Maître après Dieu (1951) En 1938, à Hambourg, le capitaine Joris Knipper, un rustre flibustier, arrive à bord de son navire pour décharger des comestibles dérobés en Afrique. Il marchande le transport …Plus
Maître après Dieu (1951)
En 1938, à Hambourg, le capitaine Joris Knipper, un rustre flibustier, arrive à bord de son navire pour décharger des comestibles dérobés en Afrique.
Il marchande le transport jusqu’en Égypte de 150 passagers juifs, mais les lois internationales lui interdisent rapidement de les débarquer où que ce soit.
Sa foi chrétienne resurgit et il refuse de ramener les malheureux en Allemagne, se sentant investi d’une mission divine. Il va alerter l'opinion mondiale et arrivera à sauver ses passagers en sacrifiant son navire.
En 1938, à Hambourg, le capitaine Joris Knipper, un rustre flibustier, arrive à bord de son navire pour décharger des comestibles dérobés en Afrique.
Il marchande le transport jusqu’en Égypte de 150 passagers juifs, mais les lois internationales lui interdisent rapidement de les débarquer où que ce soit.
Sa foi chrétienne resurgit et il refuse de ramener les malheureux en Allemagne, se sentant investi d’une mission divine. Il va alerter l'opinion mondiale et arrivera à sauver ses passagers en sacrifiant son navire.
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En 1938, à Hambourg, le capitaine Joris Knipper, un rustre flibustier, arrive à bord de son navire pour décharger des comestibles dérobés en Afrique.
Il marchande le transport jusqu’en Égypte de 150 passagers juifs, mais les lois internationales lui interdisent rapidement de les débarquer où que ce soit.
Sa foi chrétienne resurgit et il refuse de ramener les malheureux en Allemagne.
Il marchande le transport jusqu’en Égypte de 150 passagers juifs, mais les lois internationales lui interdisent rapidement de les débarquer où que ce soit.
Sa foi chrétienne resurgit et il refuse de ramener les malheureux en Allemagne.
Maranatha Maranatha
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Même un flibustier peut devenir un bon Samaritain !
C'est d'ailleurs l'improbable aventure du capitaine Joris Knipper qui, après avoir impunément volé des denrées alimentaires en Afrique, renoue avec sa foi chrétienne et tente le tout pour le tout afin de sauver des passagers juifs recueillis sur son navire.
Un long chemin de croix l'attend.
(madelen.ina.fr)Plus
Même un flibustier peut devenir un bon Samaritain !
C'est d'ailleurs l'improbable aventure du capitaine Joris Knipper qui, après avoir impunément volé des denrées alimentaires en Afrique, renoue avec sa foi chrétienne et tente le tout pour le tout afin de sauver des passagers juifs recueillis sur son navire.
Un long chemin de croix l'attend.
(madelen.ina.fr)
C'est d'ailleurs l'improbable aventure du capitaine Joris Knipper qui, après avoir impunément volé des denrées alimentaires en Afrique, renoue avec sa foi chrétienne et tente le tout pour le tout afin de sauver des passagers juifs recueillis sur son navire.
Un long chemin de croix l'attend.
(madelen.ina.fr)
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Films : Cinéma, TV Films et JÉSUS Films.
Films / Télé FilmsPlus
Films : Cinéma, TV Films et JÉSUS Films.
Films / Télé Films
Films / Télé Films
Jan de Hartog :
Est un romancier néerlandais né à Haarlem le 22 avril 1914, décédé à Houston le 22 septembre 2002.
Maître après Dieu a été mis en scène au théâtre de la Gaîté-Montparnasse (26 Rue de la Gaité, 75014, Paris) en 1951, puis adapté au cinéma également en 1951 par Louis Daquin.
De 1957 à 1962 il découvre les Etats-Unis et devient Quaker à la mort de sa mère (religion adopté …Plus
Jan de Hartog :
Est un romancier néerlandais né à Haarlem le 22 avril 1914, décédé à Houston le 22 septembre 2002.
Maître après Dieu a été mis en scène au théâtre de la Gaîté-Montparnasse (26 Rue de la Gaité, 75014, Paris) en 1951, puis adapté au cinéma également en 1951 par Louis Daquin.
De 1957 à 1962 il découvre les Etats-Unis et devient Quaker à la mort de sa mère (religion adopté par sa mère).
www.babelio.com/auteur/Jan-de-Hartog/255691
Louis Daquin :
Louis Daquin est un réalisateur et scénariste français, né le 30 mai 1908 à Calais et mort le 2 octobre 1980 à Paris.
Il réalise plusieurs longs-métrages pendant l'Occupation, alors qu'il est engagé dans la Résistance avec le Parti communiste français, pour le compte duquel il tourne un court-métrage après la Libération.
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Une citation de Jan de Hartog :
Ne faites pas, comme tant de jeunes, l’erreur de croire que parce que vous n’avez pas sauvé le monde, vous aurez tout raté.
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Maître ?... Après Dieu !...
Est un romancier néerlandais né à Haarlem le 22 avril 1914, décédé à Houston le 22 septembre 2002.
Maître après Dieu a été mis en scène au théâtre de la Gaîté-Montparnasse (26 Rue de la Gaité, 75014, Paris) en 1951, puis adapté au cinéma également en 1951 par Louis Daquin.
De 1957 à 1962 il découvre les Etats-Unis et devient Quaker à la mort de sa mère (religion adopté par sa mère).
www.babelio.com/auteur/Jan-de-Hartog/255691
Louis Daquin :
Louis Daquin est un réalisateur et scénariste français, né le 30 mai 1908 à Calais et mort le 2 octobre 1980 à Paris.
Il réalise plusieurs longs-métrages pendant l'Occupation, alors qu'il est engagé dans la Résistance avec le Parti communiste français, pour le compte duquel il tourne un court-métrage après la Libération.
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Une citation de Jan de Hartog :
Ne faites pas, comme tant de jeunes, l’erreur de croire que parce que vous n’avez pas sauvé le monde, vous aurez tout raté.
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Maître ?... Après Dieu !...
Ne nous laissez pas sucomber
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J'e lais vu au cinéma dans mes jeunes années . beau film.
2) Films (ou séries)
Album recensant les films entiers (en français) 
disponibles actuellement sur Gloria TV.
Voir aussi ma Sélection de bons FILMS ...Plus
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Voir aussi ma Sélection de bons FILMS ...
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On ne saurait mettre en doute les bonnes intentions de Louis Daquin, grand cinéaste humaniste, ni la précocité du sujet qu'il évoque : 25 ans avant Le Voyage des damnés (1976), un bateau de réfugiés juifs fuyant l'Allemagne nazie et ne trouvant aucun pays pour les accueillir.
Pourtant Maitre après dieu a de quoi dérouter. A son corps défendant, son faible budget renchérit le côté théâtral …Plus
On ne saurait mettre en doute les bonnes intentions de Louis Daquin, grand cinéaste humaniste, ni la précocité du sujet qu'il évoque : 25 ans avant Le Voyage des damnés (1976), un bateau de réfugiés juifs fuyant l'Allemagne nazie et ne trouvant aucun pays pour les accueillir.
Pourtant Maitre après dieu a de quoi dérouter. A son corps défendant, son faible budget renchérit le côté théâtral, ce qui n'est jamais optimal pour un film qui se passe presque totalement sur un bateau. Et puis, il y a le traitement du sujet lui-même qui peut surprendre :
Le film met en scène un commandant bourru et sans foi ni loi (Pierre Brasseur) et raconte la naissance chez lui d'une conscience altruiste - plus que politique : face au malheur de ces pauvres juifs - notamment des orphelins qui l'émeuvent particulièrement, ce Candide décide de les sauver coûte que coûte.
Prenant la formule "maitre après Dieu" au sens premier, ce grand naïf devient un chrétien illuminé et infantile dont on ne sait si Louis Daquin grand cinéaste - communiste faut-il le rappeler - l'admire ou se moque (à la fin, on penche pour la première option : ce grand fou réussit dans son entreprise pour sauver des innocents). Mais le sentiment demeure : Maitre après dieu est donc entre deux eaux, entre le réalisme et la caricature, entre l'histoire et la métaphore.
Un grand récit biblique réalisé par un athée... il y a quand même comme une antinomie dans la formule.
(SensCritique)
Pourtant Maitre après dieu a de quoi dérouter. A son corps défendant, son faible budget renchérit le côté théâtral, ce qui n'est jamais optimal pour un film qui se passe presque totalement sur un bateau. Et puis, il y a le traitement du sujet lui-même qui peut surprendre :
Le film met en scène un commandant bourru et sans foi ni loi (Pierre Brasseur) et raconte la naissance chez lui d'une conscience altruiste - plus que politique : face au malheur de ces pauvres juifs - notamment des orphelins qui l'émeuvent particulièrement, ce Candide décide de les sauver coûte que coûte.
Prenant la formule "maitre après Dieu" au sens premier, ce grand naïf devient un chrétien illuminé et infantile dont on ne sait si Louis Daquin grand cinéaste - communiste faut-il le rappeler - l'admire ou se moque (à la fin, on penche pour la première option : ce grand fou réussit dans son entreprise pour sauver des innocents). Mais le sentiment demeure : Maitre après dieu est donc entre deux eaux, entre le réalisme et la caricature, entre l'histoire et la métaphore.
Un grand récit biblique réalisé par un athée... il y a quand même comme une antinomie dans la formule.
(SensCritique)