Abramo
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La messe latine et la messe moderne vues par un jeune metteur en scène

Luigi Martinelli est un jeune metteur en scène de théâtre italien. Né en 1987, il a obtenu en 2011 un master en Sciences et techniques des arts et du théâtre grâce à un mémoire intitulé Les formes …Plus
Luigi Martinelli est un jeune metteur en scène de théâtre italien. Né en 1987, il a obtenu en 2011 un master en Sciences et techniques des arts et du théâtre grâce à un mémoire intitulé Les formes du sacré : la performance dans le rite romain. En 2014, ce mémoire est devenu un livre « Le forme del sacro. La performance nel rito romano » (Cavinato Editor, Brescia, 2015), préfacé par don Nicola Bux, qui fera l’objet d’une conférence à l’issue d’une messe célébrée selon la forme extraordinaire du rite romain, ce 31 mars 2016, à Brescia, la ville de Paul VI.
Pour l'occasion, la revue catholique italienne Tempi a publié un intéressant, mais parfois un peu jargonnant, entretien avec Luigi Martinelli dont nous sommes heureux de vous présenter les meilleurs passages.
L’idée – tout à fait iconoclaste – du metteur en scène est de comparer « l’efficacité » des deux formes du rite romain à partir du concept de « performance » élaboré par l’anthropologue britannique Victor Turner en collaboration …Plus
AveMaria44
D'où le danger de la "réforme de la réforme".
AveMaria44
Oui, l'aspect matériel le révèle clairement, cependant les anglicans peuvent faire de bonnes représentations théâtrales, elles restent parfaitement vaines et ne transmettent pas la grâce, elles sont un leurre puissant. Seule l’approche théologique peut nous donner la réponse correcte. Concluons qu'il n'y avait aucune raison pour changer le rit multiséculaire et que l'intention des "réformateurs …Plus
Oui, l'aspect matériel le révèle clairement, cependant les anglicans peuvent faire de bonnes représentations théâtrales, elles restent parfaitement vaines et ne transmettent pas la grâce, elles sont un leurre puissant. Seule l’approche théologique peut nous donner la réponse correcte. Concluons qu'il n'y avait aucune raison pour changer le rit multiséculaire et que l'intention des "réformateurs novateurs" étaient clairement non catholique.