant plus éclatante que la nuit aura été plus noire. Et dès la première seconde où cette lumière reviendra, tous les ennemis de Notre-Seigneur seront aveuglés, terrassés. Nous en sommes sûrs, Il a vaincu le monde, Il est notre espérance. Sa sainte Mère nous a même annoncé : "A la fin, mon cœur immaculé triomphera 2 ". À la fin, évidemment. Pour nous, ne rien changer à ce qui a toujours été cru et fait. Qui en dehors de Notre-Seigneur ("Je suis la lumière du monde" Jean VIII, 12) pourrait nous sauver des ténèbres ? Seul un Dieu, seul un Sauveur peut nous sauver. Tenir, tenir calmes, confiants, constants, persévérants, fermes. Pour nous, imitons les vierges sages (Mat. XXV, 1-13). Comme elles, allons à la rencontre de l’époux. Bien qu’Il tarde, Il viendra sûrement. Il viendra au milieu de la nuit, à l’heure la plus sombre. Il sera précédé d’un cri, L’annonçant. Comme elles, ayons de l’huile, cette huile des bonnes œuvres, surtout de l’amour de Dieu. Les vierges folles avaient aussi des œuvres, mais pas celles de Dieu. Soyons prêts pour entrer avec Lui dans la salle des noces. Craignons d’entendre dire cette parole terrible : "Je ne vous connais pas". Continuons à veiller, car nous ne savons ni le jour ni l’heure.
En trois mots, la Très Sainte Vierge Marie, Mère de l’Église a tout dit : L’ENLISE EST ÉCLIPSÉE. C’est le pourquoi et le fondement du combat Catholique. "Marie a vraiment été créée par Dieu pour être notre étoile du matin, notre sauvegarde, notre phare dans la tempête"3. Gardons notre regard bien fixé sur son Étoile. Par la très Sainte Vierge Marie, tout est dit : notre Foi est sûre, notre Espérance est assurée. MERCI, TRÈS SAINTE VIERGE MARIE. TENONS BON, NOTRE DÉLIVRANCE EST PROCHE.

ANNEXE I
LA VISIBILITÉ DE L’ENLISE

«La foi est une, et tout ce qui est en dehors de cette unité de foi n’est pas la foi». Saint Hilaire de Poitiers, premier docteur de l’Église. 1 aucune unité : non una cum 2 Triompher : remporter une victoire complète et éclatante contre tous ses ennemis. 3 Mgr Lefebvre, mai 1965, Lettres pastorales et écrits, p. 211. La Foi catholique est d’une nature telle qu’on ne peut rien lui ajouter, rien lui retrancher ; ou on la possède tout entière, ou on ne la possède pas du tout. Telle est la foi catholique : quiconque n’y adhère pas avec FERMETÉ ne pourrait être sauvé. (Symbole de saint Athanase). Dans son interview au Figaro du 3 juin 1998, Mgr Fellay, supérieur de la Fraternité Saint Pie X, répond à la question du journaliste :
"Certains chez vous n’affirment-ils pas que le siège de Pierre est vacant ?
- Ils ne sont pas chez nous. Nous n’acceptons pas leur affirmation. Ils prétendent résoudre un problème, mais ils en créent un plus grave. En effet, le Pape pose des actes qui ont été antérieurement condamnés par l’Église ; dès lors, pour sauver l’infaillibilité pontificale, ils affirment qu’il n’y a pas de pape. Voilà une position facile qui, en réalité, dissout la visibilité de l’Église. Nous ne pouvons l’accepter".
Il est triste de lire de telles lignes.
Remarquons d’abord l’incohérence des arguments. Mgr Fellay reconnaît que “le Pape pose des actes qui ont été antérieurement condamnés par l’Église”. Cette phrase est très importante. C’est une excellente constatation. C’est celle que nous faisons. Ces actes avaient obligé Mgr Lefebvre à déclarer : «L’église qui affirme de pareilles erreurs (liberté
de conscience…) est à la fois schismatique et hérétique. Cette secte conciliaire n’est donc pas catholique. Dans la mesure où le Pape, les évêques, prêtres, fidèles adhérent à cette nouvelle église ils se séparent de l’Église Catholique» (Ecône, 29 / 6 / 1976).
Réétudiant longuement ce problème de la liberté de conscience dans son livre Dubia sur la liberté religieuse, quatre fois Mgr Lefebvre est obligé de conclure à l’hérésie. Historiquement, il n’y a jamais eu de papes posant des actes antérieurement condamnés par l’Église. Les jansénistes ont voulu nous le faire croire pour Honorius, Libère ou d’autres, mais ces prétendues défaillances ont été démontrées comme fausses lors des travaux faits pour Vatican I. Théologiquement, quelle est cette nouvelle affirmation, étudiée et condamnée par Vatican I, qui enseigne qu’un Vicaire de Notre-Seigneur Jésus-Christ puisse poser des actes qui ont été antérieurement condamnés par l’Église, donc contraires à la doctrine de l’Église ?
On doit en tirer une seule conclusion : si ce "pape" pose des actes qui ont été antérieurement condamnés par l’Église, il pose des actes faux, méritant même la note d’hérésie. Il est donc faillible. S’il n’est pas infaillible, comment peut-il être Pape ?
Nous attendons une réponse claire, nette, précise de la part de Mgr Fellay à cette question. Il ne peut s’y dérober et il nous doit, comme évêque, un enseignement cohérent.
- Mais qu’en est-il de la visibilité ? Cette visibilité de l’Église doit être manifeste aux yeux de tous pour quatre raisons :
1° le bien des fidèles qui peuvent ainsi facilement suivre les enseignements de l’Église et obéir en toute sécurité à ses préceptes ;
2° la nécessité pour les fidèles, exposés à perdre la foi, de pouvoir discerner facilement des sectes hérétiques l’Église catholique dont la vérité est si resplendissante ;
3° la nécessité, pour les infidèles qui veulent embrasser la foi catholique, de pouvoir aisément reconnaître l’Église catholique ;
4° enfin la gloire de Jésus-Christ dont le règne sur toute la terre brille ainsi d’un merveilleux éclat.
Le Père Hugon OP, dans “La vie spirituelle” n°35, pp. 355-356 rappelle cet enseignement constant de l’Église que : «Trois principes fondamentaux constituent le corps de l’Église : - un magistère visible et la profession d’une même foi par tous les croyants ;
- un ministère visible et la communion de tous les fidèles au même culte ;
- un gouvernement visible et l’obéissance de tous les sujets aux mêmes pasteurs».
On résume ces trois principes par une formule simple : profession de la même foi, participation aux mêmes sacrements, obéissance aux mêmes pasteurs.
Pie XII, dans l’encyclique “Mystici corporis”, observe : “…Oui, certainement, la pieuse Mère resplendit sans aucune tache dans les sacrements, avec lesquels elle engendre et nourrit ses fils, dans la foi qu’elle conserve toujours non contaminée, dans les très saintes lois par lesquelles elle commande…” Depuis Notre-Seigneur Jésus-Christ et jusqu’au 9 octobre 1958 (mort de Pie XII), nous avions la même foi non contaminée, les mêmes sacrements sans taches, les mêmes évêques et donc la même Eglise.
Ces trois principes rendent l’Église visible, et même on avait l’habitude de raccourcir ces principes en ramenant la visibilité à la personne du Pape : là où est le Pape, là est l’Église. C’était un raccourci justifié dans l’Église en ordre, car le Pape avait la même foi jusqu’au 9 octobre 1958, vivait des mêmes sacrements jusqu’au 9 octobre 1958 et était la suite de la même hiérarchie1.
En est-il de même depuis ? Il est évident que depuis Vatican II, la secte conciliaire a transformé les sacrements catholiques. Tout est rempli de modernisme et de protestantisme.
Elle ne professe plus la même foi. Sa doctrine est l’expression de l’hérésie moderniste et protestante. La meilleure preuve est qu’elle ne combat, et avec quelle violence, que ceux qui se refusent à changer de sacrements et de Foi. Les amis sont devenus ennemis, les ennemis sont devenus amis. Cela prouve plus que tout que la secte conciliaire n’est pas l’Église catholique.
Reste le problème de la hiérarchie. Comment un “pape” non catholique comme Jean-Paul II, comment une hiérarchie ennemie peut-elle, à elle seule, sans la présence des deux autres principes plus importants que sont la Foi enseignée par Notre-Seigneur Jésus-Christ et les sacrements qu’Il a institués, représenter la visibilité de l’Église ?
Ne retenir que le raccourci pour principe de la visibilité de l’Église et ce dans une église qui n’est plus catholique (même si elle veut nous faire croire qu’elle est l’église catholique) c’est une imposture, une tromperie. Ces gens ont usurpé (usurper : s’emparer par violence ou par ruse, d’un bien, d’une dignité, d’un titre qui appartient à un autre) les sièges qu’ils occupent. Ils ont, comme nous l’avait annoncé la Très Sainte Vierge Marie à La Salette, éclipsé l’Église.
À nous de ne rien changer dans ce que nous croyons et faisons. Nous savons que la Sainte Église ne peut ni se tromper, ni nous tromper. A nous, on ne peut rien reprocher. Alors ne retenir que critère de la visibilité, que ce "pape" usurpateur hérétique, que cette hiérarchie apostate et ennemie, c’est se tromper et c’est tromper ceux que l’on enseigne. Mgr Fellay ne résout pas le problème de la visibilité. Par une position facile, en réalité il dissout la visibilité de l’Église. Il crée un problème plus grave : faire croire que la secte conciliaire est l’Église Catholique. C’est l’opposé de l’enseignement de Mgr Lefebvre. Prions pour Mgr Fellay, sa Fraternité et ses prêtres.

ANNEXE II
UNE FORMULATION HÂTIVE DE MONSEIGNEUR LEFEBVRE EXPLOITÉE PAR CERTAINS QUI SE DISENT SES FILS

(MAIS LE SONT-ILS ?)
Elle a sa source dans une mauvaise application du principe de non-contradiction. Rappelons ce principe fondamental :
- sous sa forme métaphysique : une même chose ne peut à la fois et sous le même rapport, être et ne pas être … L’Église était-elle plus visible avec "trois papes" au lieu d’un seul ?
- sous sa forme logique : il est impossible d’affirmer et de nier à la fois une même chose sous le même rapport.
Quand, dans sa proclamation du 21 novembre 1974, Mgr Lefebvre déclare : «Nous adhérons de tout notre cœur, de toute notre âme, à la Rome catholique, gardienne de la foi catholique et de ses traditions nécessaires au maintien de cette Foi, à la Rome éternelle, maîtresse de sagesse et de vérité». «Par contre, nous refusons et nous avons toujours refusé la Rome de tendance néo-moderniste et néoprotestante qui s’est clairement manifestée dans le concile Vatican Il et, après le concile, dans toutes les réformes qui en sont issues». quand, dans la lettre aux futurs Évêques du 29 août 1987, il écrit : «La corruption de la sainte Messe a amené la corruption du sacerdoce...» dans ces deux textes, Mgr Lefebvre n’est pas assez précis, d’où une confusion entretenue et développée par certains qui se présentent ses fils ou qui se disent ses héritiers. En effet, la Sainte Messe ne peut pas être corrompue. Elle est Sainte par essence. S’il y a quelque chose qui se dit la "messe" et qui est corrompue, c’est autre chose que la Sainte Messe. De même pour le sacerdoce. Il ne peut pas être corrompu. S’il y a quelque chose qui se dit le "sacerdoce" et qui est corrompu, c’est autre chose. Il peut y avoir des hommes corrompus dans le sacerdoce, mais le Sacerdoce de la Sainte Église ne peut pas être corrompu. Il en est de même pour Rome. Elle ne peut être à la fois catholique et hérétique. La Rome actuelle d’ailleurs ne se dissimule pas : elle se dit conciliaire. Elle est conciliaire. Parfois elle se dit catholique, mais c’est une usurpation. Elle n’a plus rien de catholique, ni les dogmes, ni les sacrements, ni les rituels (surtout celui du sacre épiscopal), ni la morale, ni la vie, ni l’enseignement, ni ... etc. Tout est changé. Bien plus, la Rome conciliaire persécute les vrais catholiques, ceux qui n’ont rien voulu changer de leur foi et de leur vie, qui croient et font ce qui a toujours été cru et fait, sachant que la véritable Église ne peut ni se tromper, ni nous tromper.
Cette persécution en tout lieu prouve bien que la Rome moderniste, et donc hérétique, n’a rien à voir avec la Rome catholique. C’est autre chose . Mgr Lefebvre savait bien cela. On comprend ce qu’il voulut dire et faire. Il est évident que dans sa pensée, et Paul VI et Jean-Paul Il représentaient la Rome moderniste qu’il condamnait. En précisant cela, Mgr Lefebvre prouvait qu’il ne croyait pas Jean-Paul Il catholique. Il prévoyait même que J-P Il était inconvertissable, attendant un successeur catholique. Mais malheureusement sa déclaration n’était pas assez nette. Elle fut exploitée par certains qui veulent faire croire aux fidèles : qu’être attaché au Siège de Pierre, c’est être attaché à Jean-Paul II, ce qui est le contraire de la pensée de Mgr Lefebvre, comme nous venons de le prouver. D’où la confusion pratique dans laquelle nous vivons depuis. Confusion entretenue et amplifiée par certains qui se disent encore ses fils. Pas tous, mais certains. Comparons simplement ce qu’écrit l’abbé de Jorna dans l’éditorial du numéro 111 de Fideliter p. 2 :
«Enfin, s’adressant le 29 août 1987 aux futurs évêques, il leur écrivait : "Je vous conjure de demeurer attachés au Siège de Pierre, à l’Église romaine, Mère et Maîtresse de toutes les Églises". Et l’abbé de Jorna arrête là la citation. Relisons la phrase complète de Mgr Lefebvre : "Je vous conjure de demeurer attachés au Siège de Pierre, à l’Église Romaine, Mère et Maîtresse de toutes les Églises, dans la foi catholique intégrale, exprimée dans les symboles de la foi, dans le catéchisme du Concile de Trente, conformément à ce qui vous a été enseigné dans votre séminaire. Demeurez fidèles dans la transmission de cette foi pour que le Règne de Notre-Seigneur arrive". C’est très différent. Comment qualifier une telle manipulation ? Quelle trahison ! D’où la confusion dans le camp de la Tradition. D’où le manque de fermeté doctrinale et pratique. Manque de fermeté qui amènera un jour ou l’autre de graves trahisons, identiques aux précédentes.
Cette erreur engendra un comportement et une tactique de défense, alors qu’il aurait fallu attaquer. C’est le camp de la Vérité qui devait imposer les règles du jeu. On aurait du leur dire : «Vous n’êtes plus catholiques. Vous n’êtes plus l’Église Catholique.
Vous vous dites le “Pape”, l’êtes-vous vraiment ? ... À la fin, Mgr Lefebvre les appela par leur vrai nom : “Antéchrist” mais il était trop tard, ses disciples ne le comprirent pas. Souhaita-t-il aller plus loin avant de mourir ?
L’isolement dans lequel on l’enferma alors, laisse tout supposer ... Un jour excommuniés, le lendemain reçus avec solennité. Comment en est-on arrivé là ?
Les quatre évêques n’ont-ils pas trahi la volonté de leur consécrateur ? Font-ils le même combat que leur fondateur. Ont-ils eu peur que leur Fraternité soit traitée et persécutée comme secte ? Et pour en éviter les effets, ont préféré trouver un arrangement avec ces hérétiques ?
Mais, surtout, sont-ils en conformité avec le combat de la Foi que Dieu leur demande ? Quelle différence avec les "ralliés" ? N’oublions pas que le terme "rallié" n’est pas catholique. Le vrai terme catholique est apostat.

ANNE XE III
LA VÉRITABLE PENSÉE DE MONSEIGNEUR LEFEBVRE


Les écrits multiples de Monseigneur Lefebvre semblent parfois contradictoires. Il est compréhensible qu’il ait eu un discours différent suivant qu’il s’adressait aux autorités romaines, à un large public mal formé, à des journalistes brouillons ou à ses proches. Mais il suffit de se reporter aux événements graves, comme lors de la suspens a divinis, ou des sacres, pour bien connaître sa pensée la plus sûre.
1 Profitons-en pour rappeler deux graves questions que nous avons posées et qui restent sans réponse : - Comment expliquer l’absence de ses fils à son chevet lors de ses derniers instants ? On n’a jamais vu un fondateur ne pas être entouré, lors de son agonie, par ceux qui lui sont chers. Avait-on quelque chose à cacher ? Comment se fait-il que l’on n’ait jamais parlé du testament de Mgr Lefebvre ? Est il pensable une minute qu’il n’ait pas fait de testament ? Alors? Nous attendons toujours les réponses !
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Rappelons certains passages du sermon qu’il fit lors des ordinations sacerdotales du 29 juin 1976, juste au moment de la suspens a divinis, texte supprimé dans une réédition récente1 de ses discours de l’année 1976 suppose une autre conception de la religion catholique, une autre religion..., Eh bien, «Nous sommes de la religion de toujours, nous sommes de la religion catholique, nous ne sommes pas de la religion universelle, comme ils l’appellent aujourd’hui. Ce n’est plus la religion catholique. «Nous ne sommes pas de cette religion libérale, moderniste, qui a son culte, ses prêtres, sa foi, ses catéchismes, sa bible - sa bible œcuménique. Nous ne les acceptons pas... nous ne pouvons accepter ces choses-là. C’est contraire à notre foi... nous choisissons de ne pas abandonner notre foi... le Pape a reçu le Saint-Esprit non pour faire des vérités nouvelles, mais pour nous maintenir dans la foi de toujours».
Ces propos très fermes furent confirmés par la préface de “J’accuse le Concile”, écrit quelques semaines après, où l’on peut lire : «…nous sommes fondés à affirmer que l’esprit qui a dominé au Concile… n’est pas l’Esprit-Saint… Ils ont tourné le dos à la véritable Église de toujours… déclaration hérétique… esprit non catholique… conjuration stupéfiante… quel a été en toute cette œuvre le rôle du Pape ? sa responsabilité ? en vérité, elle paraît accablante… il nous est impossible d’entrer dans cette conjuration… une seule solution : ABANDONNER CES TÉMOINS DANGEREUX».
C’est ce qu’il fit, car pour Mgr Lefebvre, la secte conciliaire n’était pas I’Eglise Catholique. Mais le document essentiel est la lettre qu’il fit aux quatre futurs évêques. Cette lettre est certainement la plus importante qu’il ait écrite dans toute sa vie. On le comprendra facilement. Envoyée dix mois avant les sacres, elle a dû être mûrie, réfléchie, méditée longuement, tellement la décision était grave. Il avait pensé à sacrer depuis bien longtemps. “Arrivé au seuil du jugement particulier, conscient de son salut éternel et des comptes à rendre”, conscient des combats engagés par les puissances de l’enfer contre ce qui fut sa vie, son amour, c’est-à-dire la défense de la Sainte Église de Notre-Seigneur Jésus-Christ, qu’il voyait attaquée de partout, il se décida à sacrer.
Il savait les conséquences de cet acte, et qu’écrit-il pour amener ces quatre jeunes prêtres à «accepter de recevoir les grâces de l’épiscopat catholique» ? Il leur présente la situation telle qu’elle est et qu’il se voit «contraint par la Providence Divine de transmettre la grâce de l’épiscopat que j’ai reçue».
Et pourquoi ? : «Afin que I’Eglise et le Sacerdoce catholique continuent à subsister pour la Gloire de Dieu et le salut des âmes».
Pour en arriver à une telle demande, il leur présente d’abord l’état de la Rome actuelle. Relisons : «La chaire de Pierre et les postes d’autorité de Rome, étant occupés par des antichrists, la destruction du Règne de Notre-Seigneur se poursuit rapidement à l’intérieur même de Son Corps mystique ici-bas, spécialement par la corruption de la Sainte Messe, expression splendide du triomphe de Notre- Seigneur par la Croix «Regnavit a ligno Deus» et source d’extension de Son Règne dans les âmes et les sociétés ». «Ainsi apparaît avec évidence la nécessité absolue de la permanence et de la continuation du sacrifice ... la corruption du Sacerdoce et la décadence universelle de la Foi dans la divinité de Notre-Seigneur Jésus-Christ». Et plus loin, il précisera : «C’est ce qui nous a valu la persécution de la Rome antichrist, cette Rome moderniste et libérale. «C’est pourquoi, convaincu de n’accomplir que la Sainte Volonté de Dieu...» Et les quatre acceptèrent. Certainement après de longues prières et méditations. Généreusement. Courageusement. Ils doivent méditer très souvent sur cette lettre de leur fondateur qui leur demande d’assurer la transmission de la Foi.
Voilà le document essentiel de la pensée de Mgr Lefebvre. On le trouve dans le numéro spécial de Fideliter consacré aux sacres. On pourra relire avec profit la conférence de Mgr Lefebvre, imprimée à la suite et 1 Ce n’est pas la première fois que Mgr Lefebvre est censuré par ses successeurs. Qu’en penser ?
«L’obéissance peut-elle nous obliger à désobéir ?» question qui pourrait être de nouveau très actuelle. Qu’en est-il de l’excommunication ? Les années passent et on oublie. Il est bon de rappeler ce qu’en pensait Mgr Lefebvre. Dans le numéro hors-série de Fideliter, 29-30 juin 1988, consacré aux sacres, on trouve p. 18 les commentaires qu’il fit sur son excommunication, lors de la conférence de presse du 15 juin 1988 à Ecône : «L’Osservatore Romano publiera l’excommunication, une déclaration de schisme, évidemment. Qu’est-ce que tout cela veut dire !
«Excommunication par qui ? Par une Rome moderniste, par une Rome qui n’a plus parfaitement la Foi catholique… Alors nous sommes excommuniés par des modernistes, par des gens qui ont été condamnés par les Papes précédents. Alors qu’est-ce que cela peut bien faire ? Nous sommes condamnés par des gens qui sont condamnés, et qui devraient être condamnés publiquement. Cela nous laisse indifférents. Cela n’a pas de valeur évidemment».
Avec raison, Mgr Lefebvre était fier de son excommunication. L’Église catholique ne pouvait pas rester en communion avec la secte conciliaire. Et surtout, la secte conciliaire ne pouvait pas supporter la communion avec I’Eglise catholique. Preuve évidente qu’elle n’est pas catholique.. En relisant le numéro 65 de la revue Fideliter, numéro dans lequel tous se louent de l’excommunication, (particulièrement l’abbé Aulagnier dans son éditorial), on lit p. 4 ces propos de Mgr Lefebvre : «Et pourquoi nous excommunient-ils ? Parce que nous voulons rester catholiques, parce que nous ne voulons pas les suivre dans cet esprit de démolition de l’Église. Puisque vous ne voulez pas venir avec nous pour contribuer à la démolition de I’ Église, nous vous excommunions.
- Très bien. Merci. Nous préférons être excommuniés. (Vifs et longs applaudissements). Nous ne voulons pas participer à cette œuvre épouvantable qui se réalise depuis vingt ans dans l’Église… Alors, biens chers amis, vous serez confrontés à toutes ces difficultés. On vous poursuivra. On vous persécutera parce que vous voulez rester fidèles à l’Église catholique de toujours. Parce que vous voulez rester fidèles au Saint Sacrifice de la Messe, aux sacrements et à l’enseignement de I’ Église».
Et Mgr Lefebvre terminait en rappelant la prédiction de la Vierge de La Salette : «Rome perdra la Foi. Une éclipse se répandra sur Rome». Fidèles à cette pensée très claire, le 6 juillet 1988, tous les supérieurs de la Fraternité Saint-Pie X signaient la lettre parue dans le numéro 64 de Fideliter, juillet-août 1988, dont nous extrayons la phrase suivante : «Nous ne demandons pas mieux que d’être déclarés ex communione de l’esprit adultère qui souffle dans l’Église depuis 25 ans, exclus de la communion impie avec les infidèles... ce serait pour nous une marque d’honneur et un signe d’orthodoxie devant les fidèles. Ceux-ci ont en effet, un droit strict à savoir que les prêtres auxquels ils s’adressent ne sont pas de la communion d’une contrefaçon d’Église, évolutive, pentecôtiste et syncrétiste».
Enfin tous les gens informés savent qu’à la fin de sa vie Mgr Lefebvre disait à qui voulait l’entendre : « Il n’est pas possible que ces “papes” soient les successeurs de Pierre». Voulut-il aller plus loin et enseigner plus ?
Est-ce pour cela que personne ne put l’approcher avant de mourir ?
Est-ce pour cela que nous n’avons pas son testament ? TRADIDI VOBIS QUOD ET ACCEPI

ANNEXE IV

Mgr Henri DELASSUS, 1931.
1 Épilogue (p. 501 à 505). Bien remarquer que cet écrit date de 1913. Ce livre remarquable est disponible à ACRF.
…Les Francs-Maçons s’attaquent aux murailles de l’Église, mais en même temps travaillent à l’intérieur d’autres démolisseurs plus malfaisants encore. Le Syllabus de Pie X et son Encyclique sur le modernisme ont montré où ils en sont arrivés. Dans les huit premières propositions que des catholiques, que des prêtres mêmes ont formulées et enseignent dans des livres et dans des revues qui, hélas ! ne sont point sans de nombreux lecteurs, l’autorité même des décisions doctrinales de l’Église est attaquée. Dans les onze qui suivent, IX à XIX, sont anéantie l’inspiration et l'inerance de l’Écriture Sainte. De XX à XXVI sont transformées, jusqu’à les détruire, les notions de révélation, de foi et de dogme. De XXVII à XXXVIII sont niées la divinité de Notre-Seigneur Jésus-Christ, Sa science, Son expiation rédemptrice, Sa résurrection. Aux propositions XXIX à LI vient l’attaque contre les sacrements. Celles qui vont de LII à LVII s’élèvent contre l’Église, création humaine à laquelle Notre-Seigneur n’aurait même pas songé. Vient enfin de LVII à LXV l’exposé de l’évolutionnisme, fondement intellectuel de tout ce qui précède.
On le voit, RIEN NE DOIT RESTER DEBOUT. Ce n’est plus une hérésie, comme il en a surgi dans les siècles précédents, c’est, ainsi que le dit Pie X dans son anxiété et sa douleur, "le résumé et le suc vénéneux de toutes les hérésies, qui tend à anéantir le christianisme 1". "Toutes ces erreurs, a dit encore le Pape, dans le même consistoire, se propagent dans des opuscules, des revues, des livres ascétiques, et jusque dans des romans ; elles s’enveloppent de certains termes ambigus, sous des formes nébuleuses, afin de prendre dans leurs lacets les esprits qui ne sont pas sur leurs gardes".
Anne-Catherine Emmerich voyait dans les rangs des hommes ainsi appliqués à renverser l’édifice divin, des prêtres et des religieux2. Le Pape dans son Encyclique a cru devoir porter sur ce point l’attention du monde catholique. C’est que, si l’action du prêtre pour le bien est infiniment plus puissante que celle du laïque, la perversion des idées, lorsqu’elle est propagée par lui, produit dans les esprits des résultats bien plus désastreux.
Au mois de juillet de cette même année 1820, la Vénérable dit : "J’eus de nouveau la vision de l’église Saint-Pierre sapée suivant un plan formé par la secte secrète. Mais je vis aussi le secours arriver au moment de la plus extrême détresse".
Plusieurs fois déjà elle avait dit voir la T. S. Vierge venir au secours de l’Église et la couvrir de sa protection. La même année, fin d’octobre, l’état de l’Église catholique lui fut de nouveau montré sous l’image de la basilique Saint-Pierre ; et la guerre qui lui est faite lui apparut sous les traits que nous présente l’Apocalypse de saint Jean, que la Vénérable ne connaissait point. A la fin de cette vision, elle assista de nouveau à l’intervention de la T. S. Vierge. Elle vit les travaux de la secte détruits et tout son attirail brûlé par le bourreau sur une place marquée d’infamie. Puis la basilique complètement restaurée. Après une autre vision, elle dit comment cette restauration serait entreprise par le clergé et les bons fidèles, dès avant la déroute de la franc-maçonnerie, mais alors "AVEC PEU DE ZELE". Ces prêtres et ces fidèles lui semblaient n’avoir NI CONFIANCE, NI ARDEUR, NI MÉTHODE. "Ils travaillaient comme s’ils ignoraient complètement de quoi il s’agissait, et c’était déplorable". N’est-ce point ce dont nous sommes aujourd’hui les témoins attristés ?
"Déjà toute la partie antérieure de l’église était abattue, il n’y restait plus debout que le sanctuaire avec le Saint-Sacrement . J’étais accablée de tristesse. Alors je vis une femme, pleine de majesté, s’avancer dans la grande place qui est devant l’église. Elle avait un ample manteau relevé sur les deux bras. Elle s’éleva doucement en l’air, se posa sur la coupole et étendit sur l’église, dans toute son étendue, son manteau qui semblait rayonner d’or. Les démolisseurs venaient de prendre un instant de repos ; mais quand ils voulurent se remettre à Pieuvre, il leur fut absolument impossible d’approcher de l’espace couvert par le manteau. "Cependant, ceux qui rebâtissaient se mirent à travailler alors avec une incroyable activité. Il vint des ecclésiastiques et des séculiers, des hommes d’un très grand âge, impotents, oubliés, puis des jeunes gens forts et vigoureux, des femmes, des enfants, et l’édifice fut bientôt restauré entièrement". Catherine Emmerich
Il y a trente à quarante ans, Dom Guéranger écrivait dans la préface qu’il donna à l’ouvrage du P. Poiré, La triple couronne de la Vierge Marie : «Si Dieu sauve le monde, et Il le sauvera, le salut viendra par la Mère de Dieu. Par elle, le Seigneur a extirpé les ronces et les épines de la gentilité ; par elle il a successivement triomphé de TOUTES les hérésies ; aujourd’hui, parce que le mal est à son comble, parce que toutes les vérités, tous les devoirs, tous les droits sont menacés d’un naufrage universel, est-ce une raison de croire que Dieu et Son Église ne triompheront pas encore une dernière fois ? Il faut l’avouer, il y a matière à une grande et solennelle victoire ; et c’est pour cela qu’il nous semble que Notre-Seigneur en a réservé tout l’honneur à Marie ; Dieu ne recule pas comme les hommes devant les obstacles. Lorsque les temps seront venus, la sereine et pacifique ÉTOILE DES MERS, Marie, se lèvera sur cette mer orageuse des tempêtes politiques, et les flots tumultueux, étonnés de réfléchir son doux éclat, redeviendront calmes et soumis. Alors il n’y aura qu’une voix de reconnaissance montant vers Celle qui, une fois encore, aura apparu comme le signe de paix après un nouveau déluge».
N’oublions pas, toutefois, que si Dieu et la Très Sainte Vierge Marie ne demandent qu’à nous sauver, Celui qui nous a donné la liberté ne peut en décliner le concours. Aussi ne pouvons-nous être sauvés sans notre coopération bien réelle, «SI TU LE VEUX1», a dit la sainte Pucelle à Charles VII et en sa personne à la France à qui était promise la pérennité. C’est donc à nous de hâter par nos œuvres la miséricorde divine.
La CONDITION à laquelle il sera permis à la France de recouvrer son rôle n’est pas autre que celle qui fut autrefois intimée par Daniel à Nabuchodonosor : «Ton règne te sera rendu après que tu auras reconnu que ta puissance ne vient pas de l’homme, mais de Dieu». Ces mots résument tout l’enseignement de la sainte Pucelle.
LORSQUE LA FRANCE AURA FAIT CET ACTE D’HUMILITÉ ET DE REPENTIR, et que Dieu, faisant éclater SUR ELLE Sa miséricorde, lui aura rendu dans le monde le rang qu’Il lui avait d’abord donné, l’Église adressera à toutes les nations l’invitation que David faisait à son peuple, celle d’offrir au Seigneur un immense concert d’actions de grâces (Ps. XCVII), pour le salut enfin accordé. "LORSQUE LA FRANCE AURA FAIT CET ACTE D’HUMILITÉ ET DE REPENTIR" car la Révolution Française est un châtiment, et un châtiment mérité.
De même, la Révolution conciliaire est un châtiment, et un châtiment mérité. Quand nous aurons vraiment compris cela et demandé humblement pardon à Dieu pour nos péchés, Il fera éclater Sa miséricorde. Pas avant.

PRIÈRE ET P PÉNITENCE
ANNEXE V LA GRANDE ESCROQUERIE DU CONCILE VATICAN II

Le Bulletin du Grand Orient de France n°48, novembre-décembre 1964, p. 87, cite comme référence …
"Il faut accepter le danger de l’erreur. On n’embrasse pas la vérité sans avoir une certaine expérience de l’erreur. Il faut donc parler du droit de chercher et d’errer. Je réclame la liberté pour conquérir la vérité". Cette déclaration plut tellement aux francs-maçons Mgr Wojtila qu’ils la soulignèrent. Elle est très grave. Pour un catholique, ce n’est pas la liberté qui engendre la vérité, c’est Notre-Seigneur. Ce n’est pas la liberté qui serait première et amènerait à la vérité, mais c’est la vérité qui rend libre Jean VIII, 32. ...
La secte conciliaire est destructrice de l’Église catholique.
On peut distinguer cinq phases dans leur processus :
1) au début "le droit de chercher et d’errer" est demandé ;
2) après on disqualifie la Vérité, on la dit dépassée, on la rend anodine et on fait passer l’erreur pour la Vérité.
3) Ensuite la Vérité est persécutée jusqu’à sa disparition totale : les démons tueurs succèdent aux démon persécuteurs. Ensuite le règne de l’erreur est imposé.
Mgr Wojtila et la secte conciliaire ont tout inversé: les ennemis des catholiques sont devenus leurs amis.
Un des critères qui prouve que l’on est passé dans le camp de l’erreur est d’agir avec intolérance, supprimant les adversaires, les calomniant, les injuriant, les empêchant de parler.
Comment croire une minute que les conciliaires puissent être dans le camp de la vérité ? La secte conciliaire est sans "la Vie". Elle engendre la mort : 2% de pratiquants en France, et dans certains départements 1%. Et de quel âge ? Et avec quel Credo ?
Dans une lettre des Amis du Christ Roi De France, nous avons longuement souligné que le plan de Dieu était d’intervenir en Sauveur et donc de triompher l’éclipse de l’Église catholique ait été totale. A nous de mériter la grâce d’être du petit nombre resté fidèle. Et pour cela, il faut rester bons et vrais catholiques, comme l’enseigne la Vénérable Élisabeth Canori Mora.
L’épreuve du Concile a éliminé les 9/10è des catholiques. … Le combat continue. Les ennemis du nom de catholique nous haïssent. Ils ont pour chef Satan qui est le prince de ce monde. Soyons attachés au Christ, Roi du Monde. De graves épreuves s’annoncent. Soyons prêts. N’ ayons pas peur, Il vaincra.
"Courage, Confiance, Calme, Constance"
(Jean Vaquié).
Roger AUBERT

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FRANÇOIS ET JUDAS
Abbé Guy Pagès Prêtre
Il y a quelques jours, le pape François recevait un groupe de jeunes Roumains qui l’ont interrogé au sujet de la possible damnation de l’un des leurs, mort en état de péché. Il leur a répondu : « Personne d’entre nous ne peut dire qu’une personne n’est pas allée au Ciel. Nous ne pouvons même pas dire cela de Judas. »
Or, comme je l’expose, entre autres …Plus
FRANÇOIS ET JUDAS
Abbé Guy Pagès Prêtre
Il y a quelques jours, le pape François recevait un groupe de jeunes Roumains qui l’ont interrogé au sujet de la possible damnation de l’un des leurs, mort en état de péché. Il leur a répondu : « Personne d’entre nous ne peut dire qu’une personne n’est pas allée au Ciel. Nous ne pouvons même pas dire cela de Judas. »
Or, comme je l’expose, entre autres considérations, dans mon ouvrage Judas est-il en Enfer ?, la damnation de Judas a toujours été une vérité de foi jusqu’à la moitié du XXe siècle. Le pape poursuivait : « Une brebis perdue, quand le Bon Berger la trouve, Il la rapporte à la maison. Je suis sûr, connaissant Jésus, je suis sûr que c’est ce que le Seigneur a fait pour votre ami. »
Ainsi donc, sans connaître le défunt, et sans qu’il ait reçu les conclusions d’une enquête canonique ayant instruit le cas, voilà que le pape affirme le salut d’un inconnu… mais non sans avoir d’abord pris soin de nier la damnation de Judas… tant il est vrai que la foi en celle-ci est le verrou qui empêche de passer de l’espérance dans le salut du plus grand nombre possible à la croyance en un enfer vide. Puisque, selon François, personne ne peut dire que Judas est damné, alors, comme il en donne l’exemple, tout le monde peut dire que n’importe qui est sauvé… Peut-être certains vont-ils tenter de justifier son propos en supposant qu’il aurait reçu une révélation privée au sujet du sort éternel de ce jeune défunt ? Mais le pape ne dit pas tenir sa certitude d’un tel moyen, mais de sa connaissance de Jésus… Or, il se trouve que je connais moi aussi Jésus, et que la connaissance que j’en ai m’interdit de dire la même chose…
Si « personne d’entre nous ne peut dire qu’une personne n’est pas allée au Ciel », parce que certainement elle y est, qui qu’elle soit et quoi qu’elle ait fait, et cela parce que Jésus est tel qu’Il est, alors, à quoi bon encore prêcher l’urgence absolue de fuir le péché, et la conversion à la foi catholique ? Cela n’a plus d’intérêt. La raison d’être de l’Église et sa mission se trouvent ruinées. Enfin, nous allons pouvoir chanter avec tout le monde, catholiques ou non, pécheurs ou non (à l’exception, il est vrai, des musulmans qui croient bien, eux, à l’Enfer… mais uniquement pour les non-musulmans !) : « Nous irons tous au Paradis ! »
Je sais que la pensée de l’Enfer est terrifiante, et je comprends que l’on puisse craindre de faire de la peine, mais la charité est d’un autre ordre que la sentimentalité : « Si je voulais encore plaire à des hommes, je ne serais plus le serviteur du Christ ! » (Ga 1.10).
Bref, ce malheureux événement révèle très éloquemment la raison même de la crise de l’Église, à laquelle je désire apporter une solution avec mon livre Judas est-il en Enfer ?
« Luttez pour entrer par la porte étroite, car beaucoup, Je vous le dis, chercheront à entrer et n’y arriveront pas » (Luc 13.24).
bvoltaire.fr/francois-et-judas/

Et dans l’oeuvre de Maria Valtorta
Là on a une vraie connaissance de Jésus !!!
u.

Il n'y avait pas de prédestination de l'âme de Judas : "Entre l'âme de Jean Baptiste, et la tienne, lui dit Jésus, il n'y avait pas de différence quand elles furent infusées dans la chair. Tu as été placé devant le Bien et le Mal. Tu as choisi le Mal" (EMV 567).
Sur le Thabor où il apparaît aux cinq cent disciples
[7], Jésus ressuscité souffre encore pour Judas. Il confie : "Judas a été et il est la douleur la plus grande dans l'océan de mes douleurs. Les autres douleurs ont pris fin avec le Sacrifice. Mais celle-là reste. Je l’ai aimé. Je me suis consumé Moi-même dans mon effort pour le sauver... J’ai pu ouvrir les portes des Limbes et en tirer les justes, j’ai pu ouvrir les portes du Purgatoire et en tirer ceux qui se purifiaient. Mais le lieu d’horreur s'était refermé sur lui, Pour lui, ma mort a été inutile" (EMV 634).
Judas est damné, précise Jésus : "Il est le damné déicide, l’infiniment coupable comme israélite et comme disciple, comme suicidé et comme déicide, en plus de ses sept vices capitaux et toutes ses autres fautes" (
EMV 630). Il est en enfer pour l'éternité :
"En vérité, dit Jésus, je vous dis que si l'Enfer n'avait pas déjà existé, et existé parfait en ses tourments, il aurait été créé pour Judas encore plus horrible et éternel, parce que de tous les pécheurs et de tous les damnés il est le plus damné et le plus pécheur, et pour lui éternellement il n'y aura pas d'adoucissement de sa condamnation" (EMV 606).
Roger AUBERT

Le Covid-19 frappe le couvent de Padre Pio

(DEUXIÈME) LETTRE OUVERTE A SA SAINTETÉ LE PAPE FRANÇOIS, AU SUJET DE L’ISLAM DANS "EVANGELII GAUDIUM" :
de « Le Mar », le 17 Décembre 2013
islam-et-verite.com/…slam-et-evangelii-gaudium.html
LETTRE OUVERTE A SA SAINTETÉ LE PAPE FRANÇOIS, AU SUJET DE L’ISLAM DANS EVANGELII GAUDIUM
Très Saint Père,
C’est avec une peine redoublée, et avec tout le respect filial que je vous dois, au nom de nombreuses …Plus
(DEUXIÈME) LETTRE OUVERTE A SA SAINTETÉ LE PAPE FRANÇOIS, AU SUJET DE L’ISLAM DANS "EVANGELII GAUDIUM" :
de « Le Mar », le 17 Décembre 2013

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LETTRE OUVERTE A SA SAINTETÉ LE PAPE FRANÇOIS, AU SUJET DE L’ISLAM DANS EVANGELII GAUDIUM
Très Saint Père,
C’est avec une peine redoublée, et avec tout le respect filial que je vous dois, au nom de nombreuses personnes choquées par vos propos relatifs à l’islam, et en vertu du canon 212 § 3[1], que je vous adresse cette nouvelle Lettre, puisque non seulement je n’ai reçu aucune réponse à celle que je vous ai adressée concernant votre Message aux musulmans pour la fin du ramadan, d’abord envoyée en privé ‒ et à trois reprises ‒ et ensuite publiquement, mais encore parce que dans votre exhortation apostolique Evangelii Gaudium vous venez d’écrire que : « le véritable Islam et une adéquate interprétation du Coran s’opposent à toute violence. » (n°253). Une telle affirmation, certainement motivée par votre paternelle sollicitude pour nos frères persécutés en pays d’islam, apparaît cependant comme une terrifiante contrevérité. En effet :
« Allah seul connaît l'interprétation du Coran. » (Coran 3.7)...
Les versets réputés "tolérants" de l'immuable Coran ont tous été abrogés par "le verset du sabre" (Coran 9.5,29) ;
Si « le véritable Islam et une adéquate interprétation du Coran s’opposent à toute violence. », alors Mahomet n’a pas incarné la véritable interprétation de l’islam, et sa conduite ne peut pas être normative pour les musulmans (Coran 33.21) ;
À la différence du Christ ayant confié Son autorité à Pierre dont vous êtes le légitime successeur, il n’y a pas en Islam de magistère qui puisse vous donner, à vous ou à quiconque, avec une autorité infaillible, la définition de ce qu’est ou n’est pas « le véritable Islam et une adéquate interprétation du Coran », d’où les incessantes guerres intestines du monde musulman au nom d’une interprétation toujours plus « authentique » ;
Il suffit d’ouvrir un Coran, même dans une des traductions édulcorées à l’usage des lecteurs occidentaux, pour voir que sur les 6235 versets du Coran, plus de la moitié vouent à l'exécration tous ceux qui ne sont pas musulmans, et expriment la funeste intention de les tuer ou de les soumettre ;
L’histoire et l’actualité démentent à l’envi, malheureusement, votre affirmation ;
Quelle autre religion que l’islam Jésus pouvait-Il avoir en vue lorsqu’Il annonçait : « Vient un temps où ceux qui vous tueront penseront rendre un culte à Dieu. » (Jn 16.2) ? Quelle autre religion en effet que l’islam promeut, comme un devoir religieux, le jihad contre les chrétiens ? « Tuez les associateurs [les chrétiens] où que vous les trouviez. Prenez-les, assiégez-les et restez aux aguets contre eux. » (Coran 9.4,5) ;
Tout chrétien sait, du seul fait qu’il est chrétien, que celui qui cherche son salut dans l’islam se damne : « Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé, celui qui refusera de croire sera con-damné. » (Mc 16.16) ; « Si nous-mêmes, si un ange venu du Ciel vous annonçait un Évangile différent de celui que nous vous avons prêché, qu'il soit maudit ! Nous l'avons déjà dit, et aujourd'hui je le répète : si quelqu'un vous annonce un Évangile différent de celui que vous avez reçu, qu'il soit maudit ! » (Ga 1.8-9 ; Mt 24.4,11,24 ; 1 Jn 2.22-24 ; 4.2-4)… Or, si l’islam damne, n’est-ce pas qu’il est mauvais, et si « aucun arbre mauvais ne donne de bons fruits » (Mt 7.18), comment l’islam pourrait-il porter les bons fruits de paix que vous lui attribuez ?
Très Saint-Père, il est frappant de constater que votre propos répond exactement à la demande formulée, au début du mois de juin 2013, par M. Mahmoud Abdel Gawad, le conseiller diplomatique de M. Ahmed Al-Tayeb, grand imam de la mosquée d'Al-Azhar, ayant déclaré attendre de vous « une intervention où [vous diriez] que l'Islam est une religion pacifique, que les musulmans ne cherchent ni la guerre ni la violence », comme condition au rétablissement des relations diplomatiques entre le Saint-Siège et cette institution représentative de l’islam sunnite qu’est l’Université d’Al-Azar… Et pourquoi M. Ahmed Al-Tayeb voulait-il une telle déclaration ? Pour que vous expiiez ainsi la « faute » de votre prédécesseur Benoît XVI ayant osé illustrer en 2006 à l’université de Ratisbonne cette vérité élémentaire que la violence est incompatible avec la vraie religion, contraire à la vraie nature de Dieu, par cette question de l’empereur Manuel II Paléologue à un savant musulman : « Montrez-moi ce que Mahomet a apporté de nouveau. Vous ne trouverez que ces choses mauvaises et inhumaines, comme le droit de défendre par l’épée la foi qu’il prêchait. ». Benoît XVI avait ensuite aggravé son cas en 2009 en appelant à protéger les minorités chrétiennes après un énième et terrible attentat à la bombe contre une église à Alexandrie, ce qui avait constitué aux yeux du destinataire de votre lettre, « une interférence occidentale indue ». Ainsi, en répondant au désir du grand imam ― et l’islam veut dire « soumission » ―, souffrant de « réparer » la « faute » de votre vénéré prédécesseur, non seulement vos propos sont interprétés comme une condamnation de son témoignage rendu à la vérité, mais vous n’obtiendrez pas la mansuétude que vous escomptez pour les chrétiens vivant en pays devenus musulmans, car, comme l’exprimait un autre de vos prédécesseurs, le Pape Pie II, dans sa Lettre au Sultan turc Mehmet II : « La concorde ne sera donc que dans les mots ; sur le fond, c'est la guerre. »[2]. Qui peut venir en effet après le Christ, sinon l’Antichrist ?
Très Saint-Père, vous nous demandez d’« accueillir avec affection les immigrés de l’Islam qui arrivent dans nos pays » (n°253), mais ignorez-vous donc que le but de l’islam est de se substituer au christianisme et d’instaurer partout la charia ? C’est Allah qui le dit : « Combattez-les jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de subversion[3] et que la religion appartienne uniquement à Allah » (Coran 2.193). Ses disciples, aujourd’hui, ne disent pas autre chose, tel M. Alija Izetbegovic, chef d'État de Bosnie-Herzégovine de 1990 à 2000, qui, dans sa « Déclaration islamique » a le mérite de la clarté : « Il ne peut y avoir ni paix ni coexistence entre la religion islamique et des institutions politiques et sociales non-islamiques. […] La renaissance islamique ne peut commencer sans une révolution religieuse, mais elle ne peut se poursuivre et être menée à bien sans révolution politique. Notre première tâche doit être de gagner non le pouvoir mais les hommes. […] Le soutien qu'un peuple musulman apporte effectivement à un régime en place est directement proportionnel au caractère islamique de ce dernier. […] Nous devons être des prêcheurs et ensuite des soldats. […] Le mouvement islamique doit prendre le pouvoir dès qu'il est en situation morale et numérique suffisante pour lui permettre de renverser le gouvernement non-islamique. »… Voulez-vous vraiment que s’accomplisse la prophétie du président algérien, M. Houari Boumediene qui, en avril 1974, déclarait à la tribune de l'ONU : « Un jour, des millions d'hommes quitteront l'hémisphère sud pour aller dans l'hémisphère nord. Et ils n'iront pas là-bas en tant qu'amis. Parce qu'ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire. »[4] ? Certes, il n’est pas question de se fermer à l’accueil des miséreux, pour autant que nous puissions leur porter secours, mais il est exclu de les naturaliser, selon le conseil même de feu le Commandeur des Croyants, le roi Hassan II, roi du Maroc : « N’essayez pas de faire des Français avec des musulmans, vous n’y arriverez pas. Vous ne ferez que de mauvais Français et de mauvais Musulmans. ».[5] Jugement qui corrobore l’enseignement des Apôtres : « Si quelqu'un vient à vous sans apporter cette doctrine [l’Évangile, que l’islam se fait une gloire de rejeter], ne le recevez pas chez vous et abstenez-vous de le saluer. » (2 Jn 1.10) ; « Ne formez pas d'attelage disparate avec des infidèles. Quel rapport en effet entre la justice et l'impiété ? Quelle union entre la lumière et les ténèbres ? » (2 Co 6.14) ?… Aussi nous appartient-il de ne pas transiger avec l’islam. Nos Pères ne se sont pas battus pendant des siècles pour repousser ce malheur qu’est l’islam et pouvoir développer hors d’atteinte de sa mortifère influence l’admirable civilisation chrétienne dont le monde entier profite de nos jours, pour que nous ouvrions aujourd’hui nos portes à l’islam ! Ou alors l’islam aurait-il changé entre temps ? Non, il ne le peut pas, car « les coutumes d'Allah ne changent pas » (Coran 33.62 ; 35.43 ; 48.23).
Je suis pareillement surpris et terriblement gêné pour nos frères chrétiens que, dans votre exhortation apostolique, vous demandiez à ce qu’ils soient « accueillis et respectés dans les pays de tradition islamique », comme s’ils n’étaient justement pas chez eux ! N’est-ce pas infiniment triste de tenir pour un fait acquis la conquête musulmane de ces pays autrefois chrétiens, et de compter pour rien la tradition chrétienne qui y survit aujourd’hui encore sous le joug toujours renaissant et insupportable de la dhimmitude ? Et si les « épisodes de fondamentalisme violent qui nous inquiètent » sont effectivement à déplorer, il ne faut pas chercher longtemps pour en trouver la source : « Faites-leur la guerre jusqu'à ce qu'ils payent le tribut de leurs propres mains et qu'ils soient soumis et humiliés » (Coran 9.29). Aussi, ce n’est pas « l’affection envers les vrais croyants de l’Islam » qui « doit nous porter à éviter d’odieuses généralisations », mais l’amour envers nos ennemis (Mt 5.44).
Quant au fait que les musulmans « professent avoir la foi d’Abraham, adorent avec nous le Dieu unique, miséricordieux, futur juge des hommes au dernier jour. » (n°252), il faut bien préciser qu’il ne s’agit pas de la même adoration, aussi vrai que nul ne va au Père que par Jésus (Jn 14.6), et que les musulmans ne prenant pas pour chemin Jésus, leur adoration ne va pas non plus au Père… Nous adorons ce que nous connaissons, eux adorent ce qu’ils ne connaissent pas (Jn 4.22), et c’est pourquoi, acceptant d’adorer celui qu’ils ne connaissent pas, ils adorent celui qui se cache dans les ténèbres, le Père du mensonge (Jn 8.44), le Prince de ce monde, assez orgueilleux et fou pour se présenter à eux comme l’unique et vrai Dieu (Mt 4.8-9).
Si Evangelii Gaudium s’adressait aux musulmans pour leur dire que « Les écrits sacrés de l’Islam gardent une partie des enseignements chrétiens ; Jésus Christ et Marie [y étant] objet de profonde vénération » (n°252), nous pourrions comprendre que vous entendez vous servir d’une apparente similitude entre nos traditions respectives comme d’une base commune possible à un dialogue souhaité. Mais du fait que vous vous adressez à des chrétiens, un tel rapprochement laisse entendre qu’il y aurait effectivement quelque chose de chrétien dans la « révélation » coranique… alors qu’il n’en est, bien évidemment, rien du tout ! Les personnages de « Issa » et de « Maryam » ne s’identifient absolument pas avec ceux de Jésus et de Marie, comme en témoignent les anachronismes et incohérences coraniques, mais servent de miroirs aux alouettes, d’attrape-nigauds, pour légitimer l’islam aux yeux des chrétiens[6], et les conduire ainsi à apostasier leur foi, celle-ci étant pour l’islam le seul péché à jamais impardonnable (Coran 4.48), qui réduit les chrétiens à n’être qu’impureté (Coran 9.28) en sorte qu’en les éliminant l’islam rend gloire à Allah (Coran 9.30).
Vous trouvez « admirable de voir que des jeunes et des anciens, des hommes et des femmes de l’Islam sont capables de consacrer du temps chaque jour à la prière, et de participer fidèlement à leurs rites religieux. En même temps, beaucoup d’entre eux ont la profonde conviction que leur vie, dans sa totalité, vient de Dieu et est pour lui. Ils reconnaissent aussi la nécessité de répondre à Dieu par un engagement éthique et d’agir avec miséricorde envers les plus pauvres. » (n°252), mais, outre que les pauvres dont vous parlez doivent nécessairement être musulmans, ces éléments positifs de piété et de religiosité relèvent du seul désir naturel de bien que Dieu a mis dans le cœur de tout homme et que l’islam exploite pour masquer sa fin essentielle qui est d’éloigner les âmes du salut donné seulement en et par Jésus (Jn 14.6). Si donc les pratiques de l’islam peuvent servir de support à la religiosité humaine, il faut aussi considérer qu’elles enferment l’individu dans une pensée farouchement antichristique, qui le damne (Mc 16.16). Comme l’enseignait saint Paul : « Ne prends pas, ne goûte pas, ne touche pas’, tout cela pour des choses vouées à périr par leur usage même ! Voilà bien des prescriptions et doctrines humaines ! Ces sortes de règles peuvent faire figure de sagesse par leur affectation de religiosité et d’humilité qui ne ménage pas le corps, en fait elles n’ont aucune valeur contre l’insolence de la chair. » (Col 2.21-23).
Très Saint-Père, en acceptant de jouer le rôle de faire valoir (Ga 1.4)[7] que l’islam attend de vous et de tous, pensez-vous vraiment aider les musulmans à prendre conscience qu’ils sont en train de se damner, ou bien pensez-vous qu’il soit indifférent pour leur salut d’être musulman ? En louant l’islam, ne craignez-vous pas de conforter les musulmans à rester musulmans et donc à se damner, mais encore, avez-vous pensé que vous détruisiez ainsi les défenses de ceux qui refusent de perdre leur salut éternel par l’accueil de l’islam (2 Co 6.14-18) et leur mise en esclavage par la charia ? En effet, si l’islam est pacifique, portant de bons fruits, il n’est donc pas un faux-prophète (Mt 7.18), et s’il n’est pas un faux-prophète il est un vrai prophète, et donc ce qu’il dit au sujet du christianisme est vrai : Jésus n’est pas mort et ressuscité, croire à la Trinité est une abomination, et il n’y a de salut que dans l’islam… Peut-on à la fois amasser avec le Christ et louer celui qui dissipe Son héritage (Mt 12.30) ?
« Méfiez-vous des faux prophètes, qui viennent à vous déguisés en brebis, mais au-dedans sont des loups rapaces. » (Mt 7.15). Que peut-il arriver au troupeau dont le berger traite avec le loup comme avec un de ses agneaux ? Il semble qu’en cette affaire il vous revienne de marcher derrière le troupeau, et non pas devant, comme vous en évoquez la possibilité dans cette même exhortation apostolique (n°31), et de laisser les brebis trouver seules leur chemin… tant il est vrai que les vraies brebis du Seigneur ne suivent pas la voix d’un étranger, mais le fuient au contraire (Jn 10.5)…
Au moment de conclure, considérant votre désir d’offrir à l’Église de profondes réformes, permettez à l’humble prêtre que je suis, étudiant depuis plusieurs années l’islam, de vous suggérer de renouveler de fond en comble l’équipe de vos conseillers en matière d’islamologie et de dialogue christiano-musulman.
Très Saint-Père, renouvelant l’engagement de ma fidélité à la Chaire de saint Pierre, dans la foi en son infaillible magistère, laquelle n’est pas engagée en dehors de ce qui concerne la Foi catholique et la vie morale, ayant le désir de voir tous les catholiques ébranlés dans leur foi par votre enseignement au sujet de l’islam, faire de même, je prie Notre Dame des Victoires de vous obtenir la force dont saint Paul a fait preuve face aux faux-frères désireux de réduire les chrétiens en servitude. Il refusa de reconnaître la bonté de leur doctrine « fût-ce un moment, fût-ce par déférence, afin de sauvegarder pour vous la vérité de l’Évangile » (Ga 2.4-5).

Abbé Guy Pagès

[1] « Selon le savoir, la compétence et le prestige dont ils jouissent, ils ont le droit et même parfois le devoir de donner aux Pasteurs sacrés leur opinion sur ce qui touche le bien de l'Église et de la faire connaître aux autres fidèles, restant sauves l'intégrité de la foi et des mœurs et la révérence due aux pasteurs, et en tenant compte de l'utilité commune et de la dignité des personnes. » (Can. 212 § 3).
[2] Enea Silvio Piccolomini, Lettre à Mahomet II, Payot & Rivages, 2002, p.48. « Entre nous et vous, c’est l’inimitié et la haine à jamais, jusqu’à ce que vous croyez en Allah, seul. » (Coran 60.4)
[3] La « subversion », en langage musulman, désigne tout ce qui n’est pas musulman.
[4] Nous pourrions citer encore tant d’autres déclarations du même genre, telle celle-ci de Mouammar Kadhafi, Président de la Lybie : « Sans épée, sans fusil, sans conquêtes, les 50 millions de musulmans en Europe la transformeront bientôt en continent musulman ! »(Le Figaro, 19/12/2006)
[5] Entretien télévisé avec Anne Sinclair le 16 mai 1993.
[6] Et aussi des musulmans.
[7] Pour le psychiatre P.-C. Racamier, le pervers narcissique se caractérise « par la capacité à se mettre à l'abri des conflits internes […] en se faisant valoir au détriment d'un objet manipulé comme un ustensile ou un faire-valoir » (Cortège conceptuel, Apsygée, 1993, p.52). Et de fait l’islam manipule le christianisme pour en faire si bien « un faire valoir » que Jésus serait le prophète de Mahomet (Coran 61.6) ! Cette haine du christianisme vient encore de s’exprimer par la demande de la Libye que l’Église Catholique quitte son territoire …
SOURCE : viens-seigneur-jesus.forumactif.com/…54-le-pape-francois-et-l-islam
Roger AUBERT

Becciu lance une action civile contre les médias diffamatoires

Tous frères ??? Mais pas les soeurs ???
Actions en justice pour obtenir réparation pour les Petites
Soeurs de Marie Mère du Rédempteur
6 JUIN 2019
Outre le communiqué des petites Soeurs de Marie annonçant leur dissolution, voici celui
du Comité de soutien aux Petites Soeurs de Marie.
DOULOUREUSE INJUSTICE DANS LE DIOCÈSE DE
LAVAL
Mgr Scherrer voulait la tête de la Supérieure Générale, c’est …Plus
Tous frères ??? Mais pas les soeurs ???

Actions en justice pour obtenir réparation pour les Petites
Soeurs de Marie Mère du Rédempteur
6 JUIN 2019
Outre le communiqué des petites Soeurs de Marie annonçant leur dissolution, voici celui
du Comité de soutien aux Petites Soeurs de Marie.
DOULOUREUSE INJUSTICE DANS LE DIOCÈSE DE
LAVAL
Mgr Scherrer voulait la tête de la Supérieure Générale, c’est toute une
Congrégation qui est détruite ! Les Petites Soeurs de Marie Mère du Rédempteur sont
relevées de leurs voeux et renvoyées à l’état laïc, sans ménagement, par les autorités
ecclésiastiques.
Cette décision injuste et violente cause de graves préjudices moraux et matériels aux
Petites Soeurs de Marie qui ont donné leur vie au service de l’Église, dans une parfaite
fidélité à leur vocation religieuse. De légitimes actions en justice vont être engagées
envers les responsables, quel que soit leur degré d’implication, pour obtenir réparation et
faire connaître toute la vérité sur cette affaire.
– – –
C’est avec autoritarisme et dans un contexte de harcèlement
moral, initié par l’évêque de Laval, Mgr Scherrer, que les autorités ecclésiastiques ont
préféré le renvoi à l’état laïc des Petites Soeurs de Marie Mère du Rédempteur, en date du
23 mai 2019, plutôt que d’opter pour une solution d’apaisement, maintes fois proposée
par les Petites Soeurs, mais jamais réellement envisagée par le Dicastère !
En effet, cette décision prise, sans écoute constructive ni respect du principe du
contradictoire, par Mgr Carballo, secrétaire de la Congrégation pour les instituts de vie
consacrée, a été mise en oeuvre par Sr Medevielle, Commissaire Apostolique, malgré les
nombreux éléments en faveur des Petites Soeurs et malgré les multiples propositions de
dialogue, tentées par ces dernières, pour sortir de ce conflit provoqué par les erreurs de
jugement de Mgr Scherrer. A aucun moment, ces propositions de dialogue, n’ont pu
trouver le moindre écho auprès du Dicastère, campé dans ce qui apparaît comme une
posture d’intimidation envers les Petites Soeurs, en les appelant à l’obéissance et à revoir
la façon de vivre leur charisme et en leur brandissant seulement le danger qu’elles
courraient à se comporter ainsi, à savoir la perte de la communion à l’Église. C’est dans
ce contexte, contraintes et forcées moralement, qu’elles se sont trouvées acculées au mois
d’octobre dernier à demander, sous la pression subie et dans l’espoir de ne pas être
considérées comme schismatiques, à être relevées de leurs voeux : c’est dire à quel
sacrifice elles ont consenti pour préserver cette communion, ne cessant malgré tout,
d’espérer une issue paisible, dans un dialogue toujours souhaité par elles.
Les personnes en charge de cette affaire, ainsi que toutes celles ayant apporté leur
contribution, portent une très lourde responsabilité dans cette issue tragique et absurde
pour les Petites Soeurs de Marie. Parmi ces personnes, nous déplorons la connivence de
fait, des Frères de la Cotellerie avec Mgr Scherrer, dès l’origine de ce conflit.
Quant à nous, nous resterons fidèlement aux côtés des Petites Soeurs de Marie dans cette
épreuve douloureuse, pour les aider à obtenir justice et réparation et pour les soutenir
dans leur fidélité selon leur conscience au coeur du Charisme de Mère Marie de la Croix,
leur fondatrice.
Nous invitons toutes celles et tous ceux qui partagent notre indignation et le même
désir de venir en aide aux Petites Soeurs de Marie, à nous rejoindre.
Soyez-en toutes et tous vivement remerciés !
Le Comité de Soutien aux Petites Soeurs de Marie.
– – –
=> Adresser un message de soutien aux Petites Soeurs
Proverbes 17.17 : « L'ami aime en tout temps, et dans le malheur il se montre un frère.
»
Registre des messages de soutien aux Petites Soeurs de
Marie du Rédempteur
Quelques-uns des très nombreux messages de soutien
07/06/2019
" Mes chères Soeurs. Trouvant votre mail aujourd'hui.... je suis complètement révoltée, abasourdie, par ce
que j'y lis ! Relevées de vos voeux ???? … C'est proprement scandaleux, impensable, "le monde à l'envers" !
....… Comment un non sens pareil est-il possible ???? Notre monde va donc aussi mal que cela ?! Nous le
savions bien avec toutes les manigances politiques actuels et de tout bord. Mais là, même les personnes
d’Église sont sur la mauvaise pente en osant vous mener à des évènements aussi extrêmes que celui là ; c'est
affolant ! .… Je prie pour chacune de vous et demande au Ciel de se réveiller pour nous aider tous… De
tout coeur avec chacune de vous."
07/06/2019
" Bienheureux ceux qui sont persécutés pour la justice. On vous exclura des synagogues, et même l'heure
vient où tous ceux qui vous feront mourir croiront offrir un culte à Dieu Courage, nous prions pour vous "
07/06/2019
" Chères Mères, Chères Soeurs, J'ai été informé avec beaucoup de tristesse de la navrante conclusion du
conflit qui vous opposait avec le diocèse de Laval. J'ai eu l'occasion de venir à St Aignan sur Roë avec ma
mère et un de mes fils qui a eu la chance à l'époque de rencontrer Mère Marie de la Croix. Le nom de votre
ancienne supérieure, âme privilégiée, me donne à penser que Notre-Seigneur Lui-même a porté sa Croix et
qu'il nous propose à nous aussi de la porter chaque jour. Le Saint Curé d'Ars disait que l'aimer la rend plus
douce. Je vois bien que la résignation qui est la vôtre est le signe certain de votre amour pour Elle. Merci de
l'exemple que vous nous donnez. "
05/06/2019
" Nous encourageons les chères soeurs à garder précieusement leur vie religieuse, en habit, malgré les
persécutions, et nous prions pour elles le Saint-Esprit pour qu'il leur donne sagesse et force. Les frères
dominicains de ... "
05/06/2019
" Mes chères Soeurs, Je suis scandalisée, c'est une véritable honte. Je souhaite que l'Esprit Saint de la
Pentecôte éclaire Rome et que le Pape revienne sur sa décision. En ces temps difficiles pour les Chrétiens
Catholiques du monde entier nous avons besoin que des congrégations comme les vôtres vivent et soient
reconnues dans l’Église. Je suis bien triste pour votre Congrégation qui n'a pas été entendue et soutenue.
Toutes mes prières vous accompagnent. "
07/06/2019
Retour à la case départ : de même que ce sont les autorités religieuses qui ont
condamné Jésus à mort, aujourd’hui, c’est non seulement les « Soeurs de Marie, Mère
du Rédempteur qui sont condamnées par la hiérarchie conciliaire, déviante,
orgueilleuse et bornée. Les cellules malades attaquent les cellules saines comme dans
le cancer, depuis Vatican II, donc tous les chrétiens attachés à la Tradition. Les
Franciscains et Franciscaines de l’Immaculée ont subi ces mêmes assauts injustes et
destructeurs de la part du « pape » hérétique et faux prophète de l’Apocalypse dont il
est dit, qu’avec l’Antéchrist dont il met le tapis rouge, ils seront jetés dans l’étang de
feu. Ap XX. Il ne supporte pas cet habit, cette protection et dévotion à Marie… Quand
on incendie Notre-Dame, être surpris est presque étonnant , c’est ignorer candidement
mille faits dont une abondante bibliographie fait pourtant état. Relevons la tête, notre
délivrance est proche, et louons Dieu pour sa patience, sa miséricorde… qui nous a
averti surtout pour aujourd’hui, de nous méfier du levain des pharisiens… Mt XVI 6
Roger AUBERT

Un néocardinal sur le choix de la prêtrise : "Par l'Enfer, non !"

Scandales sexuels : le pape est-il complice ?
Je suis très peiné de constater l'affreuse situation dans laquelle se trouve l'Eglise Catholique à cause des prises de décisions du Faux prophète François. Pourquoi les Evêques Français ne suivent-ils pas l'exemple donné par Mgr Schneider ? Jean-Pierre
Une sale affaire qui trouble de plus en plus de Catholiques, perturbés par des scandales qui …Plus
Scandales sexuels : le pape est-il complice ?
Je suis très peiné de constater l'affreuse situation dans laquelle se trouve l'Eglise Catholique à cause des prises de décisions du Faux prophète François. Pourquoi les Evêques Français ne suivent-ils pas l'exemple donné par Mgr Schneider ? Jean-Pierre
Une sale affaire qui trouble de plus en plus de Catholiques, perturbés par des scandales qui s'accumulent dans l'Église de Rome... et ailleurs.
Posted by Jean-Pierre Dickès on 30 août 2018 in Religion Catholique
Le pape a balayé d’un revers de manche le texte de Mgr Vigano et a déclaré n’avoir pas l’intention d’y répondre alors qu’il y est mis personnellement en cause. « Je ne dirai pas un mot là-dessus ! ». Il savait tout et n’a rien fait contre les abus sexuels.
Le 27 août, Laura Ingraham, très populaire animatrice de télévision, a publié sur Twitter un message disant que les remarques du pape François en Irlande sur les abus sexuels commis par des clercs étaient insuffisantes. « Trop peu, trop tard pour le pape François en Irlande » « Je me range avec l’archevêque Carlo Vigano. Il est temps que les laïcs demandent un nouveau berger ». C’est aussi l’avis de Mgr Schneider, un des rares évêques à défendre la doctrine de l’Église. « Totalement insuffisantes sont les demandes de pardon stéréotypées de la part des autorités de l’Église ». Le grand hebdomadaire Catholic Herald titrait le 21 août « La lettre du pape François sur les abus ne suffit pas, nous avons besoin d’action ». Mais il y a aussi Mgr Salvatore Cordileone archevêque de San Francisco qui dénonce « une culture d’obstruction et du déni ». Il en est de même du cardinal DiNardo, président de la Conférence des évêques des États-Unis et un groupe de ses collègues demandent une enquête sérieuse : « la purification est toujours douloureuse ».
Le principal « nœuds de vipères » de ces turpitudes se trouve en l’État de Pensylvanie aux USA. Le procureur de celui-ci, Josh Shapiro était au courant de ces faits délictueux liés à McCarrick et n’a rien dit au grand public mais a envoyé des notes à Rome ; on ne sait pas où elles sont passées...
Enfin on vient d’apprendre que le cardinal Müller, qui dirigeait la Congrégation pour la doctrine de la foi a été brutalement démis de ses fonctions pour deux raisons ; d’abord parce qu’il s’est opposé à la réhabilitation par le pape d’un prêtre du nom de Mauro Inzoli , notoirement pédophile car condamné à quatre ans et neuf mois de prison pour agressions sexuelles sur mineurs (une centaine). La seconde raison est que François voulait donner un appartement à l’ignoble Mgr Capozzi , secrétaire de Coccopalmério, un drôle de coco aussi qui, en 2014, avait parlé des «éléments positifs» des relations homosexuelles. Capozzi est celui qui avait organisé dans le bâtiment de gauche accolé à la basilique Saint Pierre de Rome, une orgie homosexuelle de drogués ; lui-même était « shooté » et dans un état tel que la police l’avait fait hospitaliser. Il paraît que le pape en a été mécontent, donc au courant de cette affaire. Donner à Capozzi un appartement au Vatican à un adjoint de Müller montre la duplicité et la complicité du pape avec les homosexuels. Nous avons donné au fil du temps d’autres exemples. Bref, il était reproché à Müller de s’être opposé au pape en plusieurs circonstances.
Il n’y aura guère de réponse de François au texte de Vigano pour une raison simple ; le pape a consciemment mis en place au Vatican à de nombreuses fonctions des homosexuels notoires comme
Paglia ou Cocopalmerio dénoncés par Mgr Vigano et ayant reçu entre autres tous les deux le chapeau de cardinal. Ceux-ci feront barrage à Vigano. Il en est de même de gens comme le cardinal Wuerl archevêque de Washington ou du cardinal Barbarin, primat des Gaules qui ont couvert des abus sexuels. Mais Mgr Vigano révèle qu’un certain nombre de hauts dignitaires de grosse pointure et connaissant ces faits n’ont pas réagi.
Cacher des affaires de cette nature, c’est en être complice.
Que fera le pape ? Sans doute rien : « je ne dirai pas un mot là-dessus » a-t-il déclaré après le texte Vigano.
En 2013, le père Oko, un prêtre polonais, avait dénoncé en vain, après de très longues enquêtes, ce véritable cheval de Troie qu’étaient les réseaux homosexuels parmi les prêtres et séminaristes : une maffia clandestine profitant des structures. Si Benoît XVI a réagi, François sera aussi silencieux que lorsque de tous côtés, lui était demandé des explications sur Amoris Laetitiae.
Jean-Pierre Dickès
Roger AUBERT

Un prêtre de la FSSPX amené à la police pour avoir célébré une messe

QUELQUES DÉCLARATIONS DOUTEUSES DU PAPE FRANÇOIS QUI DÉMONTRENT SON FAUX-PROPHÉTISME !
Jeu 13 Nov 2014 Des façons de parler et de voir les choses vraiment inhabituelles et pour le moins ambigües voire peu ou pas catholiques…
Notre collaborateur argentin, Alejandro, nous a fait parvenir quelques déclarations officielles du Pape François qui restent non seulement douteuses, mais qui démontent son …Plus
QUELQUES DÉCLARATIONS DOUTEUSES DU PAPE FRANÇOIS QUI DÉMONTRENT SON FAUX-PROPHÉTISME !
Jeu 13 Nov 2014 Des façons de parler et de voir les choses vraiment inhabituelles et pour le moins ambigües voire peu ou pas catholiques…

Notre collaborateur argentin, Alejandro, nous a fait parvenir quelques déclarations officielles du Pape François qui restent non seulement douteuses, mais qui démontent son faux-prophétisme !

Voici seulement quelques exemples, parmi une très longue liste qui s'allonge de jour en jour, de déclarations dont on a du mal à concevoir qu'elles puissent sortir de la bouche du Successeur de Saint-Pierre:

« Vivre et laisser vivre est le premier pas vers la paix et le bonheur. » la-croix.com/…tre-heureux-2014-07-28-1184961

« La culture du dialogue est le seul chemin vers la paix. » zenit.org/fr/articles/le-cri-de-la-paix

« Le dimanche, c’est pour la famille. » la-croix.com/…tre-heureux-2014-07-28-1184961

« L’inégalité est la cause des maux sociaux. » twitter.com/…x_fr/status/460697074573385728 -

« Ah ! Comme je voudrais une Eglise pauvre, et pour les pauvres ! » lavie.fr/…pauvre-16-03-2013-37849_16.php

« L’Ancienne Alliance n’a jamais été révoquée. » (Exhortation apostolique Evangelii Gaudium, § 247 : vatican.va/…0131124_evangelii-gaudium.html)

« Jésus est venu au monde pour apprendre à être homme, et en étant homme, à marcher avec les hommes. » archivioradiovaticana.va/…ons_aller_de_lavant/fr-1106550

« Que le sang versé devienne semence d’espérance pour construire l’authentique fraternité entre les peuples. » (Faisant allusion à trois religieuses italiennes décapitées en Afrique : vaticannews.va/en.html)

« La foi que vos parents vous ont inculquée vous aidera toujours à avancer. » (S’adressant à des immigrés musulmans dans une paroisse romaine: romereports.com/…-in-you-will-help-you-move-on/ - laportelatine.org/…ans_a_lire_le_coran_140120.php)

« Tu as les mains collées? » (S’adressant à un enfant de cœur qui se tenait pieusement devant lui) callmejorgebergoglio.blogspot.com/…/francis-joking-modernist.html

« Si un enfant reçoit son éducation des catholiques, protestants, orthodoxes ou juifs, cela ne m’intéresse pas. Ce qui m’intéresse, c’est qu’ils l’éduquent et qu’ils lui donnent à manger. » tradiciondigital.es/…sino-que-les-quiten-el-hambre/ - novusordowatch.org/…/09/francis-not-care-religion/

« Certains disent que le péché est une offense à Dieu. » vatican.va/…20130529_udienza-generale.html

« Celui qui ne pèche pas n’est pas homme. » viereligieuse.fr/IMG/pdf/Reveillez_le_monde.pdf

« De quoi peut se vanter un chrétien? De deux choses: de ses péchés et du Christ crucifié. » vaticannews.va/en.html

« Les plus grands maux qui affligent le monde sont le chômage des jeunes et la solitude dans laquelle sont laissées les personnes âgées. » la-croix.com/…non-croyant-2013-10-01-1030416

« Je vous encourage à continuer à travailler afin de créer ce village humain, de plus en plus humain, qui puisse offrir aux enfants un présent de paix et un avenir d’espérance. » ncsanjuanbautista.com.ar/…izacion-sin-dios-la-nueva.html

« Il y a certains qui sont plus papistes que le pape : allez dans une autre paroisse et confessez-vous, il n’y a aucun problème. » fait-religieux.com/…du-pape-francois-tres-commente - infobae.com/…vorciado-autorizarla-comulgar/ /

« La religion a le droit d’exprimer son opinion au service des personnes mais Dieu dans la création nous a rendu libres : l’ingérence spirituelle dans la vie des personnes n’est pas possible. » (Cf. p 16: newsletter.revue-etudes.com/TU_Septembre_2013/TU10-13.pdf )

« Dialoguer signifie être convaincu que l'autre a quelque chose de bon à dire, faire de la place à son point de vue, à ses propositions. Dialoguer ne signifie pas renoncer à ses propres idées et traditions, mais à la prétention qu’elles soient uniques et absolues. » (Cf. § 9 : vatican.va/…gio-comunicazioni-sociali.html)

« Il ne faut pas penser que l’annonce évangélique doive se transmettre toujours par des formules déterminées et figées, ou avec des paroles précises qui expriment un contenu absolument invariable. » (Exhortation apostolique Evangelii Gaudium, §129 : vatican.va/…0131124_evangelii-gaudium.html)

« Notre objectif n'est pas le prosélytisme mais l'écoute des besoins, des vœux, des illusions perdues, du désespoir, de l'espérance. Nous devons rendre espoir aux jeunes, aider les vieux, nous tourner vers l'avenir, répandre l'amour. Pauvres parmi les pauvres. Nous devons ouvrir la porte aux exclus et prêcher la paix. » repubblica.it/…je_changerai_l_glise-67693549/

« Un jour quelqu’un m’a demandé d’une manière provocatrice si j’approuvais l’homosexualité. Je lui ai alors répondu avec une autre question : “Dis-moi : Dieu, quand il regarde une personne homosexuelle, en approuve-t-il l’existence avec affection ou la repousse-t-il en la condamnant ?”» (Cf. p. 16: newsletter.revueetudes.com/TU_Septembre_2013/TU10-13.pdf )

« Je crois en Dieu. Pas dans un Dieu catholique, car il n'existe pas de Dieu catholique, il existe un Dieu. Et je crois en Jésus Christ, son incarnation. Jésus est mon maître et mon pasteur, mais Dieu, le Père, Abba, est la lumière et le Créateur. Tel est mon Être. » repubblica.it/…je_changerai_l_glise-67693549/

« Bien sûr, dans ce chercher et trouver Dieu en toutes choses, il reste toujours une zone d’incertitude. Elle doit exister. Si quelqu’un dit qu’il a rencontré Dieu avec une totale certitude et qu’il n’y a aucune marge d’incertitude, c’est que quelque chose ne va pas. C’est pour moi une clé importante. Si quelqu’un a la réponse à toutes les questions, c’est la preuve que Dieu n’est pas avec lui, que c’est un faux prophète qui utilise la religion à son profit. »

Non François, c’est toi le faux prophète, et non pas les vrais chrétiens qui croyons en la divinité de Notre-Seigneur Jésus-Christ avec une « totale certitude » et sans laisser « aucune marge d’incertitude », comme tu le prétends faussement, d’une manière tout à fait insensée, impie et parfaitement blasphématoire…) (Cf. newsletter.revue-etudes.com/TU_Septembre_2013/TU10-13.pdf , p. 21)
Roger AUBERT

Les étranges mentions "J'aime" du compte Instagram de François

Mgr Viganò : Le Vatican est infiltré par les « francs-maçons » – Religion Mondiale
par Les coeurs unis Magazine
Une « tentative satanico-maçonnique » de protestantiser le catholicisme, « le réduisant à l’une des nombreuses religions qui font partie d’une seule religion mondiale », produit le suicide des Eglises, a déclaré l’archevêque Viganò à LifeSiteNews.com (2 juin).
Pour Viganó, cette …Plus
Mgr Viganò : Le Vatican est infiltré par les « francs-maçons » – Religion Mondiale
par Les coeurs unis Magazine

Une « tentative satanico-maçonnique » de protestantiser le catholicisme, « le réduisant à l’une des nombreuses religions qui font partie d’une seule religion mondiale », produit le suicide des Eglises, a déclaré l’archevêque Viganò à LifeSiteNews.com (2 juin).
Pour Viganó, cette « pieuvre maçonnique » qui serre l’Église dans ses tentacules, n’est « ni une rumeur ni un secret ». Elle s’est armée à l’intérieur du Vatican « d’une patience diabolique » et a attendu « d’atteindre les leviers du pouvoir et du commandement ».
Cependant, la liturgie, le dogme et la morale n’ont pas été détruits par certains francs-maçons cachés, mais principalement par des papes, des cardinaux, des évêques, des prêtres et des religieuses (qui ne pouvaient pas devenir « francs-maçons »), qui ont tous agi ouvertement, alors que presque tous les fidèles applaudissaient frénétiquement leur travail de destruction.
Accuser des « francs-maçons » choisis au hasard ne fait que détourner l’attention des vrais coupables.
Viganò : Le Vatican est infiltré par les "francs-maçons"
Roger AUBERT

Le transfert des fonds du Secrétariat d'État n'était-il qu'un écran de fumée ?

Le diable et le Vatican
Copie du texte de la vidéo
C'est Constantin qui a imaginé les églises comme des bâtiments immenses dont l'aspect devait témoigner de la gloire de Dieu tandis que Jésus-Christ n’était plus au cœur de l'adoration des fidèles.
A sa retraite, Constantin a établi l'évêque de Rome PAPE et lui a donné le titre de « Sumo Maximus Pontifix ».
En 330, il est allé vivre en Turquie …Plus
Le diable et le Vatican

Copie du texte de la vidéo
C'est Constantin qui a imaginé les églises comme des bâtiments immenses dont l'aspect devait témoigner de la gloire de Dieu tandis que Jésus-Christ n’était plus au cœur de l'adoration des fidèles.
A sa retraite, Constantin a établi l'évêque de Rome PAPE et lui a donné le titre de « Sumo Maximus Pontifix ».
En 330, il est allé vivre en Turquie, a rajeuni la ville de Byzance et l'a appelée Constantinople.
E n 1204, le pape Innocent III a organisé la 4ème croisade et a attaqué Constantinople.
Constantin est demeuré fidèle au système catholique romain, lequel repose sur les 7 collines de Rome, selon la prophétie de l'Apocalypse 17:9.
Plus tard, il s'est produit une division au sein de l'institution catholique romaine entre Rome à l'ouest et Constantinople à l'Est. Constantinople est devenue la tête de l’Église orthodoxe et ces deux Églises sont devenues ennemies.
Les Croisés ont massacré la ville et ses habitants et ils ont tout pillé sur leur passage... mais au lieu de se soumettre au pape, les survivants orthodoxes l'ont maudit et se sont davantage éloignés de lui.
Les églises orthodoxes russes de l'Est en sont venues, avec le temps, à tomber sous la protection des Tsars de Russie.
L'institution catholique romaine s'est alors dit que si le Tsar de l’Église orthodoxe refusait de se soumettre au Vatican, il ne restait plus qu'à les détruire.
D'un autre côté, l’Église catholique a aussi activement participé au pillage de l'Afrique.
Le 8 janvier 1454, l’Église catholique et le pape Nicolas V bénissent la traite négrière.
A partir du moment où il y a l'intention de détruire, l’Église doit se trouver une caution morale. Cela a été la bulle papale de Nicolas V : « Nous avions jadis par de précédentes lettres, concédé au roi Alphonse, entre autres choses, la faculté pleine et entière d'attaquer, de conquérir, de vaincre, de réduire et de soumettre tous les nègres et de réduire leurs personnes en servitude perpétuelle. »
Il est avantageux pour certaines personnes de ne pas voir l'Afrique s'unir et se développer. Ils sont venus dans le berceau de l'humanité avec une interprétation propre à eux des saintes Écritures, puis l'ont mise en application.
Ils ont falsifié l'histoire du continent noir, se sont partagés l'Afrique en causant la division et le désordre.
Ce qui se passe en Afrique n'est qu'un système diabolique mis en place depuis des décennies mais qui arrive bientôt à son terme car les projets de Dieu pour l'Afrique sont tout autres et il y a un temps pour toute chose sous le soleil.
Tout ceci est un large dossier qui sera révélé et développé dans de plus amples détails dans un livre choc qui paraîtra très bientôt.
En 1491, les papes dirigeaient les rois d'Europe depuis des siècles, mais les temps devenaient sombres. Les choses tournaient mal pour la papauté car les bruits du protestantisme commençaient à se faire entendre.
C'est vers cette époque qu'en Espagne, un garçon est né au château de Loyola situé dans la province de Guipuzcoa.
Il a fondé la « Société de Jésus » : l'ordre des Jésuites, et a créé entre autres, les « Illuminés » : les Alumbrados.
Il est devenu le premier général des Jésuites. On l'a canonisé en 1622 pour avoir su renforcer l'institution catholique romaine.
Ignace de Loyola était un génie . Il a bâti une armée de prêtres voués à faire respecter la discipline de l'Ordre.
Ces prêtres sont bientôt devenus la force religieuse la plus redoutée de l'histoire et ils constituaient les forces spéciales du Vatican.
Leur travail est de s 'assurer que tous les humains fléchissent le genou devant le pape, qu'ils confessent qu'il est l'incarnation terrestre de Jésus-Christ et se soumettent entièrement à son autorité.
Le général des Jésuites est connu sous le nom de « Pape noir ». C'est lui qui dirige jusqu'à aujourd'hui, le Vatican dans l'ombre... et Satan est là pour le guider.

Satan est là pour guider le pape noir, le général des Jésuites. Les Jésuites ne peuvent selon les règles de leur ordre, accéder au pontificat. Cependant, le « Pape François » est Jésuite. C'est donc un aboutissement de la subversion de l’Église au sommet. NDLR
Pour la plupart, les livres décrivant l'histoire sanglante des Jésuites ont disparu, ont été détruits ou bien épuisés.
La situation est semblable pour les ex-prêtres Jésuites. S'ils n'ont pas disparus, ils se cachent ou bien ils sont morts. Les Jésuites sont encore à l’œuvre de nos jours.
Les héros communistes tels que Marx et Engels qui ont écrit le manifeste communiste dans les années 1800, ont agi sous la direction des prêtres jésuites.
De la même façon que le livre « Mein Kampf » qu'on attribue à Hitler, a été écrit par un prêtre jésuite pour qu'il prenne le pouvoir en Allemagne.
Les Jésuites ont aussi travaillé en étroite collaboration avec des hommes comme Trotsky, Lénine et Staline...
Selon le cardinal Augustin Béa, les Jésuites auraient inventé le communisme pour un seul but : au temps propice, les communistes détruiraient le Tsar de Russie, le protecteur de l’Église orthodoxe russe ennemi du Vatican.
C’était pour les Jésuites, une question de vengeance. Les communistes furent financés par des agents du Vatican (les Illuminés) dans le but de créer une autre puissance majeure qui serait loyale à Rome.
Avant la première guerre mondiale, un imposant groupe de Juifs fortunés tenta de reprendre possession de Jérusalem. Ceci déclencha la colère de Rome car les Juifs bloquaient de nouveau les efforts dissimulés du Vatican.
Ces Juifs qui s'opposèrent à l'institution catholique romaine, payèrent cher leur entêtement. Les Jésuites ont demandé à certains Juifs « loyaux au pape » de rédiger un document appelé les « Protocoles de Sion ».
Ce document rendit les européens furieux. Ce document allait paver la voie de la prochaine inquisition, même si cela coûterait aussi la vie à des millions de catholiques romains.
Au début des années 1900, la France a conclu une entente politique avec nul autre que le Tsar de Russie, au très vif déplaisir du Vatican qui était furieux.
La France fut sur la liste noire du Vatican depuis le jour où elle avait rejeté sa royauté catholique romaine pour devenir une république. Cet accord avec le Tsar allait faire déborder le vase.
Pendant ce temps, l'influence de l’Église orthodoxe se répandait jusqu'en Bulgarie, en Roumanie, en Grèce, en Turquie occidentale et en Yougoslavie serbe.
Le Vatican devait faire plier la France et mettre fin à la concurrence religieuse qui existait dans les états balkaniques. La solution était simple : les Jésuites allaient déclencher la première guerre mondiale.
Le pape appuyait l'Allemagne. Lorsque l'empereur (catholique romain loyal) a demandé au Vatican s'il pouvait élargir les frontière de l'Allemagne, le pape Pie X et les Jésuites lui ont donné leur bénédiction.
Pie X est mort le 20 août 1914 ( mort due au chagrin du déclenchement de cette guerre . Là, comme en d'autres circonstances, il ne faut pas faire d'amalgame entre les actions sournoises occultes sous couvert de bonnes intentions et les intentions vraies d'un saint pape comme Pie X, victime de ces manipulations. L'ivraie est inextricablement mêlé, et cela d'une manière générale, au bon grain NDLR) juste après le début de la guerre, faisant place au parrain suivant. Benoît XV a remplacé Pie X au Vatican. Lui (aussi) était ami de l'Allemagne.
Par l'entremise des Jésuites et par amalgame, apparemment, du pape, Satan a fait en sorte que des catholiques romains français soient tués par des catholiques romains allemands. Ce qui donne à penser à l'auteur de cette vidéo que le pape ne se souciait guère du nombre de morts chez les catholiques romains.
Seule, la vengeance et le pouvoir comptait... pour ce qui concerne l'ivraie comme dit plus haut.
L'Allemagne combattait à la fois contre la France, l'Angleterre et la Russie, puis, les États-Unis se sont joints au conflit. La guerre a duré 4 longues années.
L'Europe était ruinée et au moyen du « Vatican » Satan a envoyé des millions de gens en enfer.
Et pendant que les humains criaient de douleur, chose inconnue du peuple allemand, les Jésuites avaient déjà sacrifié l'Allemagne catholique, l'empereur et son gouvernement pour une nouvelle inquisition.
Les Jésuites s'occupaient à préparer la seconde guerre mondiale.

La tiare du pape représente 3 couronnes. Le pape est roi 3 fois : pouvoir politique, religieux et monétaire. Paul VI était grand maître supérieur de la franc-maçonnerie mondiale.
Il y a 2 pyramides. La pyramide européenne et la pyramide nord-américaine. Le grand-maître de la pyramide européenne et de la pyramide nord-américaine sont du 38 ème degré, mais le dernier chef suprême qui a été connu, était Paul VI. Paul VI a donné sa couronne quand il est allé aux Nations-Unies. Lorsque les chrétiens ont découvert le secret de Paul VI sur sa couronne, ils ont fait disparaître la tiare. Elle n'existe plus maintenant.
La banque du Vatican place son argent dans le monde entier. Quand Léon XIII est décédé, il avait fait un pacte avec la banque, la société juive internationale section italienne de l'Italie. Mais la banque du Vatican avait fait faillite.
Le pape Léon XIII a rencontré les chefs de la banque juive mondiale. Les Juifs ont consenti à prêter un certain montant d'argent à condition qu'à telle date en 1939, le Vatican remette à la banque juive, l'argent qui avait été prêté.
Il était question de milliards là-dedans. Mais l’Église catholique de Rome n'a pas été capable d'honorer son contrat. Alors, les Juifs ont menacé de se saisir de la banque du Vatican.
Léon XIII est mort. Le secrétaire d'état au Vatican qui était élu pape, a fait venir Von Papen qui a contacté Hitler et qui lui a dit : « Il faut massacrer les Juifs, car c'est eux qui ont crucifié le Seigneur.

Ça prouve que l’Église catholique ne connaît pas la parole de Dieu (disons plutôt, comme en de maintes citations ou interprétations, l'ivraie qui interfère en son antre) ! Ce ne sont pas les Juifs qui ont crucifié le Seigneur, ce sont nos péchés.
Alors Hitler s'est embarqué dans une guerre contre le pouvoir juif, celui de l'argent. C'était une guerre faite pour l'argent et ça venait du Vatican (en connivence somme toute avec Wall Street qui a financé le nazisme).
Les directeurs de banque qui se font assassiner ce n'est qu'une chose normale ça. Si tu ne veux pas marcher selon la ligne de conduite, on t'élimine. On a déjà fait sauter ma voiture et on a mis le feu à ma maison …
J'étais pas directeur de la banque, j'étais responsable Directeur du St_Office : bureau qui dirige tout au Vatican. Quand j'ai commencé à révéler certaines affaires sur internet, j'ai eu des menaces.
Ils n'aiment pas tout ce que je fais là. A partir du 39ème degré, tu ne trouveras pas d'écrivain nulle part parce qu'il n'y en a pas. Ils n'ont pas le droit d'écrire.
Seulement, des anciens membres, il y en a beaucoup qui l'ont fait, mais ils n'ont jamais eu la chance de le faire comme moi je l'ai fait, parce que, il y a 25 ans, il n'était pas question d'internet où on peut en parler.
C'est ce qui fait leur puissance : LE SECRET. Aujourd'hui, avec internet, on peut parler de beaucoup de choses. Le Seigneur a dit que tout ce qui est secret doit être dévoilé à la surface du monde.
Tous les grands politiciens comme Fidel Castro ont tous été formés par les Jésuites. Ce sont eux qui contrôlent le monde financier, politique et religieux.
Le sermon d'allégeance à la franc-maçonnerie comprends 47 à 48 pages. En résumé, tu renonces à ta personne, à ta foi, à un Dieu dominateur. Tu t'abandonnes complètement à la société mondiale des frères maçons.
Il y a beaucoup de choses invraisemblables dans ce sermon. Toutes les sociétés secrètes viennent de la franc-maçonnerie.
Pour avoir un gouvernement mondial, il faut contrôler tout. Ils ont l'Europe. Ils vont faire le gouvernement nord-américain et ensuite, ils vont unir les deux. Mais qu'est-ce qui va les réunir en un seul ? … Mes amis, le Christ est proche !
Actuellement, on a un Antichrist spirituel. Sur la tiare de Paul VI qui était exposée derrière un miroir aux Nations unies, on pouvait lire :

Voilà pourquoi on n'a pas détruit la tiare. Le pape est le vicaire du Fils de Dieu. En latin, ça se prononce autrement.
Ce pape est la seule personne au monde qui ne devrait pas avoir de salut parce qu'il renonce au Saint-Esprit qui devrait, rien que par ce blasphème, l'avoir abandonné.
Moi, je suis enfant de Dieu, mais je ne suis pas son Fils. Pécher contre le Saint-Esprit c'est grave !... Alors, celui qui se dit Fils de Dieu, il est quoi, d'après vous ?
A qui appartient ce monde ? … Le pape (actuel) est considéré comme l'Antichrist spirituel s'il prend la place de Dieu sur la terre. (On comprend mieux pourquoi l'agenouillement devant le Saint-Sacrement pour le « pape » François paraît lui être impossible) .
Roger AUBERT

Radio Maria : le covid-19 est une conspiration pour créer "le monde de Satan"

Décryptage – Pape François –
« Prends le risque si tu trompes, il y a le confesseur »

1 juillet 2016
« Je crois que nous avons peur de la liberté, dans la pastorale également », diagnostique le pape François en réponse à une question de son diocèse sur le mariage et la famille. Le pape est intervenu lors de l’ouverture du Congrès ecclésial de son diocèse de Rome, dans la basilique Saint-Jean …Plus
Décryptage – Pape François –
« Prends le risque si tu trompes, il y a le confesseur »


1 juillet 2016

« Je crois que nous avons peur de la liberté, dans la pastorale également », diagnostique le pape François en réponse à une question de son diocèse sur le mariage et la famille. Le pape est intervenu lors de l’ouverture du Congrès ecclésial de son diocèse de Rome, dans la basilique Saint-Jean-du-Latran, jeudi 16 juin 2016.
Le thème de cette année était « ‘La joie de l’amour’ : le chemin des familles à Rome, à la lumière de l’exhortation apostolique Amoris laetitia, du pape François ».
Après le mot d’accueil du cardinal vicaire Agostino Vallini, et la prière d’introduction, le pape François s’est adressé aux familles, aux catéchistes, aux prêtres et aux agents pastoraux dans un discours dont nous avons publié notre traduction.
« Mais que dira-t-on si je fais cela ?…Et peut-on le faire ?… ». Et on a peur. Mais tu as peur : prends le risque ! Dès lors que tu es là, et que tu dois décider, prends le risque ! Si tu commets une erreur, il existe le confesseur, il existe l’évêque, mais prends le risque ! C’est comme le pharisien : la pastorale des mains propres, tout propre, tout en ordre, tout beau. Mais en dehors de ce milieu, combien de misère, combien de douleur, combien de pauvreté, combien de manque d’opportunité de développement ! C’est un individualisme égoïste, c’est un individualisme qui a peur de la liberté. C’est un individualisme — je ne sais pas si la grammaire me le permet — je dirais « encageante » : il te met en cage, il ne te laisse pas voler en liberté », a notamment expliqué le pape.
Source Zenith.
Nécessité de correction des propos du pape
Ce qui est fréquent et terriblement inquiétant.
Le pape, qui aime les formules, prend parfois le risque de porter la confusion dans les lectures rapides que nous pouvons en faire. Aussi à la lumière de l’enseignement de l’Eglise ou des autres propos du pape, il convient de se poser la question du risque.
Le risque n’est pas à comprendre de façon inconséquente. La raison et la prudence font chacun partie du risque. Dans une décision, la part du risque, de vrai risque, est celle laissée, à l’inconnu et par dessus tout à la Providence, non au hasard ou au risque d’erreur, sorte de pourcentage mathématique. Quant à la confession, il ne s’agit pas d’en faire une gomme a effacer, un « game over » du jeu vidéo que serait la vraie vie.
De deux choses l’une, ou nous pensons que nous pouvons commettre un péché (et l’erreur n’est pas nécessairement un péché) et dans ce cas, risque ou pas, il n’y a pas à poser l’acte. Ou nous ne pensons pas pêcher et dans ce cas il ne convient pas de lier erreur et pêcher de cette façon. Le lien est ailleurs.
Si a posteriori il y a eu erreur et que cette erreur porte une part ou une totalité de péché, alors il y a matière à se confesser, en dosant, en outre la part de responsabilité, notamment en cas d’ignorance invincible ayant conduit à l’erreur.
Bref, ramener l’erreur au péché est un raccourci rapide, qui a au moins le mérite de ne pas esquiver la possibilité du péché. Ce dont on ne peut accuser le pape qui y revient souvent. Néanmoins, discerner l’action à poser suppose d’intégrer la dimension peccamineuse possible de l’action. Or il est rigoureusement impossible de poser sciemment un acte comportant un aspect, une intention ou une matière peccamineuse. Etant sauve l’exception (très courante) du moindre mal que nous préférons considérer comme le mieux possible. Encore que cette « exception » ne puisse porter que sur la matière et non sur l’intention. En aucun cas le risque ne peut être évalué et amoindri sous prétexte de confession ultérieure possible. Car accepter l’idée du péché revient à accepter le péché lui-même. De sorte qu’un acte même non peccamineux, devient peccamineux si en conscience nous pensons qu’il s’oppose à Dieu. En effet ce n’est alors pas la matière de l’acte qui est en jeu, mais le fait d’accepter de déplaire à Dieu et de malgré tout le faire. Le péché est d’abord, ne l’oublions pas, une rupture avec Dieu.
En d’autres termes, prendre un risque ne peut inclure le risque de se couper de Dieu. Ce serait chercher le bien en passant par le mal. Cela revient à vouloir monter au ciel en descendant aux enfers. En outre, ne perdons pas de vue que le mal (dont l’erreur peut être une conséquence) est avant tout une destruction de bien et que la gomme à effacer de la confession ne suffit pas à réparer le mal, c’est à dire à reconstruire le bien. Le risque n’est donc pas simplement de se couper de Dieu et d’y revenir via la confession. le véritable risque durable est le mal causé par l’erreur. Et il y a là une part de responsabilité dont la négligence, par elle-même, est peccamineuse puisqu’elle contrevient au second commandement en même temps qu’au premier. Nous prenons le risque de faire un tort plus ou moins durable à autrui. Or ce type de tort est une injustice, c’est à dire la privation de ce qui est dû. Il revient donc à une forme de vol, ce qui enfreint un nouveau commandement.
Bref, faire de la confession une gomme à effacer des conséquences négatives liées au risque ne peut en aucun s’entendre comme un principe d’action. En revanche si nous l’entendons comme lutte contre le scrupule qui paralyse, la formule prend un tout autre sens qui pour autant n’en retire pas moins les responsabilité énoncées plus haut.
Roger AUBERT

Lauréat du prix Nobel : François sera une expérience fugace

Est-il permis de critiquer le pape ? par l'abbé
Bernard de Lacoste-Lareymondie - 5 mars 2016

Le pape est le successeur de saint Pierre sur le Siège de Rome et dans la primauté, c'est-à-dire dans le pouvoir de suprême et universelle juridiction sur toute l'Eglise. Il est donc le chef visible de l'Eglise, et le vicaire de Jésus-Christ, Chef invisible.
A ce titre, il a droit à notre respect et …Plus
Est-il permis de critiquer le pape ? par l'abbé
Bernard de Lacoste-Lareymondie - 5 mars 2016


Le pape est le successeur de saint Pierre sur le Siège de Rome et dans la primauté, c'est-à-dire dans le pouvoir de suprême et universelle juridiction sur toute l'Eglise. Il est donc le chef visible de l'Eglise, et le vicaire de Jésus-Christ, Chef invisible.
A ce titre, il a droit à notre respect et notre obéissance. C'est surtout de lui que le Christ a dit : « Qui vous écoute m'écoute, et qui vous méprise me méprise »(1).
En l'an 865, le pape saint Nicolas 1er écrit à l'empereur Michel :
« Le juge ne sera jugé ni par l'empereur, ni par tout le clergé, ni par les rois, ni par le peuple...Le premier Siège ne sera jugé par personne »(2).
On ne voit donc pas très bien comment critiquer le pape peut être légitime pour un catholique. Cependant, si par malheur le pape enseigne une doctrine qui s'éloigne de la doctrine catholique, que faut-il faire ? Voici ce qu'écrit saint Thomas d'Aquin :
« Les prédicateurs de la vérité doivent faire deux choses, à savoir exhorter selon une sainte doctrine, et vaincre la contradiction »(3).
« En cas de nécessité, là où la foi est en péril, n'importe qui est tenu de faire connaître sa foi, soit pour instruire ou affermir les autres fidèles, soit pour repousser les attaques des infidèles »(4).
Un exemple intéressant a été donné par saint Paul. Dès l'origine de l'Eglise, l'apôtre s'est opposé à saint Pierre qui, par crainte de déplaire aux judéochrétiens, ne voulait plus participer aux repas des païens convertis. Cette décision était grave, car elle risquait d'engendrer une rupture et pouvait favoriser l'opinion fausse selon laquelle la loi juive devait être imposée aux chrétiens. Saint Paul déclare donc : "Quand Céphas [Pierre] vint à Antioche, je lui résistai en face, parce qu'il était répréhensible"(5).
Voici comment saint Thomas d'Aquin commente cet incident :
« S'il y avait danger pour la foi, les supérieurs devraient être repris par les inférieurs, même en public. Aussi Paul, qui était soumis à Pierre, l'a-t-il repris pour cette raison. Et comme dit le commentaire de saint Augustin, "Pierre a donné luimême un exemple à tous ceux qui sont constitués en dignité pour que, s'il leur arrivait de s'éloigner du droit chemin, ils n'aient pas honte de se faire corriger par des inférieurs" »(6).
Et Cajetan, le grand commentateur de saint Thomas, écrit dans un ouvrage consacré à la défense de la papauté :
« Il faut tenir tête à un pape qui déchirerait l'Eglise. (…) Sinon, pourquoi dire que l'autorité a été donnée pour édifier et non pour détruire (2Co 13, 10) ? Contre un mauvais usage de l'autorité, on emploiera les moyens appropriés, en n'obéissant pas dans ce qui est mal, en ne cherchant pas à plaire, en ne se taisant pas(7), en reprenant, en invitant les autorités à faire les reproches nécessaire, à l'exemple de saint Paul et selon son précepte »(8).
Cajetan ne pensait ici qu'à un pape simoniaque ou simplement malhonnête. Mais si le successeur de Pierre met la foi en danger, alors son comportement est bien plus grave et le devoir de résister à ce pape est évidemment encore plus impérieux.
Saint Grégoire le Grand donnait ce principe de conduite : « Il vaut mieux causer du scandale que d'abandonner la vérité »(9).
Pour comprendre dans quel esprit cette critique du pape peut être menée, relisons la parole de Dieu au prophète Ezéchiel :
« Quand je fais venir l'épée contre un pays et que les habitants de ce pays, prenant quelqu'un du milieu d'eux, l'établissent comme sentinelle, et que cet homme, voyant l'épée venir contre le pays, sonne de la trompette et avertit le peuple, si celui qui entend le son de la trompette ne se laisse pas avertir et que l'épée survienne et le surprenne, son sang sera sur sa tête : il a entendu le son de la trompette et ne s'est pas laissé avertir ; son sang sera sur lui ; mais s'il s'est laissé avertir, il aura sauvé sa vie. Que si la sentinelle, voyant venir l'épée, ne sonne pas de la trompette, et qu'ainsi le peuple ne soit pas averti, et que l'épée survienne et surprenne l'un d'entre eux, cet homme sera surpris dans son iniquité, mais je demanderai compte de son sang à la sentinelle. Et toi, fils de l'homme, je t'ai établi comme sentinelle pour la maison d'Israël. Quand tu entendras de ma bouche une parole, tu les avertiras de ma part »(10).
Cet avertissement du Seigneur montre bien que le silence, qui peut être très louable, est parfois gravement coupable. Un prêtre catholique a-t-il le droit de se taire, en chaire, s'il constate que la foi de ses paroissiens est gravement ébranlée par certaines déclarations romaines ? Or, on est bien obligé de constater que, depuis une cinquantaine d'année, certains propos prononcés par le successeur de Pierre en public, ainsi que certains de ses actes, constituent un danger objectif pour la foi et les moeurs des fidèles.
Par exemple, le 1er octobre 2013, le pape répondait au journal italien Repubblica :
« Chacun à sa propre conception du Bien et du Mal et chacun doit choisir et suivre le Bien et combattre le Mal selon l'idée qu'il s'en fait ».
C'est la doctrine relativiste, tant de fois condamnée par les papes.
Le 26 novembre 2013, le pape François signait l'exhortation apostolique Evangelii gaudium, dans laquelle il écrivait : « Le véritable Islam et une adéquate interprétation du Coran s'opposent à toute violence ».
Pourtant, dans la Sourate 9, verset 5, Allah demande de tuer les associateurs, c'est-à -dire ceux qui croient à la sainte Trinité. Plus loin, le pape affirmait aussi que les musulmans « professent avoir la foi d'Abraham, adorent avec nous le Dieu unique ». Mais le dieu des musulmans est anti-trinitaire. L'islam prétend que Dieu n'a pas de fils et que Jésus-Christ n'est pas Dieu. Le dieu des musulmans est donc un faux dieu.
Dans le même document, François disait aussi que l'alliance du peuple juif avec Dieu n'a jamais été supprimée. C'est oublier que le Vendredi saint, quand le rideau du Temple s'est déchiré, l'ancien Testament a pris fin.
Le 20 janvier 2014, le pape s'adressait aux migrants musulmans, leur conseillant de s'appuyer sur le Coran. Il ajoutait :
« La foi que vos parents vous ont inculquée vous aidera toujours à avancer ».
Au contraire, la foi musulmane, étant une fausse croyance, ne peut qu'être un obstacle pour avancer.
Le 6 mai 2014, le pape, en s'inclinant, a embrassé la main d'un prêtre leader homosexuel activiste faisant campagne pour que l'Eglise change son enseignement sur l'homosexualité. Michele de Paolis est en effet prêtre et cofondateur de l'organisation gay appelée Agedo Foggia. C'est devant les caméras que le pape lui a manifesté tant de bienveillance et d'amitié.
Le 29 novembre 2014, en voyage en Turquie, le pape est entré dans la mosquée bleue d'Istanbul. Il s'est déchaussé, s'est fait lire et expliquer le Coran par le grand Mufti, puis lui a proposé de prier ensemble. Le pape s'est alors tourné vers La Mecque, a croisé les doigts, s'est incliné, a fermé les yeux pour se recueillir pendant deux à trois minutes(11). Un tel geste est plus qu'ambigu. Devant la morale catholique traditionnelle, il s'agit d'un scandale contre la foi.
Le 8 septembre 2015, le pape facilitait les procédures de nullité de mariage par le motu proprio Mitis Iudex Dominus Iesus. Mgr Fellay a fait remarquer publiquement (12) que ce document ouvrait la porte de fait à une procédure de divorce catholique qui ne dit pas son nom. C'est une grave blessure pour le sacrement de mariage et son indissolubilité.
Le mois suivant avait lieu le synode des évêques sur la famille, qui demandait notamment que les divorcés remariés civilement soient davantage intégrés dans les communautés chrétiennes. Ce synode a causé une profonde confusion dans les esprits.
Le 17 octobre 2015, dans un important discours sur la synodalité, le pape a appelé à une conversion de la papauté. Il a affirmé que, dans l'Eglise, personne ne se trouvait au-dessus des autres, et qu'il fallait édifier une église synodale.
« Dans cette Eglise, comme dans une pyramide inversée, le sommet se trouve sous la base ». Cette vision de l'Eglise, démocratique et égalitaire, s'oppose à celle de Jésus-Christ, qui a voulu la sainte Eglise hiérarchique et monarchique.
Le 7 janvier 2016, dans une courte vidéo, le pape François a transmis au monde ses intentions de prières pour la nouvelle année. Après des images fortes du pape avec d'autres leaders religieux, le pape a conclu :
« Pour que le dialogue sincère entre hommes et femmes de différentes religions porte des fruits de paix et de justice ». Ces voeux, loin de traduire le souci de l'Eglise que tous les égarés rentrent au bercail, rappellent davantage l'idéal maçonnique.
Le 17 janvier 2016, le pape s'est rendu dans la Synagogue de Rome. Un mois auparavant, le Saint-Siège avait déclaré :
« l'Eglise catholique ne conduit et ne promeut aucune action missionnaire institutionnelle spécifique en direction des juifs »(13).
Au contraire, la conversion des juifs au catholicisme a toujours été une préoccupation importante de l'Eglise, depuis le Vendredi saint jusqu'au concile Vatican II exclusivement.
Enfin, le Saint-Siège a annoncé que le pape se rendra en Suède en octobre 2016, sur l'invitation de l'église luthérienne, pour fêter les 500 ans de la réforme protestante.
Dans le même temps, il faut reconnaître aussi que le pape a le courage de rappeler avec force certaines vérités qui déplaisent au monde moderne. Ainsi, il ne craint pas de condamner le crime de l'avortement.
Comment réagir devant une telle confusion ? Certains sont tentés de sombrer dans le sédévacantisme, estimant impossible que l'auteur de tels scandales soit vraiment le successeur de Pierre. D'autres au contraire se sentent obligés de le suivre, même dans ses égarements. Le juste milieu nous est tracé par Mgr Lefebvre, qui a suivi une ligne de crête entre le sédévacantisme et les compromissions avec le modernisme. Son amour de l'Eglise et du pape l'a conduit à reconnaître l'autorité du pape, tout en refusant avec force de lui obéir lorsque ce qu'il enseigne s'oppose à la foi.
Et si l'on nous accuse de juger le pape, nous répondons que nous ne faisons que constater une contradiction entre ce qu'il dit et ce qu'ont dit les papes pendant 19 siècles. Or, deux propositions contradictoires ne peuvent pas être vraies en même temps. Mais loin de nous la volonté de juger la personne du successeur de Pierre. Est-il manipulé ? A-t-il l'intention de détruire l'Eglise ? Pense-t-il bien faire ? Qui sommes-nous pour oser répondre à de telles questions ?
La conclusion s'impose donc : c'est non seulement un droit, mais aussi un devoir de critiquer le pape publiquement. Il faut cependant préciser que cette correction ne doit être ni insolente ni dure, mais douce et respectueuse, inspirée par les paroles de saint Paul : « ne reprends pas avec rudesse un vieillard, mais avertis-le comme un père »(14).
Enfin, tout catholique a le devoir de prier pour le Saint Père. Ce triste spectacle d'un pape contaminé par le modernisme doit nous inciter à prier pour lui avec d'autant plus de ferveur. Si nous nous contentons de le critiquer sans prier pour lui, notre démarche manque d'esprit de foi.
Que la Bienheureuse Vierge Marie, elle qui a exterminé toutes les hérésies(15), augmente dans nos âmes notre amour pour la sainte Eglise et pour le successeur de Pierre !
Abbé Bernard de Lacoste-Lareymondie, prêtre de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X
Sources : Le saint-Vincent n° 13 de mars 2016/La Porte Latine du 5 mars 2016
Roger AUBERT

Lauréat du prix Nobel : François sera une expérience fugace

Est-il permis de critiquer le pape ? par l'abbé
Bernard de Lacoste-Lareymondie - 5 mars 2016

Le pape est le successeur de saint Pierre sur le Siège de Rome et dans la primauté, c'est-à-dire dans le pouvoir de suprême et universelle juridiction sur toute l'Eglise. Il est donc le chef visible de l'Eglise, et le vicaire de Jésus-Christ, Chef invisible.
A ce titre, il a droit à notre respect et …Plus
Est-il permis de critiquer le pape ? par l'abbé
Bernard de Lacoste-Lareymondie - 5 mars 2016


Le pape est le successeur de saint Pierre sur le Siège de Rome et dans la primauté, c'est-à-dire dans le pouvoir de suprême et universelle juridiction sur toute l'Eglise. Il est donc le chef visible de l'Eglise, et le vicaire de Jésus-Christ, Chef invisible.
A ce titre, il a droit à notre respect et notre obéissance. C'est surtout de lui que le Christ a dit : « Qui vous écoute m'écoute, et qui vous méprise me méprise »(1).
En l'an 865, le pape saint Nicolas 1er écrit à l'empereur Michel :
« Le juge ne sera jugé ni par l'empereur, ni par tout le clergé, ni par les rois, ni par le peuple...Le premier Siège ne sera jugé par personne »(2).
On ne voit donc pas très bien comment critiquer le pape peut être légitime pour un catholique. Cependant, si par malheur le pape enseigne une doctrine qui s'éloigne de la doctrine catholique, que faut-il faire ? Voici ce qu'écrit saint Thomas d'Aquin :
« Les prédicateurs de la vérité doivent faire deux choses, à savoir exhorter selon une sainte doctrine, et vaincre la contradiction »(3).
« En cas de nécessité, là où la foi est en péril, n'importe qui est tenu de faire connaître sa foi, soit pour instruire ou affermir les autres fidèles, soit pour repousser les attaques des infidèles »(4).
Un exemple intéressant a été donné par saint Paul. Dès l'origine de l'Eglise, l'apôtre s'est opposé à saint Pierre qui, par crainte de déplaire aux judéochrétiens, ne voulait plus participer aux repas des païens convertis. Cette décision était grave, car elle risquait d'engendrer une rupture et pouvait favoriser l'opinion fausse selon laquelle la loi juive devait être imposée aux chrétiens. Saint Paul déclare donc : "Quand Céphas [Pierre] vint à Antioche, je lui résistai en face, parce qu'il était répréhensible"(5).
Voici comment saint Thomas d'Aquin commente cet incident :
« S'il y avait danger pour la foi, les supérieurs devraient être repris par les inférieurs, même en public. Aussi Paul, qui était soumis à Pierre, l'a-t-il repris pour cette raison. Et comme dit le commentaire de saint Augustin, "Pierre a donné luimême un exemple à tous ceux qui sont constitués en dignité pour que, s'il leur arrivait de s'éloigner du droit chemin, ils n'aient pas honte de se faire corriger par des inférieurs" »(6).
Et Cajetan, le grand commentateur de saint Thomas, écrit dans un ouvrage consacré à la défense de la papauté :
« Il faut tenir tête à un pape qui déchirerait l'Eglise. (…) Sinon, pourquoi dire que l'autorité a été donnée pour édifier et non pour détruire (2Co 13, 10) ? Contre un mauvais usage de l'autorité, on emploiera les moyens appropriés, en n'obéissant pas dans ce qui est mal, en ne cherchant pas à plaire, en ne se taisant pas(7), en reprenant, en invitant les autorités à faire les reproches nécessaire, à l'exemple de saint Paul et selon son précepte »(8).
Cajetan ne pensait ici qu'à un pape simoniaque ou simplement malhonnête. Mais si le successeur de Pierre met la foi en danger, alors son comportement est bien plus grave et le devoir de résister à ce pape est évidemment encore plus impérieux.
Saint Grégoire le Grand donnait ce principe de conduite : « Il vaut mieux causer du scandale que d'abandonner la vérité »(9).
Pour comprendre dans quel esprit cette critique du pape peut être menée, relisons la parole de Dieu au prophète Ezéchiel :
« Quand je fais venir l'épée contre un pays et que les habitants de ce pays, prenant quelqu'un du milieu d'eux, l'établissent comme sentinelle, et que cet homme, voyant l'épée venir contre le pays, sonne de la trompette et avertit le peuple, si celui qui entend le son de la trompette ne se laisse pas avertir et que l'épée survienne et le surprenne, son sang sera sur sa tête : il a entendu le son de la trompette et ne s'est pas laissé avertir ; son sang sera sur lui ; mais s'il s'est laissé avertir, il aura sauvé sa vie. Que si la sentinelle, voyant venir l'épée, ne sonne pas de la trompette, et qu'ainsi le peuple ne soit pas averti, et que l'épée survienne et surprenne l'un d'entre eux, cet homme sera surpris dans son iniquité, mais je demanderai compte de son sang à la sentinelle. Et toi, fils de l'homme, je t'ai établi comme sentinelle pour la maison d'Israël. Quand tu entendras de ma bouche une parole, tu les avertiras de ma part »(10).
Cet avertissement du Seigneur montre bien que le silence, qui peut être très louable, est parfois gravement coupable. Un prêtre catholique a-t-il le droit de se taire, en chaire, s'il constate que la foi de ses paroissiens est gravement ébranlée par certaines déclarations romaines ? Or, on est bien obligé de constater que, depuis une cinquantaine d'année, certains propos prononcés par le successeur de Pierre en public, ainsi que certains de ses actes, constituent un danger objectif pour la foi et les moeurs des fidèles.
Par exemple, le 1er octobre 2013, le pape répondait au journal italien Repubblica :
« Chacun à sa propre conception du Bien et du Mal et chacun doit choisir et suivre le Bien et combattre le Mal selon l'idée qu'il s'en fait ».
C'est la doctrine relativiste, tant de fois condamnée par les papes.
Le 26 novembre 2013, le pape François signait l'exhortation apostolique Evangelii gaudium, dans laquelle il écrivait : « Le véritable Islam et une adéquate interprétation du Coran s'opposent à toute violence ».
Pourtant, dans la Sourate 9, verset 5, Allah demande de tuer les associateurs, c'est-à -dire ceux qui croient à la sainte Trinité. Plus loin, le pape affirmait aussi que les musulmans « professent avoir la foi d'Abraham, adorent avec nous le Dieu unique ». Mais le dieu des musulmans est anti-trinitaire. L'islam prétend que Dieu n'a pas de fils et que Jésus-Christ n'est pas Dieu. Le dieu des musulmans est donc un faux dieu.
Dans le même document, François disait aussi que l'alliance du peuple juif avec Dieu n'a jamais été supprimée. C'est oublier que le Vendredi saint, quand le rideau du Temple s'est déchiré, l'ancien Testament a pris fin.
Le 20 janvier 2014, le pape s'adressait aux migrants musulmans, leur conseillant de s'appuyer sur le Coran. Il ajoutait :
« La foi que vos parents vous ont inculquée vous aidera toujours à avancer ».
Au contraire, la foi musulmane, étant une fausse croyance, ne peut qu'être un obstacle pour avancer.
Le 6 mai 2014, le pape, en s'inclinant, a embrassé la main d'un prêtre leader homosexuel activiste faisant campagne pour que l'Eglise change son enseignement sur l'homosexualité. Michele de Paolis est en effet prêtre et cofondateur de l'organisation gay appelée Agedo Foggia. C'est devant les caméras que le pape lui a manifesté tant de bienveillance et d'amitié.
Le 29 novembre 2014, en voyage en Turquie, le pape est entré dans la mosquée bleue d'Istanbul. Il s'est déchaussé, s'est fait lire et expliquer le Coran par le grand Mufti, puis lui a proposé de prier ensemble. Le pape s'est alors tourné vers La Mecque, a croisé les doigts, s'est incliné, a fermé les yeux pour se recueillir pendant deux à trois minutes(11). Un tel geste est plus qu'ambigu. Devant la morale catholique traditionnelle, il s'agit d'un scandale contre la foi.
Le 8 septembre 2015, le pape facilitait les procédures de nullité de mariage par le motu proprio Mitis Iudex Dominus Iesus. Mgr Fellay a fait remarquer publiquement (12) que ce document ouvrait la porte de fait à une procédure de divorce catholique qui ne dit pas son nom. C'est une grave blessure pour le sacrement de mariage et son indissolubilité.
Le mois suivant avait lieu le synode des évêques sur la famille, qui demandait notamment que les divorcés remariés civilement soient davantage intégrés dans les communautés chrétiennes. Ce synode a causé une profonde confusion dans les esprits.
Le 17 octobre 2015, dans un important discours sur la synodalité, le pape a appelé à une conversion de la papauté. Il a affirmé que, dans l'Eglise, personne ne se trouvait au-dessus des autres, et qu'il fallait édifier une église synodale.
« Dans cette Eglise, comme dans une pyramide inversée, le sommet se trouve sous la base ». Cette vision de l'Eglise, démocratique et égalitaire, s'oppose à celle de Jésus-Christ, qui a voulu la sainte Eglise hiérarchique et monarchique.
Le 7 janvier 2016, dans une courte vidéo, le pape François a transmis au monde ses intentions de prières pour la nouvelle année. Après des images fortes du pape avec d'autres leaders religieux, le pape a conclu :
« Pour que le dialogue sincère entre hommes et femmes de différentes religions porte des fruits de paix et de justice ». Ces voeux, loin de traduire le souci de l'Eglise que tous les égarés rentrent au bercail, rappellent davantage l'idéal maçonnique.
Le 17 janvier 2016, le pape s'est rendu dans la Synagogue de Rome. Un mois auparavant, le Saint-Siège avait déclaré :
« l'Eglise catholique ne conduit et ne promeut aucune action missionnaire institutionnelle spécifique en direction des juifs »(13).
Au contraire, la conversion des juifs au catholicisme a toujours été une préoccupation importante de l'Eglise, depuis le Vendredi saint jusqu'au concile Vatican II exclusivement.
Enfin, le Saint-Siège a annoncé que le pape se rendra en Suède en octobre 2016, sur l'invitation de l'église luthérienne, pour fêter les 500 ans de la réforme protestante.
Dans le même temps, il faut reconnaître aussi que le pape a le courage de rappeler avec force certaines vérités qui déplaisent au monde moderne. Ainsi, il ne craint pas de condamner le crime de l'avortement.
Comment réagir devant une telle confusion ? Certains sont tentés de sombrer dans le sédévacantisme, estimant impossible que l'auteur de tels scandales soit vraiment le successeur de Pierre. D'autres au contraire se sentent obligés de le suivre, même dans ses égarements. Le juste milieu nous est tracé par Mgr Lefebvre, qui a suivi une ligne de crête entre le sédévacantisme et les compromissions avec le modernisme. Son amour de l'Eglise et du pape l'a conduit à reconnaître l'autorité du pape, tout en refusant avec force de lui obéir lorsque ce qu'il enseigne s'oppose à la foi.
Et si l'on nous accuse de juger le pape, nous répondons que nous ne faisons que constater une contradiction entre ce qu'il dit et ce qu'ont dit les papes pendant 19 siècles. Or, deux propositions contradictoires ne peuvent pas être vraies en même temps. Mais loin de nous la volonté de juger la personne du successeur de Pierre. Est-il manipulé ? A-t-il l'intention de détruire l'Eglise ? Pense-t-il bien faire ? Qui sommes-nous pour oser répondre à de telles questions ?
La conclusion s'impose donc : c'est non seulement un droit, mais aussi un devoir de critiquer le pape publiquement. Il faut cependant préciser que cette correction ne doit être ni insolente ni dure, mais douce et respectueuse, inspirée par les paroles de saint Paul : « ne reprends pas avec rudesse un vieillard, mais avertis-le comme un père »(14).
Enfin, tout catholique a le devoir de prier pour le Saint Père. Ce triste spectacle d'un pape contaminé par le modernisme doit nous inciter à prier pour lui avec d'autant plus de ferveur. Si nous nous contentons de le critiquer sans prier pour lui, notre démarche manque d'esprit de foi.
Que la Bienheureuse Vierge Marie, elle qui a exterminé toutes les hérésies(15), augmente dans nos âmes notre amour pour la sainte Eglise et pour le successeur de Pierre !
Abbé Bernard de Lacoste-Lareymondie, prêtre de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X
Sources : Le saint-Vincent n° 13 de mars 2016/La Porte Latine du 5 mars 2016
Roger AUBERT

Un conseil scolaire "catholique" censure le cathéchisme sur l'homosexualité

Évêques français, qu'avez-vous fait du catéchisme ?
Marc DEM, éd. La Table Ronde, dépôt légal : septembre 1984
Chapitre 10
La Sainte-Trinité victime de l’œcuménisme. Le salut par l'Islam. Vers une religion négociée.

Quand un édifice s'écroule, on cherche la pièce maîtresse qui s'est détériorée ou qui a été ôtée. Le matériel catéchétique que vous imposez autoritairement, à l'exclusion de …Plus
Évêques français, qu'avez-vous fait du catéchisme ?
Marc DEM, éd. La Table Ronde, dépôt légal : septembre 1984
Chapitre 10
La Sainte-Trinité victime de l’œcuménisme. Le salut par l'Islam. Vers une religion négociée.

Quand un édifice s'écroule, on cherche la pièce maîtresse qui s'est détériorée ou qui a été ôtée. Le matériel catéchétique que vous imposez autoritairement, à l'exclusion de tout autre, y compris le catéchisme du concile de Trente, alors que le concile Vatican II s'est abstenu d'en promulguer un, est donc plus éloquent par ce qu'il tait que par ce qu'il développe avec une effarante prolixité.
Cherchons bien dans Pierres Vivantes la pierre qui manque. Il y en a beaucoup, mais surtout une, dont l'absence entraîne celle des autres. C'est le dogme de la Sainte-Trinité, le dogme des dogmes pour l’Église catholique de toujours. Il s'y trouve ? Oh, nous avons failli ne pas le voir ! De fait, il est l'objet de six petites lignes à la dernière page de l'album. Il était temps !
Ces six petites lignes sont celles-ci :
« Dieu est Amour, dit saint Jean l'évangéliste. En effet, le Père, son Fils et leur
Esprit n'existent que l'un pour l'autre dans une merveilleuse unité. Les chrétiens disent que c'est le mystère de la Trinité. »
Ils le disent, mais on n'est pas obligé de les croire ! Ils ne disent d'ailleurs pas grand chose en disant cela. Le Dieu trine n'est ici que suggéré, le mystère n'est pas défini. Le fidèle soucieux de s'informer davantage aura un certain nombre d'obstacles à franchir. Il devra trouver une librairie religieuse acceptant de lui vendre un vrai catéchisme, braver les regards soupçonneux du libraire, l'emporter en le dissimulant sous son manteau et le lire en cachette quand il sera rentré chez lui. Car il s'agit d'un ouvrage interdit par son évêque depuis mars 1982. A ce prix, il aura le droit de savoir que le mystère de la Sainte-Trinité « est le mystère d'un seul Dieu en trois personnes égales et distinctes », que chacune des trois personnes est Dieu, qu'elles ont toutes les trois les mêmes perfections, que le Père, le Fils et le Saint-Esprit ne sont pas trois Dieux, mais un seul et même Dieu.
Pour avoir placé cette partie de la Révélation en dernière page et en note, il ne
faut pas que vous la considériez comme bien importante. Ou bien avez-vous un dessein précis, que vous ne dévoilez pas à vos ouailles ?
Je ne pense pas que vous l'avez fait innocemment et voici pourquoi : ce qui se rapporte à ce mystère est trop souvent absent de vos livres ou déformé. Je citerai à ce propos le Prologue de saint Jean, le Baptême de Jésus avec la manifestation du Saint-Esprit, la divinité du Christ, l'Hostie pure et sans tache du saint Sacrifice, les
réticences au sujet de l'Incarnation.
Séquences en donne un aperçu bizarre en se référant à l'Ancien Testament : « … l'Esprit de Dieu, le Souffle de Dieu, c'est cette capacité inouïe qui est en Dieu de « s'extérioriser », de sortir de lui-même, de s'investir dans un autre que lui-même, qu'il s'agisse de Samson, le héros prestigieux, de Saül, le héros malheureux, du Messie, du peuple... »
Quel galimatias ! Remarquons au passage que le Messie est mis dans le même sac que Samson et Saül et poursuivons notre lecture : « C'est l'expérience de l'Alliance qui a permis à Israël de reconnaître que son Dieu est un Dieu qui a du souffle, un Dieu qui a de l'Esprit. »
Farcesque ! J'ai peine à reprendre mon souffle à moi. Où trouver trace dans cette glose de la troisième Personne ?
Pour Écoute et vois, ce souffle qui est l'Esprit Saint est assimilable au souffle du vent ou de la respiration. Si vous vous êtes hasardés dans ces dissertations confuses alors qu'il existe des formulations claires au moins depuis le IV° siècle, c'est parce que vous souffrez, Messeigneurs, du mal de l’œcuménisme et même de l’œcuménisme aggravé par l'élargissement aux juifs et aux musulmans, auxquels vous rêvez même d'ajouter les simples déistes.
Les juifs n'admettent pas le dogme de la Trinité, les musulmans non plus. On reconnaît un chrétien au signe de la croix, acte de foi envers la Trinité. Ni les juifs ni les musulmans ne font le signe de la croix.
Cet oecuménisme-là consiste à effacer les différences de doctrine ; l'opération est à la seule charge des catholiques. Ni les protestants, ni les juifs, ni les musulmans ne sont disposés à rallier la foi catholique. Cela s'appellerait la conversion. Mais les têtes pensantes de l’Église, dans les bureaux, le secrétariats, les commissions, acceptent de brader le dogme, la liturgie, les structures. La Trinité étant l'obstacle principal à la fusion des confessions en une grande religion mondiale, ce que vous êtes en train de faire, c'est de convertir nos enfants à l’unitarisme juif et mahométan, pour qu'à la génération prochaine ou à la suivante, votre grand service unifié ne rencontre pas de résistance.
« L' œcuménisme, dans son escalade chaque jour plus ambitieuse, écrivait Julio Garrido, académicien espagnol et directeur de recherche au CNRS(1), ne se contente pas de rechercher des rapprochements avec les adorateurs du Dieu d'Abraham ; il entend parvenir à un supra-confessionnalisme, étendu aux hindouistes, bouddhistes, confucianistes, etc. ; ouvrir enfin le fameux « Temple de la Compréhension » où les croyants de toute religion pourront coexister et rendre un culte à la même divinité. Ce super-oecuménisme se donne pour but la formation d'une conscience religieuse universelle : une religion idéale, parce que sans dogmes, rendant hommage à un Dieu également idéal. »
(1) In Itinéraires, novembre 1979.
Dès maintenant, la catéchèse française conditionne les esprits à cet amalgame. Pierres Vivantes explique : Les juifs et les chrétiens parlent de la Jérusalem nouvelle pour annoncer que tous les peuples se rassembleront dans la paix de Dieu à la fin du monde. Les musulmans aussi donnent un sens religieux à leur attachement à Jérusalem. Dès maintenant, les uns et les autres sont appelés à bâtir cette amitié, cette charité, entre toutes les races de la terre. » Prolétaires de tous les pays, unissez-vous. L’internationale déiste est en marche.
Les trois religions sont présentées sur un pied d'égalité : « Le croyant est celui qui fait confiance au Dieu d'Abraham, le Dieu unique... Ceux et celles qui reconnaissent qu'Abraham est « le père des croyants » sont très nombreux, ce sont : les juifs, les musulmans et les chrétiens. »
Dans ce cas, pourquoi ne pas le prier ensemble, « en oubliant nos différences », c'est-à-dire, en faisant abstraction de la Trinité et en remettant Jésus à sa place, celle qui lui accorde le Coran ? Un Parcours (Avec des paraboles) invite les enfants à recenser les lieux de culte : « Il existe dans le monde entier beaucoup d'églises qui ne se ressemblent pas. Il existe aussi des bâtiments dans lesquels se retrouvent des gens qui parlent de Dieu d'une autre manière... Cherche des photos de temples, de mosquées, de synagogues. »
« Il n'y a pas que les chrétiens qui prient... les bouddhistes, les Juifs, les musulmans, beaucoup d'hommes croyants prient (Il nous parle en chemin). » D'ailleurs, cela revient pratiquement au même : « Les chrétiens ne peuvent pas oublier que la religion musulmane est l'une des religions les plus proche de leur foi chrétienne. Comme nous, ils croient au « Dieu unique », ils accueillent les grands prophètes de la Bible et ils ont de belles prières sur Jésus et Marie. » (Allez dire à vos amis).
Les Parcours consacrent plusieurs pages à l'Islam. Comme ils l'exposent d'une manière plus ramassée et plus scrupuleuse qu'ils ne le font pour la religion catholique, il en retire une cohérence et un sérieux que celle-ci n'a pas dans votre catéchèse. Comment ne pas être séduit par le paragraphe suivant (Allez dire à vos amis) : « La foi musulmane aide les croyants à vivre. Elle leur donne le sens de
l'honneur, de la dignité personnelle et familiale à défendre. Elle leur donne le sens de la solidarité, et le sens communautaire de l'entraide, de l'accueil et du partage. Elle leur donne le sens de l'hospitalité, car il faut toujours chercher à faire plaisir. Elle leur donne enfin le sens de la justice et de la patience. »
Dans ce cas, pourquoi ne pas se faire musulman ? Je cherche en vain une allusion à la guerre sainte, au djihad, à l'antisémitisme de la Sunna (« Vous combattrez les juifs au point que si l'un d'eux se cache derrière une pierre, elle dise :
Ô serviteur de Dieu, il y a un juif derrière moi ; tue-le ! ») à la condition suprêmement injuste réservée aux femmes dans la société islamique, au fait que ce « sens communautaire de l'entraide, de l'accueil et du partage » s'applique aux musulmans entre eux et non aux non-musulmans, les dhimmi, que le Coran qui a de belles prières sur Jésus et Marie, dit aussi : Ô vous qui croyez, ne prenez pas pour amis les juifs et les chrétiens... Celui qui parmi vous les prend pour amis est des leurs. » Ou encore : « Que Dieu anéantisse juifs et chrétiens ! Ils sont tellement
stupides ! »
Surtout vous vous gardez bien de dire que les musulmans sont dans l'erreur. Dans un catéchisme, ce serait la moindre des choses. Et vous enrôlez la Vierge Marie dans votre entreprise de recrutement : « J'aime Marie, la première des croyantes, parce que sa foi discrète est l'opposé d'un système de certitudes : une rencontre sans cesse renouvelée. Elle aiguise notre regard sur tous les « cherchant Dieu » de l'histoire, tels les musulmans qui viennent d'achever le Ramadan, ou les Juifs. » (Il nous parle en chemin)
Vous faites l'article aussi pour l'animisme africain : « Mamadou : je crois que lorsque quelqu'un meurt, il devient un esprit, une sorte de fantôme. Il faut devenir ami avec ces esprits-fantômes, sinon ceux-ci risquent de se venger sur les vivants. »
(Avec des paraboles). Vous proposez même à l'admiration des enfants les agnostiques et les athées : « Peut-être qu'un jour ils croiront en Dieu.. De toute façon, Dieu les aime autant que toi ! … Ceux qui ne croient en rien ou ceux qui croient en autre chose sont donnés à ceux qui croient en Jésus-Christ non pas d'abord comme des « objets à convertir », mais comme des partenaires à écouter, qui ont des questions vraies à nous poser et nous obligent à une purification, à un progrès incessant. » (Séquences)
Monstrueux ! Les athées proposés comme moyen de purification ! Qu'est-ce que vous voulez bien dire par là ? Les athées donnés comme des gens que les enfants doivent écouter ! Pour qu'ils perdent leur foi encore fragile ? Je voudrais bien croire de votre part à un esprit d'ouverture, de tolérance mal dirigé, à une naïveté maladroite, à une bonne foi surprise, mais on n'est pas maladroit à longueur de pages et de livres. J'aimerais vous trouver un alibi, car vous êtes nos Évêques, des guides que l'on devrait pouvoir suivre les yeux fermés.
Hélas ! Je lis votre intention clairement exprimée dans toute cette littérature. Le livre des adultes de Je crois-Crois-tu ? Par exemple : « Le tout sera d'apprendre à l'enfant à discerner. De cette étape décisive naîtra son ouverture au religieux et, peut-être, son adhésion à une religion. »
A une !!!!! religion. Peut vous importe laquelle. Il faut l'ouvrir « au religieux », même si c'est le shintoïsme, le fétichisme, la zoolâtrie. Titre de la leçon : « Apprendre à l'enfant à choisir ». Et vous osez expliquer : « Si tant de jeunes succombent, aujourd'hui, à la tentation des sectes, ce n'est pas faute d'avoir été éveillés au sentiment religieux. C'est, dans bien des cas, parce qu'ils n'ont pas été habitués à découvrir, à entendre la particularité. Comme toutes les religions semblent se valoir, ils choisissent celle qui flatte le plus leurs tendances les plus morbides. »
Et qui leur apprend que toutes les religions se valent ? Ne vous faites pas d'illusions : le regain des sectes est dû à la démission des évêques. Les jeunes cherchent quelque chose de plus corsé, de plus accrocheur, de plus contraignant que
vos liturgies doucereuses, que votre doctrine incertaine. Leur faim d'absolu, ils la trompent avec l 'ésotérisme et les hallucinogènes. Ils vous demandent du pain et vous leur donnez des Pierres Vivantes.
Savez-vous que des milliers de jeunes Français se convertissent les temps-ci à
l'Islam ? Le mensuel L'Actualité religieuse en a cherché les raisons en les interrogeant. Voici la réponse :
« Assoiffées de spirituel, ces personnes sont à la recherche à la fois de certitude, de rigueur, de discipline et d'une foi sans Église, sans hiérarchie constituée, déçues qu'elles sont par les bouleversements vécus par l’Église catholique depuis le concile Vatican II, il y a maintenant près d'un quart de siècle. » Un jeune Ardennais devenu muslin justifie ainsi son apostasie : « Pas de dogmes revus et corrigés. Un musulman vivant il y a plusieurs siècles retrouverait dans l'ensemble le même islam. » (Octobre 1983. L'Actualité religieuse est issue des très
progressistes ICI {Informations Catholiques Internationales})

C'est clair : ce que recherchent les jeunes, c'est un « système de certitudes ». Quand le comprendrez-vous ? Ils ont tort ? Peut-être, mais alors attendez-vous à rester tout seuls dans quinze ou vingt ans, avec les fenêtres de vos évêchés battant au vent, (1) allant travailler en usine, mais cette fois par nécessité. Vous voulez faire une super-Église, vous ne réussirez qu'à démolir la vôtre. Et sur ses cendres proliféreront les rabbins et les mollahs.

(1) Vu ce qui arrive au cardinal Barbarin, quand arriverons-nous à pourvoir les multiples évêchés vacants chez nous et ailleurs ? N'oublions pas que ce cardinal, qu'il faut soutenir par nos prières, car c'est l’Église qui est visée, a récité en public la shahada !!! Quelle aubaine pour les F.M. qui en cause seconde, montent au créneau et s'attaquent, comme le loup de la fable face à l'agneau à un évêque qu'ils ont vu défiler …. contre leurs lois assassines.
N.B. : Le livre « Évêques français, qu'avez-vous fait du catéchisme ? » est épuisé. J'en ai trouvé 6 d'occasion sur internet... Les distribuer n'a servi STRICTEMENT A RIEN, apparemment du moins.
Roger AUBERT

Confinement covidien au Royaume-Uni - sauf pour l'aide au suicide

Perte de tout bon sens
Subtils, grossiers et stupides mensonges pour grossir le COVID
Dans le cadre de la commission d’enquête à l’Assemblée Nationale sur la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement que le député LR Jean-Pierre Door a auditionné le mercredi 04 novembre Olivier Véran.
Voici une des questions posées au ministre à cette occasion :
“Que pouvez vous me dire sur la surmortalité …Plus
Perte de tout bon sens
Subtils, grossiers et stupides mensonges pour grossir le COVID
Dans le cadre de la commission d’enquête à l’Assemblée Nationale sur la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement que le député LR Jean-Pierre Door a auditionné le mercredi 04 novembre Olivier Véran.
Voici une des questions posées au ministre à cette occasion :
“Que pouvez vous me dire sur la surmortalité invisible (cancer…) qui est occultée par la Covid-19 ? On a des certificats de décès que j’ai pu constater, des personnes très âgées, qui sont décédées, marquées Covid-19. Or, il n’y a jamais eu de COVID-19 chez ces patients. C’est le médecin qui a marqué ça, on ne sait pas pourquoi. Il y a une surmortalité qui existe dans les certificats médicaux.”
Et voici ce qu’à répondu Olivier Véran :
“En EPHAD, s’il y avait un cas Covid dans l’EPHAD, et donc il y avait une épidémie identifiée dans l’EPHAD, et qu’un décès était suspecté Covid, on l’identifiait et on le reconnaissait comme Covid, on ne faisait pas de PCR post mortem si c’est votre question ?”
“Par contre s’il y avait quelqu’un qui mourrait d’une autre cause, d’un cancer, ou d’une autre pathologie
et qu’il n’y avait pas de suspicion, ou lieu de suspecter un COVID, il n’y avait pas indiqué COVID…”
Le ministre explique donc que :
1. Un cas de Covid dans un EPHAD équivaut à une “épidémie” dans un EPHAD.
2. Les décès attribués au Covid ne l’étaient pas sur la base d’un test mais sur la base d’une suspicion.
3. Il n’y a qu’en l’absence de suspicion qu’un décès n’est pas étiqueté Covid. Et donc dès lors qu’il y a une suspicion de Covid, le décès est étiqueté Covid, même s’il est dû à une autre maladie.
À noter que nous avions déjà soulevé ce problème dès le mois d’avril dans cet article : Décès dus au Covid-19 : le nombre officiel de morts en France est-il surestimé ?
Voici en vidéo la réponse du ministre Véran à la question de Jean-Pierre Door : Lecteur vidéo

D’autre part
Dans un article paru sur le site EconomieMatin.fr, l’éditorialiste Cédric d’Ajaccio s’interroge sur la période post-déconfinement et les règles hygiénistes qui s’imposent partout et en particulier dans le monde de l’entreprise. Extraits.
Là encore, “La perte de tout bon sens du Gouvernement et l’hystérie médiatique au sujet de l’épidémie de COVID 19 ont fait sombrer les entreprises, de réseau en particulier, leur personnel, les syndicats, le secteur public, les collectivités publiques et les services centraux et extérieurs de l’État, les associations et la société française tout entière dans l’hypocondrie (peur, obsession d'être malade) . Et cette hypocondrie a ouvert la voie à une tolérance apparemment illimitée à l’égard de l’abus viral de pouvoir qu’elle a légitimée.[…]”
“Sous couvert d’un lancinant et incontournable « prenez soin de vous », l’adulte est retourné sans protestation sur les bancs de l’école primaire et s’est placé sans discuter sous la férule du Maître ministre de l’intérieur, du Surveillant Général premier ministre et du Directeur président. Le citoyen est redevenu d’un jour à l’autre sujet, et même objet, chose maniable, passivement. Il a respecté à la lettre la consigne du Conseil Scientifique du Président : « pour ne pas mourir, cessons de vivre » […]”
“…tout homme est devenu un danger public, une cause de mort potentielle, soyons en persuadés une fois pour toutes… L’autre cet ennemi (chacun surveillant potentiellement son voisin, s’improvisant dans le rôle de soutien à la police, dénonciateur, citoyen zélé, observateur jusqu’à l’indiscrétion… exécuteur de lois liberticides donc génocidaires pour survivre. UBU est roi, mais avec une multitude de couronnes, de galons, et de titres autoproclamés et subjectifs). Sur cette base d’hypocondrie aiguë innervée dans les esprits de nos concitoyens par un matraquage qui, lui vraiment, n’a pas d’équivalent depuis la fin de la seconde guerre mondiale et qui doit faire rougir de timidité les États totalitaires patentés, un abus de pouvoir structurel s’est installé en France avec une facilité déconcertante […]” “Il est maintenant urgent de reprendre ses esprits, de revenir aux fondamentaux de l’État de droit, à la déclaration des droits de l’homme et du citoyen (art 4 : « la liberté consiste à faire ce qui ne nuit pas à autrui »), de réfléchir collectivement sur les contraintes proportionnées qu’un État démocratique, qui tire sa légitimité du consentement populaire et du bon usage du pouvoir au service de la Nation et du Peuple, peut leur imposer légitimement, y compris dans les cas graves, y compris en état d’urgence sanitaire si il se justifie, y compris en état de guerre, notions à ne pas confondre sauf à marquer de l’irrespect.[…]” Ce qui d’ailleurs n’a jamais été appliqué avec application.
La suite logique est que tout le monde pourra bientôt être enfermé, puni, testé sur simple suspicion de covid ou de non observance de précautions infinies jusque dans la manière de respirer, de parler, de se saluer de se nourrir et de prier. Les gens vont-ils enfin comprendre que les tests sont détestables, sont et seront utilisés pour réensemencer le COVID 21 déjà annoncé, peaufiné, assaisonné d’autres mesures que nous connaissons grâce au député canadien Randy Hillier.
Roger AUBERT

Italie : Le covid-19 existe depuis bien plus longtemps que prévu

Bientôt un virus encore plus meurtrier
Jésus – Toutes les âmes, qui iront en enfer après l’Avertissement, le feront de leur propre volonté libre. Priez pour convertir autant d’âmes que possible, car ces personnes, qui refusent de se repentir et de M’aimer, seront perdues pour toujours
Samedi, le 16 mai, 2020
Jésus a dit : « Mon peuple, vous êtes véritablement persécutés en ne pouvant pas avoir …Plus
Bientôt un virus encore plus meurtrier
Jésus – Toutes les âmes, qui iront en enfer après l’Avertissement, le feront de leur propre volonté libre. Priez pour convertir autant d’âmes que possible, car ces personnes, qui refusent de se repentir et de M’aimer, seront perdues pour toujours
Samedi, le 16 mai, 2020
Jésus a dit : « Mon peuple, vous êtes véritablement persécutés en ne pouvant pas avoir de Messe, car vous pourriez toujours garder votre distance avec des masques, tout comme vous le faites en vous promenant dans vos épiceries. Vous ouvrez par étapes, mais vos églises demeurent fermées. Vous savez que ce virus provient du diable, alors que vos autorités vous menacent de demeurer fermés pour quelqu'infraction. Tout comme vous voyez des protestations pour ouvrir vos commerces, où est Mon clergé de l'Église et les laïcs qui devraient protester pour ouvrir les églises? Cette attaque du virus est faite à dessein pour fermer Mes églises et permettre aux malins de contrôler vos mouvements. Plusieurs personnes ont eu des cas modérés de maladie, et seuls ceux dont la santé est compromise sont en danger avec peu de cas qui résultent uniquement de ce virus. Si vous ne reprenez pas vos libertés en ces temps de peu de décès, comment allez-vous alors manier la perte de vos libertés à l'automne alors qu'il y aura davantage de morts? Fiez-vous à Moi cet automne de vous appeler à Mes refuges alors qu'un virus encore plus meurtrier vous adviendra. »
Jésus a dit : « Mon peuple, vous avez été témoins de la barbarie de l'homme par les divers moyens dont le diable a inspiré les gens à tuer tellement de personnes. Vous avez vu des millions de bébés tués par l'avortement. Maintenant, même les gens âgés sont tués par l'euthanasie. Lors de la Deuxième Guerre Mondiale vous avez vu des milliers tués dans la guerre en Europe et au Pacifique. Des milliers de Juifs et de prêtres ont été tués lors de l'Holocauste. Des milliers furent aussi tués par des bombes atomiques à Hiroshima et Nagasaki. Une nouvelle menace surplombe maintenant l'humanité sous la forme d'un virus corona qui a déjà pris des milliers de vies en Amérique et autres pays. À l'automne J'avertirai Mon peuple d'un autre virus encore plus meurtrier qui sera relâché par l'état profond pour réduire la population et causer la destruction de l'économie Américaine. C'est pourquoi J'appellerai Mes fidèles à mes refuges de protection contre les malins. Je séparerai les bons des malins, et J'apporterai ensuite Ma destruction sur les malins avec Ma Comète du Châtiment. Tout comme J'ai préservé Noé et sa famille, les malins furent ensuite tués dans l'inondation. J'ai séparé Lot de sa famille de Sodome, et J'ai ensuite détruit les malins dans Sodome. Vous verrez de nouveau comment cette dernière séparation de Mes fidèles des malins, tout comme ces malins furent tués et châtiés en enfer. Mais Mes fidèles seront conduits dans Mon Ère de la Paix. Réjouissez-vous lorsque vous verrez tous les malins retirés de la terre. Toutes les âmes, qui iront en enfer après l'Avertissement, le feront de leur propre volonté libre. Priez pour convertir autant d'âmes que possible, car ces personnes, qui refusent de se repentir et de M'aimer, seront perdues pour toujours. »
Les coeurs unis Magazine | 21/06/2020
URL : magazinelavoixdedieu.wordpress.com/…sonnes-qui-refusent-de-se-rep/
Roger AUBERT

Le cardinal Pell a "changé" son point de vue sur l'enfer

Ces articles démontrent toutes les hérésies commises par le pape François
contre la véritable Église Catholique fondée par Jésus-Christ. Il démontre aussi que François prépare "le terrain des esprits des Catholiques" pour approuver la terrible venue de l'Antichrist. Celle-ci ne doit pas être très éloignée ! Informez toutes vos connaissances. Jean-Pierre
Plusieurs articles très importants, …
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Ces articles démontrent toutes les hérésies commises par le pape François

contre la véritable Église Catholique fondée par Jésus-Christ. Il démontre aussi que François prépare "le terrain des esprits des Catholiques" pour approuver la terrible venue de l'Antichrist. Celle-ci ne doit pas être très éloignée ! Informez toutes vos connaissances. Jean-Pierre

Plusieurs articles très importants, pour comprendre ce qui se passe aujourd'hui dans notre Église, car ce scandale (aux Émirats) n'est pas unique... A lire en plusieurs fois, si vous n'avez pas le temps. (A lire absolument la lettre d'une religieuse, à la fin) Tout cela nous fait bien comprendre que nous approchons de la Nouvelle religion mondiale, qui est celle de l'Antichrist. Et qu'aujourd'hui nous avons bien affaire au faux prophète...

VIDÉO-VÉRITÉ : "LE PAPE AUX ÉMIRATS : RENCONTRE INTERRELIGIEUSE ET PRÉPARATION DE L'UNIQUE RELIGION MONDIALE" !

youtube.com/watch?v=szWHxnp_XpM

Le Pape aux Émirats : En route vers l'Unique Religion Mondiale !

CARDINAL BURKE : LA DÉCLARATION MENSONGÈRE D'ABOU DHABI DE FRANÇOIS DOIT ÊTRE SUPPRIMÉE !

18 février 2019 - L’affirmation selon laquelle « la diversité des religions est voulue par Dieu » doit être retirée de la déclaration d’Abou Dhabi du pape, car elle n’est « pas correcte » – écrit le cardinal Raymond Burke sur NCRegister.com (16 février). Il réfute une explication selon laquelle François se réfère à la volonté de Dieu qui « ne permet » que les autres religions comme un mal. Burke rétorque que le document dit explicitement que « la pluralité ou la diversité des religions est bonne ». Mais ceci est « erroné ».* SOURCE :

Cardinal Burke : La déclaration mensongère d'Abou Dhabi de François doit être supprimée [mais ce ne sera pas le cas]

FRANÇOIS ET L'IMAM : À PROPOS DE LEUR DÉCLARATION COMMUNE SUR "LA FRATERNITÉ UNIVERSELLE" !

François et l’Imam. A propos de leur déclaration commune sur la « Fraternité universelle » (5/2/2019) Je n’ai suivi que de très loin le voyage du pape dans les Emirats arabes, et je ne devrais donc pas porter de jugement… Je ne doute pas que parmi les Dans les nombreux discours prononcés (surtout ceux préparés dans les bureaux de la Curie), on trouverait facilement des « perles de sagesse » que d’autres recueilleront (pieusement) comme témoignages de sa rectitude doctrinale. Mais le diable est dans les détails, dit-on, et ce fait a trouvé confirmation dans ce pontificat, entre autres, dans les fameuses « notes de bas de page » d’Amoris Laetitia. Un lecteur attire mon attention sur un passage, disons, ambigu, dans la Déclaration commune du Pape et du Grand Imam d’Al-Azhar LA FRATERNITÉ HUMAINE POUR LA PAIX MONDIALE ET LA COEXISTENCE COMMUNE (w2.vatican.va) La liberté est un droit de toute personne: chacune jouit de la liberté de croyance, de pensée, d’expression et d’action. Le pluralisme et les diversités de religion, de couleur, de sexe, de race et de langue sont une sage volonté divine, par laquelle Dieu a créé les êtres humains. Cette Sagesse divine est l’origine dont découle le droit à la liberté de croyance et à la liberté d’être différents. C’est pourquoi on condamne le fait de contraindre les gens à adhérer à une certaine religion ou à une certaine culture, comme aussi le fait d’imposer un style de civilisation que les autres n’acceptent pas. (…) [Ce document certifie] la forte conviction que les vrais enseignements des religions invitent à demeurer ancrés dans les valeurs de la paix, à soutenir les valeurs de la connaissance réciproque, de la fraternité humaine et de la coexistence commune … Ces propos dans la bouche du Vicaire du Christ sont pour le moins imprudents, sinon problématiques d’autant plus que, pour ce que j’en sais, ils sont totalement étrangers aux conceptions des musulmans. La dernière phrase du 1er paragraphe peut évidemment être retournée à leur profit, condamnent de la part des chrétiens toute tentative de conversion (je n’utilise pas le mot prosélytisme, qui est devenu un gros mot).
Mon lecteur commente: «Dire que Dieu a voulu dans sa sagesse créatrice le pluralisme religieux, c’est dire qu’il a voulu que beaucoup aient une conscience erronée: c’est un blasphème». Le document « Fraternité humaine » publié aujourd’hui, dans lequel Bergoglio déclare avec l’Imam d’Al Azhar la valeur de la fraternité universelle, pourrait être commenté de plusieurs manières. Bien sûr, il n’y a pas trace dans le texte du Dieu unique et trinitaire, mais il y a une divinité partagée entre toutes les religions, qui semble avoir un diplôme en architecture. Mais nous nous posons quelques questions: – Si, comme il le dit, le document « Le pluralisme et la diversité des religions (…) sont une sage volonté divine, par laquelle Dieu a créé les êtres humains », pourquoi Jésus est-il venu pour être crucifié ? S’est-il trompé ? Que pense Bergoglio de la valeur de la Croix et de la Résurrection ? Sont-ils nécessaires oui ou non ? S’il ne le pense pas, qu’attend-il de nous ?
Si toutes les religions portent, comme le dit le document, de « vrais enseignements », pourquoi donc y a-t-il des prêtres, des évêques et des papes ? A ce stade, qu’ils démissionnent tous et nous rendent l’argent !

L'AMITIÉ DE FRANÇOIS ET D'AL-TAYYEB : UN COMMENTAIRE DE L'ABBÉ GUY PAGÈS !

L’AMITIÉ DE FRANÇOIS ET D’AL-TAYYEBOU L’« ESPÉRANCE EN UN AVENIR LUMINEUX POUR TOUS LES ÊTRES HUMAINS » 11 février 2019
A l’issue d’une « rencontre de la fraternité » ayant rassemblé quatre cent représentants de toutes les religions à Abu Dhabi le 4 février 2019le Pape François et le Grand Imam d’Al-Azhar (Égypte)Ahmad Al-Tayyebont cosigné le « Document sur la fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune »[1]. Pourquoi seulement eux deux, et pas les trois cent quatre vingt huit autres aussi ?
Évidemment, cette condamnation de la haine et de sa violence, que ce soit sous la forme de la contrainte religieuse (Coran 2.1934.899.560.4), du terrorisme (Coran 3.1518.12609.11133.2659.21361.4), du mépris des femmes (Coran 2.2284.34435.6), etc. ne concernait véritablement qu’un seul des deux partenaires… Personne n’accuse en effet l’Église d’enfanter assassins et terroristes. Dès lors, quel besoin avait le Pape de signer cette Déclaration ? De servir de cache misère à Al-Azhar qui n’a pas osé poser l’acte de repentance fondateur de la « révolution religieuse » à laquelle le Président égyptien Abdel Fattah Al-Sisi a appelé ses dignitaires dans un admirable discours du 1er janvier 2015 ? Mais alors, cette repentance est-elle sincère ?
Indéniablement, l’Université d’Al-Azharou du moins son Grand Imam, a formellement fait un « pas en avant »… de géant. Un immense « Merci ! » donc au Président Al-Sissi ! Cependant, ce ne sont pas les paroles qui comptent, mais les actes, et l’avenir montrera ce que celles-ci valaient. En attendant, si le directeur d’Al-Azhar a joué gros en condamnant des « pratiques d’Allah qui ne peuvent pas être révoquées (Coran 33.6235.4348.23) », en bon connaisseur de la takiya, il sait qu’Allah « ne lui reprochera pas la frivolité de ses serments (Coran 2.225) », puisqu’Allah enseigne même à rompre les serments (Coran 66.2) ! Allah n’est-il pas « le meilleur de ceux qui rusent (Coran 3.548.3027.50) » ? De plus, l’opération se justifie largement : ce qui va être empoché dépasse largement l’investissement consenti. En effet, désormais, l’islam va pouvoir partout se présenter, sous le sceau du Pape, comme religion de paix, de tolérance et d’amour… que seules de mauvaises interprétations rendent haïssable ! En un temps où les peuples d’Occident semblent se réveiller et vouloir rejeter l’islam, je trouve que c’est un coup de maître de la part des chefs de l’islam (Cf. Ep 6.12).
De son côté, qu’est-ce que l’Église gagne et perd dans cet accord ? Ce qu’elle gagne, incontestablement, c’est l’estime du monde, et peut-être aussi de bonnes relations, au moins momentanées, avec des milieux musulmans de bonne volonté. Ce qu’elle perd, un peu plus, c’est l’annonce du caractère absolu de la foi en Jésus-Christ, et la cohérence doctrinale qui en assure la force de proposition. En effet, non seulement n’apparaît jamais dans ce document d’allusion au salut éternel, objet pourtant premier de sa mission, mais des propos typiquement musulmans, et donc contraires à la foi catholique, y sont ratifiés… par le Pape. Ainsi, écrire que « le pluralisme et les diversités de religion, de couleur, de sexe, de race et de langue sont une sage volonté divine, par laquelle Dieu a créé les êtres humains », valide : la confusion typiquement musulmane entre la nature (race, sexe…) et la culture (langue, religion), confusion faisant passer l’islam pour une réalité voulue par Dieu au même titre que la nature, le rendant ainsi aussi bon et nécessaire qu’elle, la schizophrénie d’Allah qui crée plusieurs religions (Coran 7.1622.66)… pour que l’islam les détruise (Coran 2.1939.3033) !
En islam, la division spirituelle et morale de l’humanité est voulue par Allah (Coran 7.16822.66) parce qu’il est l’auteur du bien comme du mal (Coran 15.4032.1338.8291.8113.2)mais en régime chrétien, la division spirituelle de l’humanité est due au péché de l’humanité (Gn 11)et non à Dieu. Le rejet de la précieuse distinction entre l’ordre naturel et l’ordre surnaturel apparaît encore dans le discours de François de ce même 4 février aux membres du Conseil musulman des Anciens à la Grande Mosquée du cheikh Zayed : « La fraternité, certainement exprime aussi la multiplicité et la différence qui existent entre les frères, bien que liés par la naissance et ayant la même nature et la même dignité. La pluralité religieuse en est une expression. ». Si la pluralité religieuse est une expression de la fraternité, alors, Jésus a-t-Il manqué de fraternité en refusant de reconnaître pour ses frères ceux qui refusaient de L’adorer (Mc 3.32-35)… comme refusent encore aujourd’hui de le faire les musulmans ?
La reconnaissance du « pluralisme et les diversités de religions » qui découleraient d’« une sage volonté divine » fondant « le droit à la liberté de croyance et à la liberté d’être différents », a pour corollaire l’impossibilité pour l’Église d’affirmer que la religion catholique est la seule vraie religion voulue par Dieu en laquelle tous doivent s’efforcer d’entrer (Lc 14.23), et l’impossibilité de reconnaître que l’islam est d’autant plus démoniaque qu’il se prétend d’origine divine… N’est-ce pas un accord cher payé pour l’Église ?
L’Église ne peut pas dire que la division spirituelle actuelle de l’humanité est voulue par Dieu puisque Jésus est venu rassembler dans l’unité les enfants de Dieu dispersés (Jn 11.52) au prix de Sa mort sur une croix ! Dieu veut au contraire que tous, nous soyons un, comme Il est Un (Jn 17.21). Il veut qu’il y ait « un seul troupeau et un seul berger (Jn 10.16) ». Combien donc est-il malheureux de voir celui qui assume aujourd’hui cette mission de berger renier le fondement divin de celle-ci… La division spirituelle et morale de l’humanité n’a rien à voir avec la diversité des couleurs de l’arc en ciel !
Mais si les différentes religions sont voulues par Dieu, alors on comprend que le dialogue interreligieux pour le dialogue interreligieux soit toujours plus à la mode, et que l’appel à la conversion des musulmans soit combattu…
par des ecclésiastiques eux-mêmes. Ainsi, pour ne prendre que deux exemples récents : Mgr Aveline, évêque auxiliaire de Marseille et consulteur au Conseil pontifical pour le Dialogue interreligieux, considère que vouloir convertir les musulmans est « prétentieux et profondément orgueilleux » (Famille chrétienne n°214305.02.19), et le père Féroldi, Président du Service national des relations avec les musulmans, de la Conférence des évêques de France, se refuse à « donner comme horizon du dialogue la conversion de l’autre à une religion » (idem)… Parler pour parler, sans vouloir donner le Christ, est-ce encore être chrétien ? Celui qui rougit du Christ, le Christ rougira de lui (Mc 8.38).
Les erreurs dont regorge cette Déclaration trahissent la double condition requise pour réellement pacifier les relations entre musulmans et non-musulmans : l’abandon de l’islam et la conversion à Jésus-Christ, que ni François ni Al Azhar n’ont le courage d’affirmer. Pour ne citer que quelques unes d’entre elles :
« La foi amène le croyant à voir dans l’autre un frère à soutenir et à aimer ». Or, le Coran éructe continuellement la haine du non-musulman. De quelle foi parle ici la Déclaration ? D’une foi hors confession hors révélation ou bien de celle révélée par l’Amour de Jésus-Christ ?
Les affirmations : « De la foi en Dieu, qui a créé l’univers, les créatures et tous les êtres humains – égaux par Sa Miséricorde » et « Au nom de Dieu qui a créé tous les êtres humains égaux en droits», laissent croire qu’elles concerneraient également l’islam. Mais c’est faux : Allah ne crée pas les hommes et les femmes égaux (Coran 2.228), ni les hommes égaux entre eux (Coran 8916.7576), raison pour laquelle il s’oppose à l’abolition de l’esclavage (Coran 16.71). Il en prédestine même certains à l’Enfer (Coran 7.17918632.13). Puisque les signataires ne parlent manifestement pas d’Allah, l’ont-ils pour autant rejeté ?
Si Dieu a donné la liberté « à tous les êtres humains, les créant libres et les distinguant par elle.», pourquoi laisser croire que ce Dieu soit Allah, puisque celui-ci guide ou égare qui bon lui semble, sans recours possible (Coran 881436.1497.1789.5125.274.31…) ?
« Les religions n’incitent jamais à la guerre et ne sollicitent pas des sentiments de haine, d’hostilité, d’extrémisme, ni n’invitent à la violence ou à l’effusion de sang. » Les religions ont-elles vraiment toutes les même discours ? Pourquoi le Coran, la vie de Mahomet, l’histoire de l’islam, donnent-ils le témoignage contraire ?
« La forte conviction que les vrais enseignements des religions invitent à demeurer ancrés dans les valeurs de la paix. » Jésus a commandé jusqu’à l’amour des ennemis (Mt 5.44) et l’a pratiqué à la perfection (Lc 23.34). Allah commande la haine : « Entre nous et vous, c’est l’inimitié et la haine à jamais jusqu’à ce que vous croyez en Allah, seul ! (Coran 60.4) ». Qui peut venir APRÈS le Christ, sinon l’Antichrist ?
> « Le terrorisme détestable qui menace la sécurité des personnes, aussi bien en Orient qu’en Occident, au Nord ou au Sud, répandant panique, terreur ou pessimisme n’est pas dû à la religion – même si les terroristes l’instrumentalisent – mais est dû à l’accumulation d’interprétations erronées des textes religieux…» Il n’est pas question ici de « mauvaise interprétation » puisqu’il s’agit de faits, d’une part,et que d’autre part le Coran est une parole « évidente (Coran 4.1746.57) », « explicite (Coran 44.2) », « sans ambiguïté (Coran 18.1) »…
« C’est une nécessité indispensable de reconnaître le droit de la femme à l’instruction, au travail, à l’exercice de ses droits politiques. (…) Il est aussi nécessaire de la protéger de l’exploitation sexuelle et du fait de la traiter comme une marchandise ou un moyen de plaisir ou de profit économique. » Les musulmans sont-ils vraiment prêts à rejeter le modèle de Mahomet, qui a enseigné l’infériorité ontologique des femmes (Coran 2.228), avec le devoir de les battre (Coran 4.1534)lui à qui Allah a donné autant de femmes qu’il voulait (Coran 33.50)réduisant une foule d’entre elles en esclavage (Coran 33.52)abominable trafic dont il s’est enrichi (Coran 8.4159.6) ?
D’où vient l’« espérance en un avenir lumineux pour tous les êtres humains » d’Al-Tayyeb et de François, si l’islam doit remplacer toutes les religions (Coran 2.193) ? L’avenir que Jésus nous a promis ici-bas n’est-il pas apocalyptique (Mt 24) ? Si pour François« il y a un seul grand danger en ce moment : la destruction, la guerre, la haine entre nous », pour moi, le seul grand danger, maintenant et jusqu’à la fin du monde, est celui de la damnation. Vouloir lui échapper donne la force de porter la croix, seul moyen de vaincre les puissances de l’Enfer et d’éviter les compromissions qui y conduisent. Si Jésus n’avait eu d’autre souci que d’éviter la destruction, la guerre et la haine, Il n’aurait pas invité ses disciples à porter leur croix (Lc 9.2314.27) et Se serait bien gardé de Lui-même exciter la haine de tous (Mt 10.34Mc 13.13Lc 12.51Jn 15.25). En conclusion, gardons les si religieusement incorrectes recommandations de saint Paul : « Ne formez pas d’attelage disparate avec des infidèles. Quel rapport en effet entre la justice et l’impiété ? Quelle union entre la lumière et les ténèbres ? Quelle entente entre le Christ et Satan ? Quelle association entre le fidèle et l’infidèle ? (2 Co 6.14-15) ».
Abbé Guy Pagès, auteur de Interroger l’islam, Mille et une questions à poser aux musulmans, DMM, 4ème édition, 2018.

[1] L’adjectif pléonastique « commune » ajouté à « coexistence » semble trahir ce que celle-ci a de problématique…
Article paru sur le site du Professeur Sami Aldeeb.

JOSEF SEIFERT : FRANÇOIS A REJETÉ LE CHRISTIANISME ET TRANSFORMÉ DIEU EN RELATIVISTE !

(8 février 2019) - Le célèbre philosophe autrichien Josef Seifert a vivement critiqué la déclaration du pape François à Abou Dhabi selon laquelle le pluralisme et la diversité des religions sont « voulus par Dieu ». Dans un article publié sur en.gloria.tv le 8 févrierSeifert demande : « Comment Dieu peut-il vouloir des religions qui nient la divinité et la résurrection du Christ ? » Pour Seifert, la déclaration de François « contient toutes les hérésies » et fait de Dieu un relativiste qui « ne sait pas » qu’il n’y a qu’une seule vérité et « ne se soucie pas » de savoir si les hommes croient en la vérité ou en la fausseté.
Il conclut que, dans son document d’Abou Dhabi, François « a rejeté le christianisme » et implique que Dieu doit haïr l’Église catholique car elle rejette toute relativisation de la religion chrétienne qui en ferait une des nombreuses religions contradictoires.
Seifert demande à François de renier son hérésie, « S’il ne le fait pas, je crains que le droit canonique selon lequel un pape perd automatiquement son office lorsqu’il professe une hérésie doive s’appliquer, surtout lorsqu’il professe la somme de toutes les hérésies. » SOURCE :
Josef Seifert : François a "rejeté le christianisme" et transformé Dieu en "relativiste"

DÉCLARATION D'ADOU DHABI : FRANÇOIS SE FAIT PRENDRE DANS DES CONTRADICTIONS !

(9 mars 2019) - L’évêque Athanasius Schneider a obtenu du pape François une clarification privée concernant sa déclaration. controversée à Abou Dhabi.

La déclaration affirme que « le pluralisme et la diversité des religions, la couleur, le sexe, la race et la langue sont voulus par Dieu dans sa sagesse ». Confronté par Schneider lors d’une visite Ad Limina le 1er mars, Francis a expliqué que « la diversité des religions n’est que la volonté permissive de Dieu ». Schneider a qualifié la réponse de François de « très claire » sur LifeSiteNews.com (7 mars). Cependant, Schneider a objecté que la phrase controversée incluait la diversité de sexe et de race qui est voulue de manière positive (et non de manière permissive) par Dieu. À ce stade, François a admis que sa phrase « peut être comprise à tort ».

SOURCE : François explique la déclaration d'Abou Dhabi, se fait prendre dans des contradictions

JOSEF SEIFERT SOULIGNE LES TERRIBLES CONSÉQUENCES DE LA DÉCLARATION D'ABOU DHABI !

13 mars 2019 - La déclaration du pape François à Abou Dhabi implique « la fin du christianisme » et constitue « l’hérésie de toutes les hérésies »a déclaré le philosophe Josef Seifert à Gloria.tv (vidéo en allemand ci-dessous).
La déclaration affirme que Dieu veut la diversité des religions. Cependant le 1er mars, François expliquait à Mgr Athanasius Schneider qu’il entendait uniquement la volonté permissive de Dieu (« Dieu le permet ») et non sa volonté positive ( « Dieu veut »).
Seifert pense que cette explication est « insuffisante » car la déclaration « totalement inacceptable » ne peut être corrigée par une conversation privée mais doit être révoquée publiquement. En outre, l’explication de François est erronée car aucune déclaration solennelle n’est nécessaire pour signaler qu’il n’existe rien qui ne soit « permis » par Dieu, y compris la chute de Satan ou l’extermination de millions de personnes à Auschwitz, explique Seifert. Il donne un exemple: « Imaginons le pape qui aurait dit : « Dès la création, Dieu voulait la diversité des hommes et des femmes et le meurtre de millions de personnes à Auschwitz. » Le monde entier serait alors scandalisé et le pape devrait s’excuser pour une telle déclaration terrible. » Le fait que Dieu permette de grands maux est totalement différent de sa volonté créatrice et positive : « Les deux ne peuvent pas être mentionnés dans le même souffle ».
SOURCE : Josef Seifert souligne les terribles conséquences de la déclaration d'Abou Dhabi

RÉACTION DE MGR ATHANASIUS SCHNEIDER À LA DÉCLARATION DU PAPE FRANÇOIS À ABOU DHABI !

La Lettre de Paix liturgique lettre 682 bis du 16 Février 2019
Le don de l’adoption filiale. La foi chrétienne seule religion valide et voulue par Dieu La Vérité de l’adoption filiale en Jésus-Christ, vérité intrinsèquement surnaturelle, constitue la synthèse de toute la Révélation divine. Être adopté par Dieu comme fils constitue toujours un don gratuit de la grâce le don le plus sublime de Dieu à l’humanité. On ne l’obtient, cependant, qu’à travers la foi personnelle en Jésus-Christ et par la réception du baptême, ainsi que le Seigneur l’a lui-même enseigné : « En vérité, en vérité, je te le dis, aucun homme, s’il ne renaît de l’eau et de l’Esprit-Saint, ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l’esprit est esprit. Ne t’étonnes pas de ce que je t’ai dit : “Il faut que vous naissiez de nouveau.” » (Jn 35-7).
Au cours de ces dernières décennies on a souvent entendu – y compris de la bouche de certains représentants de la hiérarchie de l’Église – des déclarations à propos de la théorie des « chrétiens anonymes ». Cette théorie affirme ce qui suit : la mission de l’Église dans le monde consisterait au bout du compte à faire naître la conscience que tous les hommes doivent avoir de leur salut en Jésus-Christ, et par voie de conséquence, de leur adoption filiale en Jésus-Christ. Car, selon cette même théorie, chaque être humain possède déjà la filiation divine dans les profondeurs de sa personnalité. Cependant, une telle théorie contredit directement la Révélation divine, telle que le Christ l’a enseignée et que ses apôtres et l’Église ont toujours transmise depuis plus de 2000 ans, sans changement et sans l’ombre d’un doute.
Dans son essai Le mystère des juifs et des gentils dans l’Église (Die Kirche aus Juden und Heiden), Erik Peterson, converti et exégète bien connu, a depuis bien longtemps – c’était en 1933 – mis en garde contre le danger d’une telle théorie, affirmant que l’on ne peut réduire le fait d’être chrétien (Christsein) à l’ordre naturel, où les fruits de la rédemption acquise par Jésus-Christ seraient généralement imputés à chaque être humain comme une sorte d’héritage du seul fait que celui-ci partagerait la nature humaine avec le Verbe incarné. Mais l’adoption filiale en Jésus-Christ n’est pas un résultat automatique qui serait garanti par l’appartenance à la race humaine.
Saint Athanase (cf. Oratio contra Arianos II59) nous a laissé une explication à la fois simple et pertinente à propos de la différence entre l’état naturel des hommes en tant que créatures de Dieu et la gloire de celui qui est fils de Dieu en Jésus-Christ. Saint Athanase tire son explication des paroles du saint Évangile selon saint Jean qui affirment : « Mais, à tous ceux qui l’ont reçu, il a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, à ceux qui croient en son nom, qui ne sont pas nés du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu. » Jean utilise l’expression « ils sont nés » pour dire que les hommes deviennent fils de Dieu non par nature, mais par adoption. Cela montre l’amour de Dieu, le fait que Celui qui est leur créateur devient aussi alors, par la grâce, leur Père. Cela se produit lorsque, comme le dit l’Apôtre, les hommes reçoivent dans leur cœur l’esprit du Fils incarné, qui crie en eux : « Abba Père ! »
Saint Athanase poursuit son explication en disant qu’en tant qu’êtres créés, les hommes ne peuvent devenir fils de Dieu que par la foi et le baptême, lorsqu’ils reçoivent l’Esprit du véritable Fils de Dieu, le Fils de Dieu par nature (verus et naturalis Filius Dei). C’est précisément pour cette raison que le Verbe est devenu chair, afin de rendre les hommes capables d’adoption en tant que fils de Dieu et de participation à la nature divine. Par conséquent par nature, Dieu n’est pas au sens propre le Père de tous les êtres humains. C’est seulement si une personne accepte consciemment le Christ et est baptisée qu’elle pourra crier en vérité : « Abba, Père » (Rom 815Gal 46).
Depuis les débuts de l’Église cette affirmation a existé, comme en témoignait Tertullien : « On ne naît pas chrétien, mais on devient chrétien » (Apol.185). Et saint Cyprien de Carthage a formulé cette vérité avec justesse, en affirmant : « Il ne peut pas avoir Dieu pour père, celui qui n’a pas l’Église pour mère » (De unit.6).
La tâche la plus urgente de l’Église en notre temps est de se soucier du changement climatique spirituel et de la migration spirituelle, à savoir de ce que le climat de non croyance en Jésus-Christ, le climat du rejet de la royauté du Christ, puissent être changés en climat de foi explicite en Jésus-Christ, en climat d’acceptation de sa royauté, et que les hommes puissent migrer depuis la misère de l’esclavage spirituel de l’incroyance vers le bonheur d’être fils de Dieu, et depuis une vie de péché vers l’état de grâce sanctifiante. Voilà les migrants dont il est urgent que nous prenions soin.
Le christianisme est la seule religion voulue par Dieu. Donc, il ne peut jamais être mis côte à côte avec les autres religions comme s’il en était complémentaire. Ceux-là violeraient la vérité de la révélation divine, telle qu’elle est affirmée sans équivoque dans le Premier commandement du Décalogue, qui affirmeraient que la diversité des religions est voulue par Dieu. Selon la volonté du Christ, la foi en Lui et en son enseignement divin doit remplacer les autres religions, cependant non pas par la force, mais par la persuasion aimante, tel que cela est exprimé dans l’hymne des Laudes de la fête du Christ Roi : « Non Ille regna cladibusnon vi metuque subdidit : alto levatus stipiteamore traxit omnia » (« Il assujettit les peuples ni par l’épée, ni par la force ni la peur, mais élevé sur la croix Il attire amoureusement toutes choses à Lui »).
Il n’y a qu’un chemin vers Dieu, et c’est Jésus-Christ, car Lui-même a dit : « Je suis le chemin » (Jn 146). Il n’y a qu’une vérité, et c’est Jésus-Christ, car Lui-même a dit : « Je suis la vérité » (Jn 146). Il n’y a qu’une vraie vie surnaturelle de l’âme, et c’est Jésus-Christ car Lui-même a dit : « Je suis la vie » (Jn146).
Le Fils incarné de Dieu a enseigné qu’en dehors de la foi en Lui il ne peut y avoir de religion vraie et agréable à Dieu : « Je suis la porte. Si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé » (Jn109). Dieu a commandé à tous les hommes, sans exception, d’écouter son Fils : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, écoutez-Le ! » (Marc97). Dieu n’a pas dit : « Vous pouvez écouter mon Fils ou vous pouvez écouter d’autres fondateurs de religion, car c’est ma volonté qu’il y ait diverses religions. » Dieu nous a interdit de reconnaître la légitimité de la religion d’autres dieux : « Tu n’auras point d’autres dieux (étrangers) devant moi » (Ex. 203) et : « Ne portez pas un même joug avec les infidèles, car quelle union y a-t-il entre la justice et l’iniquité ? Ou quelle association entre la lumière et les ténèbres ? Ou quel accord entre le Christ et Bélial ? Ou quelle part entre le fidèle et l’infidèle ? Quel rapport entre le temple de Dieu et les idoles ? » (2 Cor. 614-16).
Si d’autres religions correspondaient de la même manière à la volonté de Dieu, il n’y aurait jamais eu la condamnation divine de la religion du Veau d’or au temps de Moïse (cf. Ex. 324-20) et s’il en était ainsi les chrétiens d’aujourd’hui pourraient impunément cultiver la religion d’un nouveau Veau d’or puisque toutes les religions sont selon cette théorie des chemins qui plaisent aussi à Dieu. Dieu a donné aux Apôtres et à travers eux à l’Église pour tous les temps l’ordre solennel d’instruire toutes les nations et les croyants de toutes les religions dans l’unique Foi véritable en leur apprenant à observer tous ses commandements divins et en les baptisant (cf. Mt. 2819-20). Depuis les prédications des Apôtres et du premier pape l’apôtre saint Pierre l’Église a toujours proclamé qu’il n’y a de salut en aucun autre nom c’est-à-dire en aucune foi sous le ciel par lequel les hommes doivent être sauvés mais au Nom et dans la Foi en Jésus-Christ (cf. Actes 412).
Avec les mots de saint Augustin, l’Église a enseigné de tout temps (à propos de la religion chrétienne) : « Voilà cette religion qui nous ouvre la voie universelle de la délivrance de l’âme, voie unique, voie vraiment royale, par où on arrive à un royaume qui n’est pas chancelant comme ceux d’ici-bas, mais qui est appuyé sur le fondement inébranlable de l’éternité » (La Cité de Dieu10321).
Ces paroles du grand pape Léon XIII témoignent du même enseignement immuable du Magistère de tous les temps, lorsqu’il affirmait : « Mettre sur le pied de l’égalité toutes les formes religieuses (…) à lui seul, ce principe suffit à ruiner toutes les religions, et particulièrement la religion catholique, car, étant la seule véritable, elle ne peut, sans subir la dernière des injures et des injustices, tolérer que les autres religions lui soit égalées » (Encyclique Humanum genus n° 16).
À une époque récente, le Magistère a présenté en substance le même enseignement immuable dans le document Dominus Iesus (6 août2000), dont nous citons ces affirmations pertinentes : « Cette distinction n’est pas toujours présente dans la réflexion actuelle, ce qui provoque souvent l’identification entre la foi théologale, qui est l’accueil de la vérité révélée par le Dieu Un et Trineet la croyance dans les autres religions, qui est une expérience religieuse encore à la recherche de la vérité absolue, et encore privée de l’assentiment à Dieu qui se révèle. C’est là l’un des motifs qui tendent à réduire, voire même à annuler, les différences entre le christianisme et les autres religions » (n° 7).
« Les solutions qui envisageraient une action salvifique de Dieu hors de l’unique médiation du Christ seraient contraires à la foi chrétienne et catholique » (n° 14). « On se propose souvent d’éviter en théologie des termes comme “unicité” “universalité” “absolu”parce qu’ils donneraient l’impression d’une insistance excessive sur le sens et la valeur de l’événement salvifique de Jésus-Christ vis-à-vis des autres religions. Or, ce langage exprime en fin de compte la fidélité à la Révélation » (n° 15).
« Il serait clairement contraire à la foi catholique de considérer l’Église comme un chemin de salut parmi d’autres. Les autres religions seraient complémentaires à l’Église, lui seraient même substantiellement équivalentes, bien que convergeant avec elle vers le Royaume eschatologique de Dieu » (n° 21).

« Cette vérité de foi (…) exclut radicalement la mentalité indifférentiste “imprégnée d’un relativisme religieux qui porte à considérer que ‘toutes les religions se valent’ (Jean-Paul II, Lettre encyclique Redemptoris missio 36)” » (n° 22).
On aurait épargné le martyre aux Apôtres et aux innombrables martyrs chrétiens de tous les temps, spécialement ceux des trois premiers siècles, s’ils avaient dit : « La religion païenne et son culte est un chemin qui correspond aussi à la volonté de Dieu. » Il n’y aurait pas eu par exemple de France chrétienne, pas de « Fille aînée de l’Église » si saint Remi avait dit à Clovis, roi des Francs : « Ne méprisez pas la religion païenne que vous avez adorée jusqu’à présent et adorez désormais le Christ que vous avez persécuté jusqu’à maintenant. » Le saint évêque a en réalité parlé très différemment, même si c’est d’une manière assez rude : « Adore ce que tu as brûlé, et brûle ce que tu as adoré. »
La vraie fraternité universelle ne peut se réaliser qu’en Jésus-Christ, et précisément entre personnes baptisées. La pleine gloire de fils de Dieu ne sera atteinte que dans la vision béatifique de Dieu au ciel comme l’enseigne la Sainte Écriture : « Voyez quel amour le Père nous a témoigné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu et que nous le soyons en effet. Si le monde ne nous connaît pas, c’est parce qu’il ne l’a pas connu. Bien-aimés, nous sommes dès maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n’a pas encore été manifesté. Nous savons que, lorsque ce sera manifesté, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu’il est. » (1 Jn 31-2).
Aucune autorité sur terre – pas même l’autorité suprême de l’Église – n’a le droit de dispenser les gens d’autres religions de la foi explicite en Jésus-Christ en tant que Fils incarné de Dieu et seul sauveur de l’humanité, et ce avec l’assurance que les différentes religions sont voulues en tant que telles par Dieu lui-même. Elles restent indélébiles – car écrites du doigt de Dieu et d’une clarté cristalline – les paroles du Fils de Dieu : « Celui qui croit en Lui n’est pas jugé, mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu’il ne croit pas au nom du Fils unique de Dieu » (Jn318). Cette vérité a valu jusqu’à maintenant pour toutes les générations chrétiennes, et elle restera valide jusqu’à la fin des temps, indépendamment du fait que certaines personnes dans l’Église en notre temps si capricieux, si lâche, si avide de sensationnel et conformiste, réinterprète cette vérité dans un sens contraire à sa formulation évidente, présentant ainsi cette réinterprétation comme si elle constituait une continuité du développement de la doctrine.
En dehors de la foi chrétienne, aucune autre religion ne peut être un chemin vrai, voulu par Dieu, puisque la volonté explicite de Dieu est celle-ci : que tous croient en son Fils : « La volonté de mon Père qui m’a envoyé, c’est que quiconque voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle » (Jn 640). En dehors de la foi chrétienne, aucune autre religion n’est capable de transmettre la vraie vie surnaturelle : « Or la vie éternelle, c’est qu’ils vous connaissent, vous le seul vrai Dieu, et celui que vous avez envoyé, Jésus-Christ » (Jn173).
fait le 8 février 2019
Athanasius Schneider, évêque auxiliaire de l’archidiocèse de Sainte-Marie à Astana (Kazakhstan) SOURCE : Paix Liturgique - Lettre 682.

UNE RELIGIEUSE DÉRACINÉE… PAR CE QUI SE PASSE DANS L'ÉGLISE CATHOLIQUE !

Elle a écrit à Aldo Maria Valli pour lui confier ses doutes et son désarroi face à la tournure que prend « l’Église de François » (19/3/2019)

«VOICI POURQUOI MOI AUSSI, RELIGIEUSE, JE ME SENS DÉRACINÉE»
Aido Maria Valli www.aldomariavalli.it 19 mars 2019 Ma traduction
* * *
Chers lecteurs, une religieuse m’a écrit. Elle vit depuis de nombreuses années dans une chartreuse et a ressenti le besoin d’ouvrir son cœur, confiant toute la confusion et la douleur qu’elle ressent face à la situation dans laquelle se trouve l’épouse du Christ.

Cher frère, la déclaration d’Abu Dhabi m’a laissé consternée. Qui est ce Dieu au nom duquel la Déclaration de l’Émirat a été signée ? Ce ne peut pas être le Dieu catholique, qui d’ailleurs n’est pas catholique, comme Bergoglio l’a dit à Scalfari. Il a plutôt toutes les caractéristiques du Dieu moderniste, produit de la conscience (ou des loges), qui vit et parle dans le sentiment religieux de chacun qui recrute partout ses disciples pour en faire une fraternité universelle dont la volonté positive est de forger une Nouvelle Religion de Tolérance (multiethnique, pacifiste, écologique et, nous y sommes déjà, végane aussi) qui embrasse toutes les religions comme autant de facteurs externes d’une expérience religieuse intime à intégrer. Dans la foi en cette divinité se trouve la solution à tous les problèmes qui affligent le monde. Le Catéchisme de l’Église catholique (oui, puisque je suis une bigote ‘démodée‘ [en français dans le texte], je me réfère encore au Catéchisme) en parle comme d’une imposture religieuse très insidieuse (CEC657).
Nous avons appris que l’évêque auxiliaire d’Astana, l’Athanase de nos jours funestes qui ressemblent beaucoup à ceux du quatrième siècle arien, a rencontré le pontife. Fort bien. Ce fut une expérience spirituelle. L’évêque dit aussi qu’il a prié selon les intentions du Pape pour obtenir une indulgence plénière (indulgences ? Celles-là sont bel et bien démodées. Maintenant, il y a le miséricordisme pour tous !). Quoi qu’il en soit, le Vicaire du Christ sur la terre a été très fraternel et aimable envers lui. Atmosphère très conviviale. François l’a invité à s’exprimer librement, y compris avec les critiques. Lui, en effet, il apprécie une conversation très libre….
Je ne fais pas de caricatures irrévérencieuses. Tout cela ressort de l’interview que Monseigneur Athanasius Schneider a donnée à LifeSiteNews. (Mais entre parenthèses, Schneider n’était-il « aux arrêts », il n’y a pas si longtemps, pour avoir parlé avec trop de parrésia ? N’a-t-il pas reçu l’ordre de s’abstenir de voyager et de donner de ces conférences, au cours desquelles il se permet de jeter des pierres, de répandre des doctrines trop rigides?)
Monseigneur Schneider voudrait « herméneutiser » le document d’Abu Dhabi. À ce jour, le texte n’a été ni corrigé ni mis à jour, et ne le sera jamais. Avec tout le respect et l’estime que j’ai pour Monseigneur Schneider, véritable fer de lance, il me semble qu’il pèche par naïveté.
Cher frère, dans ton article tu conclus avec une question: cette façon de concevoir le munus docendi de la part du Pape ne serait-elle pas un peu… désinvolte ? Oh, non, bien sûr que non, cher frère ! Pour Bergoglio, l’Église est un polyèdre, avec toutes ses facettes polychromes et différentes qui la rendent si variée et intéressante par sa pluralité, et non catholiquement monolithique (chose abominable).
En plus, le Pape, en plus d’être capable de gérer le polyèdre, est péroniste. Selon l’occasion, il donne raison à tous, tant à ceux qui disent A qu’à ceux qui disent B, où B est exactement le contraire de A.
Pour moi, pauvre bigote, le polyèdre évoque au contraire le désordre, la déconstruction, la cacophonie, la laideur. Et en fait, les œuvres de la Sagesse Divine sont tout autre.
Quel frisson ! Entre le péronisme des demi-vérités qui sont des demi-mensonges, la figure étrange du polyèdre et les principes non catholiques (ceux selon lesquels la réalité est supérieure à l’idée etc.), il y a tous les ingrédients d’un esprit luciférien. Je crois que j’entends le Seigneur, divinement indigné: «Arrière! Tu ne penses pas selon Dieu !».
Cher Frère, beaucoup d’entre nous se sentent découragés et fatigués, mais surtout confus, « déracinés ». Il y a de la papolâtrie, dépendance à la rhétorique en vogue, renoncement en position couchée, cécité même au monastère. Et cela m’inquiète beaucoup, parce que nous confondons l’authentique obéissance ecclésiale avec celle du cléricalisme totalitaire. Moi aussi, je dois résister et me battre: je passe pour une rebelle parce que je ne peux tout simplement pas «porter un toast au Pape» selon l’expression du Cardinal Newman. Le premier de tous les vicaires du Christ m’oblige à préférer la soumission inconditionnelle à la Vérité et à la Volonté divine, que cette Église ne m’enseigne plus et dont elle ne veut plus être l’interprète pour nous.
Le tir de barrage quotidien est épuisant. Tu en sais quelque chose à ce sujet. Quand chaque jour je vais sur ton blog, il me semble que tu cours après la dégradation, une étendue infinie. On est bien loin de Duc in altum…. [« Allez au large »: c’est aussi le titre du blog d’AM Valli] Mais déserter n’est pas possible. Il y a une chose qui me dérange beaucoup et qui m’angoisse : l’Église a fini sous le jugement des tribunaux séculiers. Nous avons appris ces jours-ci la nouvelle que la France a demandé au Saint-Siège de lever l’immunité diplomatique du Nonce, accusé d’agression sexuelle.
Avec l’affaire Barbarin, sans parler de la version australienne encore plus abjecte, l’Église laisse à l’État le soin de tout décider. Et elle est silencieuse. Elle est devenue une sorte d’entreprise responsable des méfaits de ses subordonnés. Ayant malheureusement vendu sa souveraineté et sa liberté inaliénable, elle n’a plus le courage de contester le jugement des tribunaux du monde. Elle a oublié que ce n’est pas le monde qui juge l’Église, mais l’Église qui juge le monde. «Mais qui suis-je pour juger?».

L’Épouse du Christ est devenue méconnaissable, ainsi rabaissée et soumise au monde. Cette reddition de l’Église l’a aussi amenée à porter les armes du monde, avec lesquelles elle procède à la démolition et à l’anéantissement de la Maison de Dieu.
Donnons la parole à notre Mère, libre, sans bâillon, imprenable, indestructible, sainte et victorieuse. Pie X exhortait: «Ayez donc confiance, soyez forts et constants. Qu’aucun d’entre vous ne devienne déserteur. Que votre baptême soit comme une arme, votre foi comme un casque, votre charité comme une lance, votre patience comme une armure complète. Que vos œuvres soient vos trésors, afin que vous puissiez mériter une digne récompense».
De temps en temps, pour me faire taire, on me dit que je ne suis pas une sainte Catherine de Sienne. Bien sûr que non ! Mais elle non plus quand elle a eu l’audace que nous connaissons. Remettons-nous toujours entre les mains du Seigneur et demandons-lui d’abréger cette nuit noire. A la fin, son Cœur triomphera alors que la Vérité nous libère déjà.

SOURCE : benoit-et-moi.fr/…/une-religieuse-deracinee.html

viens-seigneur-jesus.forumactif.com/…passe-dans-l-eglise-catholique
Roger AUBERT

Viganò qualifie François de "garant spirituel du mondialisme"

Mgr Carlo Maria Viganò commente le Rapport McCarrick au micro de Raymond
Arroyo, EWTN : traduction intégrale et officielle
Posted: 13 Nov 2020 01:31 AM PST

L'Eglise Catholique est malade des maux décrits dans l'Apocalypse de Saint Jean. La situation va empirer avec la venue de l'Antichrist ! Pour arrêter ces horribles dérives prions pour que Dieu se hâte de nous mettre tous face à Son Avertissement …Plus
Mgr Carlo Maria Viganò commente le Rapport McCarrick au micro de Raymond

Arroyo, EWTN : traduction intégrale et officielle
Posted: 13 Nov 2020 01:31 AM PST


L'Eglise Catholique est malade des maux décrits dans l'Apocalypse de Saint Jean. La situation va empirer avec la venue de l'Antichrist ! Pour arrêter ces horribles dérives prions pour que Dieu se hâte de nous mettre tous face à Son Avertissement pour que chaque être humain doive choisir la fidélité à Dieu ou la lui refuser avec la conséquence d'aller en Enfer. Jean-Pierre

Mgr Vigano révèle toute la vérité ! Le rôle de Bergoglio est donc plus que louche dans cette affaire. Notre Église est vraiment très malade et, plus que jamais, il faut prier pour elle...

Ce 13 novembre, EWTN a diffusé un entretien réalisé avec Mgr Carlo Maria Viganò par le journaliste Raymond Arroyo à propos du Rapport McCarrick rendu public mardi. Mgr Viganò y est mis en accusation de manière franchement brouillonne et moyennant bien des contradictions. Je vous propose ci-dessous ma traduction, relue et approuvée par Mgr Viganò. La parole est donnée à celui que les rédacteurs du Rapport n'ont pas jugé utile d'interroger… – J.S.

Raymond Arroyo : Excellence, le Rapport affirme que vous "ne vous êtes pas manifesté" pour présenter des éléments de preuve dans le cadre de cette enquête du Vatican : vous a-t-on demandé de fournir des informations ? Avez-vous été contacté par qui que ce soit ?

Mgr Viganò : Je suis surpris de découvrir qu’un rapport dans lequel je suis mentionné 306 fois m’accuse de ne m’être pas « manifesté » pour témoigner dans le cadre de cette enquête du Vatican sur Theodore McCarrick. Mais selon la norme du droit canonique, la convocation des témoins est de la responsabilité de celui qui est chargé de la procédure, sur le fondement des preuves recueillies lors de la phase de l’instruction.
Ma première intervention au sujet de McCarrick, que j’ai faite en tant que délégué des Représentations pontificales à la Secrétairerie d’État, remonte au 6 décembre 2006, à la suite d’un rapport du nonce de l’époque aux États-Unis, l’archevêque Pietro Sambi. Par la suite, en 2008, j’ai présenté un deuxième mémorandum qui faisait état de faits d’une telle gravité et d’une telle précision qu’il m’a conduit à recommander que McCarrick soit déposé comme cardinal et qu’il soit réduit à l’état laïc. Mon témoignage d’août 2018 est connu de tous, tout comme mes déclarations ultérieures.
Il est totalement incompréhensible et anormal qu’il n’ait pas été jugé opportun de faire appel à moi pour témoigner. Mais il est encore plus inquiétant que cette omission délibérée ait ensuite été utilisée contre moi. Et ils ne peuvent pas prétendre que je me sois rendu introuvable : le Secrétariat d’État dispose de mon adresse électronique personnelle, qui est toujours active.
D’autre part, tout comme je n’ai pas été consulté pour la rédaction du Rapport McCarrick, de même en 2012, les trois cardinaux que Benoît XVI a chargés de l’enquête sur Vatileaks 1, ne m’ont pas appelé à témoigner, alors que j’étais aussi personnellement impliqué. C’est seulement après ma demande explicite que le cardinal Julian Herranz, le chef de la Commission, m’a permis de faire une déposition, avec ces mots : « Si vous y tenez vraiment… » !
Par ailleurs, il me semble également significatif que James Grein, la seule victime des agressions sexuelles de McCarrick qui ait eu le courage de le dénoncer publiquement, ne figure pas dans le Rapport, et qu’il n’y ait aucune trace de son témoignage, dans lequel il eût également rapporté le voyage qu’il a fait avec McCarrick à Saint-Gall à la fin des années 1950.
D’après les déclarations publiques de James Grein, il est clair que le début de l’ascension de McCarrick – il était alors un jeune prêtre nouvellement ordonné – a coïncidé avec cette visite en Suisse, dans un monastère qui fut plus tard le lieu des réunions des conspirateurs de ce qu’on appelle la « Mafia de Saint-Gall ». Selon les déclarations du défunt cardinal Godfried Danneels, ce groupe de prélats a décidé de soutenir l’élection de Bergoglio tant après la mort de Jean-Paul II que pendant le conclave qui a suivi la démission controversée de Benoît XVI.
Je rappelle que lors d’une conférence à l’université de Villanova le 11 octobre 2013, celui qui était alors le cardinal McCarrick a reconnu avoir soutenu l’élection du cardinal Bergoglio au début des congrégations générales avant le conclave qui s’était tenu quelques mois plus tôt [en mars 2013].
Je me demande quelle peut être la fiabilité d’un organe judiciaire qui a un conflit d’intérêts aussi évident en raison de sa relation passée avec l’accusé. Comment Bergoglio et la Secrétairerie d’État qui dépend de lui peuvent-ils prétendre à l’impartialité alors que McCarrick s’est rendu au Vatican avec une fréquence anormale, alors qu’en juin 2013 il a été chargé [par Bergoglio] de faire un voyage diplomatique en Chine ? Et comment ne pas penser que leurs tentatives répétées de dissimulation et de déni de leur responsabilité sont à l’origine de l’effort systématique visant à me discréditer en tant que témoin, afin de ne pas mettre en lumière la complicité et les connivences qui existent entre eux et McCarrick lui-même ?

Le Pape, selon le rapport, soutient que vous ne l’avez pas informé en juin 2013 des activités de McCarrick ou des restrictions qui lui étaient imposées. Que répondez-vous à cela ?
Cette déclaration est absolument fausse. Tout d’abord, c’est Bergoglio lui-même, le 23 juin 2013, qui m’a explicitement demandé mon avis sur McCarrick. Comme j’en ai témoigné dans mon Témoignage de 2018 :
Je lui ai répondu en toute franchise […] : « Saint-Père, je ne sais pas si vous connaissez le cardinal McCarrick, mais si vous posez la question à la Congrégation pour les évêques, il y a un dossier sur lui épais comme ça. Il a corrompu des générations de séminaristes et de prêtres et le pape Benoît lui a ordonné de se retirer dans une vie de prière et de pénitence. » Le pape n’a pas fait le moindre commentaire à propos de ces paroles très graves que je lui adressais, et n’a laissé paraître aucune expression de surprise sur son visage, comme s’il était déjà au courant depuis un certain temps, et il a immédiatement changé de sujet. Mais alors, quel était le but du Pape en me posant cette question : « Comment est le cardinal McCarrick ? » A l’évidence, il voulait savoir si j’étais un allié de McCarrick ou non.
Il convient de noter que j’avais appris de McCarrick lui-même que Bergoglio l’avait reçu quatre jours avant mon audience, et que Bergoglio l’avait autorisé à se rendre en Chine. À quoi bon me demander mon avis, puisque Bergoglio tenait déjà McCarrick en très haute estime ?
Entre-temps, McCarrick venait discrètement à Rome, il recevait des missions du Vatican, y compris officielles, et il a poursuivi ses activités comme si de rien n’était. En mai 2014, j’ai eu connaissance par le Washington Times d’un voyage que McCarrick a effectué en République Centrafricaine au nom du Département d’État (le secrétaire d’État était alors John Kerry) : ce voyage est également mentionné dans le Rapport. Cela se situe en 2014. Pourtant, dès 2008, Benoît XVI avait ordonné au cardinal américain de se retirer dans la vie privée, de ne pas célébrer ou assister à des événements publics, et de ne pas faire de voyages.
Pour cette raison, étant donnée la façon dont McCarrick était traité, j’ai demandé au cardinal Parolin si les sanctions contre McCarrick devaient encore être considérées comme valables. Mais je n’ai reçu aucune réponse.
À ce moment-là, ayant fait mon rapport au Pape en personne, et n’ayant reçu aucune réponse du Secrétaire d’État, que pouvais-je faire de plus ? À qui pouvais-je faire appel ?
Le Rapport m’apprend que les affectations et les voyages continuels de McCarrick à l’étranger ont été considérés par l’archevêque Wuerl et même par le nonce Sambi (décédé en 2011) comme une « forme suffisante de mise à l’écart » (cf. note 1013 du Rapport). Et je reste sincèrement choqué d’apprendre par ce Rapport que :
… les indications n’étaient pas des « sanctions » ; elles n’ont pas été imposées par le pape Benoît XVI ; il n’a jamais été interdit à McCarrick de célébrer la messe en public ; il n’a pas été interdit à McCarrick de donner des conférences ; le cardinal Re n’a pas imposé à McCarrick « l’obligation » de se consacrer à une vie de prière et de pénitence ; et McCarrick est resté libre de mener des activités, y compris de voyager, avec l’autorisation du Saint-Siège, y compris du Nonce (cf. note 1006, ibidem).
Si tel est le cas, cela signifie que, malgré la conduite répréhensible du cardinal, le Saint-Siège n’a pas jugé opportun de prendre des mesures disciplinaires à l’encontre de McCarrick, ce qui confirme ma dénonciation de la corruption de la Curie.

Le Rapport se donne beaucoup de peine pour tenter de vous dépeindre comme un laxiste dans l’enquête sur les allégations du Prêtre 3 (il ne fait qu’effleurer le fait que c’est vous qui, le premier, avez fait part de ces préoccupations au Saint-Siège). Avez-vous évité de vous mettre « en position de vérifier la crédibilité du Prêtre 3 » ?

Ce que fut mon rôle dans la mise au jour les scandales de McCarrick est évident, et il est tout aussi évident que j’ai toujours pris des mesures pour rapporter au Saint-Siège toute information qui pouvait être en ma possession. Je rappelle que nous parlons de 2012, alors que je venais d’être nommé Nonce aux États-Unis.
Dans le Rapport, je suis accusé de ne pas avoir donné suite à la demande d’informations concernant les accusations portées par « le Prêtre 3 » contre McCarrick. C’est absolument faux ! Ce sont les auteurs du Rapport eux-mêmes qui fournissent les preuves de la tromperie qu’ils ont fabriquée pour m’écraser et me discréditer. En fait, ailleurs dans le Rapport, il est dit que, le 13 juin 2013, j’ai écrit au Cardinal Ouellet, lui envoyant à la fois la lettre que Mgr Bootkoski m’avait écrite, ainsi que la lettre envoyée au « Prêtre 3 ». Je l’ai informé que la procédure civile du « Prêtre 3 » avait été rejetée sans possibilité d’appel. Mgr Bootkoski a qualifié les accusations du « Prêtre 3 » de fausses et calomnieuses.
Je voudrais souligner un aspect en particulier. Ceux qui m’accusent de ne pas avoir envoyé de communication écrite à Mgr Bootkoski, l’Ordinaire du « Prêtre 3 », évêque de Metuchen, savent très bien que cela dépend des directives précises de la Secrétairerie d’État. Et ils savent tout aussi bien – comme le confirme le rapport – qu’il y a eu une communication téléphonique entre Mgr Bootkoski et moi-même, dont j’ai à mon tour informé le cardinal Ouellet.
Il ne faut pas oublier qu’à cette époque, il y avait des avocats qui ne se contentaient pas de traduire les diocèses en justice pour des crimes commis par des prêtres, mais qui voulaient démontrer que le Saint-Siège lui-même – à la manière du siège d’une société multinationale – était responsable en dernier ressort de l’indemnisation des victimes d’abus. L’avocat Jeffrey Lena en sait quelque chose ; il a réussi, dans deux procédures distinctes, à empêcher que la responsabilité de la dissimulation des abus ne retombe sur le pape Benoît XVI.

Et que pensez-vous du rapport qui attribue à Jean-Paul II et à Benoît XVI la part du lion dans la responsabilité de l’ascension de McCarrick et de sa place dans l’Eglise ?
Les intentions de celui qui a rédigé le Rapport sont claires : transférer la responsabilité des promotions de McCarrick à ses prédécesseurs, dont l’un est décédé et canonisé (Jean-Paul II), l’autre âgé et faible (Benoît XVI). Le premier ne peut se défendre depuis la tombe, tandis que le second est trop doux pour désavouer ouvertement son successeur en le traitant de menteur, et en le discréditant, ainsi que la fonction qu’il détient. Ce qui est troublant, c’est qu’à l’intérieur même du Rapport – qui est manifestement le résultat de l’œuvre de plusieurs mains – il y a de nombreuses contradictions, suffisamment pour que les arguments avancés soient peu crédibles.
Je me demande alors : qui a convaincu Jean-Paul II et Benoît XVI de ne pas prendre en compte les graves accusations portées contre McCarrick ? Qui avait intérêt à ce que McCarrick soit promu, afin qu’il puisse obtenir un avantage en termes de pouvoir et d’argent ?
Quelqu’un a probablement fait croire à Jean-Paul II que les accusations contre McCarrick étaient fabriquées de toutes pièces, sur le modèle des opérations de discrédit que la Pologne communiste avait déjà menées contre de bons évêques et de bons prêtres qui s’opposaient au régime.
Dans le cas de Jean-Paul II, le principal parti intéressé par la promotion de McCarrick était certainement le cardinal Sodano. Il a été secrétaire d’État jusqu’en septembre 2006 : toutes les informations lui sont parvenues. En novembre 2000, le nonce Montalvo lui a envoyé son rapport et les accusations de graves abus commis par McCarrick.
N’oublions pas qu’à cette époque, le scandale du père Maciel a éclaté. Sodano a cherché à le dissimuler en falsifiant une déclaration de Benoît XVI, dans laquelle il était dit que le Pape considérait l’affaire comme close. Benoît XVI a convoqué une session plénière de la Congrégation pour la Doctrine de la foi et le cardinal Arinze a réussi à faire condamner Maciel, malgré l’opposition du Secrétaire d’État.
Le nom du cardinal Sodano apparaît également en relation avec une scandaleuse spéculation immobilière. En 2003, le neveu du cardinal, l’ingénieur Andrea Sodano, avec des lettres de recommandation de son oncle, le Secrétaire d’État, et en sa qualité de consultant du groupe immobilier Follieri (dans certains documents officiels, il est également désigné comme vice-président du groupe), a acquis des biens immobiliers à des prix défiant toute concurrence auprès de diocèses américains condamnés à indemniser les dommages causés par des affaires civiles d’abus sexuels, obtenant ainsi un énorme avantage économique pour lui-même au détriment de l’Église. Raffaello Follieri, le propriétaire du groupe, a été condamné pour fraude et blanchiment d’argent, précisément en raison de transactions téméraires lors de la vente de ces propriétés. Il va sans dire que Follieri avait une relation étroite avec la Clinton Global Initiative et avec la famille Clinton, ainsi qu’avec le parti démocrate : « L’ancien président et la sénatrice Hillary sont nos amis », se vantait Follieri.
Les mêmes connexions, les mêmes complicités, les mêmes connaissances reviennent toujours : McCarrick, Clinton, Biden, les démocrates et les modernistes, ainsi qu’un cortège d’homosexuels et d’agresseurs qui n’est pas sans rapport.
En ce qui concerne Benoît XVI, ceux qui avaient un accès direct et quotidien au Pape étaient le Secrétaire d’État Bertone et le substitut Sandri, qui pouvaient contrôler et filtrer les informations sur McCarrick et exercer une pression sur le Saint-Père.
Une fois de plus, le Rapport parle de lui-même. Celui qui a présenté la question directement au pape Benoît XVI était le cardinal Bertone, qui, contrairement à ce que j’avais avancé à plusieurs reprises – à savoir que les accusations très graves et détaillées contre McCarrick nécessitaient un procès canonique exemplaire menant à son retrait du Collège des cardinaux et à sa réduction à l’état laïque – a amené le pape Benoît à décider qu’aucun procès canonique ne devrait être entrepris ni aucune sanction canonique prescrite, mais qu’au contraire on ferait « un simple appel à la conscience et à l’esprit ecclésial de McCarrick ».
Et là encore, une contradiction flagrante apparaît au grand jour : comment est-il possible de concilier un simple appel à la conscience avec les instructions formelles qui ont été données au nonce Sambi et à moi-même, selon lesquelles McCarrick ne pouvait pas continuer résider dans le séminaire où il vivait alors, ne devait pas participer à des activités publiques, ne devait pas voyager, et qu’il devait mener une vie retirée de prière et de pénitence ?
La corruption dans les plus hautes sphères du Vatican est si évidente qu’elle conduit à considérer le Rapport comme une tentative indigne de faire apparaître Bergoglio comme absolument étranger aux manipulations de la Curie, voire comme une sorte de persécuteur implacable des corrompus, alors que les faits démontrent le contraire. Je dirais que Bergoglio est au deep church ce que Biden est au deep state...
Je voudrais également noter que le fait de reprocher à Jean-Paul II la nomination de McCarrick, malgré l’avis négatif de la Congrégation des évêques et de son préfet le cardinal Re, pourrait s’appliquer également à Jorge Mario Bergoglio lui-même, au sujet duquel le supérieur général des Jésuites a émis de fortes réserves. Si Wojtyla a commis une erreur avec McCarrick et, pour cette raison, est considéré comme implicitement responsable des scandales qui se sont produits, qu’est-ce qui empêche que ce jugement soit également étendu à la promotion de Bergoglio comme archevêque de Buenos Aires et ensuite comme cardinal ? Rappelons que lors du Consistoire de 2001, outre McCarrick et Bergoglio, d’autres membres importants de la mafia de Saint-Gall ont reçu le chapeau rouge…

Y a-t-il d’autres points que nous devrions évoquer ?

En conclusion, je voudrais citer un article récent de Riccardo Cascioli, prenant à mon propre compte son jugement lucide :

Bien que se dégage du Rapport la figure d’un McCarrick prédateur en série, aucune forte réaction n’a été déclenchée avant 2017, date à laquelle est arrivé le premier rapport sur les abus sur mineur. […] En pratique, on nous dit que « les comportements immoraux avec des adultes », bien qu’ils ne soient certainement pas une bonne chose, sont cependant en fin de compte tolérés. La véritable alarme, celle qui permet de prévoir des sanctions, même lourdes, n’est déclenchée que si la personne maltraitée est un mineur. Comme si les dizaines et dizaines de futurs prêtres qui ont partagé le lit de McCarrick, et qui ont donc été pour la plupart condamnés à une vie sacerdotale déséquilibrée, ne comptaient pas vraiment pour beaucoup. Comme si la dévastation morale et la destruction de la foi causées par un évêque-prédateur – vocations perdues, prêtres qui à leur tour ont réitéré les abus, nominations épiscopales faussées par des liens pathologiques – n’étaient qu’un problème mineur.
[…] On a délibérément ignoré le fait que ce qui a permis l’irrésistible ascension de McCarrick est un système de pouvoir connu également sous le nom de lobby gay, qui favorise la nomination et la carrière d’évêques présentant certaines caractéristiques. [...]
Non, il n’y a vraiment aucun signe que l’Église ait appris quoi que ce soit de l’affaire McCarrick ; il y a plutôt le sentiment qu’une personne a été obligée de payer pour que d’autres puissent discrètement continuer. Et en attendant, on avance l’idée que si un prêtre a des tendances homosexuelles, ce n’est pas un problème.

[NdT : l'intégralité de cet article de Riccardo Cascioli a été traduit par benoit-et-moi]

Dans cette farce grotesque, qui se drape maintenant d’un faux semblant de légalisme, on n’hésite pas à traîner toute l’Église dans la boue – son prestige devant le monde, son autorité sur les fidèles – afin de sauver l’image désormais compromise de prélats corrompus, indignes et dépravés. Je me limite à observer que même aujourd’hui, au Vatican, Bergoglio s’entoure encore d’homosexuels notoires et de personnes à la réputation gravement compromise. C’est le désaveu le plus flagrant de l’œuvre prétendument moralisatrice de Bergoglio.

Propos recueillis par Raymond Arroyo, EWTN.

© leblogdejeannesmits pour la traduction.
Roger AUBERT

Un prêtre fait vénérer Krishna dans son église (vidéo)

Texte d’un exorcisme qui nous va comme un gant aujourd’hui
des Avertissements de l'Au-delà, texte littéral des révélations faites par les démons Belzébuth le 8 décembre 1977
Après une bataille acharnée entre l'exorciste et le démon Belzébuth, celui-ci se refusant absolument à parler, voici les aveux qu'il a été contraint de faire, finalement :
B : Ils (il montre en haut) disent : Adorez, …Plus
Texte d’un exorcisme qui nous va comme un gant aujourd’hui

des Avertissements de l'Au-delà, texte littéral des révélations faites par les démons Belzébuth le 8 décembre 1977

Après une bataille acharnée entre l'exorciste et le démon Belzébuth, celui-ci se refusant absolument à parler, voici les aveux qu'il a été contraint de faire, finalement :

B : Ils (il montre en haut) disent : Adorez, adorez davantage, ayez plus de vénération face à la Très-Haute, infinie, sublime, universelle majesté de Dieu. Elle est beaucoup plus haute que vous ne le croyez. Ne tournez jamais le dos au Saint-Sacrement (pénible respiration) et exhortez aussi les autres à adorer la majesté de Dieu, en la leur faisant d'abord connaître. Pensez que devant une telle majesté, tout courage et même toute bonne volonté (halètements et gémissements) ne peuvent paraître, ou que tout devant cette majesté doit se prosterner dans la poussière. Et combien ils doivent se prosterner davantage dans la poussière, et combien ils répugnent à la Majesté divine, ceux qui sont lâches, comme les supérieurs, Évêques et prêtres actuels, lesquels, au nom de Dieu, n'ont aucun courage et se tournent plus vers les choses extérieures que vers ce qui est leur devoir: ce que Ceux là-haut (il montre en haut) leur ordonnent, ce que l'impulsion de la grâce leur inspire. Souvent ils ne correspondent pas aux impulsions de la grâce (parce que c'est si difficile à notre époque), et prennent le chemin de la prétendue obéissance, qui n'est plus l'obéissance selon Eux là-haut (il montre en haut), comme nous avons déjà été contraints de le dire. Il viendra un temps où tous, bons et mauvais, modestes et orgueilleux (respiration très pénible), malades et bien portants, où tous y verront clair. Mais beaucoup n'y verront clair que trop tard, ou quand ils auront déjà laissé passer beaucoup de grâces et qu'ils en auront déjà induit beaucoup en erreur. Voilà ce qui est tragique, font dire Ceux de là-haut (il montre en haut), parce qu'on ne peut plus ramener en arrière un homme qui est perdu et va en enfer et qu'on ne peut plus rien faire pour sauver son âme, si elle est déjà perdue. Il y a beaucoup d'âmes qui dans ces dix dernières années sont mortes et auraient été sauvées, si elles avaient été bien conduites par les prêtres, les Évêques et les supérieurs. C'est horriblement tragique (cris et hurlements de
désespoir), c'est horriblement tragique et cela ne peut plus être réparé… Nous sommes contraints de le dire (hurlements épouvantables).
Elle (il montre en haut) est fêtée aujourd'hui, en ce jour de sa fête comme Mère, comme Immaculée Conception… Elle est là et célèbre sa fête. Le Christ était totalement sans péchés et sans défauts, et elle-même était sans le moindre péché ni défaut. Elle est et elle était sans la moindre souillure.
Mais les hommes poursuivent leur chemin avec leurs souillures et leurs défauts, et croient que c'est un assainissement et qu'il n'y a aucune faute à claironner leurs idées dans le monde et à y convertir les autres. Ils veulent souvent enseigner aux autres ce qu'ils ont dans leur cœur.
Mais ce n'est pas bien parce que ces doctrines qu'ils ont dans leur cœur sont fausses. Ils devraient, ils devraient…
On ne peut pas jeter tout simplement par-dessus bord une Église, une messe et des sermons qui ont existé pendant des dizaines et des centaines d'années. Le clergé est aveugle. Le clergé verra trop tard. Beaucoup parmi eux se perdront parce qu'ils n'ont pas voulu y voir clair. Nous sommes contraints de dire tout cela en ce jour de sa fête, de l'Immaculée Conception, de Celle qui a été conçue totalement immaculée. Elle Lui a toujours obéi, elle n'a fait que cela, dans les plus grandes choses comme dans les plus petites, elle n'a fait qu'accomplir Sa volonté. Oui, elle a fait plus encore que le Christ n'avait exigé d'elle absolument. Oh, que n'a-t-elle pas accompli dans sa grande vertu ! Elle en a même accompli davantage qu'on n'en attendait là-haut (il montre en haut).
Mais vous les hommes et surtout le clergé, vous n'accomplissez même pas ce que vous devriez accomplir. Certes, il n'est pas sans péché originel, le clergé; cela est réservé à la Toute-Pure (il montre en haut). Mais ils ont encore beaucoup d'illuminations, ces prêtres, ces Évêques, ces supérieurs et ces laïcs ; ils pourraient y correspondre, s'ils voulaient. S'ils priaient davantage l'Esprit-Saint, ils pourraient beaucoup mieux accomplir ce que Ceux là-haut (il montre en haut) veulent, selon toute justice et comme on s'en rendra compte à la fin, car ils (ces prêtres, ces laïcs…) se trompent. Elle n'est pas dans les vues de Ceux là-haut (il montre en haut), la façon actuelle du clergé de gouverner et de conduire l'Église. Ce sont nos vues (d'une voix forte) à nous, en bas (il montre en bas), nous sommes contraints de le dire. Être obligés de le dire ! Nous y sommes obligés en ce jour de l'Immaculée Conception, Celle là-haut (il montre en haut), dont aucun homme ne peut mesurer, même de, façon approximative, la pureté et la sublimité (hurlements) !
Même nous qui sommes en bas, qui sommes fiers et qui étions des anges, même nous, nous devons nous incliner devant tant de sublimité, de pureté et de vertus, nous incliner dans la poussière. Combien plus devriez-vous vous abîmer dans la poussière et la cendre, vous, les hommes, mais vous ne le faites pas. La plupart des hommes pensent encore qu'ils sont presque saints quand ils se mettent à part des autres qui sont encore vraiment humbles et veulent réparer. Beaucoup pensent que ce qui est déjà du vice est de la vertu (gémissements et halètements).
Quand Elle viendra (il montre en haut), quand elle viendra (d'une voix terrible), et cela vient…, il sera trop tard. Alors pour beaucoup, il sera trop tard. Ils ne se rendent pas compte ; beaucoup ne croient pas non plus au grand avertissement ou à la grande catastrophe. Beaucoup ne croient même pas, et bien moins encore, à ce que déclare ce livre (des «Avertissements»), à ce qu'il lui a fallu déclarer (terribles gémissements).
Si nous pouvions revenir en arrière, nous agirions mieux. Comme nous agirions mieux, si nous le pouvions encore (cris, sanglots d'une voix bouleversante). Si nous pouvions, si nous pouvions revenir en arrière !… Si nous pouvions avoir encore ces dix dernières secondes que nous avons eues là-haut (il montre en haut), avant d'être précipités dans l'abîme, si nous les avions encore une fois, seulement ces dix dernières secondes (cris de désespoir), pour pouvoir adorer encore Sa Majesté et dire : nous regrettons; nous avons voulu, dans notre fierté insensée, être plus que votre infinie Majesté. Nous regrettons, ne nous damne pas ! Emmène-nous Là-haut (il montre en haut), laisse-nous Là-haut dans le dernier recoin… Mais il est trop tard, il est trop tard pour nous… il est trop tard pour nous… Nous ne pouvons plus rien faire (avec un indicible désespoir, des hurlements et des pleurs)… Ce désespoir, ce tourment sans fin… ces ténèbres qui nous entourent pour toute l'éternité…
Hommes, ouvrez les yeux ! Clergé, prêtres, supérieurs, Évêques, ouvrez les yeux ! Revenez en arrière ! Nous, nous ne le pouvons plus… Mais vous, vous le pouvez encore. Vous avez encore ces dernières heures et secondes.
Beaucoup parmi vous ont encore des années ; à quoi bon si vous ne les utilisez pas comme il faut ? À quoi cela vous sert-il ? À quoi bon, si vous faites ce qu'il ne faut pas et non pas ce que vous devriez faire ? Savez-vous ce que nous ferions, si nous le pouvions encore ? Mais nous ne pouvons plus, nous ne pouvons plus !
Les ténèbres sont épouvantables, épouvantable est le ver qui ronge, épouvantable est le feu qui nous entoure et auquel nous ne pouvons échapper. Mais, épouvantables sont aussi devant Dieu, ces prêtres, supérieurs et Évêques qui dans leur fierté veulent s'élever au-dessus du Bien, au-dessus des messages, avertissements et exhortations de Ceux là-haut (il montre en haut), et ne veulent pas faire ce que Ceux là-haut (il montre en haut) veulent et ont prévu.
Beaucoup de laïcs en pâtissent; le clergé les entraîne avec lui, parce que les laïcs croient le clergé, veulent lui accorder foi, et le doivent, normalement. Mais à de tels hommes, ils ne peuvent plus, et ne doivent plus accorder foi. Judas a déjà dit le 17 juillet 1975 : Maintenant, on ne peut plus obéir. Et cela, nous sommes contraints de le répéter en ce jour de Sa fête, de l'Immaculée Conception.
Suivez le chemin de la croix, écoutez les exhortations, les bonnes exhortations. Certains, sans doute, reçoivent des grâces, et pourtant ne sont pas bons, mais cela se remarque vite chez eux (respiration pénible).
Ne regardez ni à droite, ni à gauche, ni devant, ni derrière, ni vers l'est, ni l'ouest, mais uniquement en haut, même si cette volonté d'En-Haut (il montre en haut) est maintenant difficile à accomplir. N'accomplissez pas de volonté autre que celle d'En-Haut (il montre en haut), car nous avons vu ce qu'il en coûte de contredire Sa Majesté infinie… Nous avons contredit et il nous faut expier maintenant éternellement… Nous ne pourrons plus jamais revenir en arrière… Et beaucoup de ces prêtres ne pourront plus jamais revenir en arrière, et c'est leur perte…
Nous avons fini de parler pour aujourd'hui, jour de l'Immaculée Conception.
Roger AUBERT

L'archevêque de Paris qualifie la messe de "petit business"

Message du 7 décembre 2005 à Monique-Marie.
Jésus
 : Maintenant, je vais te parler de la France. C'est pour elle que je viens.
Ma Chère Fille aînée, ô Ma France bien-aimée
Aime tes saints,
Vénère-les,
Connais-les,
Tant sont morts pour toi, Pour que tu me connaisses !
Tant ont été martyrisés pour toi
Pour que tu me connaisses !
Tant ont subi les pires tortures
Pour que tu me connaisses !
Saint …Plus
Message du 7 décembre 2005 à Monique-Marie.

Jésus
 : Maintenant, je vais te parler de la France. C'est pour elle que je viens.
Ma Chère Fille aînée, ô Ma France bien-aimée
Aime tes saints,
Vénère-les,
Connais-les,
Tant sont morts pour toi, Pour que tu me connaisses !
Tant ont été martyrisés pour toi
Pour que tu me connaisses !
Tant ont subi les pires tortures
Pour que tu me connaisses !
Saint Irénée n'est pas mort seul à Lyon en 202.
19 000 chrétiens sont morts avec lui,
19 000 martyrs !
Montmartre n'est pas un mont ordinaire.
C'est le mont des Martyrs, Saint Denys, saint Eleuthère y ont été décapités
Pour que tu me connaisses !
Oui, toi, Ma fille aînée, tu dois plus encore aux saints
Car tu as été le pays le plus aimé, le plus choyé
par ma grâce.
Souviens-toi :
Tu as été évangélisé par LES SAINTES FEMMES
Celles qui M'ont aidé pendant tout Mon Ministère,
Celles mêmes qui M'ont suivi jusqu'au Saint Calvaire,
Oui,
Ce sont elles qui sont venues MIRACULEUSEMENT jusqu'au
lieu qui porte leur nom : Saintes Marie de la Mer.
Comprends-tu ?
C'est elles qui ont commencé l'évangélisation de la France.
Te rends-tu compte ô France de quelles grâces tu as été pourvue ?
Et qui était parmi elles ?
Ma douce, ma belle, Ma très aimée Marie-Madeleine,
Celle qui essuya de ses cheveux et de ses parfums, Mes pieds fatigués,
Celle qui a baisé Mes pieds,
les pieds de Ton Dieu,
Celle à qui j'ai donné la grâce insigne de Me voir ressuscité,
avant même les apôtres.
Ce sont elles que j'ai envoyées pour la France.
Ô France, filles et Fils de France, rendez-vous compte de ce que j'ai fait pour vous !
Et qui était encore avec elles ?
St Lazare, le ressuscité, oui celui que j'ai ressuscité.
Méditez cela.
J'ai envoyé pour évangéliser la France le ressuscité.
Quel homme aurait pu témoigner davantage que lui ?
Dites !
Quel homme !
Et c'est pour toi, ô France, que je t'ai choisi.
Réveillez-vous.
Réveillez-vous.
J'ai fait pour vous des merveilles
Que je n'ai fait pour aucun pays
Après Israël.
Pesez ce grand choix de votre Dieu.
Inclinez-vous vers la Sagesse suprême.
Demandez-vous pourquoi
Et cherchez, cherchez à répondre à cette prédestination.
Réétudiez l'histoire de votre pays
La véritable histoire.
Celle qui vous est cachée, (1)

l' évangélisation par mes grands saints : saint Colomban, saint Martin, saint Rémy, sainte Geneviève, sainte Clotilde aux premiers siècles de votre histoire.
Pourquoi tant de saints pour vous ?
Pourquoi la sainte Ampoule apportée entre les Mains de saint Rémy pour l'intronisation de Clovis, premier roi de France ?
Pourquoi un roi comme saint Louis ?

Pourquoi Jeanne d'Arc, une de mes âmes préférées
de France,
Mon joyau
Ma folie !


Pourquoi Mes chères âmes ?
Cherchez
Vous redeviendrez Mon Peuple
Et Je serai votre Dieu.

Pour répondre à cette invitation pressante du Seigneur, on lira avec profit : « La Vierge Marie dans l'histoire de France », Marquis de la Franquerie.

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Message de sainte Jeanne d'Arc à la messagère Monique-Marie, message reçu le 18 avril 2 007 et donné à Domrémy début mai !

LA MODE VESTIMENTAIRE

Ce message de Jeanne d'Arc s'adresse aux femmes de tous âges, mais doit être entendu aussi par les hommes, pour leur condition ! Voici...
A toutes les petites Jeanne d'Arc présentes dans la basilique !
A toutes celles qui comprendront et pourront répondre à ma demande !
A toutes celles qui ne comprendront pas aujourd'hui, mais plus tard !
COURAGE
car le Seigneur fait et continue de faire de très grandes choses.
Oh ! Qu'est grande sa Sagesse ! Oh ! Qu'est indicible son Amour ! Soyez bénies, toutes, car toutes, vous servirez la grande œuvre de Dieu !


Début du message

Aucune œuvre ne s'entreprend et ne réussit, si elle ne commence par le sacrifice.
Quels sacrifices ai-je consenti, moi, Jeanne d'Arc, avant de commencer ma mission !!!
En dehors des souffrances de mes propres doutes puis du mépris de ceux qui se riaient de moi, il y a eu un sacrifice que j'ai consenti, qui vous concerne aujourd'hui en cette année 2007 !
Soyez heureuses, ô mes petites sœurs de la terre, soyez heureuses, car le Seigneur vous a choisies pour être à mes côtés. Je ne suis plus seule au milieu des hommes dans les combats à mener pour sauver la France.
Vous, toutes, vous êtes avec moi.
Pourquoi, VOUS, les femmes ? Parce que ce sacrifice que j'ai consenti il y a 600 ans, le Ciel demande que vous vous en inspiriez maintenant pour sauver vos frères !

Ce sacrifice fut de laisser mes vêtements de jeune fille pour le vêtement masculin et même l'armure de combat si ourde et si douloureuse à mon corps.

Je l'ai fait, J'ai souffert, mais je l'ai fait.
Aujourd'hui, le sacrifice demandé est le sacrifice inverse : il s'agit de laisser les vêtements d'hommes que vous portez, pour reprendre les vêtements féminins.

Ce message, je le donne, moi, à Monique-Marie, parce que dans « L'Appel aux jeunes » que le Seigneur lui a inspiré directement,
il est question de cette maladie de l'homosexualité.
Or, vous les femmes, vous n'êtes pas innocentes de cette grande maladie. La femme en France et dans de très nombreux pays développés, prend peu à peu ce qui appartient à l'homme et ce, jusqu'à l'appropriation du pantalon qui le distinguait. Aussi, le tout petit enfant qui ne reconnaissait sa mère qu'aux mouvements souples et chauds de sa longue jupe et distinguait bien le père à la fermeté de ses jambes, n'a plus aujourd'hui cette distinction très nette. Tout semble identique... et le monde qu'il découvre bientôt le renforce dans cette confusion.
Si vous voulez avec moi, redonner au doux pays de France son nom de « Fille aînée de l'Eglise » , il faut donner une chance aux enfants et aux jeunes de se construire une identité claire, à travers des signes clairs, peceptibles sans discours, des signes qui, VISIBLES, réimprégneront peu à peu leur subconscient. Il faut, chères sœurs, faire sacrifice du vêtement qui n'est pas le vôtre. Il faut le rendre à l'homme ! C'est un geste profond, d'amour profond.

C'est un sacrifice !!!

Ne pensez pas qu'il m'a été facile de devenir soldat, de porter chaque jour cet équipement si éloigné de ma féminité. Je l'ai fait pour notre beau pays de France. Je l'ai fait pour mon Seigneur et mon Dieu.
Cependant, CE SACRIFICE QUE LE CIEL VOUS DEMANDE EST UNE GRÂCE, une très grande grâce, car derrière ce port de pantalons masculins et souvent indécents, se cache la féminité blessée de votre génération. SI PEU DE FEMMES SONT EPARGNEES !
La féminité est en lambeaux sur la terre de France, éplorée et gémissante ! La femme ne connaît ni le charme profond ni la douceur ! Elle ignore le respect et l'amour que cette féminité inspirerait aux hommes.
Or, ce sacrifice viendra peu à peu panser cette immense blessure, embaumer de célestes onguents vos corps harcelés et épuisés de n'avoir pas pu vraiment être aimés ! Combien de corps n'ont pas été aimés, même dans les mariages ! Et que dire de celles qui ont vécu des aventures malheureuses ! Ô mes sœurs de la terre, j'ai besoin de vous. Le combat est d'envergure, notre beau pays est en grave danger. Aimez, aimez ! Aimez tous ces jeunes et ces enfants qui feront notre France de demain. Sans paroles, montrez la féminité et ainsi, les différences avec la virilité qui feront s'épanouir dans la complémentarité et non pas dans l'identité. Priez, priez pour eux. Priez pour tous mes frères et sœurs homosexuels qui ne connaissent plus le beau projet d'Amour de mon Seigneur, si doux sur leurs âmes et sur leur corps ! Ô larmes du Ciel, marmes du Ciel !

Mes sœurs, pour mes frères leshommes, soyez des femmes ! Le temps est venu d'AIMER !
Que mon SEIGNEUR, votre DIEU vous soutienne dans ce grand combat silencieux, avec, entre les mains, le chapelet de notre sainte Mère.
AMEN.

Jeanne d'Arc

par les mains maladroites mais de bonne volonté de
Monique-Marie

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Message de Jeanne d'Arc
le 30 mai 2007 à Agnès-Marie

« A leur chef, je donnerai mon épée car telle est ma dernière mission pour la France et pour le roi de France. »
Ce message à Agnès Marie a été publié dans la revue « Le Sourire de Marie » à l'été 2007.

« Merci de venir à Mon écoute, cet après-midi. Ma belle et douce Jeanne de France veut te parler. Écoute attentivement sa voix et écris pour mon Peuple : Sois sans crainte, je suis comme toi, tu sais : une servante du Seigneur. Je n'ai pas de piédestal qui justifierait une crainte trop respectueuse. Accueille ces paroles comme celle d'une amie en Christ que je suis. Écoute, sois attentive. Voici :
Les jours les plus sombres sont devant vous. Ceux que j'ai connus ne sont rien en comparaison. Le souffle de haine de Satan attise les noirceurs d'âmes les plus cruelles au cœur des hommes qui refusent d'être enfants de Dieu. Il faut un catalyseur à la résistance. Un chef qui mène les troupes qui, pour l'instant, sont toutes dispersées.
Toutes les bonnes volontés de France doivent se rassembler derrière celui qui prendra la tête de la bataille pour sauver ce qui reste de la France. Comprends-tu ? Il faut un général. Aujourd'hui, tout ceci s'entend spirituellement, bien sûr, mais le rôle et la fonction sont les mêmes : résister aux assauts furieux des ennemis et mener à la victoire le parti des enfants de Dieu. Les seules forces humaines n'y parviendront pas, il y faut la grâce de Dieu, la force du destin, la volonté de la vocation endossée avec sérénité et confiance.
Je suis Jeanne de France et je suis celle qui annonce que doit se lever maintenant le germe de la résistance à l'envahisseur. Ces paroles ne seront pas stériles. La faiblesse des gouvernants excite encore plus ces cœurs enfiévrés et les pousse à toujours plus d'arrogance.
La force doute sur sa légitimité. Charles VII est apparu comme veule et sans caractère et Dieu m'a envoyé rallumer la flamme de la vocation de celui que Dieu a choisi depuis toujours pour conduire Son troupeau à travers les temps de confusion extrême.
Moi Jeanne, je dis : « Lève-toi et accomplis ta mission au service de Dieu ! Il faut lever des armées sur tout le territoire, leur donner le bagage doctrinal nécessaire et les envoyer en mission dans toutes les instances décisionnelles. D'autres que toi comprendront ce que je veux.(1)
A leur chef, je donnerai mon épée car telle est ma dernière mission pour la France et pour le roi de France. »

N.B. : Cette épée, retournée prend la forme d'une croix. C'est avec une épée à la main que dans certaines apparitions au Frankenbourg en Alsace (1872-1877), la TSVM. est apparue des centaines de fois. C'est à cet endroit, là où sainte Clotilde a prié pour que Clovis se convertisse et gagne les batailles, que le Ciel a demandé de venir en pèlerinage en la fête du Précieux Sang, début juillet, pour que le sang humain ne soit pas répandu !
Sainte Jeanne d'Arc y est même apparue lorsque madame Devillars en compagnie de 3 autres personnes passait non loin de là le 5 juin 1997. Ces personnes ont pu en témoigner par écrit, dont monsieur Léon Perrot qui par sa foi et son érudition a pu convertir un jeune Musulman (élève de l'université où il enseignait à Beyrouth ?). Pour ce faire, il mit en parallèle les versets du Coran et les versets évangéliques … et il lui a demandé de faire un choix.... Son travail magnifique est à faire connaître.
Il se désolait notamment de toutes ces mauvaises traductions et du déplacement des fêtes sur le calendrier liturgique, comme celle du Christ-Roi. Il est décédé justement en la fête du Christ-Roi, donc juste avant la Toussaint. La fête du Christ-Roi placée juste avant indique qu'il ouvre à tous les sauvés, la porte du Ciel.
Tout cela est trop grand pour n'être que résumé. Les dire, même avec talent, c'est encore les déflorer... Ce que nous allons vivre est de la même veine.

Nous sommes bien indignes d'être concernés par cette parole.

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Un autre témoignage d'apparition de sainte Jeanne d'Arc
Apparition de sainte Jeanne d'Arc à madame Devillars.
Récit de Mlle. Vernillet : « Nous traversions l'Alsace. Subitement, à la hauteur de Colmar environ, madame Devillars s'exclama : « Arrêtez la voiture ! Je vois sainte Jeanne d'Arc, elle est sur son cheval blanc, elle nous fait signe de nous arrêter, il y a Saint-Michel sur le capot de la voiture et je vois aussi le Père René de Jésus (chez qui ils se rendaient et qui confirma, à leur arrivée, qu'il avait bien été, en esprit, à leur rencontre!) .Elle précisa que sainte Jeanne d'Arc leur indiquait une montagne mais, à cette époque, me dit-elle, nous ne connaissions pas la montagne des Francs. Aujourd'hui, je peux donc vous dire que la montagne qu'elle nous indiquait, c'était bien le Frankenbourg ! »
Sainte Jeanne d'Arc, en effet, leur a bien indiqué le chemin qu'il fallait reprendre pour sauver la Fille aînée de l’Église !
Plusieurs témoins présents ce jour-là ont reconnu les faits : cf. document ci-dessous.

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« Prière pour ces temps troubles »
Message de Jésus le 14 novembre 2007

Ma bien-aimée,
Tout comme il y a cinq plaies principales sur Mon Corps, Je demande à cinq saints de se poster autour de la France pour exorciser ce qu'il se passe.

Saint Léon XIII (plaie de la tête)
Saint Padre Pio ( Plaie de la main droite)
Saint Benoît (plaie de la main gauche)
Sainte Catherine de Sienne ( Plaie des pieds)

et de Sainte Jeanne d'Arc (plaie du cœur)

Ma bien-aimée, tout comme Mes Cinq Plaies en cachent beaucoup d'autres, ces cinq Saints désignés pour défendre la France en cachent bien d'autres intercédant aussi pour vous si vous le leur demandez.
Priez ainsi en ces temps troubles :

Seigneur Dieu Tout Puissant,
Je te demande par l'intercession
De Saint Léon XIII, de saint Padre Pio,
De Saint Benoît ,
De Sainte Catherine de Sienne,

Et de Sainte Jeanne d'Arc,
De chasser loin de la France,
Tout esprit de souillure et de profanation
Afin que la vie y soit toujours respectée
Et que la Gloire puisse y régner
Pour le bien de toutes les nations du Monde.
Amen.

Merci Jésus.

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