Procès Becciu : Le pape François coupable de tous les chefs d'accusation
- Vik van Brantegem écrit sur Korazym.org qu'il a éprouvé un "sentiment spontané" de "profond dégoût" lorsqu'il a entendu le verdict du président du tribunal du Vatican, Giuseppe Pignatone, à l'encontre du cardinal Becciu.
- M. Brantegem qualifie ce verdict de "tache indélébile dans l'histoire de l'Église" qui ne représente ni la justice ni la vérité, une "injustice perpétrée par le tribunal du Vatican à l'encontre d'un homme innocent".
- Pour M. Brantegem, le système judiciaire du Saint-Siège est peu fiable et dangereux.
- Il se souvient du 1er avril 2021, lorsque François s'est rendu au domicile privé de Becciu pour présider l'eucharistie avec lui. Mais à la lumière du verdict d'hier, ce prétendu "témoignage d'estime pour un frère" apparaît empreint d'une "hideuse malhonnêteté" et peut être comparé à la visite d'un bourreau qui offre au condamné une dernière cigarette avant l'exécution.
- Un incident similaire s'est produit le 22 août 2022 lorsque François a trompé Becciu en l'invitant au consistoire et en lui donnant l'impression d'un "soutien moral".
- Brantgem souligne que François, en tant que chef du système judiciaire du Vatican, a influencé et manipulé le processus avec ses Rescripta.
- Il cite Fari Pad qui explique comment François procède : il fait lentement rôtir sa victime sur le gril, lui offre de temps en temps quelques gouttes d'eau pour prolonger la souffrance, et lui donne enfin le coup de grâce.
- Il Messaggero estime que le cardinal Becciu refuserait une proposition de grâce de la part de François car "cela signifierait que je suis coupable, alors que je suis innocent".
- Mario Becciu, le frère du cardinal, note que le tribunal a été contraint de suivre l'exemple de François, qui avait déjà condamné Becciu à l'avance.
- Paolo Maninchedda écrit sur Sardegna e libertà que dans un état de droit, François lui-même - qui savait et approuvait tout - aurait été accusé et condamné lui-même, ou du moins François aurait dû fournir la preuve très difficile qu'il était la partie lésée.
- Maninchedda écrit que François "fait le ménage" à sa manière au sein de la Curie, se trompant souvent dans le choix de ses collaborateurs et rejetant ensuite ses erreurs sur les autres.
- IlSismografo écrit que les excès et l'arbitraire de François ont atteint des dimensions intolérables, portant atteinte à la crédibilité et à l'autorité du Saint-Siège.
- Comme tous les papes, François a commis de nombreuses erreurs au cours de son pontificat, mais les méthodes qu'il utilise l'ont enfermé dans des erreurs très graves telles que le manque de transparence, l'opacité autoritaire et un rapport négligent avec la vérité, écrit IlSismografo.
- Pour IlSismografo, le successeur de François doit être "un homme de loi", capable de regarder le monde avec les yeux de la foi - et non l'inverse.
Image: Angelo Becciu © Mazur, CC BY-NC-ND, Traduction de l'IA
